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Marchienne-au-Pont

Marchienne-au-Pont (en wallon Mårciene) est une section de la ville belge de Charleroi située en Région wallonne dans la province de Hainaut.

Marchienne-au-Pont
Marchienne-au-Pont
La cour intérieure du château de Cartier et l'église.
Blason de Marchienne-au-Pont
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
RĂ©gion Drapeau de la RĂ©gion wallonne RĂ©gion wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Hainaut Province de Hainaut
Arrondissement Charleroi
Commune Charleroi
Code postal 6030
Zone téléphonique 071
DĂ©mographie
Gentilé Marchiennois(e)[1]
Population 14 953 hab. (2008)
DensitĂ© 2 249 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 24′ 22″ nord, 4° 23′ 40″ est
Superficie 665 ha = 6,65 km2
Localisation
Localisation de Marchienne-au-Pont
Localisation de Marchienne-au-Pont dans la commune de Charleroi
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Marchienne-au-Pont
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Marchienne-au-Pont
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Marchienne-au-Pont
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Marchienne-au-Pont

    C'Ă©tait une commune Ă  part entière avant la fusion des communes de 1977 date Ă  laquelle elle comptait 17 000 habitants.

    Elle est située au confluent de la Sambre et de l'Eau d'Heure, et fut un centre industriel important. De nos jours, il existe encore Industeel-Charleroi (anciennement la FAFER) ; Carsid (ancien Cockerill-Sambre) a fermé ses portes en 2012.

    Étymologie

    Le mot Marchienne signifie soit domaine de Marcius (nom gallo-romain), soit terres aux limites (du latin marca, via le germain marka et l'ancien français marche[note 1]). Le pont est celui sur la Sambre[2].

    DĂ©mographie

    Évolution de la population[3] - [4]
    1801 1846 1900 1947 1977[note 2] 2001
    1 140 2 695 18 938 21 351 17 017 14 985

    Principaux quartiers

    Marchienne-Est, ce quartier se trouve oĂą il y a les anciennes Forges de la Providence.

    Matadi, ce quartier est au sud de la commune une église a été construite et une cité porte le même nom.

    Marchienne-Docherie, quartier au nord de Marchienne-au-Pont. Ce quartier s'est développé grâce à l'industrie et aux charbonnages.

    Marchienne-État, ce quartier se trouve entre la Sambre et la route de Mons où se trouve l'ancienne brasserie des Alliés.

    Marchienne-Cartier, c'est le centre-ville de Marchienne, oĂą se trouve l'hĂ´tel de ville et l'Ă©glise.

    Histoire

    Moyen-âge

    Marchienne-au-Pont dans les années 1770 (extrait de la carte de Ferraris).

    Pour ébaucher l'Histoire de la localité de Marchienne-au-Pont, il faut remonter au IXe siècle, à la mort de Charlemagne. Son Empire est partagé en trois parties: la Francie, la Germanie, et entre les deux, un long territoire appelé Royaume de Lothaire. Celle-ci comprenait une grande partie de la Belgique actuelle et de la Bourgogne. , Arnold de Carinthie, roi de Germanie, afin de se ménager un appui politique en Lotharingie, donne l'Abbaye de Lobbes et ses 17 villages à Francon, abbé de Lobbes et ensuite évêque de Liège. L'Histoire est en marche, la localité et ses environs proches vers le sud et l'ouest sont pour plusieurs centaines d'années possession liégeoise, et constituent une avancée vers les terres du Comté de Hainaut à l'ouest. À quelques kilomètres (à l'époque on disait "lieues"), à l'est, Charleroi, qui n'est encore qu'un bourg nommé "Charnoy", est une possession du Comté de Namur.

    Le Perron de Liège sera longtemps l'emblème de la bourgade, puis de la commune. Un perron en pierre trône sur l'actuelle place Albert 1er.

    En 980, le prince-évêque Notger acquiert les pouvoirs comtaux et transforme le domaine en enclave politique liégeoise avec, comme place forte, Thuin et ses remparts. Sous la protection des princes évêques Marchienne se développe et prospère.

