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Sabazan

Sabazan (Sabasan en gascon) est une commune française située dans l'ouest du département du Gers en région d'Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Basse, un territoire qui s’allonge dans la moyenne vallée de l’Adour, à l’endroit où le fleuve marque un coude entre Bigorre et Gers.

Sabazan
Sabazan
Mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Armagnac Adour
Maire
Mandat
Corinne Pailhas
2020-2026
Code postal 32290
Code commune 32354
Démographie
Population
municipale
134 hab. (2020 en augmentation de 3,08 % par rapport à 2014)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 21″ nord, 0° 02′ 53″ est
Altitude 160 m
Min. 102 m
Max. 210 m
Superficie 8,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Adour-Gersoise
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sabazan
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Sabazan

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Petit Midour, le ruisseau de Saint-Aubin et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Sabazan est une commune rurale qui compte 134 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 423 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Sabazanais ou Sabazanaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1979.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Aignan, Bétous, Bouzon-Gellenave et Loubédat.

    Communes limitrophes de Sabazan[1]
    Loubédat
    Bétous Sabazan Aignan
    Bouzon-Gellenave

    Géologie et relief

    Sabazan se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Sabazan.

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Petit Midour, le ruisseau de Saint-Aubin, le ruisseau d'Arraté, le ruisseau de Candaou, le ruisseau de la coume grande, le ruisseau de la Rochelle, le ruisseau de Las Courrèges, le ruisseau de Payssé, le ruisseau du Plan, le ruisseau du Pont du Loup et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    Le Petit Midour, d'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Gazax-et-Baccarisse et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Midouze à Bétous, après avoir traversé 12 communes[5].

    Le ruisseau de Saint-Aubin, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Midouze à Caupenne-d'Armagnac, après avoir traversé 7 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 879 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lupiac », sur la commune de Lupiac, mise en service en 1984[12] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[13] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 852,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 44 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[16] à 13,5 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[18] : le « lac et bois d'Aignan » (310 ha), couvrant 3 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [18] : le « réseau hydrographique du Midou et milieux annexes » (6 344 ha), couvrant 43 communes dont 37 dans le Gers et six dans les Landes[20].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Sabazan.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Sabazan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 1] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (27,2 %), terres arables (23,1 %), cultures permanentes (21,3 %), forêts (15,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sabazan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sabazan.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 79 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 77 sont en en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Histoire

    L'histoire[28] de Sabazan commence avant le XIIe siècle. Le premier personnage connu au milieu du XIIe siècle est Raymond-Guillaume de Sabazan, seigneur de Sabazan et co-seigneur de Montesquiou. Il abandonne ses biens au chapitre de la cathédrale d'Auch d'après le cartulaire d'Auch. Sabazan est alors le siège d'un archiprêtré. L'église archipresbytérale de Sabazan devient alors l'église-mère pour douze paroisses et leurs annexes.

    En 1649, l'archevêque d'Auch, Dominique de Vic, érigea en archiprêtré l'église d'Aignan en enlevant six paroisses à celui de Sabazan (Aignan, Lupiac, Séailles, Meymes, Aubezies et Castelnavet).

    Parmi les seigneurs de Sabazan figurent de nombreux membres de la famille de Montesquiou.

    Le roi Henri IV a été seigneur de Sabazan en tant que comte d'Armagnac par héritage et après avoir confisqué la seigneurie de Sabazan en 1595.

    On cite, pour le , l'enterrement de Jeanne Darrieux, enfant de cinq ans, fille de cagots. Elle est ensevelie dans le cimetière nouveau, proche de celui de la paroisse. Un arrêt du parlement de Toulouse pris en 1700 avait cité la présence de cinq cagots dans la paroisse de Sabazan.

    Le site seigneurial était protégé par trois fossés, à l'est, à l'ouest et au midi. La tour et l'église se trouvaient au nord. Ce site a été abandonné quand le château a été transformé au XVIe siècle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1793 Guillaume Campistron
    1793 1796 Joseph Dufau
    1796 1798 Frix Bagneris
    1798 1799 Joseph Dufau
    1799 1800 Arnaud Ladouez
    1800 1802 Antoine Barrere
    1802 1812 Arnaud Ladouez
    1812 1816 Barthélémy Cazaubon
    1816 1832 Pierre Seris
    1832 1848 Eugène Lamarque
    1848 1855 Jean Baptiste Cazaubon
    1855 1865 Jacques Duffaur
    1865 1870 Jean Baptiste Cazaubon
    1870 1871 Joseph Duffaur
    1871 1896 Ambroise Rolland
    1896 1900 Alexandre Cazaubon
    1900 1920 Joseph Duffaur
    1920 1935 Albert Cazaubon
    1935 1947 Olivier Sempe
    1947 1959 Raoul Darrieux
    1959 1977 Louis Duffer
    1977 1995 Pierre Duffer
    1995 2001 Michel Cazaubon
    mars 2001 2008 Jean-Louis Richard
    2008 2020 Jean-Pierre Ducasse[30] DVG Retraité Fonction publique
    2020 En cours Corinne Pailhas

    Démographie

    La population du village a été beaucoup plus importante qu'actuellement. Quand Sabazan était un archiprêtré, le village avait cinq fois plus d'habitants qu'actuellement. En 1851, il y avait encore 429 habitants.


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 134 habitants[Note 7], en augmentation de 3,08 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    332339367380389396414423407
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    394381375367407405404321284
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    261238260230208205201194163
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    147131142151135141130135134
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]2,4 %3,7 %6,8 %
    Département[I 5]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 75 personnes, parmi lesquelles on compte 87,8 % d'actifs (81,1 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 12,2 % d'inactifs[Note 8] - [I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 28 emplois en 2018, contre 16 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 64, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,1 %[I 8].

    Sur ces 64 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 93,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 6,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    13 établissements[Note 9] sont implantés à Sabazan au [I 11]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 13 entreprises implantées à Sabazan), contre 12,3 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations2016109
    SAU[Note 10] (ha)576570481450

    La commune est dans le Bas-Armagnac, une petite région agricole occupant une partie ouest du département du Gers[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 450 ha[37] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Jean-Baptiste

    L'église doit dater de la fondation du village, soit fin XIe siècle, début XIIe siècle[38]. Elle est bâtie sur une motte castrale dont on distingue encore la trace des fossés. La tour-clocher avec ses hourds à colombage lui a été adossé ultérieurement. L'édifice avec ses puissants contreforts possède un chevet très élevé, ceint d'une corniche à damiers. Une corniche semblable, soutenue par des modillons sculptés, se trouve sur le porche dont le portail s'orne d'un chrisme. Le chrisme représente le monogramme de Jésus-Christ et est un élément décoratif très répandu dans le Gers.

    À l'intérieur, le chevet a conservé sa voûte en cul de four. La chaire, superbe, possède de beaux panneaux sculptés.

    L'édifice est répertorier à l'Inventaire général Région Midi-Pyrénées depuis 2013[38].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Sabazan » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sabazan » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sabazan » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Sabazan » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Sabazan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « le Petit Midour »
    6. Sandre, « le ruisseau de Saint-Aubin »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Lupiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Sabazan et Lupiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Lupiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Sabazan et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sabazan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « lac et bois d'Aignan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du Midou et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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