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Saint-Priest-en-Jarez

Saint-Priest-en-Jarez (prononcĂ© [sɛ̃pʁijɛ ɑ̃ ʒaʁɛ]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Loire en rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes. Ses habitants sont les Mounards.

Saint-Priest-en-Jarez
Saint-Priest-en-Jarez
L'Église Saint-Prix.
Blason de Saint-Priest-en-Jarez
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes
DĂ©partement Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Christian Servant
2020-2026
Code postal 42270
Code commune 42275
DĂ©mographie
Gentilé Mounards
Population
municipale
6 088 hab. (2020 en diminution de 1,04 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 983 hab./km2
Population
agglomération
375 389 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 28â€Č 30″ nord, 4° 22â€Č 44″ est
Altitude Min. 437 m
Max. 590 m
Superficie 3,07 km2
Type Commune urbaine
UnitĂ© urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Étienne-5
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Saint-Priest-en-Jarez
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Saint-Priest-en-Jarez
Liens
Site web http://www.saint-priest-en-jarez.fr/

    Le nom de Saint-Priest-en-Jarez viendrait d'un ermite qui s'appelait Saint-Priest et qui a vécu dans une grotte, sur une colline en 666[1].

    GĂ©ographie

    Saint-Priest est situĂ©e Ă  km de Saint-Étienne[2].

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie

    La commune s'Ă©tend sur 307 hectares. Son altitude varie de 437 Ă  590 mĂštres[3].

    Les niveaux siliceux du crĂȘt de Saint-Priest-en-Jarez marquent des dĂ©pĂŽts alternes renfermant des structures semblables Ă  des geysĂ©rites[4]. Ces dĂ©pĂŽts hydrothermaux, attribuables Ă  un ancien geyser, tĂ©moignent de l'activitĂ© volcanique que connut la rĂ©gion au StĂ©phanien.

    Le territoire communal est en grande partie situĂ© sur une colline, ainsi le vieux bourg culmine Ă  605 mĂštres d'altitude.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Priest-en-Jarez est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Étienne, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 32 communes[8] et 375 389 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (100,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (93 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (62,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (29,6 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (7,9 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Période mérovingienne

    La tradition de la fondation de l'Ă©glise de Saint-Priest-en-Jarez, avancĂ©e par l'abbĂ© de Soleysel (1691), reprend les Ă©lĂ©ments hagiographiques du martyre de Priest de Clermont. Complice d'ÉbroĂŻn, il fut traquĂ© puis assassinĂ© Ă  Volvic le en reprĂ©sailles Ă  l'assassinat du patrice de Provence Hector[14].

    Selon la tradition locale, Prix y aurait vĂ©cu en ermite, avant de devenir Ă©vĂȘque de Clermont de 666 Ă  676. La construction de l'Ă©glise est attribuĂ©e Ă  l'un de ses assassins Ursion qui expia ainsi sa complicitĂ© dans le meurtre du saint auvergnat[15]. Cette tradition reprend ainsi les Ă©lĂ©ments de rĂ©cit de la fondation de l'Ă©glise de VĂ©zĂ©zoux (Haute-Loire).

    Moyen Âge classique

    Sous le rÚgne du roi de Bourgogne Conrad, l'acte de donation à Cluny de l'église Saint-Priest daté de 966 pourrait se référer à Saint-Priest-en-Jarez[16].

    Pierre de Saint-Priest est mentionné dans un acte rédigé entre 1130 et 1150[17].

    Le chùteau de Saint-Priest arborait les armes des comtes de GenÚve. Il est mentionné en 1167, parmi l'ensemble des places fortes remises par Guy II de Forez au roi Louis VII[18] - [19] - [20].

    En 1173, la permutation entre le comte de Forez et l’Église de Lyon stipule que le serment de fidĂ©litĂ© de Saint-Priest, ainsi que tout ce que Gaudemar de Jarez tenait au nom de l’Église, fut aussi remis au comte de sorte qu’il tienne de l’Église le chĂąteau. Le texte indique Ă©galement que quiconque aurait dĂ©sormais le chĂąteau de Saint-Priest devrait hommage lige et fidĂ©litĂ© au comte[21]. Le seigneur de Saint-Priest vit ainsi ses possessions enclavĂ©es au milieu de celles "laissĂ©es Ă  la libertĂ© de l’Église de Lyon"[22] autour de la paroisse de Saint-Étienne placĂ©e sous son patronage.

