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Roujan

Roujan [ʁu.ʒɑ̃] (en occitan Rojan [ru.'dÍĄÊ’an]) est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.

Roujan
Roujan
La mairie de Roujan.
Blason de Roujan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement BĂ©ziers
Intercommunalité Communauté de communes Les Avant-Monts
Maire
Mandat
Jean Blanquefort
2020-2026
Code postal 34320
Code commune 34237
DĂ©mographie
Population
municipale
2 223 hab. (2020 en augmentation de 9,35 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 131 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 30â€Č 20″ nord, 3° 18â€Č 41″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 246 m
Superficie 17,02 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Roujan
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Cazouls-lĂšs-BĂ©ziers
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Roujan

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Peyne et par divers autres petits cours d'eau. Ses habitants sont appelés les Roujanais.

    Roujan est une commune rurale qui compte 2 223 habitants en 2020. Elle est dans l'unitĂ© urbaine de Roujan. Ses habitants sont appelĂ©s les Roujanais ou Roujanaises.

    GĂ©ographie

    Carte

    SituĂ© Ă  Ă©gale distance de la mer MĂ©diterranĂ©e et des montagnes (CĂ©vennes), Roujan est situĂ© sur une petite colline au fond de la plaine hĂ©raultaise Ă  10 km de PĂ©zenas et 20 km de BĂ©ziers. Les alentours proches de Roujan sont constituĂ©s de collines recouvertes par une dense garrigue.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Roujan
    Vailhan NeffiĂšs
    Gabian Roujan Caux
    Pouzolles Margon Alignan-du-Vent

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 14,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 715 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pezenas-Tourbes », sur la commune de Tourbes, mise en service en 1993[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 631,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă  33 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Roujan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17].

    Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Roujan, une unitĂ© urbaine monocommunale[I 2] de 2 158 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[I 3] - [I 4].

    La commune est en outre hors attraction des villes[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (77,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (69,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (13,9 %), zones urbanisĂ©es (6,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,6 %), forĂȘts (4,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Roujan est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].

    Risques naturels

    Roujan est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 5] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Roujan.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 81,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 186 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 177 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 99 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1996, 2003, 2011 et 2019.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[24].

    La commune est en outre situĂ©e en aval du Barrage des Olivettes, un ouvrage de classe A[Note 6] sur la Peyne, mis en service en 1988 et disposant d'une retenue de 4,4 millions de mĂštres cubes. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d'un de ces ouvrages[26].

    Risque particulier

    L’étude Scanning de GĂ©odĂ©ris rĂ©alisĂ©e en 2008 a Ă©tabli pour le dĂ©partement de l’HĂ©rault une identification rapide des zones de risques miniers liĂ©s Ă  l’instabilitĂ© des terrains[27]. Elle a Ă©tĂ© complĂ©tĂ©e en 2015 par une Ă©tude approfondie sur les anciennes exploitations miniĂšres du bassin houiller de Graissessac et du district polymĂ©tallique de Villecelle. La commune est ainsi concernĂ©e par le risque minier, principalement liĂ© Ă  l’évolution des cavitĂ©s souterraines laissĂ©es Ă  l’abandon et sans entretien aprĂšs l’exploitation des mines[28].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Roujan est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[29].

    Toponymie

    Domaine gallo-romain : gentilice latin Roius + suffixe -anum[30] Sources : Royani (893, Histoire générale du Languedoc, V, c.7); castelli de Royano (vers 1059, Histoire générale du Languedoc, V, c.496); ecclesiae S. Laurentii de Rojano ; castro de Rojano (1147, cartulaire d'Agde, p. 301); ecclesiae S. Laurentii de Roiano (1152, cartulaire d'Agde, p. 37); etc.

