Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Vidal

Saint-Vidal est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Vidal
Saint-Vidal
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay
Maire
Mandat
GĂ©rard Gros
2020-2026
Code postal 43320
Code commune 43229
DĂ©mographie
Gentilé Saintvidaloises et Saintvidalois
Population
municipale
610 hab. (2020 en augmentation de 6,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 79 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 04′ 32″ nord, 3° 48′ 03″ est
Altitude Min. 682 m
Max. 924 m
Superficie 7,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Puy-en-Velay
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Paulien
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Vidal
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Vidal
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Loire
Voir sur la carte topographique de la Haute-Loire
Saint-Vidal
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Saint-Vidal

    Ses habitants sont les Saintvidaloises et les Saintvidalois.

    GĂ©ographie

    Les villages, Ă©carts, lieux-dits : Bleu, Chazelle, Grazac, Locussol.

    Localisation

    La commune de Saint-Vidal se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

    Elle se situe Ă  quelques km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  quelques autres de Saint-Paulien[2], bureau centralisateur du canton de Saint-Paulien dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Borne (2,8 km), Sanssac-l'Église (3,1 km), Chaspuzac (4,1 km), Loudes (4,3 km), Polignac (4,7 km), Ceyssac (5,0 km), Blanzac (5,0 km), Espaly-Saint-Marcel (5,7 km).

    Communes limitrophes de Saint-Vidal
    Loudes Borne Saint-Paulien
    Chaspuzac Saint-Vidal Polignac
    Sanssac-l'Église

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Vidal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [4] - [I 2] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,9 %), prairies (27,6 %), forêts (18,7 %), zones urbanisées (9,5 %), terres arables (7,3 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 289, alors qu'il Ă©tait de 264 en 2013 et de 210 en 2008[I 5].

    Parmi ces logements, 82,9 % étaient des résidences principales, 6,8 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,7 % des appartements[I 6].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Vidal en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,8 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

    Le logement Ă  Saint-Vidal en 2018.
    Typologie Saint-Vidal[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
    RĂ©sidences principales (en %) 82,9 71,5 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,8 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 10,3 12,4 8,2

    Histoire

    Rien n'indique que le site est occupé dans la préhistoire ou l'antiquité. Cependant, la capitale des Vellaunes, Ruessio, qui est encore la principale ville de la région du Ier au IIIe siècle sous le nom de Ruessium, se trouve à 6,8 km au Nord, et la ville qui prend ensuite de l'importance, Anicium, se trouve à 7,5 km au Sud-Est (à vol d'oiseau, de centre à centre).

    Origine du nom : le nom de la commune vient de saint Vidal (ou Vital) auquel l'église, qui était la chapelle du château, est dédiée.

    Le château, qui était à l'origine une maison-forte, fut bâti au XIIe siècle[7] (et transformé en véritable forteresse lors des Guerres de Religion), et la seigneurie de Saint-Vidal est attestée dès cette époque, le nom d'origine des premiers seigneurs étant Goudet[8]. Elle passe à la fin du XIIIe siècle dans la famille de La Tour, seigneurs de Barges, par le mariage d'Adhémare (sans doute sœur de Guigon de Goudet, seigneur de Saint-Vidal) avec Hugues de La Tour, seigneur de Barges[9]. La famille de La Tour prit alors le nom de La Tour Saint Vidal, et en 1288 le seigneur de Polignac laisse à Hugues de La Tour la justice seigneuriale du lieu, la famille de la Tour prend alors le titre de baron et conserve la seigneurie jusqu'à la fin du XVIe siècle.

    Après la mort (dans le cadre des combats à Espaly) en janvier 1591 d'Antoine II de La Tour Saint-Vidal, gouverneur du Gévaudan et du Velay, dernier membre de la famille de la Tour Saint-Vidal, la baronnie passe à la Famille de Rochefort d'Ailly qui en prend le nom, par le mariage en 1582 de sa fille Claire avec Claude de Rochefort d’Ailly[10].

