Montrichard
Montrichard (prononcé en français : [mɔ̃tʁiʃaʁ]) est une ancienne commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire.
Montrichard | |||||
Le Cher à Montrichard. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Loir-et-Cher | ||||
Arrondissement | Blois | ||||
Intercommunalité | Val-de-Cher-Controis | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Pierre Langlais 2017-2020 |
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Code postal | 41400 | ||||
Code commune | 41151 | ||||
Démographie | |||||
Population | 3 319 hab. (2013) | ||||
Densité | 231 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 20′ 37″ nord, 1° 11′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 59 m Max. 134 m |
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Superficie | 14,36 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Montrichard (chef-lieu) | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Montrichard Val de Cher | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Elle intègre la commune nouvelle de Montrichard Val de Cher avec le statut de commune déléguée le [1].
Géographie
Localisation
Commune de l'est de la Touraine dans le département de Loir-et-Cher, au bord du Cher entre Tours et Vierzon. Paysage mixte : vignobles, bois, élevage et céréales.
Vit entre autres du tourisme dans la zone des châteaux de la Loire : à moins de 20 km de Chenonceaux, Amboise, Montpoupon, Valençay et Chaumont. Vallée plate du Cher au sud, coteau calcaire (tuf) au nord, avec des habitats troglodytiques spécifiques de la région Centre-Val de Loire, des caves à vin et champignonnières.
Villes limitrophes
Chissay-en-Touraine, Vallières-les-Grandes, Pontlevoy, Saint-Julien-de-Chédon et Faverolles-sur-Cher.
Distances à vol d'oiseau entre Montrichard et les grandes villes françaises :
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la gare de Montrichard et par deux lignes d'autocars du Réseau de mobilité interurbaine (Rémi) : la C (ex-Touraine Vil Vert) et la 6 (ex-Route 41).
Toponymie
Particularité : la prononciation est « MON-TRICHARD » [mɔ̃tʀiʃɑʀ]. La prononciation « MONT-RICHARD » [mɔ̃ʀiʃɑʀ] est parfois usitée à tort par des personnes étrangères à la région, par méconnaissance de cette particularité.
L'origine du nom est floue et plusieurs explications coexistent pour justifier la prononciation du « t » : « Montrichard » signifierait « mont entouré de trois tours carrées » (« tri » pour « trois » = « chard » pour « carrées »[2], ou il s'agirait du « Mont du Tricheur » (mont dans le fief de Thibaud le Tricheur[3] - [4] - [5]), ou encore, le château de Montrichard présentant un chemin difficile d'accès, qui trompait ou qui était fort étroit[6], on aurait donné à la commune le nom de « Mont qui triche », « Mont trichard »[7]. Selon une autre étymologie du nom, celui-ci fut écrit par certains Mont Richardus[7], faisant allusion à Richard Cœur de Lion, qui posséda effectivement la forteresse, justifiant ainsi une prononciation sans le « t ».
Au cours de la Révolution française, la commune porta le nom de Montégalité[8].
Histoire
Moyen Âge
Sa tour maîtresse (ou donjon) carrée atteste la présence d'un château du XIe siècle, dont la construction est attribuée au comte d'Anjou Foulques Nerra[9]. La tour actuelle est plutôt attribuée à Hugues de Chaumont[10]. Plusieurs maisons à colombages sont présentes dans cette ville.
Après la mort d'Henri II Plantagenêt (1133-1189), seigneur d'Anjou et roi d'Angleterre, et profitant de ce que Richard Cœur de Lion, capturé lors de son retour de la troisième croisade, soit retenu prisonnier par l'empereur germanique Henri VI, Philippe Auguste intrigue avec Jean sans Terre, le frère de Richard Cœur de Lion, et se fait donner Montrichard[11].
Depuis 2016
En 2016, Montrichard absorbe sa voisine Bourré pour former la commune nouvelle de Montrichard Val de Cher.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Elle est jumelée avec Eltville, en Allemagne, et cultive des relations privilégiées avec la ville de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, en Vendée.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13] - [Note 1].
