Saint-Vaast-de-Longmont
Saint-Vaast-de-Longmont est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Saint-Vaast-de-Longmont | |||||
L'église romane Saint-Vaast, depuis l'est. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne | ||||
Maire Mandat |
Gilbert Bouteille 2020-2026 |
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Code postal | 60410 | ||||
Code commune | 60600 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Valmontois, Valmontoises | ||||
Population municipale |
633 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 129 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 18′ 13″ nord, 2° 44′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 34 m Max. 126 m |
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Superficie | 4,9 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Verberie (banlieue) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Crépy-en-Valois | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
La commune est située dans le département de l'Oise, près de la rive gauche de l'Oise et de l'embouchure de l'Automne, entre Senlis et Compiègne, près de l'ancienne route nationale 32 reliant ces deux villes. Cependant, aucune route importante et aucun cours d'eau ne sont présents sur le territoire communal proprement dit.
Saint-Vaast-de-Longmont est un petit village à caractère rural, en dehors de toute agglomération[1].
La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 57 km. Le chef-lieu de d'arrondissement de Senlis est éloigné de 15 km, et le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne de 14 km,
L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 38 km au sud.
Communes limitrophes
Transports et déplacements
Deux voies communales font communiquer Saint-Vaast-de-Longmont avec Verberie.
Verberie se situe au carrefour de l'ancienne RN 32 Senlis - Compiègne, l'actuelle RD 932a, avec la RD 123. Cette dernière arrive de Pont-Sainte-Maxence par Pontpoint, puis remonte la vallée de l'Automne en direction de Saintines et Orrouy.
La RD 123 matérialise une partie de la limite nord du territoire communal, mais ne le traverse que sur 600 m environ avant de le quitter pour Saintines.
La RD 26 quitte Verberie en direction du nord, vers Longueil-Sainte-Marie et la RN 31 plus au nord.
Deux axes de circulation importants passent à proximité du territoire communal : La voie rapide de la RD 200 est un axe est - ouest qui suit la vallée moyenne de l'Oise et relie Creil à Compiègne. Elle est reliée à la RD 26 mentionnée précédemment par les RD 155 et 156. L'autoroute A1 est un axe nord-sud reliant le bassin Parisien au nord de la France. À proximité de Verberie, elle est uniquement accessible en passant par la RD 200, sur laquelle se situe l'échangeur n° 9 « Pont-Sainte-Maxence / Compiègne sud », localisée en réalité sur la commune de Longueil-Sainte-Marie.
La gare la plus proche est celle de Longueil-Sainte-Marie, à une distance routière de 6 km au nord, par Verberie et la RD 126. Cette gare est desservie par les trains omnibus TER Picardie de la relation n° 12 Compiègne - Paris.
En 2012, deux lignes du réseau départemental d'autocars du conseil général de l'Oise desservent Verberie. Les lignes n° 10A et 10C proposent deux allers pour Senlis le matin et trois retours, circulant du lundi au vendredi toute l'année, ainsi que des renforts en période scolaire. Les lignes n° 10C et 11 proposent trois allers pour Compiègne et cinq retours du lundi au vendredi, ainsi que deux allers et trois retours le samedi, circulant toute l'année. S'y ajoutent également des renforts scolaires[4]. Le tarif est de 2,00 € pour un aller simple et de respectivement 3,00 € (pour Senlis) et 3,50 € (pour Compiègne) pour un aller-retour dans la journée[5].
En , l'Agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne teste un service gratuit de minibus, la ligne 111, qui, avec deux allers-retours dans la journée — un le matin et l’autre en fin d’après-midi —, permet aux habitants de Béthisy-Saint-Pierre, Béthisy-Saint-Martin, Néry, Saintines et Saint-Vaast-de-Longmont de se connecter à l’Arc Express, via Verberie, pour relier Compiègne[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[13] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[14] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 43 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[17] à 11,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Typologie
Saint-Vaast-de-Longmont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [20] - [21] - [22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Verberie, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[23] et 4 495 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[24] - [25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26] - [27].
Saint-Vaast-de-Longmont présente la physionomie caractéristique d'un hameau, sans noyau urbain ou centre-ville, et étant donné la proximité immédiate d'avec Verberie, l'on devine encore que la commune actuelle était à la base un quartier de cette ville.
Sous l'Ancien Régime, Saint-Vaast était l'une des trois paroisses de Verberie[28].
