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Montagny (AOC)

Le montagny[3] est un vin blanc d'appellation d'origine contrôlée faisant partie des vignobles de la côte chalonnaise, en Bourgogne.

Côte chalonnaise
Image illustrative de l’article Montagny (AOC)
Vue de Montagny-lès-Buxy.

Désignation(s) Côte chalonnaise
Appellation(s) principale(s) montagny
Type d'appellation(s) AOC
Reconnue depuis 1936
Pays Drapeau de la France France
Région parente vignoble de Bourgogne
Sous-région(s) vignobles de la côte chalonnaise
Localisation Saône-et-Loire
Climat tempéré océanique à tendance continentale
Ensoleillement
(moyenne annuelle)
1 900 à 2 100 heures/an
Sol argilo-calcaire
Superficie plantée 326,44 hectares
Cépages dominants chardonnay
Vins produits 100 % de blancs
Production 17 503 hectolitres
Rendement moyen à l'hectare 60 à 64 hl/ha
(58 à 62 en premier cru)[1] - [2]

L'aire de production comprend les villages de Montagny-lès-Buxy, Buxy, Saint-Vallerin et Jully-lès-Buxy en Saône-et-Loire.

Histoire

Antiquité

Ce sont les Romains qui amenèrent la culture de la vigne vers la région de Buxy. L'empereur romain Domitien, en 92, ordonna l'arrachage partiel des vignes dans le Midi et en Bourgogne afin d'éviter la concurrence[4]. Mais Probus annula cet édit en 280[5].

Moyen Âge

Dès le début du VIe siècle, l'implantation du christianisme avait favorisé l'extension de la vigne par la création d'importants domaines rattachés aux abbayes. Ce sont les moines des abbayes de Cluny, Tournus, La Ferté et les chanoines de Chalon qui cultivaient les vignes de cette région[6]. Également, il est dit qu'autrefois les vins de la région étaient vendus sous l'appellation Côte de Buxy et pendant plusieurs siècles, ils se produisaient aussi bien du vin rouge que du vin blanc[7]. En 1416, Charles VI fixa par un édit les limites de production du vin de Bourgogne[8]. À la mort de Charles le Téméraire, le vignoble de Bourgogne fut rattaché à la France, sous le règne de Louis XI.

Période moderne

L'abbé Courtépée sur ce vin, a formulé la phrase suivante : « Pays vignoble. Bon vin. Le blanc est renommé »[9].

Période contemporaine

Phylloxéra

XIXe siècle

Dans les décennies 1830-1840, la pyrale survint et attaqua les feuilles de la vigne. Elle fut suivie d'une maladie cryptogamique, l'oïdium[10]. Le millésime 1865 a donné des vins aux teneurs naturelles en sucres très élevées et des vendanges assez précoces[11]. À la fin de ce siècle arriva deux nouveaux fléaux de la vigne. Le premier fut le mildiou, autre maladie cryptogamique, le second le phylloxéra. Cet insecte térébrant venu d'Amérique mit très fortement à mal le vignoble[10]. Après de longues recherches, on finit par découvrir que seul le greffage permettrait à la vigne de pousser en présence du phylloxéra.

XXe siècle

Le mildiou provoqua un désastre considérable en 1910. Henri Gouges avait rejoint au niveau national le combat mené par le sénateur Joseph Capus et le baron Pierre Le Roy de Boiseaumarié qui allait aboutir à la création des appellations d'origine contrôlée. Il devint le bras droit du baron à l'INAO[12]. Ainsi cette AOC exclusivement en vin blanc fut reconnue par décret du [13]. Le , Charles de Gaulle de passage à Chalon-sur-Saône, lors d'un repas, a dégusté et bu du marc de Montagny[14]. Apparition de l'enjambeur dans les années 1960-70, qui remplace le cheval. Les techniques en viticulture et œnologie ont bien évolué depuis 50 ans (vendange en vert, table de triage, cuve en inox, pressoir électrique puis pneumatique...).