    XVIe siècle, XVIIe siècle et XVIIIe siècle

    Vue du bourg et du château par Remacle Le Loup dans Les Délices du Pays de Liège (vol. 5 - 1738-1744).

    Le « vieux pont de Marchienne » est l'autre Ă©lĂ©ment important. La localitĂ© lui doit son nom actuel. Il est fait mention de ce pont, pour la première fois, dans les archives locales, en 1541. Il mesure 81 m de long sur 3,80 m de large. Un pont-levis barre le centre de l'Ă©difice. Grâce Ă  cet ouvrage de gĂ©nie civil, la localitĂ© devient un lieu de passage important. Il favorise l'installation de commerces et de nĂ©goces et accroĂ®t progressivement le dĂ©veloppement urbain. Jusqu'en 1842, et la construction du « Pont Neuf », le vieux pont Ă  trois arches est le seul pont entre Charleroi (oĂą il n'y a pas de pont de pierres avant 1668) et l'Abbaye d'Aulne, soit sur une distance de 15 km.

    Le Vieux Pont Ă  trois arches et le Perron figurent sur les armoiries de la commune de Marchienne-au-Pont.

    XIXe siècle

    Le XIXe siècle fut pour Marchienne l'occasion d'affirmer sa vocation économique ; le fer et le charbon lui confèrent une solide réputation[5].

    Le chemin de fer

    Le chemin de fer a fait son apparition à Marchienne-au-pont en 1843, avec l'ouverture par les Chemins de fer de l'État belge de la ligne Braine-le-Comte, Manage, Luttre, Charleroi (actuelles lignes 117 et 124).

    Le 1erdécembre 1848, la Société du chemin de fer de l'Entre-Sambre-et-Meuse, financée par des capitaux anglais, inaugure la section Marchienne - Walcourt - Morialmé (actuelles lignes 132 et 135), avec une antenne vers Laneffe (à traction chevaline).

    Ces travaux sont supervisés par Eugène Gremez, de Cerfontaine, contrôleur du Service des Transports, placé directement sous les ordres de George Sheward, administrateur anglais de la ligne, dont l’adresse n’est autre que Jardinet-lez-Walcourt, c-à-d à l’ancienne abbaye.

    Gremez multiplie les visites non seulement aux diverses stations de ligne, mais il s’enquiert des multiples développements commerciaux possibles, étudie les prix de revient, passe commande de tous les instruments et objets nécessaires, nomme des responsables à tous les niveaux[6].

    Quatre années plus tard, cette ligne est continuée vers le sud (Silenrieux, Cerfontaine, Mariembourg, Vireux-Molhain).

    Le canal de Chimay

    Avant de décider de la construction d’un chemin de fer au centre de l’Entre-Sambre-et-Meuse, les milieux économiques de l’époque avaient proposé la construction d’un canal pour désenclaver la région.

    A la fin de l’amalgame avec la Hollande, la Chambre de Commerce de Charleroi — qui désirait favoriser la forgerie de l’Entre-Sambre-et-Meuse — proposait la construction du canal de Chimay : depuis Thuin, sur la Sambre, à Chimay, avec une « rigole » vers Couvin, alimentée par le trop-plein de l’étang de Virelles. Le but premier : « permettre aux bateaux partant de Chimay et Couvin, de transporter le fer fabriqué, la fonte et les ardoises, etc, jusqu’à l’Escaut. » Quelques chiffres de base : profondeur de l’eau : 1 m 50 ; largeur des écluses : 2 m 80 ; longueur des écluses : 20 m.

    Assez vite, ce tracé est abandonné au profit d’un canal depuis l’embouchure de l’Eau-d’Heure (Marchienne-au-pont) jusqu’à sa source dans les bois de Cerfontaine ; de là, la voie d’eau devait traverser le coteau de partage, partie à ciel ouvert, partie en souterrain, vers la Brouffe et l’Eau Blanche.

