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Requin nez noir

Carcharhinus acronotus

Le Requin nez noir (Carcharhinus acronotus) est une espèce de requins appartenant Ă  la famille des Carcharhinidae. Il est commun dans les eaux tropicales et subtropicales de l'Ouest de l'ocĂ©an Atlantique. Cette espèce vit gĂ©nĂ©ralement dans les eaux cĂ´tières dans les herbiers marins et les habitats de sable et de graviers, les adultes prĂ©fĂ©rant des eaux plus profondes que les jeunes. Ce requin mesure gĂ©nĂ©ralement au moins 1,3 m de long. Il a une forme Ă©lancĂ©e avec un long museau arrondi, de grands yeux et une première nageoire dorsale courte. Son nom commun provient de la marque noire visible Ă  l'extrĂ©mitĂ© de son museau, bien qu'elle soit parfois difficile Ă  distinguer chez les individus les plus âgĂ©s.

Le Requin nez noir se nourrit principalement de petits poissons et céphalopodes, et est lui-même une proie pour des requins plus imposants. Comme les autres membres de sa famille, il est vivipare et l'embryon se développe grâce à une alimentation assurée par une connexion au placenta. La femelle donne naissance à trois à six jeunes à la fin du printemps ou au début de l'été, tous les ans ou tous les deux ans, après une période de gestation qui dure entre huit et onze mois. Cette espèce n'est pas connue pour attaquer l'Homme. Elle a une importance mineure pour la pêche commerciale et la pêche sportive. L'Union internationale pour la conservation de la nature l'a classée comme étant « quasi-menacée ». En 2009, la National Oceanic and Atmospheric Administration des États-Unis déclare que les populations de Requins nez noir vivant au large des côtes du pays sont victimes de la surpêche, et propose de nouvelles mesures de protection.

Description

Le Requin nez noir a un corps élancé, un long museau et une première nageoire dorsale et des nageoires pectorales réduites.

Le Requin nez noir a un corps mince et élancé avec un long museau arrondi et de grands yeux. Les ouvertures inhalantes et exhalantes des narines sont séparées par un rabat de peau. Il y a respectivement de 12 à 13 et de 11 à 12 rangées de dents de chaque côté des mâchoires supérieure et inférieure, avec une ou deux dents au niveau de la symphyse. Les dents sont triangulaires et obliques, avec des bords dentelés. Les dents supérieures sont plus épaisses que les dents inférieures. Les cinq paires de fentes branchiales sont courtes, mesurant moins d'un tiers de la longueur de la base de la première nageoire dorsale[1] - [2].

DĂ©tail de la tĂŞte et du bout du museau noir.

La première nageoire dorsale est petite et quelque peu falciforme, avec un sommet pointu et une bordure postĂ©rieure courte et libre ; son origine se trouve au niveau des bords arrière libres des nageoires pectorales. La deuxième nageoire dorsale est relativement grande, mais toujours infĂ©rieure Ă  la moitiĂ© de la hauteur de la première. Il n'y a pas de crĂŞte entre les deux nageoires dorsales. Les nageoires pectorales sont courtes et effilĂ©es[2]. Le corps est couvert de denticules dermiques se chevauchant et qui portent cinq Ă  sept nervures longitudinales (trois chez les très jeunes individus) se terminant par trois Ă  cinq dents[1]. La coloration est d'un gris jaunâtre Ă  verdâtre sur le dessus et blanc Ă  jaune dessous. Une tache sombre caractĂ©ristique Ă  la pointe du museau est plus ou moins visible, notamment chez les jeunes requins. Les extrĂ©mitĂ©s de la deuxième nageoire dorsale, du lobe supĂ©rieur de la nageoire caudale du lobe supĂ©rieur et parfois de son lobe infĂ©rieur sont sombres[3]. Les bordures arrière de la première nageoire dorsale et des nageoires pectorales et pelviennes sont plus claires[3]. On compte entre 165 et 181 vertèbres[3]. Le Requin nez noir mesure gĂ©nĂ©ralement 1,3 Ă  1,4 m de long pour un poids de 10 kg[2] - [4]. La longueur et le poids maximum enregistrĂ©s sont respectivement de 2,0 m et 18,9 kg[5].

