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Maupertus-sur-Mer

Maupertus-sur-Mer (Maupertus jusqu'en 1948, prononcĂ© [mopɛʁty]) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 221 habitants[Note 1].

Maupertus-sur-Mer
Maupertus-sur-Mer
L'anse du Brick Ă  Maupertus.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Thierry Gervaise
2020-2026
Code postal 50330
Code commune 50296
DĂ©mographie
Gentilé Maupertusais
Population
municipale
221 hab. (2020 en diminution de 1,78 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 65 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 39â€Č 28″ nord, 1° 29â€Č 04″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 152 m
Superficie 3,42 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Val-de-Saire
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Maupertus-sur-Mer
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    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 1 069 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 15,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 919,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă  10 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Maupertus-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (53,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (33,7 %), terres arables (18,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (18,6 %), zones urbanisĂ©es (12 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (8,2 %), forĂȘts (7,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,3 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Malpertus en 1217 et Malo Pertuso vers 1280[26].

    Le toponyme est issu de l'ancien français mal pertuis, « mauvais passage »[27] - [26], dont mal pertus est une forme locale[28] et dĂ©signerait l'entrĂ©e du port[26]. La prononciation est [mopɛʁty][29].

    La référence à la mer est rajoutée en 1948[30].

    Le gentilé est Maupertusais[31].

    Histoire

    Comme dans les communes de Réthoville ou de Flamanville, on a trouvé à Maupertus des coins en bronze, attestant d'une occupation ancienne[32].

    Vers 1180, Hamon Le Bouteiller, bailli du Bessin, qui tenait le fief de Maupertus, donna l'Ă©glise aux religieux de Longues[33].

    Au moment de la Révolution, Jean-Nicolas de Berruyer, capitaine de dragons du régiment de la reine, seigneur chùtelain de Maupertus, Quinéville, Gonneville, Fermanville, le Breuil, Mesnil-Eury et autres lieux, dut en , émigrer[34].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires[31]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1935 1965 Désiré Vautier
    1965 1969 Max Tornes
    1969 1983 Louis François Bourdet
    1983 1989 Pierre Durel
    1989 1995 EugĂšne Raymond Tirel
    1995 mars 2001 Thierry Gervaise
    mars 2001 2020 Michel Lemaréchal[35] SE Chef de service ESAT
    2020 En cours Thierry Gervaise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[35].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 221 habitants[Note 9], en diminution de 1,78 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Maupertus a comptĂ© jusqu'Ă  467 habitants en 1821.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    359320411467381325315334326
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    318328340273282237222195172
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    168171178242223204170190162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    120107154216242270259257229
    2018 2020 - - - - - - -
    219221-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le menhir de la Grande Pierre.
    Le manoir de Maupertus.
    • AĂ©roport de Cherbourg - Maupertus.
    • Menhir de la Grande Pierre classĂ© au titre des monuments historiques depuis 1889[39].
    • Manoir de Maupertus, en partie du XVe siĂšcle, construit par la famille de Pirou, seigneur de Maupertus, inscrit au titre des monuments historiques depuis le [40].
    • Église Saint-Martin, reconstruite en 1870 pour remplacer l'ancienne Ă©glise Saint-Martin dont il ne reste plus de trace[41].
    • Anse du Brick, partagĂ©e entre Maupertus et Fermanville, et oĂč la plaine cĂŽtiĂšre a presque complĂštement disparue, et offre des altitudes supĂ©rieures Ă  40 mĂštres dominant directement la mer[42].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Maupertus-sur-Mer et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Maupertus-sur-Mer et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    15. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 1367.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    28. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des ßles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 193.
    29. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 169.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. RenĂ© Gautier, 601 communes et lieux de vie de la Manche, Éditions Eurocibles, (ISBN 978-2354-58-0360), p. 395.
    32. Jeannine Bavay et Edmond Thin, « RĂ©thoville », Vikland, la revue du Cotentin, no 6,‎ juillet-aoĂ»t-septembre 2013, p. 38 (ISSN 0224-7992).
    33. RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 395.
    34. Thin, Le Val de Saire, p. 24.
    35. Réélection 2014 : « Maupertus-sur-Mer (50330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. « Menhir », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    40. « Manoir », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    41. Thin, Le Val de Saire, p. 101.
    42. Thin, Le Val de Saire, p. 158.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Edmond Thin, Le Val de Saire : TrĂ©sors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 100-103

    Articles connexes

    Liens externes

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