La plupart des maisons de Saint-Vaast s'alignent sur la rue d'En-haut qui serpente sur la partie inférieure du versant nord du plateau du Valois, et sur les rues de Blois et Châtelaine reliant cette première rue à Verberie.
Le lotissement près du cimetière de Verberie se situe partiellement sur Saint-Vaast-de-Longmont, à l'extrémité nord-ouest du territoire communal.
La commune possède également un hameau, la Rue Ruffin, près de Saintines.
Le territoire communal se répartit comme suit : au nord, l'on trouve une partie de la plaine alluviale de l'Oise sur laquelle est également bâtie Verberie. Bois et prairies humides y alternent. Un peu plus vers le sud, l'on trouve un coteau assez accidenté qui représente le versant nord du plateau du Valois, déjà mentionné. Ce coteau est entièrement boisé. La rue d'En-haut est établie à environ 50 m d'altitude, alors que 110 m environ sont atteints en haut du coteau. Vient ensuite le plateau agricole, qui concerne environ les trois quarts du territoire communal et qui présente un aspect dénudé. S'y situe le point culminant de la commune, à une altitude de 126 m.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,5 %), forêts (20 %), zones urbanisées (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), prairies (3,2 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Longmont[31].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la quatrième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Pont-Sainte-Maxence[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Crépy-en-Valois.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes de la Basse Automne, créée en 1998.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[32], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne, dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 633 habitants[Note 7], en diminution de 0,94 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 312 hommes pour 331 femmes, soit un taux de 51,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La commune s'est doté en 1996 d'une école remplaçant la classe aménagée dans le bâtiment de la mairie. en 2017, cet équipement scolarise 79 enfants répartis dans trois classes[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Saint-Vaast-de-Longmont ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire :
- Église Saint-Vaast (classée monument historique en 1883[42]) :
De style roman, cette église est architecturalement plus proche de celle de Rhuis que de celle de Morienval, et sa construction a commencé vers l'an 1100. Elle était associée à un prieuré dépendant du prévôt d'Angicourt et du domaine de l'abbaye Saint-Vaast. Par ailleurs, le patronage de l'église est un indicateur de l'ancienneté de la paroisse.
L'église primitive, qui n'était donc probablement pas la première église en ce lieu, se composait d'une nef rectangulaire et non voûtée, d'une première travée de chœur aujourd'hui voûtée d'ogives, moitié moins large que la nef, et d'un chevet en cul de four. À l'exception de ce dernier, ce bâtiment s'est conservé jusqu'à nos jours, bien qu'ayant subi quelques modifications.
Les premières ont eu lieu quelques décennies après la construction seulement, vers 1120/1130, et ont porté sur l'adjonction d'un bas-côté et d'une chapelle absidiale au nord, assez similaire au chœur d'alors. Vers le milieu du siècle, les façades nord et sud ont été consolidées par de nouveaux contreforts en leur centre, et le portail a été refait. Puis, vers 1160/1170, le chevet initial a été démolie et remplacée par une seconde travée du chœur, de plan carré également, et un nouveau chevet en hémicycle a été construit. Il se distingue du premier notamment par sa voûte d'ogives quadripartite, et est percée de trois baies.
Au XVIe siècle, le bas-côté nord a été presque entièrement rebâti, les baies de la façade sud ont été refaites, et un contrefort à l'extrémité sud-est a été reconstruit. Le porche qui dissimule malheureusement pour partie le portail occidental a été ajouté à une époque indéterminée. Ce portail en anse de panier est surmontée d'un quadruple archivolte en pointe-de-diamant, d'une envergure assez importante. Le clocher s'élève au-dessus de la première travée du chœur et est remarquable pour le décor raffiné des baies géminées sur chacune des faces des deux étages supérieurs. Elles présentent des chapiteaux et des colonnettes sculptées. Au premier de ces étages, les baies ont été bouchées en 1669 pour des raisons de stabilité, ce qui ne fut pas favorable à l'esthétique. Le motif en fut sans doute le poids de la flèche octogonale en pierre, entourée de quatre pyramidons aux angles. Le clocher ne contient qu'une unique cloche, datant de 1789[43].
- L'église romane Saint-Vaast, façade occidentale.
- Les deux étages supérieurs du clocher, bâtis vers 1120.
- Le château de Cappy, façade nord, début du XXe siècle.
- Le vieux lavoir, chemin du Clos Fay.