    Le fief apparaĂźt dĂšs lors rattachĂ© Ă  la famille dite Durgel (d'Urgel) de Saint-Priest. Peut-ĂȘtre issus d'une branche parente des comtes de Provence et de Barcelone[23] (on considĂšre souvent de nos jours qu'il s'agit d'une lĂ©gende, d'une fable[24] - [25], ce que soutenait dĂ©jĂ  Le Laboureur — contrairement aux auteurs anciens commeAntoine Verdier ou La Chesnaye des Bois[26], repris cependant par Louis de ChĂąteauneuf en 1908[27], ou AndrĂ© Mutel en 1969 : cf. l'article Bertrand > note 2), ses membres entretenaient des liens de parentĂ© aussi bien avec la premiĂšre et que la seconde maison des comtes de Lyon et de Forez.

    Vers 1180-1200, Jocerand Durgel vendit, avec l'accord du comte de Forez, ses terres de la Murette (la Fouillouse) aux Hospitaliers Ă  la suite de l'implantation d'une commanderie[28].

    • Ancienne Ă©glise de Saint-Priest-en-Jarez, vers 1900.
      Ancienne Ă©glise de Saint-Priest-en-Jarez, vers 1900.
    • Ruines du chĂąteau de Saint-Priest, vers 1900.
      Ruines du chĂąteau de Saint-Priest, vers 1900.

    PĂ©riode moderne et contemporaine

    En 1641, Saint-Priest passe de la maison des Durgel à celle des Chalus de Cordais d'Orcival, une famille apparentée (cf.[24], p. 17).

    En , François de Chalus vend pour 400 000 livres la seigneurie de Saint-Priest et de Saint-Étienne Ă  Abraham Peyrenc de Moras. Son fils François-Marie dĂ©cĂšde sans hĂ©ritier en 1771, la seigneurie revient Ă  Gilbert des Voisins qui la vendit Ă  Louis XVI le , pour la somme de 1 million 335 935 livres

    Au cours de l'été 1911 a eu lieu le premier meeting aérien du département de la Loire, sur le terrain de Champirol (situé à cette époque sur les communes de Villars et de Saint-Priest-en-Jarez), à l'emplacement actuel de l'HÎpital Nord. Parmi les huit pilotes présents à cette manifestation se trouvait Roland Garros[29].

    C'est en 1914 que la typographie "Jarez" est définitivement fixée[30].

    La commune fait partie de la paroisse Bienheureux Antoine Chevrier, qui rassemble l'Ă©glise Saint-Prix (Saint-Priest-en-Jarez), l'Ă©glise Saint-Laurent (Villars) et l'Ă©glise du SacrĂ©-CƓur, La Terrasse (Saint-Étienne).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792Antoine Badinand
    17931794Jean Palle
    17941795Jean-Marie Goujon
    18001804Jean Palle
    18041807Étienne Tronchon
    18301840Louis-Philibert Colcombet
    18401846Constant Balay
    18461848Jean-Louis Courbon
    18481871François Tessey
    18711874Mr Bonnefoy
    18741875Jean-Marie Seignol
    18751878Victor Duchamp
    18781881Mr Fayard
    18811888Barthélémy Picon
    18881891Mr Terrat
    18911900Jacques Cornet
    19001901Jacques Rey
    19011908 ?
    19081913Jean Javelle
    19131938Jean-Baptiste Per
    19381945Louis Rousset
    19451952Albert Raimond
    19521975Claudius CottierDVG
    1975Claude ChaboissierDVG
    Jean FaverjonCNI
    2020Jean-Michel Pauze[31]DVG
    2020 En cours Christian Servant SE

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 6 088 habitants[Note 3], en diminution de 1,04 % par rapport Ă  2014 (Loire : +1,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    652693752657665742858900950
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0681 0061 0511 0841 4891 4671 4681 6371 652
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7361 9981 8772 3432 5442 6052 4732 6242 889
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3 4853 7884 6284 5635 6735 8126 0226 0806 125
    2018 2020 - - - - - - -
    6 0926 088-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    MalgrĂ© une population modeste, Saint-Priest-en-Jarez est la 4e commune la plus dense de la Loire derriĂšre Roanne, Saint-Étienne et Rive-de-Gier. Avec une croissance continue de sa population, une dynamique de construction de logements importante et une activitĂ© soutenue, notamment dans les services de santĂ©, on peut penser que la commune va se densifier encore plus Ă  l'avenir.

