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Saint-PĂ©ray

Saint-Péray est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-PĂ©ray
Saint-PĂ©ray
La commune vue depuis le château de Crussol.
Blason de Saint-PĂ©ray
Blason
Saint-PĂ©ray
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-RhĂ´ne
Intercommunalité Communauté de communes Rhône-Crussol
Maire
Mandat
Jacques Dubay
2020-2026
Code postal 07130
Code commune 07281
DĂ©mographie
Gentilé Saint Pérollais
Population
municipale
7 538 hab. (2020 en augmentation de 0,59 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 313 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 56′ 58″ nord, 4° 50′ 45″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 642 m
Superficie 24,05 km2
Unité urbaine Valence
(banlieue)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Guilherand-Granges
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-PĂ©ray
Liens
Site web www.st-peray.com

    Autrefois située dans la province royale du Vivarais et adhérente à la communauté de communes Rhône-Crussol depuis 2014, cette petite ville est située à km de Valence, chef-lieu de la Drôme dans la vallée du Rhône et ses habitants sont dénommés les Saint-Pérollais[1].

    GĂ©ographie

    Situation et description

    Au pied de la colline de Crussol, dans l'ouest de l'agglomération valentinoise en bordure de la vallée du Rhône, Saint-Péray est depuis toujours un lieu de passage entre la montagne ardéchoise et la plaine de Valence[2].

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    Le massif de la montagne de Crussol est constitué de couches géologiques d’origine sédimentaire superposées de façon très régulière et que l’on qualifie de série.

    De par sa capacité à emmagasiner la chaleur, le calcaire permet l’implantation d’espèces végétales et animales méditerranéennes malgré la latitude assez élevée. La végétation est constituée pour moitié de pelouse sèche et pour l'autre moitié de chênaie verte, landes sur marnes, falaises, éboulis sur calcaire et même de chênaie pubescente en faible proportion.

    C'est une petite montagne étirée sur trois kilomètres du nord au sud. Elle représente une ligne de crêtes assez régulière dont l’altitude passe progressivement de 306 à 406 mètres. Dans la direction est-ouest, elle apparaît d'abord comme un massif dissymétrique : vers l'est, une haute falaise calcaire, surplombant des éboulis, domine la région valentinoise, tandis que vers l'ouest, la pente s’abaisse moins brutalement jusqu'au Mialan, affluent du Rhône[3].

    Climat

    La commune bénéficie d'un climat tempéré dont la principale caractéristique est un vent quasi permanent qui souffle et assèche l'air le long du couloir rhodanien, le Mistral. L'influence du climat méditerranéen se fait légèrement sentir et les étés y sont généralement chauds et secs

    Hydrographie

    Le territoire est bordĂ© par le RhĂ´ne dans sa partie orientale et le bourg est traversĂ© par le Mialan[4], un affluent de ce fleuve, d'une longueur de 19,9 km[5].

    Voies routières

    Le territoire communal est traversé par la route départementale 86 (ancienne route nationale RN86) qui longe le Rhône sur sa rive droite et qui permet de relier Lyon à Nîmes. La route départementale 533 (RD533) permet de relier Saint-Peray à Valence vers l'est ainsi qu'à Lamastre et Saint-Agrève vers l'est.

    Voies ferroviaires

    La commune est également traversée selon un axe nord-sud par la ligne de Givors-Canal à Grezan, aussi appelée « ligne de la rive droite du Rhône » dont le trafic voyageurs a été supprimé en 1973. La gare de Saint-Péray peut cependant servir de gare de voyageurs de façon provisoire en cas de travaux sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, passant par Valence[6].

    Réseau de bus Citéa

    Autobus du réseau Citéa au terminus Saint-Peray - Ployes (ligne 8)

    La commune de Saint-Péray est desservie par le réseau de bus Citéa via les lignes :

    • 8 Saint-PĂ©ray - Ployes ↔ Valence - Centre PĂ©nitentiaire / Malissard - Guimand, avec en moyenne, un bus toutes les 20 minutes en pĂ©riode scolaire et toutes les 30 minutes le samedi et pendant les vacances, de 6 h 16 Ă  20 h 34 ;
    • 14 Cornas – La MĂ»re ↔ Saint-Marcel-lès-Valence – Mathias / Alixan – Gare TGV, avec en moyenne, un bus toutes les 30 minutes toute l'annĂ©e (sauf dimanche et jours fĂ©riĂ©s) de 6 h 22 Ă  20 h 02 ;
    • 40 Toulaud - Mairie ↔ Guilherand-Granges - Collège De Gaulle, avec 3 Ă  4 allers/retours par jour en pĂ©riode scolaire uniquement ;
    • 46 Vernoux-en-Vivarais - Place Delarbre ↔ Valence - Gare Routière, avec 3 allers/retours par jour toute l'annĂ©e ;
    • Dim 4 Saint-PĂ©ray - Mairie ↔ Bourg-lès-Valence - Blachères, avec en moyenne, un bus toutes les 45 minutes le dimanche et les jours fĂ©riĂ©s de 8 h 46 Ă  19 h 36;

