Accueil🇫🇷Chercher

Fontgombault

Fontgombault est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Fontgombault
Fontgombault
La mairie en 2011.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité Communauté de communes Brenne - Val de Creuse
Maire
Mandat
Philippe Confolant
2020-2026
Code postal 36220
Code commune 36076
Démographie
Gentilé Fontgombaldiens
Population
municipale
250 hab. (2020 en augmentation de 1,63 % par rapport à 2014)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 40′ 30″ nord, 0° 59′ 10″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 136 m
Superficie 10,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Blanc
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fontgombault
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fontgombault
Géolocalisation sur la carte : Indre
Voir sur la carte topographique de l'Indre
Fontgombault
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Fontgombault
Liens
Site web fontgombault.com

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans l'ouest[1] du département, dans la région naturelle du Blancois, au sein du parc naturel régional de la Brenne.

    Les communes limitrophes[1] sont : Sauzelles (km), Preuilly-la-Ville (km), Lurais (km), Pouligny-Saint-Pierre (km) et Mérigny (km).

    Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Le Blanc (km), Châteauroux (56 km), La Châtre (77 km) et Issoudun (82 km).

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : les Cloîtres, les Berthommières, les Auzannes, les Ageasses, la Toltière et Villebernier[2].

    Géologie et hydrographie

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

    Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse[2].

    • La rivière Creuse en 2011.
      La rivière Creuse en 2011.

    Climat

    Normales et records pour la période 1981-2010 à la station météorologique de Châteauroux - Déols
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,3 3,5 5,3 9,2 12,4 14,4 14,3 11,2 8,5 4,1 1,8 7,3
    Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8 10,4 14,4 17,8 20,2 20 16,6 12,8 7,5 4,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,5 19,6 23,1 26 25,6 21,9 17,1 11 7,6 16,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,8
    16-01-1985
    −22,8
    14-02-1929
    −10,8
    01-03-2005
    −4,2
    07-04-1929
    −1,4
    11-05-1928
    1,2
    01-06-1936
    4
    10-07-1948
    4,5
    06-08-1967
    0
    30-09-1936
    −5,2
    30-10-1997
    −8,7
    24-11-1998
    −17
    10-12-1967
    −22,8
    16-01-1985
    Température maximale la plus basse (°C)
    date du record
    −14,9
    16-01-1985
    −10,8
    02-03-1956
    −1,9
    05-04-1971
    1,5
    06-04-1911
    6,9
    04-05-1977
    11,1
    09-06-1956
    12,8
    19-07-1966
    13,9
    31-08-2007
    9,5
    29-09-1919
    2,8
    27-10-1931
    −2,9
    22-11-1993
    −10,2
    20-12-1938
    −14,9
    16-01-1985
    Température minimale la plus haute (°C)
    date du record
    12
    02-01-1916
    12,1
    27-02-1960
    14,9
    11-03-1981
    14,5
    28-04-1913
    18
    12-05-1912
    22,3
    28-06-2005
    23
    21-07-1995
    23,3
    06-08-2018
    20,5
    05-09-2017
    18,9
    01-10-2001
    15,1
    07-11-1954
    13,4
    04-12-1961
    23,3
    06-08-2018
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    05-01-1999
    24
    27-02-2019
    28
    25-03-1955
    31,5
    22-04-1893
    34,5
    29-05-1944
    37,7
    26-06-1947
    40,2
    28-07-1947
    40,5
    02-08-1906
    38
    01-09-1906
    30,3
    07-10-2009
    24,5
    02-11-1899
    20,5
    16-12-1989
    40,5
    02-08-1906
    Ensoleillement (h) 72,1 91,9 155,6 178,5 208,6 210,4 231,7 235,5 189,5 128,3 79,6 59 1 840,7
    ETp Penman (mm) 13,8 23,2 56,1 82,1 112,9 132,8 147,8 131,5 79,5 41,3 15,9 10,2 847,1
    Record de vent (km/h)
    date du record
    105,4
    NC
    132,1
    23-02-2009
    126
    NC
    104,4
    NC
    94,5
    NC
    109,8
    13-06-2002
    104,4
    NC
    115,2
    NC
    104,4
    NC
    97,2
    NC
    100,8
    NC
    126
    NC
    132,1
    NC
    Record de la pression la plus basse (hPa)
    date du record
    973,1
    NC
    965
    NC
    983,7
    NC
    981,8
    NC
    989,6
    NC
    991,6
    NC
    978,2
    NC
    996,9
    NC
    989,9
    NC
    980,1
    NC
    973
    NC
    967,9
    NC
    965
    NC
    Record de la pression la plus haute (hPa)
    date du record
    1 045,1
    NC
    1 043,4
    NC
    1 046,7
    NC
    1 035,7
    NC
    1 033,5
    NC
    1 047,5
    NC
    1 030,6
    NC
    1 030,6
    NC
    1 034,9
    NC
    1 035,6
    NC
    1 040,2
    NC
    1 045,6
    NC
    1 047,5
    NC
    Précipitations (mm) 59,2 48,8 52,1 65,8 73,3 54,9 56,6 56,1 64,3 73,8 64,9 67,3 737,1
    Record de pluie en 24 h (mm)
    date du record
    48,7
    20-01-1910
    29,7
    05-02-1955
    32,4
    29-03-1978
    42,6
    18-04-1964
    54,1
    12-05-1910
    67,6
    04-06-2002
    60,4
    08-07-1919
    66,1
    29-08-1945
    58,6
    17-09-1975
    43
    29-10-1981
    35,2
    05-11-1962
    51,6
    24-12-1995
    67,6
    04-06-2002
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 4,9 5,3 5 5,8 6,2 7,5 7,4 7,2 8,3 6,4 5,7 5,9 6,3
    Source : Infoclimat.fr
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    7,1
    1,3
    59,2
    8,6
    1,3
    48,8
    12,6
    3,5
    52,1
    15,5
    5,3
    65,8
    19,6
    9,2
    73,3
    23,1
    12,4
    54,9
    26
    14,4
    56,6
    25,6
    14,3
    56,1
    21,9
    11,2
    64,3
    17,1
    8,5
    73,8
    11
    4,1
    64,9
    7,6
    1,8
    67,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 3, 43, 62, 95 et 950[4].

