Montcuq-en-Quercy-Blanc
Montcuq-en-Quercy-Blanc est, depuis le , une commune nouvelle française située dans le département du Lot en région Occitanie.
Montcuq-en-Quercy-Blanc | |
Vue de Montcuq. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Lot |
Arrondissement | Cahors |
Intercommunalité | CC du Quercy Blanc |
Maire Mandat |
Alain Lalabarde 2020-2026 |
Code postal | 46800 |
Code commune | 46201 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
1 804 hab. (2020) |
Densité | 23 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 20âČ 23âł nord, 1° 12âČ 37âł est |
Altitude | Min. 127 m Max. 300 m |
Superficie | 78,23 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Luzech |
LĂ©gislatives | 1re circonscription du Lot |
Localisation | |
Elle est issue du regroupement des cinq communes de Belmontet, Lebreil, Montcuq, Sainte-Croix et Valprionde.
GĂ©ographie
Communes limitrophes
La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne. Les communes limitrophes sont Bagat-en-Quercy, Fargues, Lascabanes, Montlauzun, Saint-Cyprien, Saint-DaunÚs, Saint-Laurent-Lolmie, Belmontet, Lebreil, Sainte-Croix, Porte-du-Quercy et Barguelonne-en-Quercy.
Climat
Le climat de Montcuq est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Ce type de climat, Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1972 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,7 | 1,9 | 4 | 6,1 | 9,6 | 12,8 | 14,8 | 14,6 | 11,8 | 9,3 | 4,9 | 2,3 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,5 | 9,3 | 11,7 | 15,6 | 19 | 21,3 | 21,1 | 18 | 14,3 | 8,9 | 5,9 | 13,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,1 | 11 | 14,6 | 17,4 | 21,5 | 25,2 | 27,9 | 27,7 | 24,3 | 19,3 | 12,9 | 9,6 | 18,4 |
Record de froid (°C) date du record |
â19 16.01.1985 |
â14 09.02.12 |
â12 01.03.05 |
â3 07.04.08 |
â0,3 05.05.1979 |
3,3 06.06.1989 |
6,6 01.07.1972 |
4,9 29.08.1986 |
2,2 27.09.10 |
â4,5 25.10.03 |
â8,8 23.11.1988 |
â12 16.12.01 |
â19 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18 25.01.1995 |
25,5 27.02.19 |
26,6 25.03.1981 |
31 30.04.05 |
33,7 30.05.01 |
39,9 27.06.19 |
40 16.07.15 |
41,8 04.08.03 |
36,5 03.09.05 |
31,2 03.10.1985 |
24,3 02.11.11 |
18,9 05.12.06 |
41,8 2003 |
Précipitations (mm) | 72,8 | 67,2 | 58,3 | 78,9 | 84,7 | 66,4 | 52,3 | 56,7 | 66,2 | 71,5 | 72,2 | 77,6 | 824,8 |
Urbanisme
Typologie
Montcuq-en-Quercy-Blanc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [9] - [10] - [11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12] - [13].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[14]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[15].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la SĂ©oune, la Petite Barguelonne, le Boudouyssou et le ruisseau de TartuguiĂ©. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[16]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1996 et 1999[17] - [14].
Montcuq-en-Quercy-Blanc est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2015-2025. Les propriĂ©taires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mĂštres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situĂ©es Ă moins de 200 mĂštres de terrains en nature de bois, forĂȘts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brĂ»lage des dĂ©chets issus de lâentretien des parcs et jardins des mĂ©nages et des collectivitĂ©s est interdit. LâĂ©cobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă lâexception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[18].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 178 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 178 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 72 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20] - [21].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1997, 2003, 2009, 2011 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Histoire
Dans un contexte de baisse des dotations de l'Ătat, et afin d'obtenir le maintien de la DGF, de rĂ©aliser des Ă©conomies, de mutualiser les moyens, tout en gardant une certaine autonomie aux anciennes communes[23], la nouvelle commune est crĂ©Ă©e le , entraĂźnant la transformation des cinq anciennes communes en « communes dĂ©lĂ©guĂ©es » dont la crĂ©ation a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [24] - [25].
Le fonctionnement des mairies annexes ayant Ă©tĂ© suspendu depuis avril 2019, si ce n'est pour l'enregistrement des actes d'Ă©tat-civil et afin de rĂ©duire les frais de fonctionnement de la structure, le conseil municipal du , aprĂšs avoir rĂ©Ă©lu le maire sortant aprĂšs les Ă©lections municipales de 2020 dans le Lot, a dĂ©cidĂ© de supprimer les communes dĂ©lĂ©guĂ©es de Montcuq, Lebreil, Sainte-Croix, Valprionde et Belmontet pour ne plus faire quâune seule entitĂ© territoriale : Montcuq-en-Quercy-Blanc[26].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Cahors du département du Lot.
- Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie du canton de Luzech
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription du Lot.
Intercommunalité
Montcucq-en-Quercy Blanc est membre de la communauté de communes du Quercy Blanc, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2014.
