Saint-MĂ©ry
Saint-Méry est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Saint-MĂ©ry | |||||
L'Ă©glise Saint-MĂ©ry, vue depuis l'ouest. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Melun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux | ||||
Maire Mandat |
Françoise Kubiak 2020-2026 |
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Code postal | 77720 | ||||
Code commune | 77426 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Médériciens | ||||
Population municipale |
332 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 48° 34′ 41″ nord, 2° 49′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 73 m Max. 113 m |
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Superficie | 9,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Nangis | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est située à environ 6,5 kilomètres au sud-ouest de Mormant.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :
- la rivière l’Almont ou ru d'Ancoeuil, longue de 42,15 km[3], affluent de la Seine en rive droite ;
- le canal du Bois de Blandy, 1,67 km[7].
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,05 km[8].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] à 11,6 °C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15] - [16] - [17].
Urbanisme
Typologie
Saint-Méry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21] - [22].
Lieux-dits, Ă©carts et quartiers
La commune compte 62 voies[Note 4] dont 44 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1% ), forêts (28,9% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,1% ), zones agricoles hétérogènes (4,9% ), zones urbanisées (2,5% ), prairies (0,4 %)[24].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25] - [26] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 185 dont 88,6 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 11,4 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 78,9 % étaient des résidences principales, 5,4 % des résidences secondaires et 15,7 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,6 % contre 11,6 % de locataires[28] dont, 3,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,7 % logés gratuitement.
Voies de communication et transports
Le sentier de grande randonnée GR 1 fait une incursion sur le territoire de la commune.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes R. de Sancto Mederico en 1171[29] - [30]; Sanctus Merri en 1209[31] - [30] ; Sanctus Medericus vers 1250[32] - [30] ; Ecclesia de Sancto Mederico juxta Campellos en 1287[33] - [30] ; Saint Merry lez Champiaux en Brie en 1355[34] - [30] ; Saint Marry emprez Champeaulx en 1384[35] - [30] ; Saint Marry en 1446[36] - [30] ; Saint Marri en Brie en 1496[37] - [30] ; Le fief et seigneurie de Saint Mederic, autrement dit Saint Merry en 1564[38] - [30] ; Saint Mery en Brie en 1598[39] - [30].
La commune a été édifiée à partir d'une chapelle dédiée Saint Méry (Médéric)[40].
Histoire
Vers la fin du VIIe siècle, saint Médéric, abbé de Saint-Martin d'Autun, partit en pèlerinage sur les tombeaux de saint Denis et saint Germain, à Paris, en compagnie d'un jeune moine du nom de Frodulphe. La route fut longue car l'abbé, vieillissant et fatigué, dut souvent s'arrêter pour prendre du repos. C'est ainsi que Médéric et Frodulphe firent halte en un endroit désert à proximité de Paris, où fut ensuite élevée une chapelle en souvenir de l'abbé pèlerin, dont la charité, la piété et les miracles avaient frappé les populations. Bientôt quelques maisons vinrent se grouper autour de l'édifice placé sous le vocable de Saint-Médéric dit Saint-Merry, Saint-Merri ou encore Saint-Méry[40].
Politique et administration
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41] - [42].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Saint-Méry est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [43] - [44] - [45].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43] - [47].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [43] - [48].
Population et société
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].
En 2020, la commune comptait 332 habitants[Note 8], en diminution de 10,99 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 143, représentant 340 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 730 euros[53].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 79, occupant 182 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,3 % contre un taux de chômage de 3,5 %. Les 18,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,2 % de retraités ou préretraités et 4,8 % pour les autres inactifs[54].
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 13 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 1 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[55].
En 2019, une entreprise individuelle a été créée sur le territoire de la commune.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[56].
Agriculture
Saint-Méry est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[57].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[58]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 113 ha en 1988 à 121 ha en 2010[57]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Méry, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[57] - [Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 4 | 5 | 4 |
Travail (UTA) | 12 | 6 | 7 |
Surface agricole utilisée (ha) | 451 | 468 | 484 |
Cultures[59] | |||
Terres labourables (ha) | 445 | 464 | 484 |
Céréales (ha) | 330 | 308 | 306 |
dont blé tendre (ha) | 216 | 184 | 216 |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 81 | 53 | 41 |
Tournesol (ha) | s | ||
Colza et navette (ha) | s | s | s |
Élevage[57] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 46 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Méry (inscrite monument historique par arrêté du [60]).
- Lavoir couvert sur la rue de la Prée, près de la RD 57.
- Prieuré de Notre-Dame de Roiblay.
- Château de Saint-Méry
Personnalités liées à la commune
Bernard Delhom 1885-1996 doyen des français y est enterré
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Carte de la commune de Saint-Méry en 1888, canton de Mormant par Daras, instituteur à Saint-Méry. Tiré des Monographies communales de Seine-et-Marne sur le site des Archives Départementales de Seine-et-Marne.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- 47 annulations en 1991 et 2000 (importante restructuration).
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Saint-Méry - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
- « Communes limitrophes de Saint-Méry » sur Géoportail..
- « Communes limitrophes de Saint-Méry » sur Géoportail..
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Almont (F44-0400) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bouisy (F6614000) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Prée (F4455000) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Moines (F4455600) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 du Bois de Blandy (F4465202) ».
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 11 septembre 2019
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- Archives nationales, X2a 61.
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- Vita S. Mederici - Jacques-Gabriel Bulliot, Essai historique de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, chap. V, p. 83.
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- Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 16 février 2021
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 16 février 2021
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consultée le 16 février 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Méry. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
- « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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- Notice no PA00087273, base Mérimée, ministère français de la Culture.