    Les lignes Express, ouverte à tous les usagers, avec un trajet et des horaires optimisés pour les collégiens et lycéens :

    • E141 Cornas - La MĂ»re ↔ Valence - Loubet / Camille Vernet / CitĂ© Briffaut
    • E181 Saint-PĂ©ray - Ployes ↔ Saint-PĂ©ray - Collège de Crussol
    • E182 Saint-PĂ©ray - Ployes ↔ Valence - Loubet / Camille Vernet / CitĂ© Briffaut
    • E183 Saint-PĂ©ray - Ployes ↔ Bourg-les-Valence - LycĂ©e des 3 Sources
    • E184 LycĂ©e Montplaisir / PĂ´le Bus ↔ Saint-PĂ©ray - Mairie de St-Peray, ligne Express, ouverte Ă  tous les usagers, avec un trajet et des horaires optimisĂ©s pour les collĂ©giens se rendant au collège de Crussol.

    RĂ©seau de cars Le Sept

    La commune est également desservie par le réseau de cars du conseil général de l’Ardèche, Le Sept via les lignes 3 et 3+ (Valence - Gare Routière ↔ Annonay ou Tournon-sur-Rhône).

    Urbanisme

    Le bourg de Saint-Péray, coincé entre la montagne de Crussol et les monts d'Ardèche occupe la partie supérieure de la photo

    Typologie

    Saint-PĂ©ray est une commune urbaine[Note 1] - [7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[8] - [9]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Valence, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 10 communes[10] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11] - [12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,7 %), zones agricoles hétérogènes (34,3 %), zones urbanisées (14,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), prairies (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Péray est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône et la Basse Ardèche, mais en limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[17].

    Terminologie des zones sismiques[18]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3SismicitĂ© modĂ©rĂ©eaccĂ©lĂ©ration = 1,1 m/s2

    Toponymie

    Le cartulaire de Saint-Chaffre, en 936, mentionne la donation à cette abbaye d'une villa et de ses vignes, S. Petri d’Atiacum (nom qui évoluera vers Aysi), sous le castrum de Crussol. Plus tard, au XIIe siècle, le cartulaire de Bourg-lès-Valence, indique que les comtes de Crussol : Giraud Bastet, son épouse Agnès et son frère Guillaume, donnent 50 livres à l'abbaye de Saint-Estève, située à l'extrémité de la montagne de Crussol, et des vignes à l'église de S.Petri Ay.

    Au Moyen Âge, il devint le siège d'un prieuré dédié à saint Pierre et, dès lors, le village fut baptisé « Sanctus Petrus Atiacum ». Ce nom va évoluer au cours des siècles vers Saint-Pierre d'Ay, qui devint Saint-Péray. En occitan, c'est Sant Pèire d'Ai.

    Histoire

    Le village actuel fit son apparition vers le XVe siècle, quand les habitants partirent des fortifications du château de Crussol pour venir habiter dans la vallée du Mialan. Ce nouveau village prit le nom de Saint-Pierre d'Ay qui, en patois local, donna Saint-Péray.

    Au cours de la RĂ©volution française de 1789, Saint-PĂ©ray changea temporairement de nom pour devenir PĂ©ray Vin Blanc (dĂ» Ă  la rĂ©putation incontestable du vin blanc de Saint-PĂ©ray Ă  cette Ă©poque)[19] - [20]. En 2018, la commune de Saint-PĂ©ray compte environ 7 600 habitants.

    Politique et administration

    HĂ´tel de ville de Saint-PĂ©ray.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1816 1821 Louis-Victor Allier
    1821 1830 Louis de Villeneuve
    1830 1834 Hippolythe Bernera
    1834 1868 Honoré-Ferdinand Malet conseiller général
    1868 1870 LĂ©opold Lantheaume
    1870 1874 Oscar Saint-Prix Président du Conseil général
    député
    sénateur
    1874 1877 Louis Ferdinand Malet
    1877 1889 Oscar Soubeyran de Saint-Prix Président du Conseil général
    député
    sénateur
    1889 1901 Napoléon Martin
    1901 1908 Victor Tassini
    1908 1929 Jules Bouvat Docteur
    Président du Conseil général
    1929 1962
    (décès)
    Marc Bouvat Rad. MĂ©decin
    Vice-président du Conseil général
    1962 1963 Antonin Basset
    1964 25 juin 1995 GĂ©rard Mallen RI puis UDF Courtier en assurances
    conseiller général
    suppléant de Pierre Jourdan de 1971 à 1980
    25 juin 1995 28 mars 2014 Jean-Paul Lasbroas DVG Administrateur
    28 mars 2014 En cours
    (au 24 avril 2014)
    Jacques Dubay[21] UDI Commerçant
    Conseiller général puis départemental