    Pierre-Joseph de Rochefort-d'Ailly vend vers 1765 la terre de Saint-Vidal à Louis-Augustin Porral, conseiller en la sénéchaussée et siège présidial du Puy[11].

    Au cours de la période révolutionnaire, la commune porte le nom de La Pénide.

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Saint-Vidal est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[12].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Paulien pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[13].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Pierre Coste
    mars 2001 En cours GĂ©rard Gros[14]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].

    En 2020, la commune comptait 610 habitants[Note 5], en augmentation de 6,64 % par rapport Ă  2014 (Haute-Loire : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    377320365427425399414425443
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    440452447574423425466504494
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    436436412366354353331248292
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    255236242278319355434540597
    2020 - - - - - - - -
    610--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,0 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 322 hommes pour 288 femmes, soit un taux de 52,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    0,4
    3,9
    75-89 ans
    6,5
    13,5
    60-74 ans
    11,2
    19,5
    45-59 ans
    22,5
    22,4
    30-44 ans
    23,9
    13,9
    15-29 ans
    13,8
    26,0
    0-14 ans
    21,7
    Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2018 en pourcentage[I 12]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,4
    8
    75-89 ans
    11,6
    19,7
    60-74 ans
    19,6
    21,6
    45-59 ans
    20,5
    17,2
    30-44 ans
    16,4
    15,3
    15-29 ans
    13,4
    17,4
    0-14 ans
    16,1

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 242 mĂ©nages fiscaux[Note 6], regroupant 633 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 970 â‚¬[I 13] (20 800 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 14]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    Division200820132018
    Commune[I 15]3,6 %4,9 %4,5 %
    DĂ©partement[I 16]6,3 %7,7 %7,7 %
    France entière[I 17]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  385 personnes, parmi lesquelles on compte 83,2 % d'actifs (78,6 % ayant un emploi et 4,5 % de chĂ´meurs) et 16,8 % d'inactifs[Note 7] - [I 15]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 2] - [I 18]. Elle compte 67 emplois en 2018, contre 66 en 2013 et 97 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 306, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,9 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 69,9 %[I 19].

    Sur ces 306 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 41 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 91 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vue du château de Saint-Vidal

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Vidal » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
    6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Vidal - Section LOG T2 » (consulté le ).
    7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Vidal - Section LOG T7 » (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Vidal » (consulté le ).
    11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Vidal (43229) », (consulté le ).
    12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
    13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
    14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
    16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
    20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Vidal et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Vidal et Saint-Paulien », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Saint-Vidal », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. Site internet www.auvergne-centrefrance.com __"Château de Saint-Vidal". Mais l'actuel propriétaire des lieux, Vianney d'Alençon, laisse entendre qu'il daterait du XIe siècle, in article web du journal Le Pèlerin, année 2019 : "À 32 ans, un entrepreneur redonne vie à la forteresse de Saint-Vidal".
    8. Jean Theillière, Notes historiques sur les monastères de la Séauve, Bellecombe, Clavas et Montfaucon, 1872, pages 101-103.
    9. MĂ©moires de Jean Burel bourgeois du Puy, Volume 3, 1875, page 34.
    10. Florentin Benoît d'Entrevaux, Armorial du Vivarais, 1908, page 302.
    11. Jean Theillière, Armorial des barons diocésains du Velay, J.-M. Freydier, 1880, page 83.
    12. « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    13. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    14. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 1er octobre 2014).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. zoomdici.fr du 20 février 2018.
    20. L'Ă©glise se nomme bien Saint-Vital, et non Saint-Vidal.
    21. Collectif, dir. Régis Thomas, Églises de Haute-Loire, coédition Phil'Print et le Département de la Haute-Loire, 2015.
    22. « Notice n°PA00092882 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
    23. « Notice n°PA00092883 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.