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Saint-MĂ©ry

Saint-Méry est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Saint-MĂ©ry
Saint-MĂ©ry
L'Ă©glise Saint-MĂ©ry, vue depuis l'ouest.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Françoise Kubiak
2020-2026
Code postal 77720
Code commune 77426
DĂ©mographie
Gentilé Médériciens
Population
municipale
332 hab. (2020 en diminution de 10,99 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 33 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 34′ 41″ nord, 2° 49′ 37″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 113 m
Superficie 9,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Saint-Méry dans le département de Seine-et-Marne

    La commune est situĂ©e Ă  environ 6,5 kilomètres au sud-ouest de Mormant.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Saint-Méry.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

    • la rivière l’Almont ou ru d'Ancoeuil, longue de 42,15 km[3], affluent de la Seine en rive droite ;
      • le ru de Bouisy, long de 11,66 km[4] ;
      • le ru d'Ancoeur ou ru de la PrĂ©e, 9,63 km[5], qui conflue avec l’Almont ;
        • le ru des Moines, 7,05[6], affluent du ru d'Ancoeur ;
    • le canal du Bois de Blandy, 1,67 km[7].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,05 km[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 725 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,3 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂ®tre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[11]. Cette Ă©volution peut ĂŞtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[12], oĂą la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15] - [16] - [17].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Méry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21] - [22].

    Lieux-dits, Ă©carts et quartiers

    La commune compte 62 voies[Note 4] dont 44 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[23].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1% ), forêts (28,9% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,1% ), zones agricoles hétérogènes (4,9% ), zones urbanisées (2,5% ), prairies (0,4 %)[24].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25] - [26] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 185 dont 88,6 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 11,4 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 78,9 % étaient des résidences principales, 5,4 % des résidences secondaires et 15,7 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,6 % contre 11,6 % de locataires[28] dont, 3,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,7 % logés gratuitement.

    Voies de communication et transports

    Le sentier de grande randonnée GR 1 fait une incursion sur le territoire de la commune.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes R. de Sancto Mederico en 1171[29] - [30]; Sanctus Merri en 1209[31] - [30] ; Sanctus Medericus vers 1250[32] - [30] ; Ecclesia de Sancto Mederico juxta Campellos en 1287[33] - [30] ; Saint Merry lez Champiaux en Brie en 1355[34] - [30] ; Saint Marry emprez Champeaulx en 1384[35] - [30] ; Saint Marry en 1446[36] - [30] ; Saint Marri en Brie en 1496[37] - [30] ; Le fief et seigneurie de Saint Mederic, autrement dit Saint Merry en 1564[38] - [30] ; Saint Mery en Brie en 1598[39] - [30].

    La commune a été édifiée à partir d'une chapelle dédiée Saint Méry (Médéric)[40].

    Histoire

    Vers la fin du VIIe siècle, saint Médéric, abbé de Saint-Martin d'Autun, partit en pèlerinage sur les tombeaux de saint Denis et saint Germain, à Paris, en compagnie d'un jeune moine du nom de Frodulphe. La route fut longue car l'abbé, vieillissant et fatigué, dut souvent s'arrêter pour prendre du repos. C'est ainsi que Médéric et Frodulphe firent halte en un endroit désert à proximité de Paris, où fut ensuite élevée une chapelle en souvenir de l'abbé pèlerin, dont la charité, la piété et les miracles avaient frappé les populations. Bientôt quelques maisons vinrent se grouper autour de l'édifice placé sous le vocable de Saint-Médéric dit Saint-Merry, Saint-Merri ou encore Saint-Méry[40].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 ? Liliane Glikson
    mars 2001 2014 Jacky Blondelot informaticien
    2014 En cours Françoise Kubiak
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41] - [42].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Saint-Méry est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [43] - [44] - [45].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43] - [47].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [43] - [48].

    Population et société

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

    En 2020, la commune comptait 332 habitants[Note 8], en diminution de 10,99 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    530550499573586554559555569
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    559535523471446427450455408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    413335326305302292209262259
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    282255236278302366386389372
    2017 2020 - - - - - - -
    344332-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee Ă  partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 143, reprĂ©sentant 340 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 26 730 euros[53].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 79, occupant 182 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  78,3 % contre un taux de chĂ´mage de 3,5 %. Les 18,3 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 8,3 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 5,2 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 4,8 % pour les autres inactifs[54].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 13 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 1 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[55].

    En 2019, une entreprise individuelle a été créée sur le territoire de la commune.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[56].

    Agriculture

    Saint-Méry est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[57].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂŞte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[58]. Cette tendance n'est pas confirmĂ©e au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 113 ha en 1988 Ă  121 ha en 2010[57]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Saint-MĂ©ry, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Saint-Méry entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[57] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 4 5 4
    Travail (UTA) 12 6 7
    Surface agricole utilisée (ha) 451 468 484
    Cultures[59]
    Terres labourables (ha) 445 464 484
    Céréales (ha) 330 308 306
    dont blé tendre (ha) 216 184 216
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 81 53 41
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) s s s
    Élevage[57]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 46 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Bernard Delhom 1885-1996 doyen des français y est enterré

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. 47 annulations en 1991 et 2000 (importante restructuration).
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Saint-Méry - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Communes limitrophes de Saint-Méry » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Saint-Méry » sur Géoportail..
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Almont (F44-0400) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bouisy (F6614000) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Prée (F4455000) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Moines (F4455600) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 du Bois de Blandy (F4465202) ».
    8. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 11 septembre 2019
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Méry et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    14. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Méry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Méry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Méry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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    29. Bibl. nat., ms. latin 10942, fol. 8 v°.
    30. STEIN (H.) HUBERT (J.) Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne (1954), p. 507.
    31. Archives nationales, LL 1026, fol. 209.
    32. Cartulaire Tiron, II, 154.
    33. Bibl. nat., ms. latin 10942, fol. 49 v°.
    34. Archives nationales, S 204, fol. 34.
    35. Archives nationales, P 131, fol. 36 v°.
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    38. Archives nationales, P 17, n° 176.
    39. Archives nationales, P 9, n° 288.
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    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    53. Statistiques officielles de l'Insee, section Revenus et pauvreté des ménages, consulté le 23 août 2020
    54. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 16 février 2021
    55. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 16 février 2021
    56. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consultée le 16 février 2021
    57. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Méry. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    58. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    59. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Méry. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    60. Notice no PA00087273, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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