Monchecourt
Monchecourt est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Monchecourt | |||||
Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent | ||||
Maire Mandat |
Jean Savary 2020-2026 |
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Code postal | 59234 | ||||
Code commune | 59409 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 508 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 370 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 18′ 16″ nord, 3° 12′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 66 m |
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Superficie | 6,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Monchecourt (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Dix-septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Située à 16 km de Douai (sous-préfecture), 19 km de Cambrai, 20 km de Valenciennes.
Sur la D47 (Arleux, chef-lieu de canton ; Bugnicourt, Auberchicourt, Marchiennes)
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié,en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 9 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Monchecourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Monchecourt, une unité urbaine monocommunale[17] de 2 502 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,8 %), zones urbanisées (17,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les lignes 19, 20 et 115 du réseau urbain Évéole ainsi que par la ligne 828 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 3.
Toponymie
- 965 Mosterolcurt : titre de l'Abbaye de St-Ghilain. 1147 Monasterrioli curia: cartulaire de l'Abbaye de Saint-Vaast. 1169 Monsterelli curia : cartulaire de l'Abbaye de Saint-Vaast. 1171 Manicurt : charte de Robert de Béthune (Brequigny). 1184 Manchicourt : charte d'Hugo d'Oisy. 1232 : titre de l'Abbaye de Saint-Aubert. 1247 Mauchicourt : titre de Saint-Amé. 1296 Manchicourt : titre de Saint-Amé. 1349 Monstrencourt : pouillé du diocèse de Cambrai[24]
Histoire
D'après les cartes de Cassini, qui sont la référence des noms de communes françaises au XVIIIe siècle, Monchecourt portait alors le nom de Monchicourt.
Avant la Révolution française, Monchecourt est le siège d'une seigneurie[25].
Au moment de la Révolution, l'église de Monchecourt est vendue comme bien national. Charles Henne, qui deviendra maire de la commune en décembre 1791, l'achète. Au lieu de chercher à tirer un bénéfice quelconque de son achat, (ex : en démolissant l'église pour vendre des matériaux), il maintient le bâtiment en bon état. À la suite de la signature en 1801 du régime concordataire français, la religion catholique peut de nouveau être exercée librement en France. Charles Henne donne alors l'église à la commune et le bâtiment retrouve sa destination initiale[26].
Héraldique
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Les armes de la commune de Monchecourt se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Jean Savary devient maire à la suite des élections municipales de mars 1977[28].
Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-trois sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 823 inscrits, dont 841 votants (46,13 %), 10 votes blancs (1,19 %) et 821 suffrages exprimés (97,62 %). La liste Bien vivre à Monchecourt menée par le maire sortant Jean Savary recueille 476 voix (57,98 %) et remporte ainsi dix-huit sièges au conseil municipal, contre trois pour la liste Monchecourt et vous de Pascale Bodart avec 206 voix (25,09 %) et deux pour la liste À l'écoute et au service de tous menée par Philippe Moine avec 139 voix (16,93 %)[29] - [30]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[31]. Le 23 mai, Jean Savary est élu pour un huitième mandat avec dix-huit voix sur vingt-trois, deux vont à Philippe Moine qui s'était également présenté. Il y a trois bulletins blancs[28].
Liste des maires
La mairie de Monchecourt dresse ainsi la liste des maires :
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
François Mathieu Houriez (d) | 1 an et 3 jours | |||
Charles Henne (d) | 21 ans, 4 mois et 12 jours | |||
Henry Tréca (d) | 12 ans, 10 mois et 6 jours | |||
Léopold Héroguez (d) | 5 ans, 8 mois et 25 jours | |||
Jean-Baptiste Momal (d) | 8 ans, 8 mois et 12 jours | |||
Auguste Momal (d) | 15 ans | |||
Antoine Parent (d) | 4 ans | |||
Louis Darthenay père (d) (années 1810 - ) | 21 ans, 4 mois et 16 jours | |||
Augustin Dujardin (d) | 6 ans, 10 mois et 28 jours | |||
Louis Darthenay fils (d) (années 1840 - ) | 23 ans, 7 mois et 28 jours | |||
Charles Darthenay (d) | 8 ans et 10 jours | |||
Jules Després (d) | 5 ans, 5 mois et 6 jours | |||
Henri Masclet (d) (mort le ) | 3 ans, 11 mois et 2 jours | |||
Louis Chantreau (d) | 6 ans et 19 jours | |||
Pierre Vaillant (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 2 ans, 1 mois et 27 jours | ||
Henri Masclet (d) (mort le ) | (mort en cours de mandat) | 5 mois et 8 jours | ||
Jules Cambray (d) | 7 ans | |||
Julien Reco (d) | 8 ans | |||
Auguste Bulté (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 1 an | ||
Auguste Dransart (d) ( - ) | 22 ans et 2 mois | |||
Jean Savary (d)[32] - [33] - [34] - [35] - [36] - [37] - [38] (né le ) | (démission) | 46 ans et 4 jours | Parti socialiste Parti de gauche indépendant | |
Jeanne Roman (d)[39] - [40] (née le ) | En cours | 3 mois et 4 jours |
- Tombe de Louis Darthenay père et fils.