    La ligne de Port-de-Piles à Argenton-sur-Creuse passait par le territoire communal, une gare desservait la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares de Châtellerault[4] (42 km) et Argenton-sur-Creuse[4] (47 km).

    Fontgombault est desservie par la ligne P du Réseau de mobilité interurbaine[5].

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[4], à 70 km.

    Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Brenne[2], par la voie verte des Vallées[2] et par le sentier Rive Gauche, Rive Droite : les coteaux calcaires de la vallée de la Creuse, itinéraire fléché de 11 km, dont le départ est situé au pied du pont, sur la rive gauche de la Creuse et par le Chemin des Roches, chemin de km, qui part du centre du bourg.

    • La route départementale 43 en 2011.
      La route départementale 43 en 2011.
    • L'arrêt de bus L'Aile Bleue en 2011.
      L'arrêt de bus L'Aile Bleue en 2011.

    Urbanisme

    Typologie

    Fontgombault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (33 %), forêts (25,4 %), zones urbanisées (2,8 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[13] de la commune :

    Date du relevé 2013 2015
    Nombre total de logements 171 169
    Résidences principales 52,6 % 63,3 %
    Résidences secondaires 33,9 % 38,2 %
    Logements vacants 13,4 % 8,5 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 79,1 % 75 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Fontgombault est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999 et 2016[16] - [14].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fontgombault.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 54,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 174 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 160 sont en en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [18].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

    Toponymie

    Fontgombault tire son nom de l'ermite Gombaud[21]. Celui-ci, comme dit la légende, était un personnage de haut lignage que le dégoût des vanités du monde avait poussé à embrasser une vie de prières et de pénitences.

    Ses habitants sont appelés les Fontgombaldiens[22].

    Histoire

    Des traces de vie humaine[21], datant de plusieurs millénaires avant notre ère, ont été retrouvées sur ce territoire. Des quantités de silex taillés ou polis, remontant au paléolithique[21] ou au néolithique, y ont été découverts.

    Plusieurs pièces[21] romaines d'or et d'argent ainsi que des débris de tuiles et deux meubles retrouvés dans les dépendances de l'abbaye, attesteraient de l'existence de quelques maisons datant de l'époque gallo-romaine[21].

    Sur la rive droite de la Creuse, il existait une voie romaine reliant Tours au Blanc, via Tournon-Saint-Martin[21] et qui correspondrait sensiblement à l'emplacement de l'ancienne voie ferrée même si le tracé n'est pas exactement connu à ce jour. Le site d'un lieu de culte gallo-romain a été mis au jour en 1987, par deux archéologues. L'architecture particulière de ce temple pouvait faire penser à un petit château.

    L'ermite Gombaud[21] s'installa au Xe siècle dans une étroite cellule dans le roc. Il s'appropria les eaux de la fontaine[21] qui coulait au pied du rocher. Cette source[21] est toujours utilisée pour alimenter en eau potable les habitants de la commune et se situe au niveau du déversoir sur la rive gauche de la Creuse. Sieur Gombaud fut le premier à mener une vie religieuse en ces parages. Il mourut au bord de la Creuse après l'an 1023.

    L'histoire du bourg de Fontgombault est ensuite liée à la présence et au développement de l'abbaye bénédictine. Les premières maisons du bourg[21] et la chapelle romane Saint-Jacques[21], furent construites peu après l'installation du monastère bénédictin, fondé en 1091, par Pierre de l’Étoile[21].

    Jusqu'au milieu du XXe siècle les habitants du village vivaient essentiellement d'agriculture et d'élevage. La population était très sédentaire et ne se déplaçait pratiquement jamais. Le chemin de fer arriva pourtant à la fin du XIXe siècle et fut inauguré en 1886[21]. Le chemin de fer fonctionnera jusqu'en 1970 environ où il cessera complètement d'exister à cause de la généralisation des automobiles et des transports routiers.

