Pondaurat
Pondaurat est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pondaurat | |||||
La mairie (juin 2009). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Francis Zaghet 2020-2026 |
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Code postal | 33190 | ||||
Code commune | 33331 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dorépontais | ||||
Population municipale |
460 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 32′ 15″ nord, 0° 05′ 13″ ouest | ||||
Altitude | Min. 11 m Max. 67 m |
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Superficie | 8,74 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Réolais et des Bastides | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | pondaurat.fr | ||||
Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune de Pondaurat se situe au sud (rive gauche) de la Garonne sans toutefois la border, séparée du fleuve par les communes de Bassanne et de Floudès. Elle se trouve à 61 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 15 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à 7 km au nord-est d'Auros, ancien chef-lieu de canton[1].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Puybarban au nord-est et est, Loupiac-de-la-Réole à l'extrême sud-est sur moins de 50 m, Aillas au sud-est, Savignac au sud-ouest, Castets et Castillon à l'ouest (anciennement Castillon-de-Castets) et Bassanne au nord-ouest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 56 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Pondaurat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,3 %), forêts (15,4 %), prairies (12,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La commune est traversée d'est en ouest par le canal de Garonne, sans écluse.
Les principales voies de communication routière sont la route départementale D12 qui mène vers le nord-est à Puybarban puis La Réole et vers le sud-ouest à Savignac puis Auros, le réseau un peu complexe des routes départementales D225 et D226 qui mène vers l'ouest en direction de Bieujac, Castillon-de-Castets, Castets-en-Dorthe et Langon et vers l'est en direction de Blaignac et de Fontet et la route départementale D118 qui mène vers l'est à la route départementale D9 et à Noaillac.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 4, dit de La Réole, se situe à 5,5 km vers le sud-est.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 21 km vers le sud-ouest.
La gare SNCF la plus proche est celle de La Réole, sur la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville du TER Aquitaine, située à 7,5 km vers le nord-est.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pondaurat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999, 2009 et 2021[23] - [21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 227 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 227 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
Le nom de la commune provient de pont doré, sans doute en raison de la couleur de la pierre de construction du pont.
En gascon, le nom de la commune est Pont Daurat.
Ses habitants sont appelés les Dorépontais[26].
Histoire
À la Révolution, la paroisse Saint-Martin-de-Monphélix forme la commune de Pondaurat[27].
Les Antonins et les Hospitaliers
À la fin du XIIIe siècle, une commanderie est fondée par les moines anachorètes de l'ordre de Saint Antoine, les Antonins, sur la voie limousine du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Cette commanderie fortifiée comporte une église conventuelle et un moulin et est située à proximité du pont péager qui franchit la Bassanne. L'ensemble devient, par la suite, propriété de l'ordre de Malte[28], puis à la Révolution, la commanderie le moulin et l'église Saint-Antoine sont vendus comme biens nationaux. En 1830 la commune rachète l'église et la commanderie qui devient la cure.
Politique et administration
Intercommunalité
Le , la communauté de communes du Pays d'Auros ayant été supprimée, la commune de Pondaurat s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31]. En 2020, la commune comptait 460 habitants[Note 6], en diminution de 5,35 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
L'ancienne commanderie, dans le centre du bourg, est aujourd'hui partagée en une église à part entière et l'établissement conventuel dont une annexe servait de moulin.
- L'église Saint-Antoine, de style gothique, en forme de croix grecque, date de la première moitié du XIIIe siècle et a été remaniée aux XVIIe et XIXe siècle (ajout d'une travée à cette dernière époque). Elle a été inscrite monument historique en 1925[34] ainsi que son presbytère en 1990[35].
- Église Saint-Martin-de-Monphélix de Pondaurat.
- Le monastère des Antonins et son moulin qui a servi jusqu'à la fin du XIXe siècle et désaffecté vers 1960 forment un ensemble d'habitations privées qui a été inscrit monument historique en 1990[36].
- À proximité desdits église et couvent, l'ancien pont péager des XIIIe et XIVe siècles franchit la Bassanne. Il a été inscrit monument historique en 1990[37].
- Près de ce pont, se trouve une croix de chemin monumentale qui a été inscrite en 1990[38].
Un autre édifice du village ainsi qu'une église hors du bourg figurent également à l'inventaire des monuments historiques :
- Une maison à contreforts inscrite en 1990[39].
- En dehors du village, sur une petite route menant vers le bourg de Puybarban se trouve l'église Saint-Martin-de-Monphélix de style roman et en partie reconstruite au XVIIe siècle.
- Le couvent sur la Bassanne
- Balisage du chemin de Compostelle au pont de Pondaurat (août 2008)
- Pondaurat, vieux pont sur la Bassanne (août 2008)
- Le pont médiéval (juin 2009)
- La croix de chemin (juin 2009)
- Façade de l'église Saint-Martin-de-Monphélix (juin 2009)
- Le monument aux morts sur une place face au pont médiéval (juin 2009)
Personnalités liées à la commune
- Roger Boussinot (1921-2001), ancien maire (écrivain et historien du cinéma).
Héraldique
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Les armes de Pondaurat se blasonnent ainsi : Écartelé de sable et d'azur, au premier au Tau d'argent rempli d'azur, au second au pont barrage à quatre arches d'or mouvant des flancs, au troisième à la coquille d'or, au quatrième à la croix de Malte d'argent. Le Tau est le symbole des Antonins fondateurs de la commanderie, le pont barrage est celui qui franchit et ralentit la Bassanne, la coquille signale l'étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle et la croix de Malte représente les derniers propriétaires de la commanderie avant la Révolution. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie, consulté le .
- Résultats du recensement de la population de Pondaurat sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Pondaurat », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Pondaurat sur le site de l'Institut géographique national, consulté le .
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 51,5 km pour Bordeaux, 13 km pour Langon et 6,6 km pour Auros. Données fournies par lion1906.com, consulté le 4 avril 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pondaurat et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pondaurat et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Pondaurat », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pondaurat », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Renseignement fourni par la mairie.
- Historique des communes, p. 41, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 4 avril 2013.
- https://www.acsap-pondaurat.com/fran%C3%A7ais/la-commanderie/
- Commune de Pondaurat sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 26 octobre 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Inscription de l'église Saint-Antoine », notice no PA00083670, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 5 avril 2011.
- « Inscription du presbytère », notice no PA00083890, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 30 septembre 2011.
- « Inscription des couvent et moulin », notice no PA00083888, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 5 avril 2011.
- « Inscription du pont médiéval », notice no PA00083889, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 5 avril 2011.
- « Inscription de la croix de chemin », notice no PA00083886, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 5 avril 2011.
- « Inscription de la maison à contreforts », notice no PA00083887, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 5 avril 2011.