Saint-Bonnet-de-Bellac
Saint-Bonnet-de-Bellac (Sent Bonèt de Belac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Bonnet-de-Bellac | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Bellac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haut Limousin en Marche | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Boulle 2020-2026 |
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Code postal | 87300 | ||||
Code commune | 87139 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
453 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 10′ 10″ nord, 0° 57′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 148 m Max. 271 m |
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Superficie | 34,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bellac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bellac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-saint-bonnet-de-bellac.com/ | ||||
Géographie
Communes limitrophes
Hydrographie
Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe. Le ruisseau de Sagne coule au sud-est de la commune. Le ruisseau de la Planche de Saint-Bonnet-de-Bellac s'écoule à l'entrée du village, sous un pont de la nationale et se jette dans la Gartempe, à côté du moulin du Breuil.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bellac », sur la commune de Bellac, mise en service en 1996[8] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 922,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Bonnet-de-Bellac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bellac, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,3 %), forêts (16,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), terres arables (1,4 %), zones urbanisées (0,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Bonnet-de-Bellac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isop, la Franche Doire et la Gartempe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999[23] - [21]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vincou/Gartempe », approuvé le [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 11,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [26].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval du barrage de Saint-Pardoux, un ouvrage de classe A[Note 9] présentant une hauteur d’eau maximale de 56,7 m et une capacité totale de retenue de 57,8 millions de m3. Le PPI a été approuvé le . À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Bonnet-de-Bellac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2020, la commune comptait 453 habitants[Note 10], en diminution de 10,3 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Château de Bagnac
Le château actuel a été bâti par le marquis (Antony 1826-1892) et la marquise de Saint-Martin de Bagnac (fervents royalistes légitimistes) sur l'emplacement de l'ancien château du XVe siècle détruit pendant les guerres de religion, où naquit Pierre de Bagnac en 1330, grand cardinal qui fut célébré à Rome. La seule partie du château datant du XIVe siècle est la grosse tour d'angle, coiffée d'une toiture à très forte pente, lors de la reconstruction du château. Ce château fut reconstruit entièrement, alors que l’intention initiale du marquis et de la marquise n'était que de le restaurer. Cependant, après 1875, ce qui semblait être une restauration est devenu une reconstruction. les Bagnac engloutirent des sommes folles dans ce chantier, qui dura plus de 25 ans.
Ayant débuté en 1858, les travaux du château ont été interrompus pendant la guerre de 1870, avant de reprendre en 1875. Tous les plans, dessins de boiseries, ferronneries, sculptures sur pierre ont été réalisés par le marquis et la marquise en personne sur des plans inspirés de Viollet-le-Duc mais non dessinés personnellement par l'architecte. Le château est de style néogothique. Cet édifice fut construit pour réaffirmer une identité, la présence d'un passé glorieux mis à mal par la Révolution. Les époux sachant qu'ils n'auraient pas d'enfants, avaient décidé de léguer ce château au « comte de Chambord », prétendant au trône de France. Celui-ci étant mort trop tôt, le château échut au baron Guy de Salvaing de Boissieu. En 1911, un commandant Laugaudin le mentionne comme résidence dans un almanach de l'époque. Il est en fait le locataire du baron de Boissieu, héritier du château après la mort de la marquise Élise de Préaulx de Bagnac en 1902.
À l'intérieur, on peut remarquer deux très belles cheminées édifiées à partir de miniatures en terre cuite réalisées par la marquise vers 1880 :
- l'une dans le "grand salon", sculptée en pierre blanche représente saint Martin offrant la moitié de son manteau à un malheureux.
Au-dessus de ce salon, le marquis et la marquise avaient prévu une chambre destinée au « comte de Chambord ». Un balcon donnait depuis sa chambre dans la chapelle afin qu'il puisse assister à la messe, mais le « comte de Chambord » ne vint jamais à Bagnac.
- la deuxième, située dans la salle dite de billard représente le combat de Lussac-les-Châteaux, 1369, où le chevalier de Saint-Martin, ancêtre des Bagnac tua de sa main le célèbre général anglais Jean Chandos. Ce sujet en pierre blanche, relevé par des colonnes, traverses, encadrement de granit admirablement sculpté donne à cette cheminée un aspect grandiose et monumental.
Dans le château, on peut aussi voir la chapelle (construite sur le modèle de la Sainte-Chapelle) qui était surmontée d'une flèche. Cette chapelle est dédiée au Sacré-Cœur, à Notre-Dame des sept Douleurs et bien sûr à saint Martin de Tours dont on peut par chance encore observer le patronage sur un vitrail resté par miracle intact. Au-dessus de cette chapelle se trouvait une salle des archives voutée comme la chapelle. En plus de la chapelle, on peut observer la plus haute tour du château dite "la guette". On raconte que depuis son sommet, on peut voir Bellac (hypothèse non vérifiée à ce jour, les escaliers permettant de la gravir ayant été détruits par souci de prudence). Cette tour dit-on fut construite si haute pour que le jour de la restauration d'un roi sur le trône de France, le drapeau blanc puisse être hissé le plus haut possible dans le ciel. Enfin, on peut observer un magnifique escalier (situé derrière la plus grosse tour qui est aussi le donjon primitif de l'ancien château) dont la voûte s'effrite peu à peu sous l'effet du temps. Enfin, nous noterons que le paysagiste du jardin du château de Bagnac était le célèbre comte de Choulot, qui réalisa aussi dans la région les jardins de M. Leplay au château du Vigen. Le jardin de Bagnac a disparu, lui aussi.
Pourtant inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le , ce château abandonné depuis 1949, après avoir été totalement dépouillé de son mobilier, continue peu à peu de se dégrader.
Ce château unique en son genre en Limousin est un authentique chef-d'œuvre en péril dont la lente destruction doit être arrêtée dès maintenant sinon les dégâts déjà épouvantables deviendront à jamais irréversibles.
Autres faits honteux : le pillage des pierres, des boiseries et des sculptures par des visiteurs malhonnêtes, ainsi que les jets de pierres sur les vitraux.
Autres éléments
- La fuie (sorte de petit colombier ou pigeonnier) du château de Bagnac situé un peu plus bas dans le champ. Recensé dans l'inventaire de 1747, il a donc plus de 250 ans. Aujourd'hui, il est à l'abandon comme le château.
- La chapelle des Saint-Martin de Bagnac dans le cimetière de Saint-Bonnet-de-Bellac. Particularité : de style néo-roman, elle est l'une des plus grandes appartenant à une famille en Haute-Vienne. De plus, l'entrée de cette chapelle est orientée vers le château de Bagnac.
- Le château de Montagrier.
Une centrale d'éoliennes de six machines de 200 m de haut est en fonction depuis 2019. En partie elle est située sur la commune de Saint-Martial-sur-Isop.
Personnalités liées à la commune
- Pierre de Bagnac (ou Banhack), cardinal de Montmajour, cardinal ;
- Joseph Chérade de Montbron, comte de Montbron (1768-1854), homme politique et écrivain ;
- Le baron Guy de Salvaing de Boissieu, (1871-1954), officier et député ;
- Théodore Lavignère, homme politique.
Bibliographie
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sur Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bellac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur www.haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.