    En 1887[21] fut construit une école mixte à côté de la mairie, puis en 1910 arriva le premier téléphone public.

    En 1931[21] fut installé un réseau de distribution d'énergie électrique, puis en 1937[21] des canalisations pour l'adduction d'eau et en 1957[21] un réseau d'égout.

    La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton de Tournon-Saint-Martin.

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton du Blanc, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Brenne - Val de Creuse[23].

    Elle dispose d'une agence postale communale[24] et d'un syndicat d'initiative[25].

    Les moines de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault, dont deux sont conseillers municipaux lors du mandat 2008-2014, représentent une part importante de l'électorat, expliquant l'arrivée de Christine Boutin en tête de l'élection présidentielle française de 2002 avec 29,9 % des suffrages dans la commune. Lors de l'élection présidentielle française de 2012, Nicolas Sarkozy récolte 40 % des voix au premier tour suivi de Marine Le Pen avec 17,17 % des voix. Son maire actuel, Jacques Tissier, s'est illustré publiquement en 2012 et 2013 en déclarant ne pas vouloir marier des homosexuels[26] - [27]. Le conseil municipal délibère en ce sens le et menace de démissionner si l'on force un membre du conseil municipal à célébrer un mariage entre deux personnes de même sexe. Un conseiller vote contre, deux démissionnent[28]. Devant le refus du conseil municipal de retirer cette délibération estimée par certaines illégale, le préfet de l'Indre dépose le , un recours en annulation devant le tribunal administratif d'Orléans[29]. Le , le tribunal administratif de Limoges a annulé cette délibération prise par le conseil municipal. La justice administrative a estimé que cette délibération adoptée le , violait le « principe de neutralité du service public » et a en particulier rejeté les arguments de l’avocat de la commune, MeCyrille Dutheil-de-la-Rochère, cousin de Ludovine de La Rochère, présidente de la Manif pour tous, estimant que le document n’était pas « un vœu » mais bien « une déclaration d’intention ».

    • Le syndicat d'initiative en 2011.
      Le syndicat d'initiative en 2011.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977[30] - [31] - [32] [Note 4] - [33] Jacques Tissier DVD[34] Retraité
    vacant ? ?
    [35] En cours Philippe Confolant ? Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 250 habitants[Note 5], en augmentation de 1,63 % par rapport à 2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    495380365369392411368390428
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    600569713781813420462450401
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    383357411395481452488472324
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    333324310267310283271269252
    2017 2020 - - - - - - -
    249250-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.

    Sports

    Fontgombault possède un swin golf, sport proche du golf inventé en France et reconnu par la Fédération française de golf. Le swin golf de Fontgombault possède neuf trous de difficultés différentes. Le circuit comporte des lignes droites atteignant parfois 200 mètres, des courbes pouvant aller jusqu'à 90° et de légères pentes.

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Économie

    La commune se situe dans l’aire urbaine du Blanc, dans la zone d’emploi du Blanc et dans le bassin de vie du Blanc[23].

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Pouligny-saint-pierre[42] et Sainte-maure-de-touraine[43].

    Culture locale et patrimoine

    • L'abbaye Notre-Dame en 2005.
    • L'église Saint-Jacques en 2011.
      L'église Saint-Jacques en 2011.
    • Le monument aux morts en 2011.
      Le monument aux morts en 2011.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
    4. Démission.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
    2. « Fontgombault » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
    3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
    4. « Fontgombault », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
    5. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. « Comparateur de territoire : Commune de Fontgombault (36076) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
    14. « Les risques près de chez moi - commune de Fontgombault », sur Géorisques (consulté le )
    15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    16. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    18. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    19. Article R214-112 du code de l’environnement
    20. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    21. Site de la commune de Fontgombault : L'histoire du village, consulté le 4 juin 2016.
    22. « Nom des habitants des communes françaises, Fontgombault », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
    23. « Commune de Fontgombault (36076) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
    24. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
    25. Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
    26. Sylvain Mouillard, « Fontgombault, le village où le maire refuse de marier les homos », Libération,‎ (lire en ligne).
    27. « Mariage pour tous : les indignés de Fontgombault », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
    28. Sarah Delattre, Siné mensuel : Deux village [sic] sous influences, coll. « 28 », , p. 10 (NOTE : il n'existe pas de no 28 en février 2013)..
    29. Agence France-Presse, « La justice administrative saisie du refus d'une mairie de l'Indre de marier les couples homos », sur www.lagazettedescommunes.com, (consulté le ).
    30. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    31. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    33. « Fontgombault : démission du maire, Jacques Tissier », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
    34. Site du Monde.fr : Fontgombault, consulté le 21 septembre 2016.
    35. « Fontgombault : Philippe Confolant élu maire », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
    41. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
    42. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Pouligny-Saint-Pierre, consulté le 15 août 2014.
    43. « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
    44. « Berry Roman: en Berry: ma campagne a du style, Berry province.com », p. 28
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.