    Desserte

    La ligne 17 dessert Saint-Priest-en-Jarez.

    La commune est desservie par le réseau STAS, grùce aux lignes de tramway T1 et T3 (en heures de pointe pour cette derniÚre) et aux lignes de bus 8, 16, 17, 25, 27, 37[36]. Sur le territoire de la commune se trouve, au niveau de la station Parc-Champirol (lignes T1 et T3) un parking-relais[37].

    La commune est Ă©galement desservie par la ligne L15 du rĂ©seau Cars RĂ©gion Loire qui permet la liaison entre la mĂ©tropole stĂ©phanoise et Veauche, Rivas, Cuzieu, Montrond-les-Bains, Marclopt, Saint-Laurent-la-Conche, Feurs, Épercieux-Saint-Paul et Balbigny.

    Saint-Priest-en-Jarez est séparée de Villars par l'A72. Il existe un accÚs incomplet depuis la commune (sortie 11 au niveau du MAM), permettant de rejoindre Roanne/Clermont ou, en sens inverse, sortir avant le tunnel de la Terrasse.

    Culture locale et patrimoine

    Étymologie et gentilĂ©

    Le nom de Saint-Priest-en-Jarez viendrait d'un ermite (religieux qui fait le choix de vivre dans la solitude) qui s'appelait Saint-Priest et qui a vécu dans une grotte, sur une colline en 666[38].

    Pour le gentilé de "Mounard", plusieurs étymologies sont possibles :

    • en patois forĂ©zien, "Mounieri" veut dire "cabane" ou "taniĂšre", ce qui en dĂ©rivant, aurait donnĂ© le nom "Mounard".
    • au Moyen Âge, pour moudre les grains, on disait "il mounait", ce qui aurait donc donnĂ© "Mounard".
    • ou encore, en patois, "Mounard" veut dire "monter". Ce nom aurait Ă©tĂ© donnĂ© aux habitants en raison des nombreuses cĂŽtes des collines.

    Les parcs et les places

    La commune de Saint-Priest-En-Jarez comporte quelques parcs, quelques places et plusieurs endroits verts pour se balader.

    Le jardin des MĂ©lisses se situe Ă  cĂŽtĂ© du CHU de Saint-Étienne, Ă  la sortie de la ville, il a Ă©tĂ© conçu sur un mode participatif par les soignants de l'hĂŽpital. Il est accessible aux patients, Ă  leurs familles et aux professionnels. La conception de ce jardin amĂ©liore la qualitĂ© des soins et la vie Ă  l'hĂŽpital.

    Le petit parc de la Villa Saint-Michel est un espace vert, arborĂ© au cƓur de la ville, il a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© en 2002 par le Conseil DĂ©partemental.

    Le clos Bayard est un grand parc arborĂ© oĂč il y a une immense maison bourgeoise et ses dĂ©pendances, dont une chapelle. Beaucoup d'arbres remarquables et trĂšs vieux y sont prĂ©sents, ils sont classĂ©s, de façon Ă  les protĂ©ger. Au clos Bayard on y trouve un observatoire suspendu, une serre Ă  papillons, un hĂŽtel Ă  insectes, un labyrinthe fleuri, et Ă©galement un compost.

    Cette commune comporte aussi quelques places importantes comme :

    La place Denis Ferreol qui se situe Ă  l'adresse du mĂȘme nom. C'est un parking.

    La place Jean Baptiste Per qui se transforme en terrain de jeux et place du feu d'artifice pour le .

    La place Victor Hugo qui se situe devant la mairie.