- Pont de la ligne inachevée Aulnay-Rivecourt.
On peut également signaler :
- Château de Cappy, chemin de Cappy, près de la RD 932a : petit château néogothique en brique, bâti sur le versant nord du plateau du Valois, au milieu d'un bois.
- Lavoir couvert, chemin du Clos Fay : lavoir couvert très simple, établi sur un ruisseau, avec des murs en pierre au sud et à l'ouest, et un toit en appentis couvert de tuiles plates.
- Pont de la ligne de chemin de fer inachevée d'Aulnay à Rivecourt, au hameau de la Rue-Ruffin, rue Fin, près de la D 123 : passage supérieur construit en béton armé, avec appareillage en pierre de taille, situé au milieu d'une plaine, la voie ferrée devant passer sur un remblai pour être à l'abri des inondations et pour éviter les passages à niveau.
Personnalités liées à la commune
- Jean Jousselin, pasteur protestant nommé en 1942 pasteur à la tête de la mission populaire évangélique dite la « Maison verte » à Paris XVIII, est chargé par les autorités de Vichy de créer des centres pour jeunes dans les parties de la zone occupée qui avaient été bombardées. Il utilise le château de Cappy, alors propriété du mouvement de scoutisme éclaireurs unionistes dont il était l'un des responsable, et des Éclaireurs de France, pour y mettre à l'abri, à la fin de l'année scolaire 1943, 85 enfants juifs, avec le soutien des habitants du village. Il a été reconnu Juste parmi les nations en 1980[44] - [45].
Héraldique
Blason | Écartelé : au 1er d'azur à la crosse contournée d'or, au 2e d'argent à l'ormelet [petit orme] arraché de gueules, au 3e d'argent à trois lions de gueules, au 4e d'azur à trois fleurs de lis d'or[46]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Pont-Sainte-Maxence, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 192 p. (lire en ligne), p. 94-96
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Saint-Vaast-de-Longmont », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Saint-Vaast-de-Longmont », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
- « Communes limitrophes de Saint-Vaast-de-Longmont » sur Géoportail..
- « Communes limitrophes de Saint-Vaast-de-Longmont » sur Géoportail..
- [PDF] « Horaire de la ligne 10 Senlis - Verberie - Compiègne » et « Horaire de la ligne 11 Verberie - Compiègne » sur le site « Fiches horaires », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- « Réseau CG 60 - tarifs voyageurs occasionnels », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- Fanny Dolle, « La navette gratuite loin d’être adoptée en Basse Automne : Testé depuis septembre, le minibus demande encore des ajustements », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Trumilly - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Vaast-de-Longmont et Trumilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Trumilly - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Vaast-de-Longmont et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Verberie », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Pont-Sainte-Maxence, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 192 p. (lire en ligne), p. 94-96.
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1068.
- Mireille Cardot, « Clap de fin pour Micheline Fusée à Saint-Vaast-de-Longmont : Après 37 ans au service de sa commune, Micheline Fusée a fêté son départ et celui de sa première adjointe, Martine Olivier, samedi 7 mars. Entre tendresse et coups de griffes, elle dresse un bilan de ces année », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Micheline Fusée a été élue conseillère municipale en 1983, puis première adjointe du maire Roger Devriez en 1989. Elle prend sa place en 1995 ».
- « Procès-verbal de la séance du conseil municipal de la commune de Saint Vaast de Longmont (60410) » [PDF], Le village > Comptes rendus, sur https://www.saintvaastdelongmont.fr/, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Vaast-de-Longmont (60600) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « A Saint-Vaast-de-Longmont, l’école aura un nouveau parking », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Notice no PA00114876, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dominique Vermand, Saint-Vaast de Longmont : Les carrières, lieux particuliers, l'origine du nom, Saint-Vaast-de-Longmont, Association Art et vie du Longmont, , 48 p., p. 17-38.
- « Jousselin Jean : Année de nomination : 1980 - Dossier n° 1670 », Les justes de France, Comité français pour Yad Vasheim (consulté le ).
- Fanny Dolle, « Quand des enfants juifs étaient mis à l’abri en colonie de vacances près de Verberie : Le livre « Jacques, l’enfant caché » met en lumière un épisode méconnu de notre histoire : la colonie de vacances du château de Cappy ou comment un pasteur a sauvé 85 enfants juifs dans l’Oise », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).