    Jumelages

    Trois communes de l'Union européenne sont jumelées avec Saint-Péray :

    SituĂ©e dans la rĂ©gion de la Hesse, Ă  45 km de Francfort, en bordure de l'Odenwald, la ville de GroĂź-Umstadt compte une population de 22 000 habitants. NĂ©e du regroupement de 8 communes (Kleestadt, Klein-Umstadt, Richen, Semd, Raibach, Dorndiel, Heubach et Wiebelsbach), GroĂź-Umstadt offre une grande qualitĂ© de vie.

    Asso, petite ville de 3 150 habitants de la rĂ©gion des Lacs, dans le Nord de l'Italie est situĂ©e dans la rĂ©gion de Lombardie, Ă  une vingtaine de kilomètres de CĂ´me. Les hautes collines boisĂ©es qui entourent la ville, nichĂ©e au cĹ“ur de la vallĂ©e de la Vallassina, la font ressembler Ă  un village de montagne.

    • Drapeau du Portugal Santo Tirso (Portugal) avec laquelle Saint-PĂ©ray a signĂ© un pacte d'amitiĂ© en 1991, rapprochement qui s'explique par le jumelage qui lie respectivement les deux villes Ă  GroĂź-Umstadt.

    Santo-Tirso est situĂ©e dans le nord du Portugal, Ă  quelques kilomètres de Porto et de la cĂ´te atlantique, Santo-Tirso est une ville relativement importante puisqu'elle compte environ 17 000 habitants. Elle est par ailleurs le chef-lieu d'un canton composĂ© de 31 communes[22].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2020, la commune comptait 7 538 habitants[Note 4], en augmentation de 0,59 % par rapport Ă  2014 (Ardèche : +2,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5591 6521 5281 7912 3212 4902 4852 7202 584
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7622 6802 7102 5212 8152 6582 6422 5552 569
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6032 6582 5872 5382 5952 5972 6342 7973 168
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3 0973 5924 3105 1965 8866 5026 9637 0917 294
    2015 2020 - - - - - - -
    7 5727 538-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune, rattachée à l'académie de Grenoble, héberge plusieurs établissements d'enseignement sur son territoire. La commune compte trois écoles primaires, dont deux établissements publics, l'école des Brémondières et l'école du quai et un établissement d'enseignement secondaire, le collège de Crussol[27]. Une école privée maternelle et élémentaire est également installée dans la commune, l'école de la Sainte Famille.

    Équipement culturel et sportif

    • Le stade de la plaine comprend trois terrains pour football Ă  onze gazonnĂ©s (dont un est Ă©clairĂ©) et un terrain pour football Ă  7. Les entraĂ®nements et matchs officiels y sont organisĂ©s[28].
    • La mĂ©diathèque de Saint PĂ©ray, gĂ©rĂ© par le rĂ©seau de la communautĂ© de communes RhĂ´ne-Crussol, est situĂ© dans le bourg[29].

    MĂ©dias

    La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

    Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
    Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Tournon.

    Culte catholique

    La communauté catholique de Saint-Péray est rattachée à la paroisse « Saint-Pierre de Crussol », elle-même rattachée au diocèse de Viviers[30].

    Économie

    Vignoble

    Le vin de Saint-péray est un vin blanc généralement mousseux appartenant aux crus des Côtes du Rhône, préparé selon la méthode champenoise. Il existe également sous forme d'un vin blanc sec « tranquille ». De cépages Roussanne et Marsanne, il a une robe jaune paille pâle, des arômes de violette et une bonne acidité naturelle. Ce vin peut être gardé ou bu jeune.

