Menat
Menat [məna] est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Menat | |||||
Village de Menat. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | Puy-de-DĂ´me | ||||
Arrondissement | Riom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Saint-Éloy | ||||
Maire Mandat |
Jean-Yves Arnaud 2020-2026 |
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Code postal | 63560 | ||||
Code commune | 63223 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Menatois | ||||
Population municipale |
536 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 46° 06′ 16″ nord, 2° 54′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 346 m Max. 674 m |
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Superficie | 20,31 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Éloy-les-Mines (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Éloy-les-Mines | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Puy-de-DĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | commune-de-menat.com | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Menat se trouve dans la région naturelle des Combrailles. La rivière de la Sioule forme la limite est du territoire communal. Le village a été bâti au sein-même d'un ancien volcan, plus précisément dans un ancien maar.
Communes limitrophes
Ses communes limitrophes sont[1] :
Voies de communication et transports
Menat est desservie par la route départementale 2144 et se situe à proximité de l'autoroute A71, sortie 12.1 desservant Combronde.
Urbanisme
Typologie
Menat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Éloy-les-Mines, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,4 %), forêts (36 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), zones urbanisées (4,1 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les habitants de Menat sont appelés les Menatois.
L'origine du nom de Menat remonterait au VIe siècle avec les formes latines Manathensis ou Cellula Manatensis (cellula dans le sens de « cellule » de moines, en somme d'un petit monastère). On retrouve Menatum dans un document de 1286. Le toponyme viendrait de Mansio (« maison ») ou du patronyme latin Maso[8].
Albert Dauzat et Charles Rostaing hésitent entre un dérivé de mansio (qui donne le mot manse, une tenure agricole) ou du nom d'homme latin Maso, l'un ou l'autre assortis du suffixe de langue gauloise -acum[9]. Mais les attestations du VIe siècle fragilisent à la fois la présence du suffixe, qui n'a pu donner -at que bien après cette époque, et celle d'un -s- dans le radical .
Histoire
Avant la Révolution française
Sous l'Ancien Régime, au moins depuis le XIVe siècle, Menat était un des quinze archiprêtrés du diocèse de Clermont[10].
Constitution de la commune
À la formation des communes en 1790[11], Neuf-Église et Menat furent réunies en une seule entité communale appelée « Menat ». La paroisse de Menat fut incluse dans celle de Neuf-Église bien qu'étant chef-lieu de canton. Progressivement, Menat s'imposa. Mais la mésentente perpétuelle des deux sections communales poussa Neuf-Église à demander son indépendance. Le processus administratif fut long, mais grâce à l'appui d'Henri Lecoq (savant botaniste et géologue et doyen de la faculté des sciences de Clermont-Ferrand, propriétaire et conseiller municipal de la commune) l'affaire aboutit en 1883. C'est son neveu lui aussi appelé Henri Lecoq qui fut le premier maire de Neuf-Église[12].
Entre les recensements de 1881 et 1886, la commune de Menat perdit 719 habitants à cause de la scission. On peut donc estimer que la section de Neuf-Église représentait environ 35 % de la population communale.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Menat est membre de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy[13], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Éloy-les-Mines[14]. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15]. Jusqu'en 2016, elle était membre de la communauté de communes du Pays de Menat[16].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom depuis 1801, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[13]. Elle était chef-lieu de canton jusqu'en [17].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Éloy-les-Mines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[13], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[17].
Élections de 2020
Le conseil municipal de Menat, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[18] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[19]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les trente-cinq candidats en lice, quinze ont été élus dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 74,42 %[20].
Chronologie des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2020, la commune comptait 536 habitants[Note 3], en diminution de 5,63 % par rapport Ă 2014 (Puy-de-DĂ´me : +2,74 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture et patrimoine
L'Ă©glise de Menat
Il s'agit d'un monument qui a été modifié plusieurs fois au cours des siècles, mais dont la partie la plus ancienne (la nef romane) date du XIIe siècle.
Gisement de fossiles et Musée paléontologique
Menat est un site paléontologique unique en Europe qui témoigne de 56 millions d'années de vie végétale et animale, soit bien avant l'apparition de l'homme. De nombreux fossiles ont été découverts extraits des schistes. Un musée dédié a été inauguré en 1980 et aménagé dans l'ancien château abbatial (aujourd'hui mairie).