    La place Massenet plus principalement appelĂ©e " La Terrasse", oĂč l'on peut prendre des bus et des trams. Elle est partagĂ©e entre la commune de Saint-Priest-En-Jarez et la ville de Saint-Étienne.

    Monument historique

    Saint-Priest-en-Jarez possĂšde un pont subsistant de la premiĂšre ligne de chemin de fer de France construite en 1827, et partagĂ© avec la commune de Villars (Loire), inscrit au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [39] - [40]. Le pont est visible depuis le 44 chemin des champs, mais on ne peut y accĂ©der car il est sur une propriĂ©tĂ© privĂ©e.

    Autres lieux et Ă©difices

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Saint-Priest-en-Jarez se blasonnent ainsi :

    Cinq points d’or Ă©quipolĂ©s Ă  quatre de sinople.

    Le chĂąteau de Saint-Priest-en-Jarez arborait les armes des comtes de GenĂšve[41].

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    • Jean DastĂ© (1904-1994), acteur et metteur en scĂšne de thĂ©Ăątre, y est dĂ©cĂ©dĂ©.
    • François Mathieu (1934-1997), sĂ©nateur de la Loire, y est mort.
    • Michel Tylinski (1934-2003), footballeur, y est mort.
    • Pierre Gagnaire (1950), chef Ă©toilĂ©, qui a commencĂ© sa carriĂšre en reprenant le restaurant de son pĂšre, Le Clos Fleuri, Ă  Saint-Priest-en-Jarez, entre 1975 et 1981.
    • Marjolaine Bazin (1986), coureuse cycliste, y est nĂ©e.
    • Safia Bengueddoudj (1986), footballeuse, y est nĂ©e.
    • Élodie Clouvel (1989), pentathlĂšte internationale, y est nĂ©e.
    • ChloĂ© Willhelm (1989), nageuse synchronisĂ©e, y est nĂ©e.
    • Faouzi Ghoulam (1991), footballeur international algĂ©rien, y est nĂ©.
    • GrĂ©goire Tarride (1991), coureur cycliste, y est nĂ©.
    • Jordy Gaspar (1997), footballeur de l'Olympique lyonnais, y est nĂ©.
    • LĂ©o Grasset (1989), vulgarisateur scientifique, vidĂ©aste et Ă©crivain, y est nĂ©.

    En images

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.