    Finalement, c’est le chemin de fer qui l’emporte[7]...

    En 1852, la Compagnie du chemin de fer de Charleroi à la frontière de France (qui devint par mise à bail la Compagnie du Nord - Belge en 1854) inaugure la ligne de Charleroi à Erquelinnes (actuelle ligne 130A). Le principal dépôt de locomotives du Nord-Belge fut installé au lieu-dit Saint-Martin, près de la gare de Marchienne-Zone. En plus du dépôt se trouvaient des ateliers de réparation, où le Nord-Belge fit construire des wagons et quelques locomotives ; une cité ouvrière, actuellement appelée la Cité du N, fut construite à proximité immédiate.

    En 1867, le "vieux pont" cède la place à une passerelle en fer, développement technologique oblige.

    Le 22 janvier 1871 le ballon monté Général-Daumesnil s'envole de la gare de l'Est à Paris, alors assiégée par les Prussiens (Guerre de 1870), et termine sa course à Marchienne-au-Pont après avoir parcouru 277 kilomètres[8].

    Première Guerre mondiale

    Au début de la Première Guerre mondiale, lors de l'invasion allemande, la commune de Marchienne-au-Pont fut relativement épargnée comparé à ses voisines, ne déplorant que quelques otages civils tués et peu de maisons incendiées[9].
    Elle connut un événement tragique, peu avant la fin de la guerre, lorsqu’une écolière, Yvonne Vieslet, âgée de 10 ans, fut tuée par un soldat allemand, le .

    Seconde Guerre mondiale

    Les bombardements aériens, visant les installations ferroviaires de Saint-Martin causèrent des dégâts importants. Le centre de Marchienne-au-Pont est dévasté, les ponts enjambant la Sambre sont détruits, l'ancien hôtel de ville est touché (le clocher à bulbe est détruit), les moulins à vapeur sont incendiés.

    Industries historiques

    Forges de la Providence

    La « Société anonyme des laminoir, forge, fonderie et usines de la Providence » fut fondée en 1838 par des membres de la famille Puissant et l'ingénieur anglais Thomas Bonehill. Les forges de la Providence, reconnues internationalement, fonctionneront pendant 150 ans[10].

    Centrale Ă©lectrique

    En 1953, une nouvelle centrale électrique a été mise en service à côté de l'ancienne. Elle était quasiment identique à la Centrale de Monceau juste en amont. Les deux sites étaient exploités par Intercom (plus tard fusionné avec Electrabel). La capacité de la centrale a été portée à 115 MW en 1959. Dans les années 1970, la centrale a été modifiée pour pouvoir également fonctionner au fioul et au grisou. Il a été fermée en 1997.

    Sceau et armoiries

    Sceau de Marchienne-au-Pont.
    Blasonnement : Un pont de trois arches surmonté du perron liégeois[11].
    Armoiries officieuses de la commune de Marchienne-au-Pont inspirées de l'ancien sceau[note 3].


    Liste des bourgmestres

    Buste du bourgmestre Robert Fesler (nl) dans le parc de l'hĂ´tel de ville.
    • Sylvain Pirez (1830-1836) ;
    • Joseph de Cartier (1836-1844) ;
    • A. De Paul (1844-1847) ;
    • Pierre Parent[note 4] (1847-1848) ;
    • A. CossĂ©e (1848-1854) ;
    • Eudore Pirmez (1854-1860) ;
    • J. Caludriau (1860-1885) ;
    • Joseph Lefève (1885-1895) ;
    • LĂ©on Pourbais (1895-1896) ;
    • Camille Dessart (1896-1901) ;
    • LĂ©opold Vasse (1901-1905) ;
    • Omer Bernard (1905-1921) ;
    • Robert Fesler (nl) (1921-1931) ;
    • Pierre Bauwens (1931-1933) ;
    • Edmond Jacquin (1933-1957) ;
    • Louis Leriche[note 5] (1957-1976)[12].