XXIe siècle

Ce vin a également été mis à l'honneur lors de la fête de la Saint-Vincent tournante (fête traditionnelle bourguignonne) en janvier 2002. Avec la canicule de 2003, les vendanges débutèrent pour certains domaines cette année-là à la mi-août, soit avec un mois d'avance, des vendanges très précoces qui ne s'étaient pas vues depuis 1422 et 1865 d'après les archives[11].

Étymologie

Par rapport au village de Montagny-lès-Buxy, qui s'est appelés autrefois : Montagniacum ad Buxiacum[15].

Situation géographique

Situé en Saône-et-Loire à environ 20 kilomètres au sud-ouest de Chalon-sur-Saône sur les communes de Buxy, Montagny-lès-Buxy, Jully-lès-Buxy et Saint-Vallerin. Situé au sud du vignoble de la Côte chalonnaise.

Vue d'une partie du vignoble sur Saint-Vallerin puis au fond sur Jully-lès-Buxy

Orographie

Vignoble présentant un escarpement divers selon les endroits avec un escarpement assez important sur la commune de Saint-Vallerin, mais plus faible par exemple sur la commune de Jully-lès-Buxy.

Géologie

Sols marneux ou calcaire et marneux, issus du lias (jurassique) et du trias (plus de 200 millions d'années).

Climatologie

C'est un climat tempéré à légère tendance continentale avec des étés chauds et des hivers froids[16], avec une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogènes sur l'année, avec un mois de mai le plus pluvieux de l'année. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise. Les gelées tardives sont peu fréquentes sur le vignoble en général. Il y a bien quelques lieux-dits ou les risques de gelées sont plus importante (on parle de zones gelives). De violents orages peuvent s'abattre sur ce vignoble avec parfois de la grêle.

Valeurs climatiques de Dijon et Mâcon, car Montagny-lès-Buxy, Buxy, Saint-vallerin et Jully-lès-Buxy sont situés entre ces deux villes.

Dijon

Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'à 1990 :

Relevés Dijon ????-1990
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1 0,1 2,2 5 8,7 12 14,1 13,7 10,9 7,2 2,5 −0,2 6,3
Température moyenne (°C) 1,6 3,6 6,5 9,8 13,7 17,2 19,7 19,1 16,1 11,3 5,6 2,3 10,5
Température maximale moyenne (°C) 4,2 7 10,8 14,7 18,7 22,4 25,3 24,5 21,3 15,5 8,6 4,8 14,8
Précipitations (mm) 49,2 52,5 52,8 52,2 86,3 62,4 51 65,4 66,6 57,6 64,2 62 732,2
Source : Infoclimat : Dijon (????-1990)[17]
Mâcon

Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :

Relevés Mâcon 1961-1990
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,6 0,7 2,5 5,2 8,9 12,3 12,4 13,9 11,1 7,5 2,9 0,1 6,6
Température moyenne (°C) 2,1 4 6,8 10 13,9 17,5 20,1 19,4 16,4 11,7 6 2,7 10,9
Température maximale moyenne (°C) 4,9 7,3 11,1 14,8 18,9 22,8 25,7 24,9 21,7 15,9 9,1 5,3 15,2
Précipitations (mm) 66,3 60,9 58,7 69,4 85,9 74,7 58,1 77,1 75,7 71,7 72,7 70,4 841,4
Source : Infoclimat : Mâcon (1961-1990)[18]

Vignoble

Un des panneaux de l'appellation

Présentation

Ce vignoble s'étend sur quatre villages : Montagny-lès-Buxy, Buxy, Saint-Vallerin et Jully-lès-Buxy.

Vignoble d'une superficie de 326,44 hectares dont 201,54 hectares de 1er cru[19]. AOC exploité exclusivement en vin blanc.

