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Quinéville

Quinéville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 265 habitants[Note 1].

Quinéville
Quinéville
L'église Notre-Dame et ses deux clochers.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
René Hardy
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50421
Démographie
Gentilé Quinévillais
Population
municipale
265 hab. (2020 en diminution de 8,93 % par rapport à 2014)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 44″ nord, 1° 17′ 50″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 67 m
Superficie 4,60 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Quinéville
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Quinéville
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Quinéville

    Géographie

    Vue sur la côte depuis la colline.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 877 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 913,5 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 28 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Quinéville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,4 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), zones urbanisées (12 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Chinevilla en 1159 - 1181, Chinevilla (sans date), Kinevilla vers 1210, Quinevilla 1224, Kinelvilla vers 1280[26].

    Le second élément -ville représente le terme ville désignant en proto-français un « domaine rural », issu du gallo-roman VILLA, lui-même du latin villa rustica.

    Le premier élément est un anthroponyme, soit Kined[27] - [28] (autrement Cinaed), anthroponyme gaëlique qui se perpétue dans le prénom moderne Kenneth, le [d] s'étant amuï de manière complète devant une autre consonne en ancien normand (comme en ancien français) vers le XIe siècle, c'est-à-dire antérieurement aux premières attestations du toponyme Quinéville cf. Amfreville-la-Campagne, Eure, mentionné sous la forme Ansfredville en 1095 et les Touffreville, Touffréville.

    Une autre hypothèse repose sur le nom de personne germanique Chinilo[29]. On remarque que la forme ancienne Kinelvilla sur laquelle repose cette dernière proposition est tardive et isolée, alors que les formes plus anciennes ne conservent aucune trace graphique d'un [l], celui-ci a été ajouté à postériori par un scribe. D'un point de vue phonétique on attendrait *Quineauville.

    Le gentilé est Quinévillais.

    Quelques noms de personnes gaëliques se retrouvent dans la toponymie du Cotentin, comme Donnchadh, Duncan, dans la rue Doncanville et Dícuill, Decuil dans Digulleville[30]. L'anthroponyme Cinaed est en outre identifié dans Quinetot, hameau à Carteret.

    Histoire

    Moyen Âge

    Dans le cadre de la guerre de Cent Ans, en 1405, à la suite d'un débarquement anglais à la Hougue, la paroisse est mise à sac et ses maisons rasées[Note 8].

    Époque moderne

    C'est d'une hauteur de Quinéville (probablement le clocher de l'église), qu'en 1692, Jacques II assiste à la défaite de ses alliés et la fin de ses espérances pour retrouver son trône, lors de la bataille de la Hougue. Il résidait au château de Quinéville chez les Dancel durant ces événements.

    Époque contemporaine

    Au moment de la Révolution, Jean-Nicolas de Berruyer, capitaine de dragons du régiment de la reine, seigneur châtelain de Quinéville, Gonneville, Fermanville, le Breuil, Maupertus, Mesnil-Eury et autres lieux, dut en , émigrer[32].