En 2013, la commune comptait 3 319 habitants, en diminution de −3,24 % par rapport à 2008 (Loir-et-Cher : 1,71 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (41,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (55,3 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 44,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 12,5 %, 15 à 29 ans = 18,1 %, 30 à 44 ans = 15,1 %, 45 à 59 ans = 18,5 %, plus de 60 ans = 35,8 %) ;
- 55,3 % de femmes (0 à 14 ans = 9,7 %, 15 à 29 ans = 11,3 %, 30 à 44 ans = 13,5 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 46,9 %).
Événements
À la fin des années 1950 et au début des années 1960, un premier trésor a été retrouvé par un retraité érudit qui a permis d'exhumer d'une petite construction annexe de l'église de Nanteuil des objets de culte (calices, ciboires, etc.) dissimulés au moment de la Révolution française (souvenirs personnels).
Le , sur un chantier de la vieille ville, un maçon portugais, Paulo Ferreira, a découvert un trésor de 374 pièces d'or et d'argent, frappées de François Ier à Louis XIV ainsi que des pièces d'or espagnoles. Ce trésor, d'un poids de cinq kilos, aurait été caché vers 1661, sous une ardoise près de la cheminée. Le , 295 de ces pièces ont été vendues aux enchères pour près de 300 000 euros.
Le , après avoir visité l'entreprise Daher à Saint Julien-de-Chédon, le président de la République Nicolas Sarkozy a présenté le Fonds Stratégique d'Investissement (FSI) à travers un discours dans la salle de l'espace culturel de Montrichard.
Le , Christine Arron, athlète française spécialiste du sprint détenant depuis 1998 le record d'Europe du 100 mètres en 10 s 73, était la marraine du Touraine Primeur 2011.
Le avait lieu la première élection Miss Prestige Touraine du comité Miss Prestige National, en présence de Geneviève de Fontenay dans la salle de l'espace culturel de la commune.
Économie
Entreprises
- Résidences Touraine 1 : résidence-services pour retraités
- Laboratoire pharmaceutique : un des 3 sites de production français des Laboratoires Boiron (le leader mondial de l'homéopathie) se trouve à Montrichard. Il emploie 120 salariés, mais devrait fermer fin 2021[17]. C'est un ancien site des laboratoires Dolisos (ancien no 2 de l'homéopathie).
- MIC-Tôlerie : entreprise de tôlerie industrielle et de précision (transformation des métaux en feuilles et tubes).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame de Nanteuil : chœur à abside polygonale voûtée en cul-de-four, transept saillant et absidioles semi-circulaires voûtées en cul-de-four XIIe siècle, nef unique de quatre travées XIIIe siècle, façade et portail XVe siècle, deux chapelles superposées XVe siècle à l'angle de la nef et du croisillon nord, deux escaliers de pierre hors-œuvre, un escalier intérieur ; tableaux des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Au XVe siècle, le roi Louis XI et la reine Charlotte de Savoie, son épouse, n'ont pas cessé de la soutenir. Ainsi, grâce à eux, l'escalier extérieur a été achevé. L'architecte Anatole de Baudot y a effectué des travaux de restauration[18].
- L'Église Sainte-Croix au pied du château. Elle était sa chapelle avant de devenir église paroissiale au XVIe siècle. Les éléments les plus anciens de l'église datent du XIe siècle. Le chœur et les chapelles gauches ont été construites au XVIIe siècle. La tour-clocher, le collatéral droit et le porche ont été élevés au XIXe siècle. Elle est, avec le château, un témoin de deux mariages royaux. Il s'agit de ceux d'Anne de France et de Jeanne de France, filles de Louis XI.
- L'Hôtel d'Effiat (place de l'Hôtel-de-Ville), construit par Jean de Beaune Semblançay pour la partie gothique, et par son fils, Guillaume de Beaune pour la partie Renaissance. Le marquis d'Effiat qui le possédait l'offrit à la ville en 1717 pour y installer un hospice. Il est resté un hôpital local jusqu'en 1977.
- La Rue Nationale : Maison au 94, maison au 75-77, et deux maisons en pans de bois au 67, mais aussi la Maison du Prêche et la Maison de l'Ave Maria (au 88). Le nom de cette dernière maison, construite au XVe et XVIe siècles, vient du poteau cornier qui représentait une Annonciation ; la tradition locale indique qu'elle servait de résidence aux chanoines qui desservaient la chapelle du château (actuelle église Sainte-Croix).
