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PĂ©rigny (Calvados)

PĂ©rigny est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Calvados en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 57 habitants[Note 1].

PĂ©rigny
PĂ©rigny (Calvados)
L'Ă©glise Saint-Julien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Calvados
Arrondissement Vire
Intercommunalité Communauté de communes Intercom de la Vire au Noireau
Maire
Mandat
Jean-Christophe Meunier
2020-2026
Code postal 14770
Code commune 14496
DĂ©mographie
Gentilé Péruviens
Population
municipale
57 hab. (2020 en diminution de 1,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 21 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 55â€Č 19″ nord, 0° 36â€Č 19″ ouest
Altitude Min. 120 m
Max. 232 m
Superficie 2,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Condé-en-Normandie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Condé-sur-Noireau
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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PĂ©rigny
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PĂ©rigny

    GĂ©ographie

    La commune est Ă  l'est du Bocage virois, Ă  proximitĂ© de la Suisse normande. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie la place au sud-est de l'unitĂ© du synclinal bocain caractĂ©risĂ©e par « une alternance de lambeaux boisĂ©s sur les crĂȘtes et de paysages semi-ouverts »[1].

    La commune est en retrait des grandes voies de communication, à équidistance, mais à plus de km, des quatre chefs-lieux de cantons les plus proches : Vassy au sud-ouest, Condé-sur-Noireau au sud-est, Thury-Harcourt au nord-est et Aunay-sur-Odon au nord-ouest. Le territoire communal est traversé au nord par la route départementale no 166b qui relie les bourgs de Lénault (à l'ouest) et Saint-Pierre-la-Vieille (à l'est) et qui passe par l'église. Au sud, le long de la Druance, la D 166 joint Saint-Pierre-la-Vieille à Saint-Vigor-des-Mézerets (au sud-ouest). La D 218, qui emprunte partiellement le tracé de la D 166, rejoint Saint-Jean-le-Blanc à l'ouest et Pontécoulant, vers Condé-sur-Noireau, au sud.

    Périgny est dans le bassin de l'Orne, par son sous-affluent la Druance qui délimite le territoire de celui de Saint-Vigor-des-Mézerets au sud. Son affluent, le ruisseau de Cresme sert de limite avec Saint-Pierre-la-Vieille à l'est. Un modeste vallon séparant la commune en deux parties équivalentes et dominé par le petit bourg (« la Commune ») draine les eaux communales vers le ruisseau de Cresme.

    Le point culminant (232 m) se situe au nord-ouest, Ă  l'endroit oĂč la D 166b quitte le territoire vers LĂ©nault. Le point le plus bas (120 m) correspond Ă  la sortie de la Druance du territoire, au sud. Les vallĂ©es assez marquĂ©es de la Druance et du ruisseau de Cresme sont boisĂ©es.

    Les lieux-dits sont, du nord-ouest Ă  l'ouest, dans le sens horaire, Danne, la Commune, les Hauts Champs, le Val MĂ©rienne, le Val Rosaire, le Bout de LĂ  et Bergogne[2] - [3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 904 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Georges D », sur la commune de Seulline, mise en service en 1997[12] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 007,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et Ă  32 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,9 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  11,5 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Périgny est une commune rurale[Note 7] - [19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de CondĂ©-en-Normandie, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (82,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (56,8 %), terres arables (25,7 %), forĂȘts (17,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Perigneium au XIe siÚcle[26] et Pérignié en 1398[27]. Le toponyme serait issu de l'anthroponyme roman Paternus[28].

    Le gentilé est Péruvien, à ne pas confondre avec celui de la commune voisine de Saint-Pierre-la-Vieille, Pétruvien.

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépendait de la sergenterie de Saint-Jean-le-Blanc et de l'élection de Vire.

    Elle appartenait au haut Moyen Âge à Grimoult du Plessis[29].

    Elle passa ensuite dans une famille Poisson qui troqua son nom pour celui de PĂ©rigny. En 1389, Jean Guillemin est seigneur de PĂ©rigny. Un autre Jean Guillemin possĂšde la seigneurie en 1453. Elle passa ensuite dans les mains des familles du Grippel, Anzeray et Ruault.

