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Pierre Mongin

Pierre Mongin, nĂ© le Ă  Marseille, est un haut fonctionnaire et dirigeant ou administrateur français d'entreprise publique et privĂ©e. 

Ancien élève de l'École nationale d'administration, préfet, il est président-directeur général de la Régie autonome des transports parisiens (RATP) de au .

Il quitte la direction de la RATP le et rejoint le groupe Engie en tant que directeur gĂ©nĂ©ral adjoint et secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du groupe.

Il y reste jusqu'en 2019 avant de se consacrer Ă  des projets personnels.

Biographie

Formation

Pierre Mongin est né le à Marseille. Il fait des études d'économie à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne et de sciences politiques à l'Institut d'études politiques de Paris[1]. Comme Dominique de Villepin, Ségolène Royal et François Hollande, il est membre de la promotion Voltaire de l'ENA, sortie en 1980. A l'ENA, il termine classé 58e sur 117 (voie administration générale)[2].

Vie privée

En 1981, il Ă©pouse Danielle Charpin, avec qui il aura trois enfants.

Carrière

Préfecture et cabinet ministériel

En 1980, il est directeur de cabinet du préfet de l'Ain, puis en 1981, secrétaire général de la préfecture de l'Ariège et de 1982 à 1984, directeur de cabinet du préfet des Yvelines. Il est ensuite affecté à la Direction de la Police nationale en tant qu'inspecteur, chargé de mission à l'Inspection générale de l'administration de 1984 à 1986, avant de connaître sa première expérience dans un cabinet ministériel en étant nommé directeur de cabinet d'Yves Galland, ministre des Collectivités locales sous la première cohabitation, de 1987 à 1988.

À la suite de la victoire de la gauche aux élections de 1988, il réintègre son corps d'origine et est affecté à la préfecture de police, comme sous-directeur au budget. Il y reste jusqu'en 1993.

Il revient dans les cabinets ministĂ©riels Ă  l'occasion de la victoire de la droite aux Ă©lections lĂ©gislatives de 1993. Il est nommĂ© chef de cabinet d'Édouard Balladur, alors Premier ministre. Pierre Mongin est entendu sous le statut de tĂ©moin assistĂ© dans l'affaire du financement de la campagne prĂ©sidentielle de 1995 d'Édouard Balladur. Mis en cause en raison de sa qualitĂ© de chef de cabinet du Premier ministre Édouard Balladur en 1995, il est mis en examen pour « dĂ©tournement de fonds publics Â» le . Il est dĂ©fendu par MaĂ®tre Olivier Baratelli qui obtient l'annulation de la mise en examen par la Cour d'appel de Paris le , mettant ainsi fin Ă  toute poursuite le concernant[3].

Après la dĂ©faite de son « mentor Â» Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 1995, il retourne Ă  son corps d'origine, dans la prĂ©fectorale. Il est alors successivement prĂ©fet d'Eure-et-Loir jusqu'en 1999, prĂ©fet de Vaucluse en 1999 et prĂ©fet de la rĂ©gion Auvergne et du dĂ©partement du Puy-de-DĂ´me de juillet 2002 Ă  avril 2004.

Le remaniement ministériel décidé par Jean-Pierre Raffarin en avril 2004 place Dominique de Villepin, jusqu'alors ministre des Affaires étrangères, au ministère de l'Intérieur. Ce dernier le nomme comme directeur de son cabinet et le confirme dans ses fonctions lorsqu'il arrive à l'Hôtel de Matignon en juin 2005.

De 2006 Ă  2009

Par décret du , Pierre Mongin succède à Anne-Marie Idrac, nommée présidente de la SNCF, comme président-directeur général de la RATP.

Dès sa nomination en 2006, il promeut MĂ©trophĂ©rique, un projet de nouvelle rocade de mĂ©tro, initiĂ© un an plus tĂ´t par Anne-Marie Idrac, autour de Paris qui deviendra ensuite le Grand Paris Express et, en 2007, met en place la rĂ©forme des rĂ©gimes spĂ©ciaux des retraites Ă  la RATP[4]. En 2008, l'entreprise rĂ©alise 112 millions d'euros de bĂ©nĂ©fices, un chiffre deux fois supĂ©rieur Ă  celui de l'annĂ©e passĂ©e[5]. Il lance Ă©galement avec ses Ă©quipes un plan de modernisation de la ligne A du RER d'ĂŽle-de-France (RER A) avec la mise en circulation des rames Ă  deux Ă©tages aux heures de pointe pour rĂ©pondre aux demandes croissantes des usagers[6].