Au premier étage de la mairie, on trouve des peintures murales du XVe siècle, dont un calendrier roman.
Abbaye de Menat
Un monastère existait déjà au VIe siècle, d'après la Vie de saint Avit puisque ce dernier étudia à l'école monastique de Menat. L'abbaye a été restaurée par Ménélée, né en Anjou, qui vint à Menat entre 685 et 690. Aidé de ses compagnons, Savinien et Constance, il releva le monastère détruit au cours des guerres de succession à la mort de Clotaire Ier. Il y imposa la règle de saint Benoît. C'est la raison pour laquelle l'abbaye porte le vocable de « Saint-Ménélée », en souvenir de son fondateur.
En 812, le roi Louis le Pieux rétablit plusieurs monastères du royaume d'Aquitaine, en particulier en Auvergne. Il accorda divers privilèges à celui de Menat comme l'exemption de toute redevance, de tout service militaire.
Le , le pape Pascal II adressa une bulle à Hugues de Semur, abbé de Cluny qui plaça l'abbaye de Menat sous la dépendance de l'ordre de Cluny[27]. Une confirmation intervint en 1632, lorsque Richelieu décida de soumettre à nouveau l'abbaye de Menat à l'autorité de l'abbaye de Cluny pour y rétablir la discipline. Pour cette raison, la commune de Menat adhère aujourd'hui à la Fédération des sites clunisiens, association européenne qui s'occupe de la promotion des sites historiques qui dépendaient de l'ordre de Cluny[28].
Au moment de l'extinction des ordres monastiques à la Révolution française, l'abbaye de Menat ne compte plus que trois religieux. Les bâtiments sont vendus au titre des biens nationaux et trouvent différents acquéreurs privés. Une partie du cloître est démolie, une autre est laissée à la disposition de la commune pour servir de presbytère[29] - [30].
Le pont de Menat
Le pont de Menat est un pont médiéval en dos d'âne dont l'origine est incertaine. Il est situé sur la rivière de la Sioule, pour moitié sur les communes de Menat et de Saint-Rémy-de-Blot.
Il aurait été implanté sur l'ancienne voie romaine d'Augustonemetum à Aquae Nerii. Bâti au XIIe siècle, il était au Moyen Âge, le seul passage sur la Sioule entre Ébreuil et Châteauneuf-les-Bains. Cette rivière était alors une voie de pénétration entre l'Auvergne et la seigneurie de Bourbon.
La première mention connue de ce pont est à l'occasion d'un procès entre l'abbé de Menat et le seigneur de Château-Rocher en 1344. Le pont est mentionné comme existant depuis plus de 75 ans.
La travée de la rive gauche a été emportée par une crue au XVIIIe siècle et ne fut reconstruite qu'au début du XXe siècle. Grâce à des travaux de consolidation, le pont a été utilisé comme unique moyen de franchissement de la Sioule au niveau de Menat, jusqu'en 1839, date de la construction du nouveau pont[31].
À l'origine, il devait vraisemblablement exister un pont flottant gallo-romain, c'est-à -dire un système de barques en bois mobiles, attachées les unes aux autres.
L'arboretum du bois des Brosses
En 1975, le SIVOM du canton de Menat achète le bois des Brosses, près du village de Piogat (commune de Menat). La forêt est gérée par l'ONF. L'arboretum a été créé en 1978 lors du reboisement du Bois des Brosses, grâce à la volonté des élus locaux et avec l'aide de l'ONF. Il s'agit d'un arboretum « forestier » dont le boisement a été complété en 1998. Situé à une altitude de 640 m, l'arboretum dépend d'un climat subatlantique. Le sol est peu profond et filtrant. Les conditions écologiques étant assez pauvres sur le plan de la production, l'arboretum est plutôt réservé à des essences frugales comme les conifères. 27 espèces ont été plantées (19 types de conifères et 8 de feuillus), principalement pour leur qualité de production de bois et d'autres pour leur esthétique[32].