    Histoire

    Le village Ă©tait Ă  ses dĂ©buts Â« un castrum », un camp fortifiĂ©, occupĂ© par les Romains. Son plan de ville en circulade en tĂ©moigne. OrganisĂ© autour d’un noyau, les murs des maisons tournĂ©es vers l’extĂ©rieur du village constituent les remparts. Le dispositif offrait l’avantage par l’absence d’angle mort de pouvoir ĂȘtre mieux dĂ©fendu en cas d’attaque. Aujourd'hui, trois des quatre portes d’accĂšs au castrum sont encore visibles et tĂ©moignent du passĂ© du village.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 1945 Gonzague Mas
    1945 1947 Marin Mahuziés
    1947 1957 LĂ©on Nespoulous
    1957 1965 LĂ©on Granier
    1965 mars 1977 Louis Ricciardi
    mars 1977 juin 1995 André Viguier PCF
    juin 1995 Jacques Huc DVG Retraité de l'enseignement
    2020 En cours Jean Blanquefort
    Les données manquantes sont à compléter.
    Église Saint-Laurent

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 2 223 habitants[Note 7], en augmentation de 9,35 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0111 1691 2441 4401 4201 5991 6271 6641 740
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7931 9001 8791 9092 0111 9531 7041 7861 921
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0401 9971 9321 9811 9221 8871 7321 6101 632
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 4611 4811 3791 4091 3661 4861 8521 9232 122
    2020 - - - - - - - -
    2 223--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 063 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 2 246 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 810 â‚Ź[I 7] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]). 40 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 9] (45,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]9,9 %12,5 %13,7 %
    DĂ©partement[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 218 personnes, parmi lesquelles on compte 73,4 % d'actifs (59,7 % ayant un emploi et 13,7 % de chĂŽmeurs) et 26,6 % d'inactifs[Note 10] - [I 9]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement en 2008.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 607 emplois en 2018, contre 474 en 2013 et 403 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 747, soit un indicateur de concentration d'emploi de 81,2 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 49,5 %[I 13].

    Sur ces 747 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 295 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 77,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 10,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    236 établissements[Note 11] sont implantés à Roujan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble236100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    177,2 %(6,7 %)
    Construction4519,1 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    6527,5 %(28 %)
    Information et communication93,8 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance73 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres114,7 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    3012,7 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3414,4 %(14,2 %)
    Autres activités de services187,6 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,5 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (65 sur les 236 entreprises implantĂ©es Ă  Roujan), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35] :

    • Bordes Distribution, hypermarchĂ©s (31 533 k€)
    • SA Maison Bordes, gestion de fonds (711 k€)
    • Artaxa Immo, agences immobiliĂšres (672 k€)
    • Maison Calas, commerce de dĂ©tail alimentaire sur Ă©ventaires et marchĂ©s (551 k€)
    • Mil Jardins Et Piscines, travaux de maçonnerie gĂ©nĂ©rale et gros Ɠuvre de bĂątiment (220 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations2181086648
    SAU[Note 14] (ha)1 119897537816

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 218 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] Ă  108 en 2000 puis Ă  66 en 2010[38] et enfin Ă  48 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 78 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[39] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1119 ha en 1988 Ă  816 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 5 Ă  17 ha[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Grand Café : carte postale (1Úre moitié du XXe siÚcle).
    • Église Saint-Laurent, inscrite au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [41]. Plusieurs objets sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la base Palissy (voir les notices liĂ©es)[41]. Église d’architecture gothique mĂ©ridionale. Reconstruite au dĂ©but du XIIIe siĂšcle lorsqu'elle devient propriĂ©tĂ© du prieurĂ© de Cassan. On remarquera facilement le portail monumental situĂ© Ă  l’ouest du bĂątiment qui fut murĂ© au XVIIIe siĂšcle, et le grand clocher carrĂ© situĂ© sur son cĂŽtĂ© sud.
    • Chapelle Saint-Nazaire de Roujan, prĂ©-romane, classĂ© au titre des monuments historiques depuis le [42]. Plusieurs objets sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la base Palissy (voir les notices liĂ©es)[42].

    Animal totémique

    L'animal totémique de Roujan est le hérisson.