Lieux-dits

  • Climats 1er cru :
    • Commune de Montagny-lès-Buxy : Vignes Saint-Pierre, Les Combes, Saint Ytages, Les Charmelottes, Champ Toiseau, Vignes sur le Cloux, Les Garchères, Vignes Couland, Les Bouchots, Les Burnins, Les Perrières, Les Treuffères, Montcuchot, Vigne du Soleil, Les Maroques, Les Beaux Champs, Les Macles, Creux de Beaux Champs, L'Épaule, Les Platières, Les Jardins, Les Coères, Saint-Morille, Les Vignes Derrière, Les Bordes, Les Las, Les Gouresses, Les Paquiers, Montorge, Les Resses, Le Cloux et Sous les Feilles.
    • Commune de Buxy : La Grande Pièce, Le Clos Chaudron, Les Vignes des Prés, Le Vieux Château, Le Clouzot, Les Pidances, Les Condrettes, Les Vignes Longues, Cornevent, Mont Saint-Laurent, Les Bonneveaux et Les Bassets.
    • Commune de Saint-Vallerin : Les Paquiers, Les Craboulettes, Les Coères, La Moullière et Les Resses.
    • Commune de Jully-lès-Buxy : Les Coères, Les Chaniots et Chazelle.

Encépagement

Grappes de Chardonnay

Le chardonnay, lui, compose les vins blancs de l'AOC. Ses grappes sont relativement petites, cylindriques, moins denses que celles du pinot noir[20], constituées de grains irréguliers, assez petits, de couleur jaune doré[20]. De maturation de première époque comme le pinot noir, il s'accommode mieux d'une humidité de fin de saison avec une meilleure résistance à la pourriture s'il n'est pas en situation de forte vigueur. Il est sensible à l'oïdium et à la flavescence dorée. Il débourre tôt, ce qui le rend également sensible aux gelées printanières. Les teneurs en sucre des baies peuvent atteindre des niveaux élevés tout en conservant une acidité importante, ce qui permet d'obtenir des vins particulièrement bien équilibrés, puissants et amples, avec beaucoup de gras et de volume[21].

Méthodes culturales

Pied de vigne taillé en Guyot simple

Travail manuel

Ce travail commence par la taille, en « guyot simple », avec une baguette de cinq à dix yeux et un courson de un à trois yeux[22]. Plus rarement est pratiquée la taille en « gobelet » et en « cordon de royat ». Le tirage des sarments suit la taille. Les sarments sont enlevés et peuvent être brûlés ou mis au milieu du rang pour être broyés. On passe ensuite aux réparations. Puis vient le pliage des baguettes (car presque toutes les vignes de cette AOC sont taillées en « Guyot simple »). Éventuellement, après le pliage des baguettes, une plantation de nouvelles greffes est réalisée. L'ébourgeonnage peut débuter dès que la vigne a commencé à pousser. Cette méthode permet, en partie, de réguler les rendements[22]. Le relevage est pratiqué lorsque la vigne commence à avoir bien poussé. En général, deux à trois relevages sont pratiqués. La vendange en vert est pratiquée de plus en plus dans cette appellation. Cette opération est faite dans le but de réguler les rendements et surtout d'augmenter la qualité des raisins restants[22]. Pour finir avec le travail manuel à la vigne, se réalise l'étape importante des vendanges.

Travail mécanique

L'enjambeur est d'une aide précieuse. Les différents travaux se composent du broyage des sarments, réalisé lorsque les sarments sont tirés et mis au milieu du rang. De trou fait à la tarière, là où les pieds de vignes sont manquants, en vue de planter des greffes au printemps. De labourage ou griffage, réalisé dans le but d'aérer les sols et de supprimer des mauvaises herbes. De désherbage fait chimiquement pour tuer les mauvaises herbes. De plusieurs traitements des vignes, réalisés dans le but de les protéger contre certaines maladies cryptogamiques (mildiou, oïdium, pourriture grise, etc.) et certains insectes (eudémis et cochylis)[22]. De plusieurs rognages consistant à reciper ou couper les branches de vignes (rameaux) qui dépassent du système de palissage. Des vendanges mécaniques se réalisant avec une machine à vendanger ou une tête de récolte montée sur un enjambeur.

