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Saint-Marcel-lès-Valence

Saint-Marcel-lès-Valence est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Marcel-lès-Valence
Saint-Marcel-lès-Valence
Mairie de Saint-Marcel-lès-Valence.
Blason de Saint-Marcel-lès-Valence
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Jean-Michel Valla
2020-2026
Code postal 26320
Code commune 26313
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Marcelois, Saint-Marceloises
Population
municipale
6 320 hab. (2020 en augmentation de 3,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 420 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 58′ 18″ nord, 4° 57′ 27″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 201 m
Superficie 15,05 km2
Unité urbaine Valence
(banlieue)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Valence-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Marcel-lès-Valence
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Saint-Marcel-lès-Valence
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Saint-Marcel-lès-Valence

    Elle se trouve dans l'agglomération valentinoise.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Saint-Marcel-lès-Valence est au nord-est (limitrophe) de la ville de Valence, préfecture de la Drôme.

    Relief et géologie

    Sites particuliers :

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • Canal secondaire n° 2 de la Bourne ;
    • la Barberolle.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Marcel-lès-Valence est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Valence, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 10 communes[5] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,2 %), cultures permanentes (28,3 %), zones urbanisées (17,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), terres arables (3,2 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :

    • Bois de Gotheron
    • Bornel
    • Caillat
    • Carabony
    • Chambaud
    • Château de Plovier
    • Conflan
    • Dony
    • Gotheron
    • Laye
    • LĂ©bry
    • le Chantre
    • le Peuplier
    • le Rat
    • les Barris
    • les Blancs
    • les Champs
    • les Combes
    • les Debeaux
    • les Grandes Terres
    • les Margillières
    • les Mirabeaux
    • les Oboussiers
    • les Petits Eynards
    • les Plaines
    • les Reys
    • les Robins
    • les Vernets
    • l'Étrau
    • Marquet
    • Marquet
    • Mathias
    • Meillet
    • Mordecet
    • Patry
    • Peycat
    • Plovier
    • Ponsoye
    • Rousset
    • Sandon
    • Sapière
    • Surel
    • Thodure
    • Trapier

    Voies de communication et transports

    Le périphérique valentinois traverse le territoire communal du nord au sud :

    • Sortie 2 : Saint-Marcel-lès-Valence, Le Plovier ;
    • Aire de repos des Fruitiers (sens Valence > Grenoble) ;
    • Sortie 3 : Saint-Marcel-lès-Valence, Est' ;
    • Sortie 4 : Gare de Valence TGV – Rovaltain.

    La commune est desservie par le réseau de bus Citéa (lignes 14 et 15).

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11].

    • 1192 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Marcelli de Javeysano (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 28).
    • 1218 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Marcelli de Gavaisano (cartulaire de LĂ©oncel, 83).
    • 1245 : tenementum de Gavaisa (cartulaire de LĂ©oncel, 138).
    • 1261 : terra de Javaysano (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 79).
    • 1276 : Javaysan (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 90).
    • 1285 : mention de la paroisse :ecclesia Sancti Marcelli secus iter publicum Romanense (cartulaire de LĂ©oncel, 255).
    • 1779 : Sainct Marcel au mandement de Bourg lès Valence (Aff. du DauphinĂ©).
    • 1891 : Saint-Marcel-lès-Valence, commune du canton de Valence.

    Histoire

    Antiquité : les Gallo-romains

    Présence de « villas » gallo-romaines[12].

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    La seigneurie : au point de vue féodal, la terre est une possession des comtes de Valentinois, puis des Poitiers-Saint-Vallier[12].

    Avant le XVe siècle : le territoire de Saint-Marcel formait une paroisse distincte du diocèse de Valence et du mandement de Châteauneuf-d'Isère[11].

    Avant 1790 : Saint-Marcel-lès-Valence est une simple annexe de la paroisse du Bourg-lès-Valence, dont les dîmes appartenaient au chapitre du Bourg-lès-Valence, qui présentait à la cure[11].