- La Tour maîtresse constituant le Château de Montrichard du XIIe siècle succède vraisemblablement à une première tour édifiée par Foulques Nerra au début du XIe siècle[9]. La tour maîtresse se présente encore en élévation avec une partie de ses courtines.
- Le Pont sur le Cher. Il a conservé une partie de son aspect médiéval bien qu'il soit beaucoup remanié. Il est situé sur un ancien itinéraire de la route reliant Paris à Bordeaux passant par Blois, Pontlevoy, Montrichard, Loches, La Haye en Touraine (aujourd'hui La-Haye-Descartes) et Châtellerault. La littérature du XIXe siècle fait remonter son origine et sa construction sous le règne des Plantagenêts en Touraine. On pénétrait dans la ville par la porte d'Espagne ou la porte du Pont qui comportait un corps de garde entre deux tours rapprochées. Les deux premières arches du pont supportaient des moulins supposés fortifiés. Cet ensemble a été démoli au XIXe siècle pour canaliser. Une gravure de Nicolas Poictevin montre l'état du pont et sa constitution aux environs de l'an 1690[19], à deux exceptions : l'arche extrême de la rive droite n'existe plus et la grande pile en rive gauche prévue pour supporter une tour-porte fortifiée est désormais nue, puis l'arche en anse de panier a été construite sous le Second Empire pour remplacer trois arches côté ville. En 1941, les troisième, quatrième et cinquième arches ont été reconstruites en béton. Le pont ayant été miné par les troupes allemandes, il a été sauvé grâce à une opération offensive de la Résistance locale, le [20].
- La Tour de la place du Commerce[21], vestige de l'enceinte urbaine médiévale qui défendait la ville et située à l'actuelle place du Commerce. La tour est ronde et dépourvue de ses créneaux qui étaient encore présent durant les années 1910-1920. Des ouvertures de la tour ont été aménagées donnant une fenêtre et une porte surmontées par des arches brisées.
- La Tour dite "pigeonnier", tour carrée en ruine à l'extrémité orientale de la ville apparenté à l'enceinte urbaine et castrale. Cette tour présente 3 pans de murs sur 4, présentant à l'intérieur de ceux-ci des trous de boulins pour loger les pigeons autrefois.
- La Fontaine Saint-Cellerin.
Curiosités
- Un joli trompe-l'œil du peintre Armand Langlois est visible sur la façade du cinéma de la ville.
- Un premier film, Le Mouron rouge, a été tourné à la fin des années 1940 - début des années 1950, on y voyait entre autres une diligence passer sur le pont avec la maison du passeur.
- La ville est citée dans le film de Steven Spielberg Arrête-moi si tu peux, comme lieu de provenance de Paula, la mère de l'escroc Frank Abagnale, Jr., qui aurait épousé un soldat américain à la Libération. La scène de l'arrestation de l'escroc, à la fin du film, est d'ailleurs censée se dérouler sur la place de l'Église ; en réalité, le tournage a eu lieu sur la Place Royale de la ville de Québec (Canada)[22].
- Le film de Danièle Dubroux La petite allumeuse (1987) avec Pierre Arditi, Roland Giraud et Alice Papierski a été partiellement tourné à Montrichard : on y voit entre autres la gare, les quais et le pont sur le Cher. D'autres scènes se déroulent au château de Montpoupon, près de Montrichard.
- Un des protagonistes du film L'équipier (2004) de Philippe Lioret annonce qu'il vient de Montrichard.
Personnalités liées à la commune
- Anne de France, future régente du royaume de France, y épouse, en 1474, Pierre de Beaujeu (devenu Pierre II de Bourbon).
- Jeanne de France, dite Sainte Jeanne de France, s'y marie avec le futur roi de France Louis XII le [23], mais son mariage sera déclaré nul 22 ans plus tard pour "non consommation".
- Pierre Victor Palma Cayet (1525-1610), historien, traducteur et controversiste français, né à Montrichard.
- Antoine II Coëffier de Ruzé d'Effiat (1639-1719), seigneur de Montrichard.
- Étienne Soulange-Bodin, homme politique, diplomate et botaniste français, y naît le .
- Gustave Bouchereau (1835-1900), psychiatre, né à Montrichard.
- Robert Ranjard (1881-1960), médecin et archéologue, est né à Montrichard où il a passé ses premières années.
- André Alerme, acteur, y décède le .