Rendements

Le rendement de base est de 50 hectolitres par hectare pour les vins blancs[23].

Vins

Titres alcoométriques volumique minimal et maximal

Voici les titres alcoométriques volumique (anciennement appelé degré du vin) minimal et maximal des vins blancs, que doivent respecter les exploitants de cette appellation, pour que leurs vins soit commercialisables :

AOC Blanc Blanc
Titre alcoométrique volumiqueminimalmaximal
Village[23]11 % vol13,5 % vol
Premier cru[23]11,5 % vol13,5 % vol

Vinification et élevage

Voici les méthodes générales de vinification pour l'AOC Montagny. Il existe cependant des petites différences de méthode entre les différents viticulteurs et négociants.

Vinification en blanc

Pressoir pneumatique servant au pressurage

Comme pour le rouge, la récolte est manuelle ou mécanique et peut être triée. Les raisins sont ensuite transférés dans un pressoir pour le pressurage. Une fois le moût en cuve, le débourbage est pratiqué généralement après un enzymage. À ce stade, une stabulation préfermentaire à froid (environ 10 à 12 degrés pendant plusieurs jours) peut être recherchée pour favoriser l'extraction des arômes[22]. Mais le plus souvent, après 12 à 48 heures, le jus clair est soutiré et mis à fermenter[22]. La fermentation alcoolique se déroule avec un suivi tout particulier pour les températures qui doivent rester à peu près stables (18 à 24 degrés)[22]. La chaptalisation est aussi pratiquée pour augmenter le titre alcoométrique volumique si nécessaire. La fermentation malolactique est réalisée en Fûts ou en cuves. Les vins sont élevés « sur lies », en fûts, dans lesquels le vinificateur réalise régulièrement un « bâtonnage », c'est-à-dire une remise en suspension des lies[22]. Cette opération dure pendant plusieurs mois au cours de l'élevage des blancs. À la fin, la filtration du vin est pratiquée pour rendre les vins plus limpides[22]. La mise en bouteille clôture l'opération.

Terroir et vins

Couleur limpide et doré. Arômes d'acacia, d'aubépine, de chèvrefeuille, de violette, de fougère, de pierre à fusil. Bouche fraîche, fine et structuré.

Gastronomie, garde et température de service

Il s'accorde bien avec du veau en sauce blanche, une poêlée de poisson, du poisson grillé, des crustacés, de la paella, du fromage (comté, emmental, saint-paulin)...

Il se sert entre 10 et 12 degrés et se garde cinq à six ans.

Économie

Structure des exploitations

Il existe des domaines de tailles différentes. Ces domaines mettent tout ou une partie de leurs propres vins en bouteilles et s'occupent aussi de le vendre. Les autres, ainsi que ceux qui ne vendent pas tous leurs vins en bouteilles, les vendent aux maisons de négoce.

Les maisons de négoce achètent leurs vins, en général, en vin fait (vin fini) mais parfois en raisin ou en moût[24]. Elles achètent aux domaines et passent par un courtier en vin qui sert d'intermédiaire moyennant une commission de l'ordre de 2 % à la charge de l'acheteur.

Les caves coopératives et leurs apporteurs sont des vignerons. Ces derniers peuvent leur amener leurs récoltes, ou bien la cave coopérative vendange elle-même (machine à vendanger en général).

Production, commercialisation

Son volume de production est de 17 503 hectolitres dont 11 205 hectolitres en 1er cru[19]. La commercialisation de cette appellation se fait par divers canaux de vente : dans les caveaux du viticulteur, dans les salons des vins (vignerons indépendants, etc.), dans les foires gastronomiques, par exportation, dans les Cafés-Hôtels-Restaurants (C.H.R), dans les grandes et moyennes surfaces (G.M.S).