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    La paroisse est rétablie après la Révolution et composée alors de parties des communes d'Alixan, de Bourg-lès-Valence, de Châteauneuf-d'Isère et de Valence[11].

    Cette paroisse est érigée en commune du canton de Valence le [11].

    • La commune de Saint-Marcel-lès-Valence est nĂ©e après vingt ans de procĂ©dure pour Ă©riger la paroisse de Saint-Marcel en commune, et une tentative de contestation des conseillers municipaux.
    • Par la très courte loi du , Saint-Marcel devient une commune par dĂ©tachement de portions des communes d’Alixan, Bourg-lès-Valence, Châteauneuf-sur-Isère et Valence. Elle est rattachĂ©e au canton de Valence[13].

    Le , le conseil municipal et les plus forts contribuables votent une imposition extraordinaire :

    • pour les dĂ©penses de toute nature occasionnĂ©es par la crĂ©ation sur la commune du hameau de Saint-Marcel-lès-Valence : 1 200 francs ;
    • pour les rĂ©parations urgentes de l’église (chapelle de Surel) : 400 francs[14] - .

    1850 : les Saint-Marcellois sont en majorité occupés à travailler la terre pour se nourrir. On produit des végétaux et on élève des animaux en priorité pour les besoins familiaux.

    1851 : le recensement indique le nombre de 1 350 habitants[13].

    1857 : le ministère de l'Intérieur autorise la constitution d’un corps de sapeurs-pompiers.

    1866 : 523 Saint-Marcellois sur un total de 1 226 habitants ne savent ni lire ni Ă©crire.

    À partir de 1922, les Saint-Marcellois peuvent se réunir et exercer leurs activités festives dans la chapelle de Surel, ancienne église Saint-Marcel-de-Javaisan, dont l'activité religieuse a été transférée vers la nouvelle église. Le lieu est remplacé en 1943 par les bâtiments de la mairie actuelle.

    1968 : la place du monument est créée. Elle permet d'édifier le nouveau monument aux morts, ainsi qu'une aire de jeux très appréciée par les boulistes.

    1979 : Noël Lambert, collectionneur de vieilles automobiles, décide de construire un musée pour les exposer, le musée de la Vieille Auto ; ce dernier ferme en 1987 par manque d'argent. Le site a aujourd'hui été complètement réaménagé.

    Politique et administration

    Administration municipale

    À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal se compose du maire, de sept adjoints et de vingt conseillers municipaux[15].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis 1850
    1850 1855 Jean-Louis Bouvier
    1855 1863 Laurent Morel
    1863 1868 Jean de Labareyre baron, général de brigade
    1868 1870 Jacques Barnaud
    1870 1871 Claude Eynard
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874 Ferdinand Ducros
    1874 1890 Laurent Morel
    1878 1884 Laurent Morel maire sortant
    1884 1888 Laurent Morel maire sortant
    1888 1890 Laurent Morel maire sortant
    1890
    (Ă©lection ?)
    1892 Benjamin Barnaud
    1892 1896 Joseph Rollet
    1896 1900 Joseph Rollet maire sortant
    1900 1904 Joseph Rollet maire sortant
    1904 1908 Joseph Rollet maire sortant
    1908 1912 Jules Bleton
    1912 1919 Jules Bleton maire sortant
    1919 1925 Henri Bard
    1925 1929 Henri Berne
    1929 1935 Henri Berne maire sortant
    1935 1942 Henri Berne maire sortant
    1942
    (Ă©lection ?)
    1945 Benjamin Chovet
    1945 1947 Frédéric Delaye
    1947 1953 Joseph Duc
    1953 1959 Fernand Courthial
    1959 1965 Jules Perreton
    1965 1971 Pierre Stevenin
    1971 1977 Pierre Stevenin maire sortant
    1977 1983 Pierre Stevenin maire sortant
    1983 1989 Roger Dietz
    1989 1995 Laurent Jullien
    1995 1996 Pierre Stevenin
    1996
    (Ă©lection ?)
    2001 Jacques Barnaud
    2001 2008 Dominique Quet instituteur
    2008 2014 Dominique Quet maire sortant
    2014 2020 Dominique Quet maire sortant
    2020 En cours
    (au 29 avril 2021)
    Jean-Michel Valla[15] arboriculteur

    Finances locales

    Finances locales de Saint-Marcel-lès-Valence de 2000 à 2018[16] (cliquez sur le lien wiki[17]).