    Patrimoine

    • Le château Bilquin-de Cartier construit au XVIIe siècle.
    • Dans le porche de l'Ă©glise se trouve la pierre tombale du chevalier Jehan de Labricque (mort en 1556) Ă©cuyer et greffier Ă  la Cour de Marchienne entourĂ© de ses deux Ă©pouses (Françoise du Fary et Isabeau de Davre)[13].
    • Le bateau-chapelle, amarrĂ© sur la Sambre sous un pont.
    • L'Ă©glise de la Sainte-Vierge remplace celle du XVIe siècle qui Ă©tait trop exiguĂ« pour les fidèles donc dĂ©molie en 1903. La nouvelle Ă©glise a Ă©tĂ© construite entre 1901 et 1904 par l'architecte C. Sonneville. Elle possède dans le porche quelques pierres tombales de l'ancienne Ă©glise.
    • Presbytère, ancienne minoterie en briques et pierre calcaire remontant Ă  la seconde moitiĂ© du XVIIIe siècle, restaurĂ©e en 1933 par l'architecte M. Letroye[14].
    • Église paroissiale Sainte-Bernadette, construction mono-nef de trois travĂ©es en briques dessinĂ©e par l'architecte Letroye en 1935-1936 et consacrĂ©e en 1954 seulement[14].
    • Église Saint-Pierre, situĂ©e dans le quartier de La Docherie. Construite en 1868 et vite lĂ©zardĂ©e par les galeries minières ; le clocher n'a Ă©tĂ© terminĂ© qu'en 1893.
    • Église Notre-Dame des sept Douleurs, deuxième Ă©glise du quartier de La Docherie, bâtie en 1935-1936, elle est aujourd'hui une Ă©glise Orthodoxe.
    • Temple protestant, bâti en 1897 dans un style Ă©clectique.
    • Chapelle St-Roch, bâtie en 1891.
    • École et couvent Notre-Dame, bâtiment qui remonte Ă  la seconde moitiĂ© du XVIIIe siècle.
    • La Sambre et le bateau-chapelle.
    • Eglise de la Sainte-Vierge, bâtie de 1901 Ă  1904.
      Eglise de la Sainte-Vierge, bâtie de 1901 à 1904.
    • La chapelle Notre-Dame de MisĂ©ricorde.
    • Taverne "Au Vieux Marchienne".
    • Le presbytère.
    • L'Ă©cole et le couvent Notre-Dame, rue de Châtelet.

    Autres bâtiments

    • L'ancienne "Brasserie des AlliĂ©s".
    • MosquĂ©e turque Diyanet Alaaddin.
    • L'hĂ´pital Vincent Van Gogh.
    • L'ancien hĂ´tel de ville de 1973.
    • Vue du sanctuaire Sainte-Rita.

    Monuments et statues

    • Buste de Robert Fesler, bourgmestre de 1921-1931, il se situe dans le parc de l'hĂ´tel de ville.
    • Le monument Marchiennes Ă  ses glorieux morts, il se situe dans le cimetière de Marchienne-centre.
    • Monument aux morts de la guerre de 1940-1945 dans le parc communal.
    • Monument aux fusillĂ©s du 22 aoĂ»t 1914 situĂ© route de Beaumont.
    • Monument aux morts 1914-1918, il se situe dans le parc communal. Face Ă  l'HĂ´tel de Ville, l'oeuvre monumentale due Ă  Monsieur Van den Houten reprĂ©sentera la Belgique libĂ©rĂ©e sous les traits d'une femme. Les quatre rivières Sambre, Meuse, Escaut et l'Yser reprĂ©sentĂ©es par quatre personnages versant de l'eau dans un bassin circulaire Ă©voquent les quatre grandes batailles du conflit. Toutes ces figures allĂ©goriques sont bien dans l'esprit de l'Ă©poque[15].
    • Monument Ă  l'endroit ou Yvonne Vieslet, âgĂ©e de 10 ans, fut atteinte le 12 octobre 1918 par une balle tirĂ©e par un soldat allemand.
    • Monument Ă  la France, il se situe route de Beaumont.
    • Monument des DĂ©portĂ©s, il se situe dans un square Ă  La Docherie.
    • Monument aux Mamans, il se situe devant l'Ă©cole du Spignat Ă  Matadi.
    • Monument "A nos Martyrs", il se situe au pied du campanile de l'Ă©glise Sainte-Bernadette.