- Tombe de Pierre Vaillant.
- Tombe d'Auguste Bulté.
- Jean Savary à Pecquencourt en octobre 2019.
- Jeanne Roman élue maire le 31 mars 2023 succède à Jean Savary.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2020, la commune comptait 2 508 habitants[Note 8], en augmentation de 0,04 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 243 hommes pour 1 269 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- L'église Saint-Nicolas
- Le cavalier d'Azincourt est une ancienne voie ferrée de sept kilomètres ayant appartenu à la Compagnie des mines d'Azincourt, reliant la cokerie de Monchecourt à Usinor-Denain. Elle passe par Monchecourt, Auberchicourt, Aniche, Émerchicourt, Abscon et Escaudain[47].
Personnalités liées à la commune
Seigneurs de Monchecourt
- Antoine Blondel, fils de Jacques Blondel seigneur de Cuinchy-le-Prévôt (Cuincy), est seigneur de Monchecourt, Sanssoy, Verquineul (Verquigneul?). Il bénéficie le de l'érection de la terre et seigneurie de Cuinchy-le-Prévôt en baronnie, par lettres données à Monçon en Aragon. Il combat lors des guerres d'Italie et a participé au Grand siège de Malte[25].
Autres personnalité
- Roger Facon, né à Monchecourt le
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes du Nord
- Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais
- Fosse de Monchecourt de la Compagnie des mines d'Aniche
- Fosses no 1 Saint Roch et no 3 de la Compagnie des mines d'Azincourt
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monchecourt et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Monchecourt et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Monchecourt », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- page 195 - Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes par Eugène Mannier - 1861- éditeur Auguste Aubry 16 rue Dauphine à Paris- archive de l'université d'Oxford bibloteca Bodletana - numérisé par Google Books le 14 septembre 2006
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 165, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 228, lire en ligne.
- http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59409 « Copie archivée » (version du 18 février 2015 sur Internet Archive).
- « À 82 ans, Jean Savary repart pour un nouveau mandat », L'Observateur du Douaisis, no 907,‎ , p. 20.
- « Élections municipales, Monchecourt », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 34.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Monchecourt », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 10.
- « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, .
- « Municipales à Monchecourt : Jean Savary, trente-sept ans de mandat, encore et toujours candidat », La Voix du Nord, : « Et une septième candidature pour Jean Savary, maire depuis 1977… « J’ai reçu beaucoup de sollicitations explique-t-il. [...] M. Savary est entré en politique sous la bannière du Parti socialiste (PS), qu’il a quitté au moment de la création du Front de gauche, menant des listes d’Union de la gauche. »
- Bruno Place, « Monchecourt : à 80 ans, Jean Savary brigue à nouveau le poste de maire », L'Observateur du Douaisis, : « Né le 30 janvier 1939, maire depuis mars 1977, à 80 ans Jean Savary se remet donc en campagne électorale. »
- Joël Venel, « Monchecourt : Jean Savary élu maire pour la huitième fois », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Sans surprise Jean Savary fut élu avec 18 voix sur 23, deux voix allant à Philippe Moine. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Monchecourt : sans étiquette »
- Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis,‎ (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :
« 7e vice-président, Jean Savary, maire de Monchecourt, délégué à la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations (GEMAPI) et au cycle de l’eau »
- « Monchecourt : doyen des maires du Douaisis, Jean Savary devrait passer la main en mars », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne)
- « Monchecourt : élu depuis 1977, Jean Savary quitte son fauteuil de maire ce vendredi », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne)
- « Monchecourt : Jeanne Roman est la nouvelle maire de la commune », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne)
- « À Monchecourt, Jeanne Roman succède à Jean Savary, maire depuis 1977 », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monchecourt (59409) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Requalification du cavalier d’Azincourt » (consulté le ).
- « Auberchicourt : Aubert le loup entre officiellement dans la cour des géants », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, : « Tous ses amis géants des communes alentour étaient là : le Baudet, de Monchecourt, Fraisinou, d’Écaillon, Floris de Montmorency, de Montigny-en-Ostrevent, Philipotte de Lannoy, d’Hordain et Kopierre, d’Aniche. ».
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15