    La lĂ©gende raconte que Sainte Marthe, partie Ă  la poursuite de la Tarasque qui semait la terreur dans la Basse-VallĂ©e du RhĂŽne, leva une armĂ©e de hĂ©rissons pour combattre le monstre et protĂ©ger le village. Mais la Tarasque ne vint pas et les hĂ©rissons furent autorisĂ©s Ă  rentrer dans leurs quartiers. Seul l'un d'entre eux dĂ©cida de rester au village oĂč il fut nourri et choyĂ© par les habitants qui en firent leur animal fĂ©tiche.

    Si l'Ă©popĂ©e de sainte Marthe contre la Tarasque se situe dans les annĂ©es 48 Ă  68 du dĂ©but de notre Ăšre, il semble que l'origine de la lĂ©gende de Roujan soit plus tardive. Elle semble ĂȘtre issue d'un Ă©vĂšnement survenu au Moyen Âge dont voici l'histoire : autour de l'an mil, le consul de Roujan avait offert le couvert et le logis Ă  un Ă©tranger qu'il avait rencontrĂ© sur les bords du ruisseau de l’Oum. Or il s'avĂ©ra que cet Ă©tranger n'Ă©tait qu'un espion Ă  la solde de pillards qui Ă©cumaient la rĂ©gion. Plus tard, le seigneur de Roujan narrait cette histoire en occitan. Et disait « A romegat e me soi levat ! ». Ce que les Roujanais interprĂ©tĂšrent comme Ă©tant une rĂ©fĂ©rence au hĂ©risson, qui avait criĂ© quand l'homme l'avait Ă©crasĂ©. Depuis, l'animal totĂ©mique de Roujan porte le nom de "Romegaire" ([rrume'ÉŁajre], c'est-Ă -dire celui qui rouspĂšte).

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Roujan se blasonnent ainsi :

    De sinople au pairle losangé d'argent et de sable.

    Personnalités liées à la commune

    • Damien Blanquefort, vice-champion de France 2010 de sport Ă©lectronique sur le jeu vidĂ©o Team Fortress 2, natif du village.
    • Jules Roucairol
    • JĂ©rĂŽme Carnus officier public et ministĂ©riel de 1792-1808
    StĂšle Ă  la mĂ©moire de Jules Roucairol † 16/12/1851, victime du coup d'État de NapolĂ©on III
    • MirĂšio Doryan, poĂ©tesse (Roujan 1901 - Paris 1989). Pseudonyme de Germaine Maestre-DrilhĂ©, poĂ©tesse primĂ©e cinq fois pas l'AcadĂ©mie Française. Une rue de la commune porte son nom[43] - [44].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    6. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[25].
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
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    Autres sources

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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Michel-Edouard Bellet, La justice de paix dans le canton de Roujan Ă  la fin du XVIIIe siĂšcle, dans Etudes HĂ©raultaises n° 56, 2021, p. 165-178
    • Alfred Crouzat, Histoire de la ville de Roujan et du prieurĂ© de Cassan : suivie d'une notice sur les diverses communes du canton, BĂ©ziers, Vve Millet, , 284 p.
    • Michel DhĂ©nin et Christian Landes, « Le trĂ©sor de Roujan (VIe siĂšcle) », Études hĂ©raultaises, Montpellier, Impr. centrale du Midi-Hamelin frĂšres, nos 26-27,‎ , p. 11-14 (lire en ligne)
    • Albert Fabre et Paul de Rouville, Roujan et les communes du canton : Fos - Fouzilhon - Gabian - Magalas - Margon - Montesquieu - NeffiĂšs - Pouzolles - Roquessels - Vailhan, coll. « Histoire des communes de l'HĂ©rault » (no XXVI), 32 p. (lire en ligne)
    • Mission Archives 34, Archives modernes de la commune de Roujan : rĂ©pertoire numĂ©rique dĂ©taillĂ© (1790-1985), Montpellier, Mission Archives 34, , 82 p.
    • Katia Turrel et Serge Sotos, « Premiers rĂ©sultats de la fouille partielle du cimetiĂšre mĂ©diĂ©val du prieurĂ© de Cassan (Roujan - HĂ©rault) », Études hĂ©raultaises, Montpellier, Association Études sur l'HĂ©rault, no 43,‎ , p. 5-16

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    Articles connexes

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