    Seconde Guerre mondiale

    Bataille de Normandie : le , les troupes américaines débarquent à Utah Beach, à quelques kilomètres au sud de Quinéville. L'objectif des alliés est de prendre le village le jour J afin de progresser rapidement vers Cherbourg et prendre son port, vital pour l'approvisionnement allié. Mais Quinéville ne sera finalement pris que le après de durs combats. Les Américains prennent la batterie d'Azeville le et celle de Crisbecq le . Les Allemands de la 243e et 709e Infanterie-Divisionen ont reconstitué une ligne de défense depuis les collines du Ham à l'est jusqu'à Quinéville sur la côte avec au centre le bourg de Montebourg, bloquant la progression de la 4e division d'infanterie américaine[33]. Son commandant, le général Barton, isole le village en prenant la route qui le relie à Montebourg. Quinéville est bombardé par des Douglas A-20 Havoc de l'USAAF avant un assaut du 39e régiment et du 70e Tank Battalion[33]. Ayant pénétré dans le village, ils sont arrêtés par de violents tirs de mortiers et d'armes anti-chars allemands. L'après-midi l'artillerie américaine bombarde Quinéville qui est finalement pris par les hommes du 39e régiment vers 21 h 30[33]. La prise du village empêche désormais l'artillerie allemande de pouvoir tirer sur la plage d'Utah Beach où les débarquements alliés se poursuivent. Le projet de faire de la plage de Quinéville, une seconde plage de débarquement logistique américain un temps envisagé est abandonné[33].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Henry Omont
    1793 1793 Thomas Cauvin
    1793 1795 commission municipale
    1795 1797 Henry Omont
    1797 1798 Henry Bachelet
    1798 1800 Nicolas Fichet
    1800 1807 Henry Omont
    1807 1813 G. Dancel de Quinéville
    1813 1815 L. Levaillant de Folleville
    1815 1817 Georges Dupuis
    1817 1830 Louis du Mesnildot
    1830 1842 Henry Omont
    1842 1847 Victor Cordin
    1847 1849 Victor Néez
    1849 1889 Louis du MEsnildot
    1889 1895 Paul Ferrant
    1895 1912 André Tourrainne
    1912 1919 Auguste Pigouchet
    1919 1922 Eugène Leflammand
    1922 1923 Jean Revel
    1923 1929 Charles Ferrand
    1929 1930 François Rault
    1930 1933 Théodore Desvergez
    1933 1942 Arsène Legoupil
    1942 1945 Paul Gauthier
    1945 1947 François Laurent
    1947 1956 Paul Gauthier
    1956 1957 René Grégoire
    1957 1965 Alexandre Roger
    1965 1967 Henri Vassaux
    1967 1983 Léon Lerouge
    1983 1989 Pierre Chevrier
    1989 1995 Jean Lecoq DVD
    1995 mars 2001 Jacques Morisset
    mars 2001[34] mars 2014 Jacques Laurent UMP
    mars 2014[35] juillet 2015[36] François Renet SE Retraité
    octobre 2015[37] En cours René Hardy
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Isabelle Drouet[38].

    Le , le maire est décédé en cours de mandat[36].

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[39].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

    En 2020, la commune comptait 265 habitants[Note 9], en diminution de 8,93 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Quinéville a compté jusqu'à 405 habitants en 1846.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    301280367358364391377405371
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    353332317313331293322318382
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    346343357288308335370283338
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    323314249192306292302303290
    2017 2020 - - - - - - -
    273265-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie et tourisme

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[44].

    Quinéville est dénommée « commune touristique » depuis [45].

    Lieux et monuments

    La Grande Cheminée.
    Le château.

    Activité et manifestations

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Tout comme à Vaudreville, Fontenay, Saint-Floxel, Saint-Martin-d'Audouville, alors que Valognes, Barneville et Saint-Lô sont abandonnés par la plupart de leurs habitants[31].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Quinéville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Quinéville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 180.
    27. Lucien Musset, « aperçus sur la colonisation scandinave dans le nord du Cotentin », Annuaire des cinq départements de la Normandie, IIIe congrès, 1953, 34 -37
    28. François de Beaurepaire, op. cit.
    29. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 205.
    30. Dominique Fournier, Digulleville#Toponymie, WIKIMANCHE (lire en ligne) .
    31. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 176 p. (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 35.
    32. Edmond Thin, « Promenade archéologique de Maupertus à Cosqueville », Vikland, la revue du Cotentin, no 5,‎ avril-mai-juin 2013, p. 24 (ISSN 0224-7992).
    33. Claude Quétel (sous la direction de), Dictionnaire du Débarquement, Rennes, éd. Ouest France, , p. 570.
    34. « Jacques Laurent nommé maire honoraire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « François Renet est élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. « Maire depuis 2014. François Renet est décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. « Élections municipales à Quinéville. René Hardy est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    38. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 478.
    39. « Quinéville (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    44. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
    45. « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - décembre 2009 » [PDF] : page 12.
    46. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « La grande cheminée », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. Guy Le Hallé, Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 106.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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