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pierre de Rouillac. Le chĆur et ses peintures murales ont Ă©tĂ© classĂ©s au titre des monuments historiques en 1980 ; La Nef Ă l'exclusion du clocher a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historiques en 1980[29].
- Chapelle Saint-Aignan de Rouzet
- Ăglise Saint-Antoine de Valprionde
- Ăglise Saint-Avit de Belmontet. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral de la rĂ©gion Occitanie[30].
- Ăglise Sainte-Croix de Sainte-Croix. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral de la rĂ©gion Occitanie[31].
- Ăglise Sainte-Marie-Madeleine de Caminel. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral de la rĂ©gion Occitanie[32].
- Ăglise Saint-Ătienne de Lebreil. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral de la rĂ©gion Occitanie[33].
- Ăglise Saint-FĂ©lix de Saint-FĂ©lix.
- Ăglise Saint-Hilaire de Montcuq. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral de la rĂ©gion Occitanie[34]. Plusieurs objets sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la base Palissy[34].
- Ăglise Saint-Privat de Montcuq.
- Ăglise Saint-Sernin de Saint-Sernin.
- Ăglise Saint-Pierre de Rouillac
- Ăglise Saint-FĂ©lix de Saint-FĂ©lix
- Ăglise Saint-Hilaire de Montcuq
Personnalités liées à la commune
- Nino Ferrer, nom de scÚne d'Agostino Arturo Maria Ferrari (1934-1998), est un auteur-compositeur-interprÚte et acteur italien naturalisé français.
- Neil Innes (1944-2019), Ă©crivain et chanteur britannique de chansons comiques, connu pour son travail avec les Monty Python et pour avoir fait partie du Bonzo Dog Doo-Dah Band, puis du groupe parodique les Rutles, y est mort.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- site de la commune
- « Montcuq-en-Quercy-Blanc », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 46201001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- Fiche horaires de la ligne 882 du réseau liO.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Montcuq. La commune nouvelle a Ă©lu son maire et ses adjoints », La DĂ©pĂȘche du Midi,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « C'est sans surprise Alain Lalabarde, unique postulant Ă la fonction, qui a Ă©tĂ© Ă©lu maire de la commune avec 36 voix, 3 voix allant Ă Patrice Caumon, maire de Valprionde, qui ne se prĂ©sentait pas, et 11 blancs ou nuls ».
- « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 20 octobre 2015 portant crĂ©ation de la commune nouvelleMontcuq-en-quercy-blanc », Recueil des actes administratifs de la prĂ©fecture du Lot, nos 46-2015-013,â , p. 14-17 (lire en ligne [PDF], consultĂ© le ).
- « Montcuq. 2015, une annĂ©e clĂ© pour la commune », La DĂ©pĂȘche du Midi,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « 2015 a Ă©tĂ© une annĂ©e clĂ© pour la commune de Montcuq. En mars elle a vu son canton disparaĂźtre au profit de celui de Luzech, avec l'Ă©lection d'une nouvelle conseillĂšre dĂ©partementale, Maryse Maury, en binĂŽme avec Marc Gastal. Ă peine signĂ©s les nouveaux statuts de l'intercommunalitĂ© Montcuq-Castelnau-Montratier, les Ă©lus ont refusĂ© Ă l'unanimitĂ© le schĂ©ma dĂ©partemental proposĂ© par la prĂ©fĂšte qui prĂ©conise un rapprochement avec la VallĂ©e du Lot et du Vignoble. Le projet de commune nouvelle a Ă©tĂ© menĂ© par les maires de Montcuq, Belmontet, Valprionde, Lebreil et Sainte-Croix. Montcuq-en-Quercy-Blanc verra le jour le 1er janvier 2016 ».
- « Montcuq. Suppression des mairies annexes », La DĂ©pĂȘche du Midi,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Câest le 26 mai quâAlain Lalabarde a Ă©tĂ© reconduit comme on sây attendait dans sa fonction de maire de la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc (...) Les permanences des quatre mairies annexes nâĂ©tant plus assurĂ©es depuis le mois de mars 2019, et afin de rĂ©duire les coĂ»ts de fonctionnement de ces mairies qui ne servaient plus quâĂ lâenregistrement des actes dâĂ©tat civil, la suppression des communes dĂ©lĂ©guĂ©es de Montcuq, Lebreil, Sainte-Croix, Valprionde et Belmontet a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e, puis votĂ©e, pour ne plus faire quâune seule entitĂ© territoriale : Montcuq-en-Quercy-Blanc ».
- Marie-CĂ©cile Itier, Didier Quet, « Municipales 2020. Alain Lalabarde, candidat Ă sa rĂ©Ă©lection Ă Montcuq dans le Lot : Le maire sortant de Montcuq, dans le Lot, Alain Lalabarde, tire un bilan de son mandat et annonce sa candidature aux Municipales 2020 », Actu Lot,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- INSEE, Recensement général de la population 2016, Document mentionné en liens externes.
- « Eglise de Rouillac », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Ăglise paroissiale Saint-Avit », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Sainte-Croix », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Saint-Hilaire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )