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Pierres (Eure-et-Loir)

Pierres est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Pierres
Pierres (Eure-et-Loir)
Observatoire de Boisricheux, commune de Pierres.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Daniel Morin
2020-2026
Code postal 28130
Code commune 28298
Démographie
Gentilé Pierrotins
Population
municipale
2 768 hab. (2020 en diminution de 1,63 % par rapport à 2014)
Densité 266 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 31″ nord, 1° 34′ 04″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 159 m
Superficie 10,41 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Maintenon
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Épernon
Législatives Première circonscription
Localisation
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Pierres
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Pierres
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Pierres
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Pierres
Liens
Site web http://www.mairie-pierres.fr

    Ses habitants se nomment les Pierrotins et les Pierrotines.

    Géographie

    Situation

    • Situation géographique
    • Pierres dans son arrondissement.
      Pierres dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Pierres.
      Carte de la commune de Pierres.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et écarts

    • Bois-Richeux, hameau, communes de Pierres et de Néron[1].
    • Theneuse, hameau; autrefois fief, vassal du marquisat de Maintenon[2].
    • La Vallée Vilette, les Grandes Vignes.

    Hydrographie

    • La rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse la commune.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 89 de la société de transport Transdev Rambouillet,ainsi que par les lignes 20 et 152 du réseau Transbeauce.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 630 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 604,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 14 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[13] à 11 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Pierres est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Maintenon, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[19] et 7 075 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,8 %), forêts (14,1 %), zones urbanisées (11,9 %), eaux continentales[Note 8] (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pierres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Voise et l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1995, 1999 et 2017[27] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pierres.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 61,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 065 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1058 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Petra ficta en 771 (dipl. de Carloman), Petræ vers 1125 (cartulaire de Thiron), Petra en 1240 (charte du pr. d’Épernon)[30].

    Le toponyme Pierres semble issu du latin petra, « pierre », « rocher »[31]. L'endroit devait donc se caractériser par un rocher, des pierres ou une carrière.

    L’Eure-et-Loir possède de nombreuses cavités utilisées pour l’extraction de pierres de construction ou de matériaux pour l’amendement des champs.

    Homonymie avec Pierres dans le (Calvados).

    Hameaux et lieux-dits

    Bois-Richeux est attesté sous les formes Nemus-Richoldis vers 1160 (charte du chap. de Chartres) et Nemus Richendis en 1160[32], Boscus Ricoldis vers 1180 (nécr. du chap. de Chartres) et Boecus Richoldis en 1180[32], Boscus-Richoudi et Bois Richout vers 1350 (Livre rouge), puis Bois Richout[32], Bois Richard[32], Boys Richeust (charte du chap. de Chartres)[1] ou Boys Richeus[32] en 1490 et enfin Bois Richeux.

    Histoire

    Le hameau de Bois-Richeux

    Dès le XIIe siècle, on avait essarté la plus grande partie des bois qui couvraient le territoire où ce hameau prit naissance. C’est le grand chantre Amaury qui établit la villa de Bois-Richeux.
    En 1113, les moines de Thiron avaient, à Bois Richeux, une église ou abbaye dont il ne reste plus aujourd’hui aucun vestige. La chapelle Saint-Gilles de Bois-Richeux est mentionnée en 1490. Les matériaux propres à bâtir ont servi en 1827 à la construction du moulin de Pierres[32].

    En 1861, Bois-Richeux possédait une maison, un ménage, deux habitants.

    La bataille du 16 juin 1940

    Monument aux morts de Chartainvilliers, présentant, sur la gauche, une stèle ainsi rédigée : « A la mémoire des officiers et soldats du 26e Régiment de Tirailleurs Sénégalais tombés sur le territoire de la commune en juin 1940. Ils sont 56 ! »
    à gauche du Monument aux morts de Chartainvilliers, la stèle ainsi rédigée : « A la mémoire des officiers et soldats du 26e Régiment de Tirailleurs Sénégalais tombés sur le territoire de la commune en juin 1940. Ils sont 56 ! »

    (Dans les hameaux et les villages aux alentours de Pierres, quelques monuments et quelques plaques de rues évoquent de façon laconique le 16 juin 1940. Les écrits sur cet épisode de la dernière guerre sont assez rares et partiels).

    C’était un dimanche. 193 soldats du 26e régiment de tirailleurs sénégalais sont morts, après des combats héroïques, sur les communes de Pierres, Néron et Chartainvilliers. Certains ont été tués dans le petit bois qui borde la vallée de l’Eure[33] - [34]. Une stèle rappelle ce sacrifice à Chartainvilliers.

    .

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1965 Germain Hache Agriculteur
    1965 2001 Pierre Petiot
    2001 En cours Daniel Morin[35] - [36] Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 2 768 habitants[Note 9], en diminution de 1,63 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    620677706756712730757785734
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    729716703672654649703702727
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    763713692658654692689815818
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8698531 3011 9652 3982 6912 7332 8232 786
    2020 - - - - - - - -
    2 768--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Gervais-Saint-Protais.

    Il semblerait qu’à l’origine de Pierres, l’église n’ait pas occupé sa place actuelle, mais était située vers le carrefour de Théneuse, à la jonction de la route de Néron, sur la route de Nogent le Roi-Maintenon puis, pour des raisons ignorées, se serait rapprochée de Maintenon en 1540[32] - [41] ;

    • L'église Saint-Gervais-Saint-Protais.
      L'église Saint-Gervais-Saint-Protais.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • La ferme de Boisricheux et le jardin médiéval ;
    • Entrée de la ferme de Boisricheux.
      Entrée de la ferme de Boisricheux.
    • Le jardin médiéval de la ferme de Boisricheux.
      Le jardin médiéval de la ferme de Boisricheux.
    • Le jardin médiéval.
      Le jardin médiéval.
    • Les lavoirs ;
    • L'observatoire de Boisricheux ;
    • L'« arbre à six troncs », noyer centenaire, proche du cimetière et d'un aérodrome privé : hauteur 14 m, circonférence 4,50 m[42].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, , 281 p. (lire en ligne), p. 21.
    2. Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, , 281 p. (lire en ligne), p. 177.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Pierres et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Pierres et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Maintenon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques près de chez moi - commune de Pierres », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    30. Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, , 281 p. (lire en ligne), p. 143.
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    32. Charles Métais, Les Templiers en Eure-et-Loir : Historie et Cartulaire (1902), Kessinger Publishing, (ISBN 1165432749).
    33. Jean-Jacques François, La guerre de 1939-40 en Eure-et-Loir : la journée du dimanche 16 juin 1940, t. 3, La Parcheminière, , 527 p. (ISBN 2-9509931-3-3).
    34. « La Bataille de France : La dernière bataille », http://batailles-1939-1940.historyboard.net.
    35. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    36. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Cannelle 124 - Nadia Soler, « Église Saint-Gervais-Saint-Protais », sur http://www.entrepatrimoineetnature.fr, (consulté le ).
    42. Conseil départemental d'Eure-et-Loir, « Un arbre à six troncs... mais sans agrumes », Eurélien n° 72,‎ , p. 25.
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