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Montestruc-sur-Gers

Montestruc-sur-Gers est une commune française située dans le centre du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays de Gaure, un territoire au cœur de la Gascogne caractérisé par ses champs céréaliers et d'oléagineux, entrecoupés de maigres bois et prairies.

Montestruc-sur-Gers
Montestruc-sur-Gers
La mairie en 2018
Blason de Montestruc-sur-Gers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité CC de la Lomagne gersoise
Maire
Mandat
Gisèle Gimat
2022-2026
Code postal 32390
Code commune 32286
Démographie
Population
municipale
701 hab. (2020 en diminution de 2,64 % par rapport à 2014)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 37″ nord, 0° 37′ 47″ est
Altitude 102 m
Min. 91 m
Max. 180 m
Superficie 16,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fleurance-Lomagne
Législatives 2e circonscription du Gers
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Montestruc-sur-Gers
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Montestruc-sur-Gers
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Montestruc-sur-Gers
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Montestruc-sur-Gers

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, l'Aulouste, l'Ousse et par divers autres petits cours d'eau.

    Montestruc-sur-Gers est une commune rurale qui compte 701 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Montestrucois.

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Commune de Gascogne située en Lomagne, Montestruc a été érigé sur le flanc sud d'une colline dominant le Gers et l'Ousse qui traverse aussi la commune.

    La Nationale 21 traverse la commune.

    • Montestruc et la N 21 qui la traverse.
      Montestruc et la N 21 qui la traverse.
    • Sortie nord de Montestruc sur la N21.
      Sortie nord de Montestruc sur la N21.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Fleurance, Gavarret-sur-Aulouste, Lalanne, Préchac, Puységur et Sainte-Christie.

    Communes limitrophes de Montestruc-sur-Gers[1]
    Fleurance Lalanne
    Préchac Montestruc-sur-Gers Gavarret-sur-Aulouste
    Puységur Sainte-Christie

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Montestruc-sur-Gers.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Gers, l'Aulouste, l'Ousse, un bras du Gers, un bras du Gers, la Boulude, le Merdan et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[3] - [Carte 1].

    Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé 47 communes[4].

    L'Aulouste, d'une longueur totale de 20,6 km, prend sa source dans la commune de Montaut-les-Créneaux et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gers à Garravet, après avoir traversé 7 communes[5].

    L'Ousse, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune de Puységur et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le Gers à Lalanne, après avoir traversé 6 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 753 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lectoure », sur la commune de Lectoure, mise en service en 1984[12] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[13] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 726,2 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 17 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[16] à 13,5 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18] - [19] - [20].

    Urbanisme

    Typologie

    Montestruc-sur-Gers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [21] - [I 1] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,2 %), zones agricoles hétérogènes (30,4 %), cultures permanentes (9,8 %), prairies (8,2 %), zones urbanisées (1,9 %), forêts (1,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 375, alors qu'il était de 379 en 2013 et de 342 en 2008[I 4].

    Parmi ces logements, 86,7 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 10,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,5 % des appartements[I 4].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montestruc-sur-Gers en 2018 en comparaison avec celle du Gers et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (9,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (65,9 % en 2013), contre 68,9 % pour le Gers et 57,5 % pour la France entière[I 5].

    Le logement à Montestruc-sur-Gers en 2018.
    Typologie Montestruc-sur-Gers[I 4] Gers[I 6] France entière[I 7]
    Résidences principales (en %) 86,7 79,9 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 9,6 9,7
    Logements vacants (en %) 10,9 10,6 8,2

    Risques naturels et technologiques

    Le territoire de la commune de Montestruc-sur-Gers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'une digue[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Montestruc-sur-Gers se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[26].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers, l'Aulouste et l'Ousse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2002, 2009 et 2018[28] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montestruc-sur-Gers.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 344 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 344 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1998, 2003, 2016 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

    Des digues sont présentes sur le territoire communal[Note 6]. En cas de destruction partielle ou totale de l'une d'entre elles soit par surverse, soit par effet de renard, soit par affouillement de sa base, soit par rupture d'ensemble progressive ou brutale, des dégâts importants peuvent être occasionnés aux habitations et personnes situées sur le parcours de l'onde de submersion. Le risque est en principe pris en compte dans les documents d'urbanisme. Il n'existe par contre pas de système d'alerte en cas de rupture de digue[32].

    Toponymie

    Montestruc voudrait dire soit « mont aigüe ou pointu », soit en dérivant de monté astruco, « mont étoilé ».

    La localité est dénommée Montastruc en gascon.

    Histoire

    Le bourg a été très éprouvé par les inondations de l'été 1977. Dorénavant, le village se développe sur le sommet du plateau sur le site de l'ancienne citadelle, hors d'atteinte des crues du Gers. De ce fait, Montestruc est un village escarpé, avec plusieurs escaliers de communications, à l'exemple des pousterles de la Préfecture du département Auch.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Condom du département du Gers.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Fleurance [33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Fleurance-Lomagne

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Gers.