- Jeanne Besnard-Fortin (1892-1978), artiste peintre, vécut à Montrichard et y est inhumée.
- Roger Goemaere, homme politique né le , député de 1962 à 1967, ancien maire de Montrichard de 1965 à 1977, conseiller général du canton de Montrichard de 1967 à 1998, président du conseil général du Loir-et-Cher de 1988 à 1998, conseiller régional de 1986 à 1998, décédé le .
Voies
157 odonymes recensés à Montrichard au | |||||||||||||||
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Allée | Avenue | Bld | Chemin | Clos | Impasse | Montée | Passage | Place | Promenade | Quai | Rampe | Route | Rue | Autres | Total |
2[N 1] | 5[N 2] | 1[N 3] | 17 | 0 | 5[N 4] | 0 | 2[N 5] | 6[N 6] | 0 | 4[N 7] | 1[N 8] | 2[N 9] | 101[N 10] | 11[N 11] | 157 |
Notes « N » |
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Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & perche-gouet.net & OpenStreetMap |
Héraldique
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Les armoiries de Montrichard se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Bibliographie
- Montrichard (Histoire de), Célestin Brethon, Le Livre d'histoire, Paris 1991 . (ISBN 2-87760-648-1)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- « recueil des actes administratifs du Loir-et-Cher »
- Montrichard, sur le Wiktionnaire.
- Page relatant l'origine du nom de Montrichard.
- Autre page relatant l'origine du nom de Montrichard.
- Extrait du livre Notice historique et descriptive sur Pontlevoy (1836), pages 5 et 6 dans lesquelles une note de bas de page indique qu' « il est plus simple et plus naturel de penser que Foulques (-le-Noir) voulait par là injurier son ennemi Eudes de Blois, qui était petit-fils de Thibault de Chartres, surnommé le Trichard, parce qu'il avait traitreusement tué Guillaume, dit Longue Épée, duc de Normandie. Cette dénomination de tricheur, qui ne présente plus à notre esprit qu'une idée de tromperie plus ou moins coupable, a sa racine dans la langue anglaise : le mot treachery signifie trahison, et celui de treacherous, traître. Le sens de ces mots anglais retrace fort bien la trahison ou guet-apens de Thibault à l'égard de Guillaume qu'il assassine au moment où il avait l'air de rechercher, dans un tête à tête, son amitié. Foulques en trichant à son tour le petit-fils de Thibault, par le fait de la construction d'une forteresse sur un terrain qu'il lui usurpait, semblait lui adresser le proverbe : à trompeur, trompeur et demi ».
- Abbé Casimir Labreuille, Étude historique sur Montrichard, vol. 1, Tours, Mame et Fils, , 368 p., p. 1-2
- G. Touchard-Lafosse, La Loire historique, pittoresque et biographique, volume 3, 1843, page 781 (lire en ligne, sur Google Livres).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- (fr + et + la) Louis Halphen et René Poupardin, Chroniques des comtes d'Anjou et des seigneurs d'Amboise, Paris, Auguste Picard, , 316 p. (lire en ligne), p. 82.
- (la) Louis Halphen et René Poupardin, Chroniques de comtes d'Anjou et des Seigneurs d'Amboise, Paris, Picard, , 316 p., p. 114.
- Stéphane William Gondoin, « Richard Cœur de Lion : « Le diable est déchaîné » », Patrimoine normand, no 119, octobre-novembre-décembre 2021, p. 62 (ISSN 1271-6006).
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
- « Évolution et structure de la population à Montrichard en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population du Loir-et-Cher en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « A Montrichard, l’usine de Boiron fermera définitivement ses portes le 31 décembre », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Jean-Marie Pérouse de Montclos (dir.), Le Guide du patrimoine. Centre, Val de Loire, p. 459, Paris, Hachette, 1995 (ISBN 2-01-018538-2)
- « Le pont de Montrichard », sur LES AMIS DU VIEUX MONTRICHARD (consulté le )
- Marcel Prade, Les Ponts, Monuments historiques, Poitiers, Brissaud, , 431 p. (ISBN 2-902170-54-8)
- « Les fortifications », sur LES AMIS DU VIEUX MONTRICHARD (consulté le )
- Lieux de tournages d'après imdb.com
- Henri Pigaillem, Jeanne de France, première épouse de Louis XII, Pygmalion, Paris 2009