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Montaren-et-Saint-Médiers

Montaren-et-Saint-Médiers est une commune française située dans l'est du département du Gard en région Occitanie.

Montaren-et-Saint-Médiers
Le château de Montaren.jpg
Blason de Montaren-et-Saint-Médiers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Uzès
Maire
Mandat
Frédéric Levesque
2020-2026
Code postal 30700
Code commune 30174
Démographie
Gentilé Montarénois
Population
municipale
1 389 hab. (2020 en diminution de 5,83 % par rapport à 2014)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 50″ nord, 4° 22′ 49″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 274 m
Superficie 19,42 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Uzès
(banlieue)
Aire d'attraction Uzès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Uzès
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Montaren-et-Saint-Médiers
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Montaren-et-Saint-Médiers

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Les Seynes et par deux autres cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Montaren-et-Saint-Médiers est une commune rurale qui compte 1 389 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération d'Uzès et fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès. Ses habitants sont appelés les Montadiérois ou Montadiéroises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, classé en 1930.

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 810 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cavillargues », sur la commune de Cavillargues, mise en service en 1961[6] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 825,1 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 21 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13] - [14].

    La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15] - [16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[17] : le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (37 159 ha), couvrant 40 communes du département[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaren-et-Saint-Médiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [19] - [I 1] - [20]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Uzès, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 2] et 11 643 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,5 %), forêts (28 %), cultures permanentes (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6 %), terres arables (9,2 %), zones urbanisées (4,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montaren-et-Saint-Médiers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment Les Seynes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2002 et 2011[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montaren-et-Saint-Médiers.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 55,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 781 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 310 sont en en aléa moyen ou fort, soit 40 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Montaren-et-Saint-Médiers est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[28].

    Toponymie

    • Provençal Mount-Aren, du roman Montaren, du bas altin Mons Arenus, Alenus, Helenus[29].
    • Provençal Sant-Medié, du bas latin Meterius, Emeterius[29].

    Gentilé : Montarénois (on rencontre également Montadiérois).

    Histoire

    Moyen Âge

    Le village de Montaren est mentionné Mons-Helenus en 1151[30] et celui de Saint-Médiers Sanctus-Meterius en 1265[30].

    Révolution française et Empire

    Saint-Médiers porta provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de Vivacité[30] - [31].

    Époque contemporaine

    La commune actuelle est le fruit de la fusion, en 1815, des deux communes voisines de Montaren et de Saint-Médiers[32], peuplées respectivement, au recensement de 1806, de 785 et de 36 habitants[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2014 Jean-Louis Roche PS Vice-président de la communauté de communes de l'Uzège (2008-2012)
    2014 En cours Frédéric Levesque DVG Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 1 389 habitants[Note 7], en diminution de 5,83 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5147507858949681 0041 0511 0051 006
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    902962960857824816775741721
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    683685602533524507469505501
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5715186548051 0941 2361 3281 3511 504
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4541 389-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population de Saint-Médiers : 47 en 1793 ; 30 en 1800 ; 38 en 1806[36].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête du pois chiche, au mois de mai. Cette manifestation qui dure trois jours, est organisée par plusieurs associations locales et comprend de nombreuses animations.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 615 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 374 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 170 â‚¬[I 7] (20 020 â‚¬ dans le département[I 8]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]8,9 %13,3 %9,5 %
    Département[I 10]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 796 personnes, parmi lesquelles on compte 72,8 % d'actifs (63,3 % ayant un emploi et 9,5 % de chômeurs) et 27,2 % d'inactifs[Note 9] - [I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Uzès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 340 emplois en 2018, contre 428 en 2013 et 366 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 516, soit un indicateur de concentration d'emploi de 65,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,5 %[I 13].

    Sur ces 516 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 147 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 82,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    163 établissements[Note 10] sont implantés à Montaren-et-Saint-Médiers au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble163100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    74,3 %(7,9 %)
    Construction3521,5 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    4225,8 %(30 %)
    Information et communication21,2 %(2,2 %)
    Activités financières et d'assurance42,5 %(3 %)
    Activités immobilières63,7 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2716,6 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2012,3 %(13,5 %)
    Autres activités de services2012,3 %(8,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,8 % du nombre total d'établissements de la commune (42 sur les 163 entreprises implantées à Montaren-et-Saint-Médiers), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[37] :

    • Bamont, hypermarchés (29 256 k€) ;
    • Valvic, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m2 et plus) (2 909 k€) ;
    • Tendance Carrelage, travaux de revêtement des sols et des murs (786 k€) ;
    • MASSE Prestations, activités de soutien aux cultures (274 k€) ;
    • Snap, activités d'architecture (161 k€).

    Agriculture

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations39242517
    SAU[Note 13] (ha)694678844726

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 24 en 2000 puis à 25 en 2010[40] et enfin à 17 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 56 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[41] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 694 ha en 1988 à 726 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à 43 ha[40].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Château Logo monument historique Classé MH (1930)[42] : Il est situé dans l’îlot central de ce village dont la forme circulaire, les dimensions et la vieille mention figurant dans certains documents, « Castrum Monte Arenus », évoquent l’oppidum romain à l’origine de la construction. Il devait en effet exister à l’époque romaine un fort construit sur la butte sableuse située aujourd’hui au centre du vieux village. Une vue d’avion de cette partie du village met en évidence la forme circulaire des rues encerclant le château, souvenir du mur fortifié encerclant le fort. Les origines de la construction actuelle sont difficiles à établir. Il semblerait que l’édifice ait pour point de départ une tour du XVe siècle, dite Tour de Jeanis et qui subsiste toujours incluse dans la construction, à l’angle nord–est du logis nord du château. Il existe encore dans le village plusieurs tours dominant les maisons anciennes, datant probablement de cette époque.
    • Tour Sarrazine.

    Édifices religieux

    • Église Saint-André-et-Saint-Médiers
      Église Saint-André-et-Saint-Médiers
    • Chapelle de Saint-Médiers
      Chapelle de Saint-Médiers

    Personnalités liées à la commune

    • Alain Schneider, artiste peintre[43]

    Héraldique

    Blason de Montaren-et-Saint-Médiers Blason
    Écartelé au premier d'or au pal losangé d'argent et de sinople, au deuxième et au troisième de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or (croix occitane), au quatrième d'or, à la croix losangée d'argent et d'azur.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 d'Uzès » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montaren-et-Saint-Médiers » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montaren-et-Saint-Médiers » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montaren-et-Saint-Médiers » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montaren-et-Saint-Médiers » (consulté le ).
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    Autres sources

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