Les producteurs de l'appellation

Domaine Aladame, Domaine Berthenet, Château de Chamilly, Domaine Feuillat-Juillot, Domaine des Moirots, Domaine Laurent Cognard, Domaine Charton-Vachet, Domaine de Montorge, Les Caves coopérative de Buxy, de Bissey sous Cruchaud et Genouilly, Domaine Maxime Cottenceau,Aline Bauné, Maison Géraldine Louise, Domaine Lagarde Lucie.

Galerie photos

Bibliographie

  • Hubert Duyker, Grands vins de Bourgogne, Paris, Fernand Nathan, , 200 p. (ISBN 2-09-284562-4)
  • André Dominé, Le Vin, Paris, Place des Victoires, , 928 p. (ISBN 2-84459-108-6)
  • Marcel Lachiver, Vins, vignes et vignerons : Histoire du vignoble français, Paris, Fayard, , 714 p. (ISBN 2-213-02202-X), p. 289, 367, 368, 372, 374
  • Christian Pessey, Vins de Bourgogne : Histoire et dégustation, Paris, Flammarion, (ISBN 2-08-011017-9) : vol. 1 : L'histoire et les hommes (91 p.) et vol. 2 : La vigne et le vin (82 p.)
  • Henri Cannard, AOC Mercurey : En côte chalonnaise », Jouvençon, Henri Cannard, coll. « Collection de la vinothèque », , 110 p. (ISBN 2-9514792-7-1)
  • La Revue du vin de France et Le Figaro Magazine, Bourgogne : Côte de Beaune, Montrachet, Pommard, Meursault, Paris, coll. « Vins de France et du monde » (no 11), , 96 p. (ISBN 978-2-8105-0065-9)
  • Constant Bourquin, Connaissance du vin, Verviers et Paris, Gérard et Cie et L'Inter, , 256 p.

Notes et références

  1. Décret no 2011-1530 du 14 novembre 2011 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Montagny », JORF no 265 du 16 novembre 2011, p. 19225, texte no 49, NOR AGRT1119935D, sur Légifrance.
  2. Cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « MONTAGNY » homologué par le décret no 2011-1530 du 14 novembre 2011, Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne.
  3. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
  4. Lachiver, op. cit., p. 37-38.
  5. Cannard, op. cit., « Le vignoble d'hier », p. 27.
  6. Site sur l'appellation de Montagny
  7. Duyker, op. cit., « Montagny », p. 153.
  8. Jean-François Bazin, Histoire du vin de Bourgogne, Paris, Jean-Paul Gisserot, coll. « Gisserot-Bourgogne », , 124 p. (ISBN 2-87747-669-3, lire en ligne), p. 119.
  9. « Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Quatre villages pour une attachante appellation) », En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, p. 48.
  10. La Revue du vin de France et Le Figaro Magazine, op. cit., « L'histoire », p. 26.
  11. La Revue du vin de France, no 482S : Le Millésime 2003 en Bourgogne, p. 109.
  12. Bourquin, op. cit., p. 94.
  13. Décret du 11 septembre 1936, JORF no 233 du 4 octobre 1936, p. 10516, sur Gallica.
  14. « Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Quatre villages pour une attachante appellation) », En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, p. 49.
  15. La Saône-et-Loire : Les 573 communes, page sur Montagny-lès-Buxy, p. 139.
  16. Dominé, op. cit., « La Bourgogne », p. 181.
  17. Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990).
  18. Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990).
  19. Montagny, fiche appellation no 50, Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne.
  20. Pessey, Vins de Bourgogne, vol. La vigne et le vin, « Chardonnay », p. 13.
  21. Catalogue des variétés et clones de vigne cultivés en France, ENTAV.
  22. Conduite et gestion de l'exploitation agricole, cours de viticulture du lycée viticole de Beaune (1999-2001). Baccalauréat professionnel option viticulture-œnologie.
  23. Fédération viticole de Saône-et-Loire : Chiffres de 2005.
  24. La Revue du vin de France et Le Figaro Magazine, op. cit., « Le négoce », p. 24.

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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