    La seigneurie de Périgny appartenait au XVIIIe siÚcle à la famille Gohier de Précaire[30].

    Le , au cours de l'opération Totalize, un bombardier B-17-G du 349th Bomb squadron (8th Air Force) s'écrase au lieu-dit les Hauts Champs, abattu par la Flak. Huit de ses occupants périssent, seul le Staff Sergeant (en) Gilbert A. Borba sort indemne[31].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des derniÚres élections politiquement significatives :

    Administration municipale

    Liste des maires[37]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1892 1955 Ernest Jouvin
    1955 juin 1995 Albert Auvray
    juin 1995[38] mars 2015[39] Dominique Mullois[40] SE Conseiller commercial
    mai 2015[41] En cours Christiane Portier Sans profession
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de sept membres dont le maire et un adjoint[41].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[43].

    En 2020, la commune comptait 57 habitants[Note 9], en diminution de 1,72 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Périgny est la commune la moins peuplée du canton de Condé-sur-Noireau. Elle a compté jusqu'à 226 habitants en 1836.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    220210207206208226220212215
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    205200180148157149156163122
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1481271009382958410085
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    807760475362555357
    2018 2020 - - - - - - -
    5857-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee Ă  partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    En 2009, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à trente personnes, parmi lesquelles on comptait 79,3 % d'actifs dont 69 % ayant un emploi[46]. On comptait six emplois dans la zone d'emploi, contre également six en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de vingt, l'indicateur de concentration d'emploi est de 19,8 %, la zone d'emploi offre donc un peu moins d'un emploi pour trois habitants actifs[46].

    Lieux et monuments

    Les Pierres druidiques.
    • Église Saint-Julien du XVIe siĂšcle.
    • Pierres druidiques de Becquerel.
    • StĂšle Ă©rigĂ©e en l'honneur des soldats amĂ©ricains morts pour la libĂ©ration de la commune Ă  la suite du crash de leur avion le (inaugurĂ©e sur la place du village le ).

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[9].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « www.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unitĂ©s de paysage : UnitĂ© 7.4.1 : Le synclinal bocain, montagne aux stigmates de l’abandon » [PDF] (consultĂ© le )
    2. « Périgny » sur Géoportail.
    3. Cadastre.gouv.fr
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    5. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Saint-Georges D - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Périgny et Seulline », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Saint-Georges D - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Périgny et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    27. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, GenÚve, (lire en ligne), p. 578
    28. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (Ă©ditĂ© erronĂ©), BNF 36174448), p. 195-196
    29. Camille Cautru, Périgny, Notes d'Histoire, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, 1979.
    30. Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 3 : Arrondissements de Vire et de Bayeux, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 28
    31. « perigny14.fr - 8 août 1944 - Périgny (Calvados) » (consulté le ), et pages liées.
    32. « Résultats des élections régionales 2015 », sur www.interieur.gouv.fr, ministÚre de l'Intérieur (consulté le )
    33. « Résultats des élections européennes 2014 », sur www.interieur.gouv.fr, ministÚre de l'Intérieur (consulté le )
    34. « Résultats des élections législatives 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministÚre de l'Intérieur (consulté le )
    35. « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministÚre de l'Intérieur (consulté le )
    36. « Résultats des élections européennes 2009 », sur www.interieur.gouv.fr, ministÚre de l'Intérieur (consulté le )
    37. Source partielle : François Lefaivre, CondĂ©-sur-Noireau et sa communautĂ© de communes, CondĂ©-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 195 p. (ISBN 978-2-84706-323-3), p. IX
    38. « Le maire Dominique Mullois se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    39. « Nécrologie à Périgny. Le maire Dominique Mullois est décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    40. Réélection 2014 : « Dominique Mullois honore un 4e et dernier mandat », sur Ouest-france.fr (consulté le )
    41. « Élection Ă  PĂ©rigny. Christiane Portier Ă©lue maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consultĂ© le )
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. « Chiffres clés - Périgny - Année 2009 » [PDF], sur le site de l'Insee (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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