    Transports en commun

    La gare de Marchienne-au-Pont est la principale gare ferroviaire de la commune. Elle est desservie par tous les trains de voyageurs circulant, au départ de Charleroi, sur les lignes 112 et 124 : InterCity, trains P, Réseau Suburbain de Charleroi (anciens trains omnibus renommés en 2017).

    Il existe ou existait d'autres gares Ă  Marchienne-au-Pont :

    • Marchienne-Zone, sur la ligne 130A (uniquement desservie par les trains S63).
    • Marchienne-Est, sur la ligne 124. Cette gare, fermĂ©e et dĂ©molie, se situait approximativement au niveau de l'arrĂŞt de bus TEC du mĂŞme nom.
    • La Sambre, Ă  Mont-sur-Marchienne sur les lignes 130A et 132. Construite par la compagnie qui exploitait la ligne 132, cette gare Ă©tablie rue de la Sambre au nord de l'ancienne commune de Mont-sur-Marchienne, Ă©tait principalement une gare de marchandises. DĂ©sormais fermĂ©e, son bâtiment trouva d'autres usages avant d'ĂŞtre dĂ©moli vers 2012.

    La commune est également desservie par le métro léger de Charleroi et de nombreux bus de l'opérateur de transport de Wallonie (TEC).

    Folklore

    Le 2e dimanche de mai a lieu un mini-cortège carnavalesque.

    Le Pardon de la Batellerie, se déroule au mois de septembre.

    Cinéma

    Notes et références

    Notes

    1. Ce mot marche signifie [endroit situé sur une] limite, frontière. Ces limites furent fixées par l'administration impériale romaine et ont été conservées par les Francs, qui y ont créé des zones tampons, démilitarisées, qu'ils ont nommés markan, terrains neutres et lieux de rencontre entre regiones (du latin regio, territoires soumis à l'autorité royale) (Jespers 2011, p. 424)
    2. Année de la fusion des communes en Belgique
    3. On retrouve ces armoiries officieuses sur le vitrail prĂ©sent dans la salle des mariages de l'hĂ´tel de ville de Charleroi (Institut royal du Patrimoine artistique), mais Ă©galement sur la grille protĂ©geant le monument "Ă€ la France" situĂ© sur la route de Beaumont. (50° 23′ 34″ N, 4° 23′ 16″ E). Toutefois dans cette dernière reprĂ©sentation le blason est peint en "bleu-blanc-rouge"
    4. Pierre Parent qui a construit l'Ă©glise Saint-Pierre.
    5. Dernier bourgmestre avant la fusion des communes.
    6. Marchienne de vie est édité en DVD en novembre 2015 par la Cinémathèque royale de Belgique associée pour l'occasion à la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

