Belmontet
Belmontet est une ancienne commune française située dans le département du Lot, en région Midi-Pyrénées, devenue, le , une composante de la commune nouvelle de Montcuq-en-Quercy-Blanc.
Belmontet | |
L'Ă©glise. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Midi-Pyrénées |
DĂ©partement | Lot |
Arrondissement | Cahors |
Commune | Montcuq-en-Quercy-Blanc |
Code postal | 46800 |
Code commune | 46025 |
DĂ©mographie | |
Population | 149 hab. (2013) |
Densité | 12 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 22âČ 00âł nord, 1° 09âČ 15âł est |
Altitude | 194 m Min. 181 m Max. 300 m |
Superficie | 12,12 km2 |
Ălections | |
DĂ©partementales | Luzech |
Historique | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | Montcuq-en-Quercy-Blanc |
Localisation | |
GĂ©ographie
Description
Village situĂ© dans le Quercy Blanc, oĂč coule la SĂ©oune et le Boudouyssou qui y prend sa source.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.
Toponymie
Le toponyme Belmontet, de formation romane, est composé à partir des termes occitans bÚl (beau), du latin bellus, mont (montagne), du latin mons, avec le suffixe diminutif -et, du latin -ittum[2].
Histoire
- Fusion de communes
Dans un contexte de baisse des dotations de l'Ătat, et afin d'obtenir le maintien de la DGF, de rĂ©aliser des Ă©conomies, de mutualiser les moyens, tout en gardant une certaine autonomie aux anciennes communes[3], les communes de Belmontet, Lebreil, Montcuq, Sainte-Croix et Valprionde dĂ©cident de fusionner pour former la commune nouvelle de Montcuq-en-Quercy-Blanc.
Celle-ci est crĂ©Ă©e le , entraĂźnant la transformation des cinq anciennes communes en « communes dĂ©lĂ©guĂ©es » dont la crĂ©ation a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [4] - [5].
Le fonctionnement des mairies annexes ayant Ă©tĂ© suspendu depuis avril 2019, si ce n'est pour l'enregistrement des actes d'Ă©tat-civil et afin de rĂ©suire les frais de fonctionnement de la structure, le conseil municipal du , aprĂšs avoir rĂ©Ă©lu le maire sortant aprĂšs les Ă©lections municipales de 2020 dans le Lot, a dĂ©cidĂ© de supprimer les communes dĂ©lĂ©guĂ©es de Montcuq, Lebreil, Sainte-Croix, Valprionde et Belmontet pour ne plus faire quâune seule entitĂ© territoriale : Montcuq-en-Quercy-Blanc[6]. .
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[9] - [Note 1].
En 2013, la commune comptait 149 habitants, en diminution de â1,97 % par rapport Ă 2008 (Lot : 0,05 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Ăconomie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Voir aussi
Liens externes
Notes et références
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Gaston Bazalgues, Ă la dĂ©couverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Ăditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 106.
- « Montcuq. La commune nouvelle a Ă©lu son maire et ses adjoints », La DĂ©pĂȘche du Midi,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « C'est sans surprise Alain Lalabarde, unique postulant Ă la fonction, qui a Ă©tĂ© Ă©lu maire de la commune avec 36 voix, 3 voix allant Ă Patrice Caumon, maire de Valprionde, qui ne se prĂ©sentait pas, et 11 blancs ou nuls ».
- « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 20 octobre 2015 portant crĂ©ation de la commune nouvelleMontcuq-en-quercy-blanc », Recueil des actes administratifs de la prĂ©fecture du Lot, nos 46-2015-013,â , p. 14-17 (lire en ligne [PDF], consultĂ© le ).
- « Montcuq. 2015, une annĂ©e clĂ© pour la commune », La DĂ©pĂȘche du Midi,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « 2015 a Ă©tĂ© une annĂ©e clĂ© pour la commune de Montcuq. En mars elle a vu son canton disparaĂźtre au profit de celui de Luzech, avec l'Ă©lection d'une nouvelle conseillĂšre dĂ©partementale, Maryse Maury, en binĂŽme avec Marc Gastal. Ă peine signĂ©s les nouveaux statuts de l'intercommunalitĂ© Montcuq-Castelnau-Montratier, les Ă©lus ont refusĂ© Ă l'unanimitĂ© le schĂ©ma dĂ©partemental proposĂ© par la prĂ©fĂšte qui prĂ©conise un rapprochement avec la VallĂ©e du Lot et du Vignoble. Le projet de commune nouvelle a Ă©tĂ© menĂ© par les maires de Montcuq, Belmontet, Valprionde, Lebreil et Sainte-Croix. Montcuq-en-Quercy-Blanc verra le jour le 1er janvier 2016 ».
- « Montcuq. Suppression des mairies annexes : https://www.ladepeche.fr/2020/05/28/suppression-des-mairies-annexes,8906523.php », La DĂ©pĂȘche du Midi,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Câest le 26 mai quâAlain Lalabarde a Ă©tĂ© reconduit comme on sây attendait dans sa fonction de maire de la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc (...) Les permanences des quatre mairies annexes nâĂ©tant plus assurĂ©es depuis le mois de mars 2019, et afin de rĂ©duire les coĂ»ts de fonctionnement de ces mairies qui ne servaient plus quâĂ lâenregistrement des actes dâĂ©tat civil, la suppression des communes dĂ©lĂ©guĂ©es de Montcuq, Lebreil, Sainte-Croix, Valprionde et Belmontet a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e, puis votĂ©e, pour ne plus faire quâune seule entitĂ© territoriale : Montcuq-en-Quercy-Blanc ».
- « Les maires de Belmontet », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
Notes
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.