    Références

    1. « Histoire / Découvrir / Accueil - Mairie de Saint Priest en Jarez », sur www.saint-priest-en-jarez.fr (consulté le ).
    2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Saint-Priest-en-Jarez et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
    3. Institut national de l'information géographique et forestiÚre, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
    4. La Rotonde, Patrimoine gĂ©ologique du dĂ©partement de la Loire, Le CrĂȘt. Lire en ligne
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « UnitĂ© urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur https://www.insee.fr/ (consultĂ© le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    14. "Saint Prix, Ă©vĂȘque d'Auvergne, fut massacrĂ© Ă  Volvic, le 25 janvier 676 ; il Ă©tait allĂ© cĂ©lĂ©brer avec ChildĂ©ric II, roi d'Austrasie, les fĂȘtes de PĂąques Ă  Autun l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Son assassinat fut une vengeance provenant de ce que ChildĂ©ric, peut-ĂȘtre sur l'avis de l’évĂȘque, avait mis Ă  mort Hector, son patrice de Provence (...) Saint Prix, Ă©vĂȘque d'Auvergne, ayant Ă©tĂ© assassinĂ© le 20 (25?) janvier 676, en reprĂ©sailles de la mort du patrice Hector"., Georges de Manteyer, La Provence du premier au douziĂšme siĂšcle : Études d'histoire et de gĂ©ographie politique, Librairie Alphonse Picard & fils, Paris, 1908.
    15. Testenoire-Lafayette (1905) p. XV.
    16. Collection de 88 chartes originales, de l'abbaye de Cluni, la plupart du Xe ou du commencement du XIe siÚcle, acquises en 1875 par l'intermédiaire de M. Paillard. Acte de donation de l'église de Saint-Priest en Forez (Jarez?) (966). Lire en ligne
    17. Chart. du Forez, no 2, p. 4.
    18. Claude-François Menestrier, Histoire civile ou consulaire de la ville de Lyon, justifiée par chartes, titres, chroniques... avec la carte de la ville, comme elle était il y a environ deux siÚcles, N. et J.-B. de Ville (Lyon), 1696, p. 36. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95210w/f721.image
    19. Castellum De Sancto Praejecto, 1167, vidimus du XVIIe siĂšcle (La Mure-Chantelauze, t. III, p. 27)
    20. In nomine sanctae et individuae Trinitatis, amen. Ego, Ludovicus, Dei gratia Francorum rex... https://sites.google.com/site/agerjarensis/
    21. Bulle du Pape Alexandre III confirmant la permutation de 1173-1174 Lire en ligne
    22. "L'Église de Lyon s'Ă©tait en outre rĂ©servĂ©, dans les terres de Guy II, une enclave qui comprenait Saint-Victor-sur-Loire, Saint-Genest-Lerpt et Villars (n.d.r.: ainsi que Saint-Jean-Bonnefonds)." J.-E. Dufour, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de la Loire, PUSE, 1946 (rĂ©Ă©d. 2006), p. XXII.
    23. S. De Vajay, Comtesse d'origine occitane dans la marche d'Espagne aux 10e et 11e siùcles, In : Hidalguía. 28 (1980), S. 585–616, 601–2 Lire en ligne
    24. « Famille Durgel (d'Urgel) de Saint-Priest », sur Calaméo, par Marc Gauer, 2012/2013
    25. « Chùteau de Saint-Priest, p. 347-460, notamment p. 357-358 pour l'origine des d'Urgel, p. 357-448 pour leur généalogie, précédée par la généalogie des Jarez p. 305-346 », sur Etudes historiques sur le Forez : Chronique des chùteaux et des abbayes, vol. II, par Jean-Antoine de La Tour-Varan, chez Montagny, à Saint-Etienne, 1857
    26. « Saint-Priest, p. 144-145 », sur Dictionnaire de la Noblesse, t. XVIII, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, chez Schlesinger FrÚres, à Paris, 1874
    27. « Liens entre les Durgel de St-Priest, les Jarez et les Forcalquier-d'Urgel (issus des comtes catalans) ; Généalogie des Durgel de St-Priest, p. 17-174, et Tableaux généalogiques, p. 68-106 », sur Degrés généalogiques des d'Urgel de Saint-Priest, par Louis de Chùteauneuf, chez Alphonse Picard et Fils, à Paris, 1908, en ligne sur Gallica-BNF
    28. E. Perroy, Les familles nobles du Forez au XIIIe siĂšcle Essai de Filiation vol. 20, UniversitĂ© de Saint-Étienne, 1976, p. 284.
    29. À l'occasion de la commĂ©moration de cet Ă©vĂ©nement en octobre 2011 a Ă©tĂ© Ă©mis un timbre postal.
    30. Modifications territoriale et dénomination des communes de la Loire
    31. Saint-Priest-en-Jarez sur le site de l'association des maires de France, consulté le 30 juin 2015.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. https://www.reseau-stas.fr/fr/horaires-de-ligne/6/RouteSchedules/searchlocalities?KeywordsLocality=ST+PRIEST+EN+JAREZ&LocalityId=42275
    37. https://www.reseau-stas.fr/fr/parking-relais-pr-velivert-consigne-citiz/1011
    38. « Histoire ».
    39. Notice no PA42000008, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    40. « Liste des monuments historiques de la commune de Saint-Priest-en-Jarez », base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    41. Auguste Bernard, Histoire du Forez, Ed. Laffite Reprints, Marseille, 1979.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • ADHAS et ATJ42, Saint-Priest-en-Jarez, coll. « MĂ©moire en images », Éditions Alan Sutton, 2015
    • Bulletin de couleur rouge du musĂ©e de la mine de Villars concernant Saint-Priest-en-Jarez de Jean-Marie Somet, ancien mineur et ancien conservateur du musĂ©e des Amis du Vieux Villars (demander Ă  l'Association des amis du vieux Villars)

    Articles connexes

    Liens externes

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