    Jumelages

    • Halmeu (Roumanie) Ă  2000 km de la commune.
    • Ingoldigen (Allemagne) Ă  650 km de Saint-Marcel-lès-Valence.
    Chaque année, des familles et notamment des jeunes se retrouvent afin de partager des moments ensemble. Il existe en fait un jumelage adulte et un jumelage des jeunes. Le jumelage des jeunes a lieu fin août et dure une semaine. Une année sur deux les allemands sont reçus dans les familles françaises, l'année suivante les saint-marcellois sont accueillis à Ingoldigen. Il n'est pas nécessaire de parler allemand ou français pour participer à cet échange. Les activités changent régulièrement mais elles sont généralement articulées autour de l'art, des jeux et du sport comme moyen d'expression. Par exemple, les ateliers culinaires permettent le mélange des cultures des deux pays. Les ateliers d'arts plastiques que réalisent les enfants sensibilisent quant à eux aux enjeux environnementaux[18].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

    En 2020, la commune comptait 6 320 habitants[Note 3], en augmentation de 3,57 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    1 3501 3331 3051 2261 2331 1511 0661 0371 001
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    1 0051 0291 025982858940915929973
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
    1 0281 2561 4572 6523 3423 7194 1144 6724 762
    2012 2017 2020 - - - - - -
    5 7466 2366 320------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞtes : le et le deuxième dimanche de septembre[12].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : bourg de plaine agricole, céréales, vergers, vignes, caprins, porcins, volailles, pisciculture, coopératives agricole et céréalière[12].

    Industrie

    Une partie du parc technologique et scientifique Rovaltain est située au nord-est de la commune. Cette partie-ci du site est dénommée quartier de la Gare.

    Présence de plusieurs carrières[1].

    Recherche scientifique

    L'un des sites de l'INRA est installé sur la commune[12].
    Cette unitĂ© expĂ©rimentale de recherches intĂ©grĂ©es dĂ©veloppe des programmes sur les systèmes de production durable en arboriculture fruitière (fruits Ă  noyau et Ă  pĂ©pins) sur un domaine de 86 hectares. Dans les annĂ©es 1980 la station a Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  la contamination et l'extĂ©riorisation de la maladie de la sharka dans ses vergers.

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 33 551 â‚¬, ce qui plaçait Saint-Marcel-lès-Valence au 8 412e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole[22].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Laye[12].
    • Château (manoir) des Robins[12].
    • Château du Plovier construit Ă  partir de 1895 Ă  la place d'un autre (Louis XIII[12]) dĂ©truit Ă  la mĂŞme pĂ©riode.
    • Église Saint-Marcel de Saint-Marcel-lès-Valence du XIXe siècle[12].

    Patrimoine naturel

    Associations

    La Ligue pour la protection des oiseaux est installée au Domaine de Gotheron.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicole Algan : peintre et sculpteur abstrait français. Elle rĂ©alise en 1968 le monument aux morts de Saint-Marcel-lès-Valence ;

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason Blasonnement :
    Parti : au 1er de sable à la main bénissante d'argent en chef et posée en fasce, d'où partent cinq rayons d'or en éventail vers la pointe, au 2e de gueules à la croix d'argent chargée en cœur de cinq monts d'azur ordonnés en croix.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine, afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Valence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 347 (Saint-Marcel-lès-Valence).
    12. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Marcel-lès-Valence.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Archives départementales de la Drôme.
    15. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    16. « Villes du département de la Drôme », sur marielaure.monde.free.fr (consulté le ).
    17. « Pour Saint-Marcel-les-Valence wikicode », sur marielaure.monde.free.fr (consulté le ).
    18. « Jumelage – Ville de Saint Marcel les Valence », sur mairiesmlv.org (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010. Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
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