En 2009, il est reconduit Ă  la tĂŞte de la RATP en Ă©tant chargĂ© par le gouvernement de prĂ©parer l'entreprise Ă  l'ouverture Ă  la concurrence du marchĂ© des transports urbains notamment dans le cadre du projet de loi sur le Grand Paris[7]. Cette mĂŞme annĂ©e, la RATP est devenue le deuxième recruteur d'ĂŽle-de-France et prĂ©sente un bĂ©nĂ©fice net annuel Ă  hauteur de 182,8 millions d'euros[8] - [9].

De 2010 Ă  2013

En 2010, Pierre Mongin veut faire de la RATP l'une des cinq plus grandes entreprises mondiales de transport au travers des dĂ©veloppements Ă  l'Ă©tranger et du lancement de MĂ©trophĂ©rique[10]. Par ailleurs, s'engageant dans l'industrie verte, la RATP et Irisbus prĂ©sentent Hynovis, un prototype de bus Ă  moteur hybride hydraulique permettant d'Ă©conomiser jusqu'Ă  20 % d'Ă©nergie[11]. La RATP enregistre cette annĂ©e-lĂ  un bĂ©nĂ©fice net annuel de 186 millions d'euros[12].

Cette mĂŞme annĂ©e, il prend la prĂ©sidence de Systra, groupe international d'ingĂ©nierie en matière de transports urbains et de transports ferroviaires[9] dĂ©tenu Ă  la fois par la SNCF et par la RATP. Ă€ l'occasion de ce changement de pĂ©rimètre de la filiale d'exploitation, qui comprend dĂ©sormais près de 9 000 salariĂ©s, il devient prĂ©sident du Conseil de surveillance de RATP Dev.

En , la Cour des comptes rend public le rapport « Les dysfonctionnements du Comité d'entreprise de la RATP »[13]. Pierre Mongin rappelle alors qu'il n'a « pas d'instrument de contrôle sur le CE de la RATP » et que la Cour des comptes est le seul organisme légal à pouvoir y exercer un contrôle. Il précise qu'il n'a jamais modifié le ratio fixé à 2,81 % de la masse salariale destiné au CE[14].

En 2012, la RATP signe un contrat d'exploitation avec le Syndicat des transports d'Île-de-France (STIF) l'engageant à des investissements importants sur le réseau : rénovation du matériel et des infrastructures existantes, prolongement des lignes de métro et des lignes de tramways[15]. La même année, RATP Dev renforce ses positions et affiche une augmentation de son chiffre d'affaires de 26 % par rapport à 2011[16]. Ce chiffre d'affaires est réalisé pour 66 % à l'international. Sa croissance se poursuit en 2013 avec la mise en service du tramway de Shenyang, en Chine[17] et le gain d'un contrat de construction et d'exploitation de lignes de tramway à Rio de Janeiro, au Brésil[18].

Sous sa présidence, le groupe Systra, détenu à parts égales par la RATP et la SNCF, s'unifie pour conquérir les marchés internationaux en devenant le numéro deux mondial de l'ingénierie ferroviaire et leader dans le domaine de la grande vitesse et afin de viser les grands chantiers du Grand Paris Express[19] - [20].

En , il rencontre le président de la SNCF afin de relancer le projet CDG Express, reliant l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle au centre de la capitale[21] - [22].

Il prend la tête de Fer de France, l'association qui fédère les acteurs de la filière ferroviaire, le 24 septembre 2013 et signe une convention avec Ubifrance dans le but d'accompagner les entreprises de la filière ferroviaire française dans leur développement international[23]. La même année, à la suite d'un accord entre Orange et la RATP, est annoncée l'arrivée de la 3G et de la 4G dans le métro et le RER[24]. Sous son impulsion, la RATP s'est imposée comme un grand employeur en France avec des milliers de postes à pourvoir et un accent important mis sur les emplois d'avenir. La formation des jeunes représente 7 % de la masse salariale de l'entreprise[25] - [26].

En 2013, la RATP prĂ©sente un bĂ©nĂ©fice net annuel en progression de 14 %, dĂ©passant pour la première fois les 300 millions d'euros[27]. Le 13 septembre, le Conseil d'administration du groupe RATP le maintient dans ses fonctions de PDG[28].