    • Vendanges Ă  Saint-PĂ©ray
      Vendanges Ă  Saint-PĂ©ray
    • Tirage et embouteillage du saint-pĂ©ray au dĂ©but du XXe siècle.
      Tirage et embouteillage du saint-péray au début du XXe siècle.
    • Stockage du saint-pĂ©ray mousseux au dĂ©but du XXe siècle.
      Stockage du saint-péray mousseux au début du XXe siècle.
    • Bouteille de Saint-PĂ©ray
      Bouteille de Saint-PĂ©ray

    Situé sur la rive droite du Rhône, à la hauteur de Valence, le vignoble de l'AOC Saint-Péray est le plus au sud des Côtes du Rhône septentrionales. L'aire d'appellation se limite à la commune de Saint-Péray ainsi qu'au quartier du Biguet qui se trouve sur la commune limitrophe de Toulaud. L'AOC Saint-Péray compte aujourd'hui environ 70 hectares et le rendement maximum est de 45 hl/ha avec un degré minimum naturel de 10 % pour les tranquilles et 9 % pour les effervescents.

    Tourisme

    Site touristique grâce à la présence du château et d'un vignoble réputé, la ville de Saint-Péray héberge un office de tourisme géré par la communauté de communes. Celui-ci propose un agenda des manifestations présentant les sites touristiques et proposant des lieux d'hébergement[31].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vue sur le château de Crussol, au fond la montagne des Trois-Becs.

    Événements culturels

    • L'un des Ă©vĂ©nements emblĂ©matiques de la commune de Saint-PĂ©ray est sans aucun doute la fĂŞte des vins et son marchĂ© aux vins. Se dĂ©roulant lors du premier week-end de septembre, c'est un moment de convivialitĂ© oĂą chacun peut se retrouver sous le chapiteau dressĂ© Ă  cet effet sur la place du village.
    • Chaque annĂ©e est organisĂ©e la fĂŞte des vins et du jumelage.
    • Fin juin : Crussol en FĂŞte au Théâtre de verdure oĂą se dĂ©roulent traditionnellement des animations mĂ©diĂ©vales et des spectacles son et lumière.
    • DĂ©but juillet : Crussol Festival, au Théâtre de verdure.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-PĂ©ray Blason
    Parti : au 1er fascé d'or et de sinople qui est de Crussol, au 2e d'azur à deux clefs d'or passées en sautoir[37].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    On reconnaît au premier les armes des seigneurs de Crussol. Les clefs sont classiquement emblématiques de saint Pierre (« Saint-Péray » vient de « Saint-Pierre-d'Ay »).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Site habitants.fr, fiche sur la commune de Saint-Peray, consulté le 13 novembre 2021.
    2. Site franceinter.fr, jeu des 1000 euros "Saint-Péray - spécial jeunes".
    3. Site rhonecrussol.fr, page "Étude géologique sur le site naturel de Crussol-Soyons", consulté le 13 novembre 2021.
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau (V4000520) ».
    5. Site gralon.net, page sur le Mialan, consulté le 13 novembre 2021.
    6. Vidéo Youtube "SNCF Gare de St Peray (Ardèche) Ter Z-24500", consulté le 14 novembre 2021.
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Valence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
    18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    19. Site abcduvin.com, page sur Saint-PĂ©ray, consultation le 14 novembre 2021.
    20. Site persee.fr, article "envoi au comité des secours, pour en faire un rapport, de la pétition de la société populaire de Peray-Vin-Blanc (Ardèche) qui demande des secours en faveur d’un citoyen blessé en poursuivant un contre-révolutionnaire, lors de la séance du 25 thermidor an II (12 août 1794) ".
    21. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    22. Site de la ville de Santo Tirso
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Site st-peray.com, page sur les Ă©tablissements scolaires.
    28. Site rhone-crussol.net, page sur les installations sportives, consulté le 14 novembre 2021.
    29. Site page sur la médiathèque de Saint-Péray, consulté le 14 novembre 2021.
    30. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Saint-Pierre de Crussol.
    31. Site st-peray.com, page sur l'office de tourisme de Saint-Péray, consulté le 14 novembre 2021.
    32. Site serge042.wixsite.com, page sur Duilio Donzelli, Eglise Saint-Pierre et Saint Paul de Saint Péray - Ardèche, consulté le 14 novembre 2021.
    33. Pont du Diable sur le ruisseau de Hongrie, publié le sur le site massifcentralferroviaire.com (consulté le ).
    34. Le pont du Diable de Saint-Péray : Fond cartographique proposé par l’IGN et OpenStreetMap, publié sur le site Géoportail (consulté le ).
    35. Google Livre "Quand le vin fait sa révolution" par Mohamed Najim et Etienne Gingembre Editions du Cerf 2021.
    36. Fiche sur le Site de l'Ordre de la Libération
    37. Blason de Saint-PĂ©ray sur labanquedublason2.com

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le guide Ardèche, La Renaissance du livre, Tournai (Belgique), 2003

    Articles connexes

    Liens externes

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