Biologie et Ă©cologie

Alimentation

Le Requin nez noir est un prédateur de petite taille et vif, qui se nourrit de petits poissons parmi lesquels les Sars salèmes (Lagodon rhomboides), les Sciaenidae, les Sparidae, les anchois, les Ostraciidae et les Diodontidae, ainsi que de poulpes et d'autres céphalopodes[1]. Quand il cherche à capturer une proie, sa vitesse lui permet de devancer de grands requins comme le Requin de récif (C. perezi)[6] - [7]. Cette espèce peut former de grands bancs dans lesquels ils sont parfois associés à des anchois et des mulets[1]. Les Requins nez noir montrent un degré élevé de philopatrie : les jeunes et les adultes ont été observés revenir à leur lieu de naissance pour s'y reproduire année après année[8].

Prédateurs et parasites

Le Requin nez noir peut être la proie de plus grands requins, comme le Requin requiem de sable (C. obscurus) notamment[1], et des spécimens détenus en captivité ont été observés montrant une posture de menace apparente à l'encontre de plongeurs ou de membres nouvellement introduits de leur espèce. Cette posture se caractérise par un requin qui courbe le dos, abaisse ses nageoires pectorales, ouvre ses mâchoires béantes et nage avec des mouvements latéraux exagérés[4] - [9]. Les parasites connus de cette espèce comprennent les copépodes Nesippus orientalis, Perissopus dentatus, Pandarus sinuatus, Kroyeria sphyrnae, Nemesis atlantica et Eudactylina spinifera[10], ainsi que les ténias des genres Paraorygmatobothrium et Platybothrium[11] - [12].

Reproduction

Comme les autres requins de la famille des Carcharhinidae, le Requin nez noir est vivipare : après que les embryons en dĂ©veloppement ont Ă©puisĂ© leur rĂ©serve en vitellus, le sac vitellin vide se dĂ©veloppe en une connexion avec le placenta qui permet Ă  l'embryon d'ĂŞtre nourri par la mère. Au large des États-Unis, les mâles sont connus pour se reproduire tous les ans, et les femelles tous les deux ans[13]. Par contre, au large du nord-est du BrĂ©sil et dans le golfe du Mexique, le cycle de reproduction des femelles est suffisamment court pour leur permettre de se reproduire tous les ans[14] - [15]. La vitellogenèse (formation du vitellus dans l'ovaire) a lieu Ă  la fin de l'Ă©tĂ©, et est immĂ©diatement suivie de la copulation et de la fertilisation Ă  l'automne ; le jeune naĂ®t le printemps ou l'Ă©tĂ© suivant[1]. La saisonnalitĂ© de ces Ă©vĂ©nements signifie que le cycle de reproduction est dĂ©calĂ© de six mois entre les populations de l'hĂ©misphère nord et celles de l'hĂ©misphère sud. La pĂ©riode de gestation varie entre 8 mois pour les animaux au nord-est du BrĂ©sil Ă  entre 9 et 11 mois pour ceux du sud-est des États-Unis[15].