2014-2015

Pierre Mongin annonce le 23 janvier 2014 qu'il est candidat à sa propre succession[29], déclarant à propos de la RATP qu'il peut « encore la servir utilement »[30]. Sa candidature est soutenue par le président de la République François Hollande[31], mais également par Jean-Paul Huchon, président du Syndicat des transports d'Île-de-France (STIF), Jacques Rapoport, PDG de Réseau ferré de France (RFF), et Guillaume Pepy, président de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF)[30], qui déclare le soutenir car « il défend ses troupes, il a été adopté par la RATP. C'est aussi un développeur, qui a projeté cette entreprise régionale à l'international »[30].Il est reconduit au poste de PDG de la RATP le 23 juillet 2014[32], sans aucune réserve de la part des syndicats. La CGT déclare même à son propos que « c'est le bon élève du transport public »[33].

En , afin de préparer la RATP à l'ouverture à la concurrence, particulièrement en région parisienne, il annonce que l'entreprise « se prépare à être candidate à l'exploitation des futures lignes » du Grand Paris. Dans le même temps, il déclare également vouloir augmenter la part des filiales internationales dans le chiffre d'affaires de l'entreprise de 17 % au premier semestre 2014 à 30 % en 2020[34].

En , après une ligne de mĂ©tro Ă  Manille, un RER Ă  Pretoria, le mĂ©tro d'Alger et 10 % des bus londoniens, Pierre Mongin obtient un rĂ©seau de 1 000 bus avec climatisation et Wi-Fi[35]. Il signe ainsi le plus important contrat d'exploitation d'un rĂ©seau de bus de la RATP Ă  Riyad, un contrat de 1,7 milliard d'euros sur 12 ans signĂ© par la RATP en coentreprise avec Saptco. « C'est une Ă©tape importante pour le dĂ©veloppement de notre groupe », dĂ©clare Pierre Mongin Ă  ce sujet, Ă©galement intĂ©ressĂ© par le projet de mĂ©tro de la capitale saoudienne[36]. En 2014, 15 000 personnes travaillent pour RATP Dev, contre 0 en 2006. Il est prĂ©vu que ce chiffre double Ă  l'horizon 2020[35].

Le , alors que le groupe RATP annonce la signature d'un accord de coopération avec le concepteur de solutions de transport par câble Poma[37], Pierre Mongin décrit le transport par câble comme « un mode d'avenir, appelé à trouver sa place dans la chapine de mobilité, pour répondre à la demande des collectivités »[38]. Déjà impliqué dans ce domaine avec le funiculaire de Montmartre et le téléphérique du Salève en Haute-Savoie, il dit vouloir « aller plus loin »[38].

Le , son départ de la RATP est annoncé pour rejoindre GDF Suez le 1er mai 2015 en tant que directeur général adjoint et comme secrétaire général le 1er juillet suivant[39] - [40]. La veille de cette annonce, Pierre Mongin présentait les résultats de la RATP pour l'année 2014 qu'il qualifiait de « très bons »[41] avec un chiffre d'affaires en progression de 3,4 %[42], des investissements records de 1,58 milliard d'euros[43], une diminution de l'endettement[42] et de bons résultats à l'international[44].

Le , Pierre Mongin quitte la RATP, qu'il aura présidée pendant neuf ans, pour rejoindre la direction de Engie (ex-GDF Suez). Depuis 50 ans, il aura été le premier grand patron de la société des métros parisiens à être resté aussi longtemps. De l'avis des observateurs, l'ère Mongin a été une époque charnière dans la vie de la RATP. « Sous sa présidence, le développement à l'international s'est accéléré, passant d'un chiffre d'affaires de 150 millions d'euros en 2008 à près de 900 millions d'euros »[45], note Bertrand Mouly-Aigrot, spécialiste des transports et associé chez Archery Stratégy Consulting.

En outre, les observateurs s'accordent sur les avancées entreprises par Pierre Mongin dans le renforcement des relations avec le Syndicat des transports d'Île-de-France (STIF), dans son positionnement sur le projet de métro automatique du Grand Paris et la préparation à l'ouverture à la concurrence en Île-de-France[45].

Enfin, Pierre Mongin a permis au groupe de renouer avec un climat social apaisé, comme en témoigne notamment Gilles Dansart, journaliste et directeur de la lettre spécialié Mobilettre, qui souligne le retour à un climat social serein : l'indicateur, c'est qu'il n'y a pas de grève[45].

Directeur général adjoint d'Engie

Selon les mots de Gérard Mestrallet, alors PDG d'Engie, « le parcours de Pierre Mongin, qui a piloté avec succès la réorganisation en profondeur de la RATP (...), apportera une contribution précieuse à la transformation du groupe »[45].

L'arrivée de Pierre Mongin au comité exécutif d'Engie à partir du [46], en tant que directeur général adjoint, et comme secrétaire général à partir du , s'inscrit dans le vaste plan de réorganisation du groupe piloté par Isabelle Kocher pour faire face aux bouleversements énergétiques[47].

À partir du , Pierre Mongin se voit en outre confier en tant que directeur général adjoint la supervision des Business Units Afrique, Benelux, France Réseaux et France BtoC ainsi que la coordination de la sûreté nucléaire[47].

En , il fait part de son intention de prendre progressivement du recul dans ses activités. Il reste secrétaire général du groupe jusqu'en avant de devenir senior advisor (conseiller principal) du directeur général ; il compte se consacrer à des projets personnels à son départ du groupe en fin d'année 2019. Isabelle Kocher, directrice générale du groupe salue sa contribution unique et exceptionnelle à la transformation du groupe au cours des quatre dernières années[48].

Autres fonctions

Pierre Mongin a été membre du conseil d'orientation du domaine de Chambord[1] du Conseil d’Administration du Musée d’Orsay et du Comité de la stratégie et des investissements de GDF Suez[1]. Pierre Mongin est administrateur de CMA CGM et de Swiss Life France . Il est également Membre du Comité de direction du Cercle de l’Union Interalliée et du Nouveau Cercle de l’Union.

DĂ©corations

Décorations françaises

Décorations étrangères

Notes et références

  1. « GDF Suez, Biographies, Membres du conseil d'administration », sur gdfsuez.com (consulté le ).
  2. « ENA : découvrez le classement de la promo Voltaire de François Hollande », sur lejdd.fr, article du , modifié le (consulté le ).
  3. « Affaire de Karachi : la mise en examen de Pierre Mongin, PDG de la RATP, est annulée », sur lemonde.fr, article du 25 mars 2014 (consulté le ).
  4. RATP : le régime spécial de retraite "confirmé", selon la direction, article du 21 décembre 2007, sur challenges.fr (consulté le 29 avril 2014).
  5. Pierre Mongin reconduit à la présidence de la RATP, article du 13 juillet 2009, sur lefigaro.fr, consulté le 28 janvier 2015.
  6. RER A : la RATP ne veut plus ramer aux heures de pointe, article du 19 mai 2008, sur lepoint.fr, consulté le 28 janvier 2015.
  7. Le PDG de la RATP reconduit à son poste, article du 23 juillet 2009, sur leparisien.fr, consulté le 28 janvier 2015.
  8. La RATP transporte moins mais gagne plus, article du 29 mars 2010, sur liberation.fr, consulté le 28 janvier 2015.
  9. Pierre Mongin, élu président de Systra, article du magazine Transport public, no 1109 de janvier 2011. Consulté le 16 janvier 2012.
  10. RATP : Mongin rêve d'expansion, article du 12 juillet 2010, sur lesechos.fr, consulté le 28 janvier 2015.
  11. Hynovis : le bus hybride du futur de la RATP, article du 2 février 2010, sur lci.tf1.fr, consulté le 28 janvier 2015.
  12. Des résultats annuels 2010 en hausse pour la RATP, article du 14 mars 2011, sur boursier.com, consulté le 28 janvier 2015.
  13. L'argent caché des syndicats « Copie archivée » (version du 21 octobre 2013 sur Internet Archive), Fabrice Amedeo, Lefigaro.fr, 3 décembre 2011.
  14. «Je n'ai pas d'instrument de contrôle sur le CE de la RATP», Fabrice Amedeo, Lefigaro.fr, 6 décembre 2011.
  15. La SNCF signe un contrat de 10 milliards d’euros avec le STIF, article du 3 mai 2012, sur usinenouvelle.com (consulté le 29 avril 2014).
  16. Résultats RATP : chiffre d'affaires en hausse mais fréquentation en baisse en 2012, article du 2 avril 2013, sur www.mobilicites.com, consulté le 28 janvier 2015.
  17. La RATP et Transdev avancent leurs pions en Chine, article du 19 août 2013, sur lesechos.fr/, consulté le 28 janvier 2015.
  18. RATP Dev remporte un contrat pour le tramway de Rio, article du 7 mai 2013, sur lesechos.fr/, consulté le 28 janvier 2015.
  19. Systra veut conquérir les trams et les trains du monde entier, article du 27 mai 2012, sur lefigaro.fr, consulté le 4 juin 2012.
  20. Le nouveau Systra vise le Grand Paris, article du 28 mai 2012, sur mobilicites.com, consulté le 4 juin 2012.
  21. Vers une liaison express Roissy-Paris?, article du 16 mai 2012, sur lefigaro.fr, consulté le 4 juin 2012.