    Références

    1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 31
    2. Jespers 2011, p. 425
    3. Sauf 1977 - Michel Poulain (dir.), Ville de Charleroi : Atlas géostatistique des quartiers, Charleroi, , p. 55
    4. 1977 - Pierre-Jean Schaeffer, Charleroi 1830-1994, Histoire d'une MĂ©tropole, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Quorum, , 466 p. (ISBN 2-930014-42-3), p. 337
    5. Willy Staquet, Le Pays de Charleroi, Mons, Fédération du Tourisme du Hainaut, , 197 p., p. 143
    6. André Lépine, Le canal de Chimay (1831) et le chemin de fer de l'Entre-Sambre-et-Meuse (1844) : deux projets de désenclavement ambitieux, avec une carte de l'ESM (1844) ; voir le chapitre : L’ouverture de la ligne de chemin de fer de l’Entre-Sambre-et-Meuse (1848), Cahier du Musée de Cerfontaine, no 468, , 18 pages et une carte
    7. AndrĂ© LĂ©pine, Le canal de Chimay (1831) & le chemin de fer de l’Entre-Sambre-et-Meuse (1844) : deux projets de dĂ©senclavement ambitieux, Cahier du MusĂ©e de Cerfontaine no 468, , 18 pages, avec une carte de l'Entre-Sambre-et-Meuse (1844) de 50 Ă— 50 cm
    8. Ballon no 66 : « Le Général-Daumesnil »
    9. Claude Daubanton, La Royale feuille d'Ă©tain de Marchienne-au-pont, Marchienne-au-Pont, , p. 109
    10. « Forges de la Providence », sur www.charleroi-decouverte.be
    11. Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 218
    12. Joseph Boudart et Jo Bertrand, Souvenir de Marchienne-au-Pont, Dampremy, Edité en 1988 au profit de la restauration du Château de Cartier, , 150 p., p. 87
    13. « Origine historique des noms de famille et des prénoms l », sur retrouversonnord.be (consulté le ).
    14. Le patrimoine monumental de la Belgique, Wallonie, volume 20 Province du Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 600 p. (ISBN 2-87009-588-0), p. 141 et 143
    15. Joseph Boudart et Jo Bertrand, Souvenir de Marchienne-au-Pont, première partie, Dampremy, Edité en 1988 au profit de la restauration du Château de Cartier, , 150 p., p. 95

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • RedĂ©couvrir son quartier sous un autre regard... Charleroi : Section de Marchienne-au-Pont, Charleroi, Espace Environnement, , 16 p. (lire en ligne)
    • Joseph Boudart et Jo Bertrand, Souvenir de Marchienne-au-Pont : Première partie, , 72 p. — ÉditĂ© en 1987 au profit de la restauration du Château de Cartier.
    • Joseph Boudart et Jo Bertrand, Souvenir de Marchienne-au-Pont : Deuxième partie, , 77 p. — ÉditĂ© en 1988 au profit de la restauration du Château de Cartier. Pages numĂ©rotĂ©es de 73 Ă  150.
    • Emmanuel Brutsaert (RĂ©dacteur en chef), Gilbert Menne (SecrĂ©taire d'Ă©dition) et Johan De Meester (Mission photographique), Histoire et patrimoine des communes de Belgique : Province du Hainaut, Bruxelles, Éditions Racine, , 608 p. (ISBN 978-2-87386-599-3), p. 155-157
    • Jean-Jacques Jespers, Le nouveau dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et Ă  Bruxelles, Bruxelles, Éditions Racine, , 752 p. (ISBN 978-2-87386-733-1)
    • AndrĂ© LĂ©pine Le canal de Chimay (1831) et le chemin de fer de l'Entre-Sambre-et-Meuse (1844) : deux projets de dĂ©senclavement ambitieux, avec une carte de l'ESM (1844) ; voir le chapitre : L’ouverture de la ligne de chemin de fer de l’Entre-Sambre-et-Meuse — section de Marchienne-au-Pont Ă  Walcourt (1848), Cahier du MusĂ©e de Cerfontaine, no 468, 18 pages et une carte, 2021.
    • Pierre-Antoine Masset, Histoire de Marchienne-au-Pont, Malines, Paul Ryckmans, , 686 p. (BNF 30902908, lire en ligne) — Reproduction anastaltique par les Ă©ditions Cultures et civilisation en 1975 Ă  Bruxelles.
    • Guy Weyn, « Les avouĂ©s de Thuin : Contribution Ă  l'histoire de l'abbaye de Lobbes et des seigneurs de Marchienne, Mont-sur-Marchienne et Montigny-le-Tilleul », Documents et rapports de la SociĂ©tĂ© royale d'archĂ©ologie et de palĂ©ontologie de Charleroi, t. LVIII,‎ 1979-1981, p. 73-168
    • AndrĂ© LĂ©pine, Les charbonnages du Pays noir en cartes postales anciennes, Cahier du MusĂ©e de Cerfontaine no 503, 100 vues, 1996.
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