Les femelles donnent gĂ©nĂ©ralement naissance Ă  des portĂ©es de un Ă  cinq jeunes[16] dans des eaux peu profondes, comme les baies cĂ´tières ou les mangroves[14] - [17]. Bulls Bay, au large de la Caroline du Sud, est une pouponnière reconnue[1]. Il n'y a pas de lien entre la taille de la mère et le nombre de petits[18]. Les nouveau-nĂ©s mesurent en moyenne 45 Ă  50 cm de long[4] - [19]. Certaines Ă©tudes sur la croissance de ces animaux ont conclu Ă  des diffĂ©rences entre mâles et femelles, mais ces diffĂ©rences pourraient ĂŞtre en fait plus visibles dans certaines populations que d'autres[20]. Le Requin nez noir atteint la maturitĂ© Ă  l'âge de 4 Ă  5 ans, quel que soit le sexe. Ils ont alors une longueur Ă  la fourche d'environ 85 et 100 cm pour les femelles et 85 Ă  92 cm pour les mâles, cette taille dĂ©pendant de la zone gĂ©ographique concernĂ©e[14] - [13] - [16] - [21] - [22]. La longĂ©vitĂ© maximale connue pour un Requin nez noir est de 19 ans au large de la cĂ´te sud-est des États-Unis, et de 16,5 ans dans le golfe du Mexique[14].

Distribution et habitat

Répartition de l'espèce.

Le Requin nez noir vit au niveau des plateaux continentaux et insulaires situĂ©s au large de la cĂ´te est des AmĂ©riques, de la Caroline du Nord au nord jusqu'au sud du BrĂ©sil au sud, en comprenant les Bahamas, le golfe du Mexique et la mer des CaraĂŻbes. Il frĂ©quente les eaux cĂ´tières dans des habitats comme les herbiers marins ou des sols constituĂ©s de sable ou de dĂ©bris de coquillage et de coraux[23]. GĂ©nĂ©ralement, seuls les jeunes requins sont rencontrĂ©s dans des eaux peu profondes, car les adultes prĂ©fèrent des profondeurs supĂ©rieures Ă  m et sont plus frĂ©quents entre 18 et 64 m de fond[14] - [1]. Les Requins nez noir vivant au large de la cĂ´te atlantique sud des États-Unis migrent vers le nord en Ă©tĂ© et vers le sud (ou peut-ĂŞtre au large des cĂ´tes) en hiver ; une migration similaire est effectuĂ©e par les requins du golfe du Mexique[18].

Taxinomie et phylogénie

Esquisse d'un Requin nez noir et de l'une de ses dents de la mâchoire supérieure.

Le naturaliste cubain Felipe Poey publie la première description du Requin nez noir en 1860 sous la dĂ©nomination Squalus acronotus, dans son Memorias sobre la historia natural de la Isla de Cuba. Plus tard, d'autres auteurs le placent dans le genre Carcharhinus. Le spĂ©cimen type est un mâle mesurant 98 cm de long et capturĂ© au large de Cuba[4]. L'Ă©pithète spĂ©cifique acronotus vient des mots grecs acron signifiant « sommet », ou « extrĂ©mitĂ© » et notos signifiant « dos », et ce nom signifie « dos bossu », en rĂ©fĂ©rence Ă  une caractĂ©ristique relevĂ©e par Poey lors de sa description[19]. Le nom vulgaire et vernaculaire de ce requin en français est Requin nez noir[24] - [25].

En s'appuyant sur des données morphologiques, Jack Garrick suggère en 1982 que le Requin nez noir peut être placé dans un groupe d'espèces comprenant Carcharhinus dussumieri et C. sealei, tandis que Leonard Compagno propose en 1988 de placer ce requin parmi un groupe comprenant cinq autres espèces, dont le Requin soyeux (C. falciformis) et le Requin à pointes noires (C. melanopterus). Les analyses moléculaires sont tout aussi équivoques : celle de Gavin Naylor en 1992 sur les allozymes a montré que l'espèce étant le membre du genre Carcharhinus placée le plus proche de la base du genre, tandis que l'analyse de l'ADN ribosomique de Mine Dosay-Abkulut en 2008 indique la proximité de l'espèce avec le Requin bordé (C. limbatus) ou le Requin tiqueue (C. porosus)[26] - [27].

Relations avec l'Homme

Le Requin nez noir ne représente pas de danger pour l'Homme.

Le Requin nez noir n'a jamais été impliqué dans une attaque sur un humain. Toutefois, il faut être vigilant quand il prend sa posture défensive caractéristique[17]. Cette espèce est appréciée des adeptes de la pêche sportive, car il offre une résistance respectable[1]. Il a également localement une importance commerciale, car il est pris intentionnellement ou comme prise accessoire par les filets et les palangres dans l'intégralité de son aire de répartition, et plus particulièrement au sud-ouest de la Floride, au Venezuela et au Brésil. Sa chair est vendue séchée et salée. Un grand nombre de Requins nez noir sont également pris accidentellement dans les chalutiers pêchant les crevettes, ce qui représente une menace pour cette espèce car beaucoup de prises sont de jeunes immatures[14] - [4]. Le fait que ce requin vive dans des eaux peu profondes le rend particulièrement sensible à la pêche, et le manque de zones d'alevinage adaptées multiplient la mortalité chez les jeunes[28].

Au large des États-Unis, la pĂŞche du Requin nez noir est soumise Ă  la lĂ©gislation de la National Marine Fisheries Service, via le Fisheries Management Plan (FMP) pour les requins de l'Atlantique et du Golfe du Mexique de 1993. Concernant les quotas commerciaux et les limites de prises, le Requin nez noir est classĂ© parmi les « petits requins cĂ´tiers »[18]. De 1999 Ă  2005, ce sont en moyenne 27 484 requins nez noir qui sont pris chaque annĂ©e au large des cĂ´tes de ce pays. Un recensement rĂ©cent menĂ© par la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a montrĂ© que les populations de l'espèce Ă©taient dĂ©sormais victimes de la surpĂŞche et que la population dĂ©clinait au large des États-Unis. En 2009, la NOAA propose de crĂ©er un quota distinct pour le Requin nez noir, s'Ă©tablissant Ă  6 065 requins par an, et d'interdire l'utilisation de filets pour pĂŞcher des requins dans l'Atlantique[29]. A contrario, les populations de Requin nez noir du BrĂ©sil semblent stables, et on ne dispose pas de donnĂ©es concernant la situation aux CaraĂŻbes. L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) considère cette espèce « quasi-menacĂ©e » dans son ensemble[14].

Annexes

Références taxinomiques

Liens externes

Publications originales

  • (es) Felipe Poey, Memorias sobre la historia natural de la isla de Cuba, La Havane, Impr. de Barcina, , 548 p.
  • Francis de Castelnau, ExpĂ©dition dans les parties centrales de l'AmĂ©rique du Sud : de Rio de Janeiro Ă  Lima, et de Lima au Para, Paris, P. Bertrand, , 441 p.