    Intercommunalité

    Montestruc-sur-Gers est membre de la communauté de communes de la Lomagne gersoise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1998 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981[34] Guy Porterie PS
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008[35] Jean Rebeil
    2008[36] 2014 Michel Barnabé Médecin généraliste retraité
    2014 août 2022[37] Janine Savonet DVG Retraitée Fonction publique
    Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
    octobre 2022[38] En cours
    (au 18 janvier 2023[39])
    Gisèle Gimat Cadre retraitée

    Équipements et services publics

    • Cabinet d'infirmières et village.
      Cabinet d'infirmières et village.
    • La salle des fêtes.
      La salle des fêtes.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

    En 2020, la commune comptait 701 habitants[Note 7], en diminution de 2,64 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    812542607779789809822754752
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    718741701720747695640652636
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    646618568578549564564544500
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    563568541608597688706709701
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports et loisirs

    Équipe de rugby à XV évolue en championnat de France 3e série de rugby à XV.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 318 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 697 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 170 â‚¬[I 8] (20 820 â‚¬ dans le département[I 9]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 10]5,5 %8,8 %11 %
    Département[I 11]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 398 personnes, parmi lesquelles on compte 80,4 % d'actifs (69,4 % ayant un emploi et 11 % de chômeurs) et 19,6 % d'inactifs[Note 9] - [I 10]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 162 emplois en 2018, contre 166 en 2013 et 180 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 278, soit un indicateur de concentration d'emploi de 58,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,3 %[I 14].

    Sur ces 278 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 76 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 92,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    51 établissements[Note 10] sont implantés à Montestruc-sur-Gers au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble51
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    59,8 %(12,3 %)
    Construction1223,5 %(14,6 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1937,3 %(27,7 %)
    Information et communication12 %(1,8 %)
    Activités immobilières35,9 %(5,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    23,9 %(14,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    917,6 %(12,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,3 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 51 entreprises implantées à Montestruc-sur-Gers), contre 27,7 % au niveau départemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43] :

    • MNC Altona, commerce de gros (commerce interentreprises) non spécialisé (15 089 k€)
    • Commercial Ops, autres commerces de détail spécialisés divers (2 887 k€)
    • SARL Christian Lacroix, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (1 202 k€)
    • SAS Du Chapelet, production d'électricité (36 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations34252226
    SAU[Note 13] (ha)1 1501 0328951 141

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 25 en 2000 puis à 22 en 2010[46] et enfin à 26 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 24 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[47] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 150 ha en 1988 à 1 141 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 44 ha[46].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Caprais
    • Vue d'ensemble depuis les hauteurs de Montestruc.
      Vue d'ensemble depuis les hauteurs de Montestruc.
    • Le clocher.
      Le clocher.
    • Le portail et la façade occidentale.
      Le portail et la façade occidentale.
    • Vue latérale, avec au premier plan une statue fleurie.
      Vue latérale, avec au premier plan une statue fleurie.
    • Le chevet.
      Le chevet.

    A Montestruc, on peut voir des bordes (du gascon : borda (prononcer bordo), qui vient du mot germanique boärd (planche) qui a donné l'anglais board et désigne les fermes et leurs granges recouvertes à l'origine d'un bardage de bois dans le Gers). Elles correspondent à une tradition française de l'exploitation des terres par un métayer appelé "bordier". Le métayer et sa famille louent une terre, son cheptel et ses outils avec en échange le partage des récoltes et des produits de l'élevage avec le propriétaire. La borde s'inscrit dans un plan très simple : au centre l'habitation précédée d'un petit hangar ou emban, une travée orientale pour l'établi et une travée occidentale pour la grange ou le chai plus ou moins vaste selon l'importance du vignoble. La famille vivait dans une pièce unique, la seule pourvue d'une cheminée servant pour la cuisine et abritant un four à pain.

    • Escaliers à Montestruc
    • Grand escalier.
      Grand escalier.
    • Large escalier.
      Large escalier.
    • Escalier situé Impasse de la Tour.
      Escalier situé Impasse de la Tour.
    • Autres lieux et monuments
    • Aperçu du château.
      Aperçu du château.
    • Le monument aux morts situé au sein du cimetière.
      Le monument aux morts situé au sein du cimetière.
    • Statue de la Vierge Marie.
      Statue de la Vierge Marie.
    • Rue de la Tour avec de belles maisons.
      Rue de la Tour avec de belles maisons.
    • Rue de la Tour avec une maison à colombages et à encorbellement.
      Rue de la Tour avec une maison à colombages et à encorbellement.
    • Rue Saint-Caprais.
      Rue Saint-Caprais.
    • Maison à colombages.
      Maison à colombages.

    Héraldique

    Blason de Montestruc-sur-Gers Blason
    D'azur à un mont de trois coupeaux mouvant de la pointe et surmonté d'un soleil, le tout d'or[48].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les digues de protection intéressant la sécurité publique sont des ouvrages répondant à au moins un des critères suivants : des pertes en vies humaines déjà survenues dans le passé à la suite de leur rupture, la présence d‘une zone habitée à moins de 100 m de la digue ou dans les espaces d’écoulement préférentiel de ses déversoirs, une hauteur d’eau supérieure à m prévue par l’atlas des zones inondables ou tout autre document hydraulique validé dans les zones habitées, une vitesse de courant supérieure à 1 m/s prévue par l’atlas des zones inondables ou tout autre document hydraulique validé dans les zones habitées.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Montestruc-sur-Gers » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    Autres sources

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