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Preuilly-la-Ville

Preuilly-la-Ville est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Preuilly-la-Ville
Preuilly-la-Ville
La mairie en 2011.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité Communauté de communes Brenne - Val de Creuse
Maire
Mandat
Alain Marie Rembaut
2020-2026
Code postal 36220
Code commune 36167
Démographie
Gentilé Preuillavillois
Population
municipale
154 hab. (2020 en diminution de 7,78 % par rapport à 2014)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 41′ 51″ nord, 0° 58′ 08″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 117 m
Superficie 4,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Blanc
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Preuilly-la-Ville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Preuilly-la-Ville
Géolocalisation sur la carte : Indre
Voir sur la carte topographique de l'Indre
Preuilly-la-Ville
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Preuilly-la-Ville

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans l'ouest[1] du département, dans la région naturelle du Blancois, au sein du parc naturel régional de la Brenne.

    Les communes limitrophes[1] sont : Lurais (km), Fontgombault (km) et Tournon-Saint-Martin (km), Pouligny-Saint-Pierre (km).

    Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Le Blanc (10 km), Châteauroux (57 km), La Châtre (79 km) et Issoudun (82 km).

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Querroir, les Cossetteries, les Crétignières et le Prépicault[2].

    Géologie et hydrographie

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

    Le territoire communal est arrosé par les rivières Creuse[2] et Suin.

    Climat

    Normales et records pour la période 1981-2010 à la station météorologique de Châteauroux - Déols
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,3 3,5 5,3 9,2 12,4 14,4 14,3 11,2 8,5 4,1 1,8 7,3
    Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8 10,4 14,4 17,8 20,2 20 16,6 12,8 7,5 4,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,5 19,6 23,1 26 25,6 21,9 17,1 11 7,6 16,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,8
    16-01-1985
    −22,8
    14-02-1929
    −10,8
    01-03-2005
    −4,2
    07-04-1929
    −1,4
    11-05-1928
    1,2
    01-06-1936
    4
    10-07-1948
    4,5
    06-08-1967
    0
    30-09-1936
    −5,2
    30-10-1997
    −8,7
    24-11-1998
    −17
    10-12-1967
    −22,8
    16-01-1985
    Température maximale la plus basse (°C)
    date du record
    −14,9
    16-01-1985
    −10,8
    02-03-1956
    −1,9
    05-04-1971
    1,5
    06-04-1911
    6,9
    04-05-1977
    11,1
    09-06-1956
    12,8
    19-07-1966
    13,9
    31-08-2007
    9,5
    29-09-1919
    2,8
    27-10-1931
    −2,9
    22-11-1993
    −10,2
    20-12-1938
    −14,9
    16-01-1985
    Température minimale la plus haute (°C)
    date du record
    12
    02-01-1916
    12,1
    27-02-1960
    14,9
    11-03-1981
    14,5
    28-04-1913
    18
    12-05-1912
    22,3
    28-06-2005
    23
    21-07-1995
    23,3
    06-08-2018
    20,5
    05-09-2017
    18,9
    01-10-2001
    15,1
    07-11-1954
    13,4
    04-12-1961
    23,3
    06-08-2018
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    05-01-1999
    24
    27-02-2019
    28
    25-03-1955
    31,5
    22-04-1893
    34,5
    29-05-1944
    37,7
    26-06-1947
    40,2
    28-07-1947
    40,5
    02-08-1906
    38
    01-09-1906
    30,3
    07-10-2009
    24,5
    02-11-1899
    20,5
    16-12-1989
    40,5
    02-08-1906
    Ensoleillement (h) 72,1 91,9 155,6 178,5 208,6 210,4 231,7 235,5 189,5 128,3 79,6 59 1 840,7
    ETp Penman (mm) 13,8 23,2 56,1 82,1 112,9 132,8 147,8 131,5 79,5 41,3 15,9 10,2 847,1
    Record de vent (km/h)
    date du record
    105,4
    NC
    132,1
    23-02-2009
    126
    NC
    104,4
    NC
    94,5
    NC
    109,8
    13-06-2002
    104,4
    NC
    115,2
    NC
    104,4
    NC
    97,2
    NC
    100,8
    NC
    126
    NC
    132,1
    NC
    Record de la pression la plus basse (hPa)
    date du record
    973,1
    NC
    965
    NC
    983,7
    NC
    981,8
    NC
    989,6
    NC
    991,6
    NC
    978,2
    NC
    996,9
    NC
    989,9
    NC
    980,1
    NC
    973
    NC
    967,9
    NC
    965
    NC
    Record de la pression la plus haute (hPa)
    date du record
    1 045,1
    NC
    1 043,4
    NC
    1 046,7
    NC
    1 035,7
    NC
    1 033,5
    NC
    1 047,5
    NC
    1 030,6
    NC
    1 030,6
    NC
    1 034,9
    NC
    1 035,6
    NC
    1 040,2
    NC
    1 045,6
    NC
    1 047,5
    NC
    Précipitations (mm) 59,2 48,8 52,1 65,8 73,3 54,9 56,6 56,1 64,3 73,8 64,9 67,3 737,1
    Record de pluie en 24 h (mm)
    date du record
    48,7
    20-01-1910
    29,7
    05-02-1955
    32,4
    29-03-1978
    42,6
    18-04-1964
    54,1
    12-05-1910
    67,6
    04-06-2002
    60,4
    08-07-1919
    66,1
    29-08-1945
    58,6
    17-09-1975
    43
    29-10-1981
    35,2
    05-11-1962
    51,6
    24-12-1995
    67,6
    04-06-2002
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 4,9 5,3 5 5,8 6,2 7,5 7,4 7,2 8,3 6,4 5,7 5,9 6,3
    Source : Infoclimat.fr
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    7,1
    1,3
    59,2
    8,6
    1,3
    48,8
    12,6
    3,5
    52,1
    15,5
    5,3
    65,8
    19,6
    9,2
    73,3
    23,1
    12,4
    54,9
    26
    14,4
    56,6
    25,6
    14,3
    56,1
    21,9
    11,2
    64,3
    17,1
    8,5
    73,8
    11
    4,1
    64,9
    7,6
    1,8
    67,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 61, 62, 62A, 62B et 950 [4].