Notes et références

  1. (en) C. Bester, « Biological Profiles: Blacknose Shark », Florida Museum of Natural History Ichthyology Department (consulté le )
  2. (en) J.D. McEachran et J.D. Fechhelm, Fishes of the Gulf of Mexico : Myxiniformes to Gasterosteiformes, University of Texas Press, (ISBN 0-292-75206-7), p. 74
  3. (en) Franck J. Schwartz, « Occurrence, abundance and biology of the Blacknose shark, Carcharhinus acronotus, in North Carolina », Northeast Gulf Science, Institute of Marine Science, University of North Carolina, vol. 7,‎ , p. 29-47
  4. (en) L.J.V. Compagno, Sharks of the World : An Annotated and Illustrated Catalogue of Shark Species Known to Date, Rome, Food and Agricultural Organization, (ISBN 92-5-101384-5), p. 454–455
  5. (en) Rainer Froese et Daniel Pauly, « Carcharhinus acronotus », FishBase, (consulté le )
  6. (en) J.A. Musick et B. McMillan, The Shark Chronicles : A Scientist Tracks the Consummate Predator, Macmillan, , 57–59 p. (ISBN 0-8050-7359-0)
  7. (en) N. May et C. Willis, Shark : Stories of Life and Death from the World's Most Dangerous Waters, Thunder's Mouth Press, (ISBN 1-56025-397-5), p. 192
  8. (en) R.E. Hueter, M.R. Heupel, E.J. Heist et D.B. Keeney, « Evidence of Philopatry in Sharks and Implications for the Management of Shark Fisheries », Journal of Northwest Atlantic Fishery Science, vol. 35,‎ , p. 239–247 (lire en ligne [archive du ])
  9. (en) R.A. Martin, « A review of shark agonistic displays: comparison of display features and implications for shark-human interactions », Marine and Freshwater Behaviour and Physiology, vol. 40, no 1,‎ , p. 3–34 (DOI 10.1080/10236240601154872)
  10. (en) R.F. Cressey, « Copepods Parasitic on Sharks From the West Coast of Florida », Smithsonian Contributions to Biology, vol. 38,‎ , p. 1–30
  11. (en) T.R. Ruhnke et V.A. Thompson, « Two New Species of Paraorygmatobothrium (Tetraphyllidea: Phyllobothriidae) from the Lemon Sharks Negaprion brevirostris and Negaprion acutidens (Carcharhiniformes: Carcharhinidae) », Comparative Parasitology, vol. 73, no 1,‎ , p. 35–41 (DOI 10.1654/4198.1)
  12. (en) C.J. Healy, « A revision of Platybothrium Linton, 1890 (Tetraphyllidea: Onchobothriidae), with a phylogenetic analysis and comments on host-parasite associations », Systematic Parasitology, vol. 56, no 2,‎ , p. 85–139 (PMID 14574090, DOI 10.1023/A:1026135528505)
  13. (en) W.B. Driggers, D.A. Oakley, G. Ulrich, J.K. Carlson, B.J. Cullum et J.M. Dean, « Reproductive biology of Carcharhinus acronotus in the coastal waters of South Carolina », Journal of Fish Biology, vol. 64, no 6,‎ , p. 1540–1551 (DOI 10.1111/j.0022-1112.2004.00408.x)
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  18. (en) W.B. Driggers, G.W., (Jr.) Ingram, M.A. Grace, J.K. Carlson, J.F. Ulrich, J.A. Sulikowski et J.M. Quattro, Life history and population genetics of blacknose sharks, Carcharhinus acronotus, in the South Atlantic Bight and the northern Gulf of Mexico, Small Coastal Shark Data Workshop Document,
  19. (en) J.I. Castro, The Sharks of North American Waters, Texas and University Press, , 180 p.
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  21. (en) Eugenie Clark et Katherine von Schmidt, « Sharks of the Central Gulf Coast of Florida », Bulletin of Marine Science, vol. 15,‎ , p. 3-83
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  23. (en) J. Stafford-Deitsch, Sharks of Florida, the Bahamas, the Caribbean and the Gulf of Mexico, Trident Press, (ISBN 1-900724-45-6), p. 68
  24. FishBase, consulté le 9 avril 2014
  25. Nom vernaculaire français d'après Dictionary of Common (Vernacular) Names sur Nomen.at
  26. (en) G.J.P. Naylor, « The phylogenetic relationships among requiem and hammerhead sharks: inferring phylogeny when thousands of equally most parsimonious trees result », Cladistics, vol. 8, no 4,‎ , p. 295–318 (DOI 10.1111/j.1096-0031.1992.tb00073.x)
  27. (en) M. Dosay-Akbulut, « The phylogenetic relationship within the genus Carcharhinus », Comptes Rendus Biologies, vol. 331, no 7,‎ , p. 500–509 (PMID 18558373, DOI 10.1016/j.crvi.2008.04.001)
  28. (en) Rodrigo R. Barreto, Rosangela P. Lessa, Fabio H. Hazin et Francisco M. Santana, « Age and growth of the blacknose shark, Carcharhinus acronotus, (Poey, 1860) off the northeastern Brazilian Coast », Fisheries Research, vol. 110,‎ , p. 170-176
  29. (en) « NOAA Proposes Measures To Rebuild Blacknose And Other Shark Populations », NOAA – National Oceanic and Atmospheric Administration, (consulté le )
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