  22. L'ex-PDG d'Air France ressuscite CDG Express, article du 16 mai 2012, sur challenges.fr, consulté le 4 juin 2012.
  23. UBIFRANCE et Fer de France s’unissent pour aider les entreprises françaises de la filière ferroviaire à se développer à l’international, article du 24 mars 2014, sur commerce-exterieur.gouv.fr, consulté le 30 avril 2014.
  24. Orange lance la 3G et la 4G dans le métro, article du 13 décembre 2013, sur challenges.fr, consulté le 30 avril 2014.
  25. Michel Sapin signe le 200e contrat d'avenir à la RATP, article du 20 janvier 2014, sur leparisien.fr, consulté le 30 avril 2014.
  26. La RATP va recruter 100 "emplois d'avenir" supplémentaires, article du 17 mars 2014, sur mobilicites.com, consulté le 30 avril 2014.
  27. Pierre Mongin (RATP): "La gratuité des transports coûte 2,5 millions d'euros par jour", article du 17 mars 2014, sur bfmtv.com, consulté le 30 avril 2014.
  28. « La RATP affirme son soutien à Pierre Mongin », Libération, article du 13 septembre 2013 (consulté le ).
  29. « RATP: Pierre Mongin candidat à sa succession », article du 23 janvier 2014, sur legigaro.fr. consulté le 24 janvier 2014.
  30. « Le P-DG sur de bons rails », sur parismatch.com, article du 9 juin 2014 (consulté le ).
  31. Hollande veut reconduire Romanet à la tête d'ADP et Mongin à la tête de la RATP, Challenges, article du 4 juillet 2014, sur challenges.fr, consulté le 28 janvier 2015.
  32. « RATP: Pierre Mongin reconduit à la tête de la régie », sur L'Expansion, article du 23 juillet 2014 (consulté le ).
  33. « Comment le patron de la RATP séduit tout le monde (y compris la CGT) », sur Challenges, article du 2 novembre 2014 (consulté le ).
  34. « La RATP, dont les bénéfices augmentent, se prépare à la concurrence », sur Le Point, article du 1er septembre 2014 (consulté le ).
  35. « RATP, changement sur toute la ligne », sur lesechos.fr, article du 8 janvier 2015 (consulté le ).
  36. « L'Arabie saoudite confie les bus de Riyad à la RATP », sur lefigaro.fr, article du 20 novembre 2014 (consulté le ).
  37. « RATP et Poma tirés par le câble », sur usinenouvelle.com, article du 23 janvier 2015 (consulté le ).
  38. « La RATP et Poma signent un accord », sur lefigaro.fr, article du 20 janvier 2015 (consulté le ).
  39. « Pierre Mongin quitte la présidence de la RATP et rejoint GDF Suez », sur lemonde.fr, article du 17 mars 2015 (consulté le ).
  40. « Pierre Mongin sera nommé Directeur Général Adjoint, Secrétaire Général, à compter du 1er juillet 2015 », sur gdfsuez.com, article du 17 mars 2015 (consulté le ).
  41. « Pierre Mongin quitte la RATP », sur mobilicités.com,
  42. « En partance pour GDF Suez, Pierre Mongin laisse une RATP en ordre de marche », sur lesechos.fr,
  43. « RATP : un investissement record en Ile-de-France en 2014 », sur mobilicités.com,
  44. « Bons résultats à l'international de la RATP qui prépare ses candidatures pour le Grand Paris », sur varmatin.com,
  45. Le Point, magazine, « Pierre Mongin rejoint le groupe Engie, et quitte la RATP », sur Le Point, (consulté le ).
  46. lefigaro.fr, « Les décideurs d'ENGIE (ex-GDF SUEZ) », sur Le Figaro (consulté le )
  47. « Engie : une nouvelle organisation autour d'Isabelle Kocher », sur Boursier.com (consultĂ© le )
  48. « ENGIE renforce son organisation pour réaliser son plan stratégique… », sur www.engie.com, (consulté le ).
  49. Décret du 31 décembre 1999 portant promotion et nomination
  50. DĂ©cret du 11 juillet 2008 portant promotion et nomination
  51. DĂ©cret du 13 juillet 2016 portant promotion et nomination
  52. ORDRE NATIONAL DU MERITE DĂ©cret du 13 mai 1996 portant promotion et nomination
  53. DĂ©cret du 14 mai 2003 portant promotion et nomination
  54. « N°3 : Pierre Mongin peut s'épingler huit décorations différentes », Le journal du net,‎ (lire en ligne, consulté le )

Bibliographie

Voir aussi

Articles connexes

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