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châtellerault[4], à 39 km.

    Preuilly-la-Ville est desservie par la ligne P du Réseau de mobilité interurbaine[5].

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[4], à 70 km.

    Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Brenne[2] et par la voie verte des Vallées[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Preuilly-la-Ville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,1 %), zones agricoles hétérogènes (35,4 %), forêts (23,5 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[13] de la commune :

    Date du relevé 2013
    Nombre total de logements 111
    Résidences principales 70,5 %
    Résidences secondaires 15,7 %
    Logements vacants 13,9 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 85,7 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Preuilly-la-Ville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990 et 1999[16] - [14].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Preuilly-la-Ville.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 110 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 12 sont en en aléa moyen ou fort, soit 11 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [18].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

    Toponymie

    En fait, on ne devrait pas écrire Preuilly-la-ville[21], ce dernier mot semblant dérisoire pour un bourg aussi peu important, mais Preuilly la villa, ce qui serait conforme à l'origine de la commune. Le mot original étant Villa Proliacus, c'est-à-dire la villa d'un nommé Proliacus. Le mot villa, d'influence germanique, signifie « domaine rural », soit une ferme avec sa maison de maître et ses dépendances. Par conséquent, les logements des ouvriers et de tous les corps de métier qui en assuraient l'exploitation. Petit à petit, ces villas arrivaient à former de véritables agglomérations ; tel fut le cas de la villa de Preuilly.

    La plus ancienne[21] mention de la villa de Proliacus date de 936, dans une charte du cartulaire de l'abbaye de Saint-Cyprien de Poitiers. On y trouve écrit que cette villa appartenait à la dite abbaye et se trouvait située en Poitou ; ce n'est que vers 970 que Preuilly la Ville sera placé en Berry.

    En 1254, on trouve mentionné[21] Prullet et de Prulhiacio, en 1359 Pruilhi, en 1560 Preuilly la Ville.

    Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Preuilly-les-Roches[22].

    Origine[21] : village perché au sommet d'un coteau rocheux, dominant la vallée de la Creuse, dans un beau cadre de verdure.

    En 2004 un référendum a eu lieu dans la commune afin de retenir un gentilé. Le nom choisi a été Preuillavillois[23].

    Histoire

    Jacques-Marie Rougé, dans son « Folklore de la Touraine[24] », nous apprend qu'autrefois se trouvait « dans le grenier de la cure, saint Grenouillard, auquel on apportait des marmots en cire pour avoir des enfants ».

    De nos jours, ce n'est plus qu'un petit bourg agricole, dont la population n'a cessé de décroître. En cent ans, la commune a perdu près de la moitié de ses habitants.

    La commune fut rattachée 1973 à 2015 au canton de Tournon-Saint-Martin.

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton du Blanc, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Brenne - Val de Creuse[25].

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 mai 1945 Gustave Brunet[24] ? ?
    mai 1945 mars 1977 Henri Lauzanne[24] ? ?
    mars 1977 juin 1995 Jacques Maurousset[24] ? ?
    juin 1995[26] mars 2008 Michel Berthommier ? ?
    mars 2008[27] Christian Gaulthier ? Retraité
    [28] 2020 Jean-Paul Guillot DVG[29] Retraité
    2020 En cours Alain Marie Rembaut
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 154 habitants[Note 4], en diminution de 7,78 % par rapport à 2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    415369348346357348353375354
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    372370375345332320301282293
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    262253255213203221224224203
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    210183156160148131157160168
    2015 2020 - - - - - - -
    166154-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.

    Manifestations culturelles et festivités

    La Fête de la moisson, a lieu tous les ans, le premier week-end d'août. Moisson à l'ancienne, défilé d'un mariage au XIXe siècle, exposition de vieux tracteurs, dîner dansant, feu d'artifice, fête foraine.

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Économie

    La commune se situe dans l’aire urbaine du Blanc, dans la zone d’emploi du Blanc et dans le bassin de vie du Blanc[25].

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Pouligny-saint-pierre[36] et Sainte-maure-de-touraine[37].

    Culture locale et patrimoine

    • Le monument aux morts en 2011.
      Le monument aux morts en 2011.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
    2. « Preuilly-la-Ville » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
    3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
    4. « Preuilly-la-Ville », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
    5. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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