- Grosse Pierre du Bois des Brosses : menhir situé dans l’arboretum du même nom, mesurant 4,35 m de hauteur (base enterrée incluse).
- Menhir de Menat, également appelé "Grosse Pierre du Bois des Brosses".
- Saint Ménélé (statue dans l'église de Menat).
Personnalités liées à la commune
- Saint Ménélé, premier abbé de Menat à partir de 576. Un chapiteau à quatre faces de l'ancien chœur roman déposé dans la nef de l'église retrace des épisodes de sa vie : fiançailles rompues, son investiture, et la construction du monastère.
- Simon Bouer, sculpteur qui a réalisé en 1673 les boiseries de l'abbaye de Moutier-d'Ahun.
HĂ©raldique
Blason | De sinople au pont en dos d'âne de trois arches d'or sur une champagne ondée d'argent chargée de quatre burelles ondées du champ, à la crosse aussi d'or brochant sur le tout, la tête rayonnant de huit éclairs d'argent, les deux derniers pointant vers la champagne derrière le pont |
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Détails | Le pont fait référence à celui de Menat, de construction médiévale, qui enjambe la Sioule. Les vagues représentent donc ladite rivière. La crosse est celle de l'abbé de Menat. Enfin, les éclairs pourraient illustrer le rayonnement de l'abbaye clunisienne qui possédait plusieurs prieurés. Blason officiel de la commune. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Maison de Pays / Office de tourisme de Menat
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Géoportail (consulté le 27 août 2017).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Éloy-les-Mines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- André-Georges Manry (dir.), Histoire des communes du Puy-de-Dôme : Arrondissement de Riom, Éditions Horvath, réédition 1991, p. 251.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984.
- Alexandre Bruel, Pouillés des diocèses de Clermont et de Saint-Flour du XIVe au XVIIIe siècle, Paris, Imprimerie nationale, , p. 11.
- Décret de l'Assemblée constituante du 14 décembre 1789.
- André-Georges Manry (dir.), Histoire des communes du Puy-de-Dôme : Arrondissement de Riom, Éditions Horvath, réédition 1991, p. 253.
- « Commune de Menat (63223) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Arrêté no 16-02964 du 19 décembre 2016 « prononçant la fusion des communautés de communes « Saint-Eloy Communauté », « de Pionsat » et « Cœur de Combrailles » étendue aux communes de Servant, Menat, Teilhet, Neuf-Eglise et Virlet […] à compter du », et arrêté rectificatif no 16-02981 du 22 décembre 2016, parus au recueil des actes administratifs no 63-2016-065 [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, 23 décembre 2016 (consulté le 23 décembre 2016), p. 114-126 et 140-142.
- « CC du Pays de Saint-Eloy (No SIREN : 200072080) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « CC du Pays de Menat (No SIREN : 246300685) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Article L. 252 du Code Ă©lectoral.
- « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- « Une nouvelle dynamique enclenchée sous l'égide de Jean-Yves Arnaud à Menat (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Abbé Chaix de Lavarène, Monumenta pontificia Arverniae, decurrentibus IXe, Xe, XIe, XIIe saeculis. Correspondance diplomatique des papes concernant l'Auvergne, depuis le pontificat de Nicolas Ier jusqu'à celui d'Innocent III (IXe, Xe, XIe, XIIe siècles), Clermont-Ferrand, Impr. Thibaud, , p. 127.
- Page consacrée à l'abbaye de Menat sur le site de la Fédération des sites clunisiens
- Grégory Goudot, « Monachisme clunisien et vie rurale sous l'Ancien Régime. Le cas auvergnat de Menat aux XVIIe et XVIIIe siècles », Histoire et sociétés rurales, no 25,‎ , p. 9-35.
- Grégory Goudot, « L'abbaye de Menat et la région montluçonnaise à l'époque moderne », Bulletin des Amis de Montluçon, no 57,‎ , p. 15-36.
- André-Georges Manry (dir.), Histoire des communes du Puy-de-Dôme : Arrondissement de Riom, Éditions Horvath, réédition 1991, p. 255-256.
- Bernard Boutte et Catherine Arnaud, L'arboretum du Bois des Brosses, Fontainebleau, Office national des forĂŞts, .