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Macta

La Macta est un oued côtier d'Algérie (Ouest de Mostaganem, Est d'Arzew), situé au Nord-Ouest du pays, il est formé par la réunion de deux cours d'eau : le Sig et Habra.

Macta
Illustration
Marais de la Macta : végétation palustre (vers 1975)
Caractéristiques
Longueur 4,8 km
Bassin 14 390 km2
Cours
Source confluence Sig et Habra
Embouchure Mer Méditerranée
· Altitude m
GĂ©ographie
Pays traversés Drapeau de l'Algérie Algérie

Présentation

Le cours de la Macta est entourĂ© de marais (20 000 ha) partiellement drainĂ©s entre 1958 et 1962. Actuellement, les zones marĂ©cageuses subsistantes constituent une rĂ©serve naturelle oĂą la faune et la flore (nombreuses espèces d'oiseaux) sont en principe protĂ©gĂ©es. Dans l'Est oranais, et avec la sebkha d'Arzew, les marais de la Macta constituent une zone humide d'importance internationale depuis le (site Ramsar)[1] - [2].

En le Premier ministre Abdelmalek Sellal a inaugurĂ© la mĂ©ga-station de dessalement d’eau de mer d’El Macta. Cette installation, l’une des plus grandes au monde utilisant le procĂ©dĂ© de l’osmose inverse, a une capacitĂ© de production quotidienne de 500 000 m3 d’eau[3].

Les oueds Sig et l'Habra qui forment la Macta, ont fait l'objet de tentatives d'endiguement depuis 1871, mais toutes se sont soldées par des échecs [4]. À l'Est, l'oued Tinn (ou Tine sur les cartes IGN), qui se perd dans la plaine de la Macta, a aussi été partiellement endigué.

Carte d'endiguement des oueds d'après Pochet in Simoneau (1952)

Le bassin versant

Le bassin versant de la Macta s'Ă©tend sur 14 390 km2. Il est drainĂ© par deux principaux cours d'eau: l'oued Mebtouh, Ă  l'ouest et l'oued El Hammam Ă  l'est. Il associe trois rĂ©gions distinctes[5]:

  • la basse plaine littorale, prĂ©sente des altitudes ordinairement infĂ©rieures Ă  m, ce qui favorise la prĂ©sence de plans d'eau, de marais et de steppes.
  • les massifs, qui constituent la plus grande partie du bassin versant. Ce bassin est bordĂ© Ă  l'ouest et au nord-ouest par les monts de Tessala, les monts des Beni-Chougrane occupent une bonne partie de sa zone moyenne.
  • les larges plaines alluviales insĂ©rĂ©es dans les massifs montagneux de Sidi Bel Abbès.
  • Oued Sig en crue (vers 1975).
    Oued Sig en crue (vers 1975).
  • Marais de la Macta vus de la W82 (avril 1977).
    Marais de la Macta vus de la W82 ().
  • Dunes de La Macta (1977).
    Dunes de La Macta (1977).
  • Marais de la Macta : vol de Flamants roses.
    Marais de la Macta : vol de Flamants roses.

La basse plaine littorale et sa végétation

La plaine de la Macta se prĂ©sente comme une vaste prairie salĂ©e presque absolument plate. Cette rĂ©gion a la particularitĂ© de prĂ©senter des peuplements purs de SalsolacĂ©es, de JoncacĂ©es et de GraminĂ©es. Parmi ces peuplements :

Arthrocnemum macrostachyum. Photo Javier Martin (Wikicommons)
  • les peuplements Ă  Arthrocnemum macrostachyum qui occupent des milliers d'hectares dans les zones frĂ©quemment inondĂ©es soumises Ă  un alluvionnement intense ;
  • les peuplements de Juncus maritimus et Juncus subulatus, qui couvrent plus de 6,000 ha dans les marais de La Macta (...) ;
  • les peuplements de Phragmites communis peu importants, sont toujours situĂ©s dans les lits majeurs des oueds ou des dĂ©pressions constamment en eau (par exemple, la station 9 sur la carte des marais ci-dessous) ;
  • les peuplements de Scirpus maritimus sont toujours peu Ă©tendus, mais très nombreux occupant toutes les cuvettes argileuses, fortement chlorurĂ©es et inondĂ©es toute l'annĂ©e ;
  • les peuplements de Typha angustifolia sont très rares et n'existent que dans les marais de l'Haciane Mengoub Â» [4].
Carte des marais de la Macta
Macta : végétation le long d'un transect

Par ailleurs, dans l'ensemble formé par les marais de la Macta, les marais du Mengoub et la plaine de l'Habra, une forêt de Tamarix africana occupait, jusqu'en 1960, une superficie importante [4]. Mais de nos jours, la pression de l'homme (coupes illicites, incendies et parcours intensif) et l'évolution défavorable des conditions climatiques (précipitations réduites et période de sécheresse accrue) l'ont très fortement dégradée : il n'en reste plus que quelques lambeaux le long des oueds Sig et Habra [6].

La basse plaine littorale et ses sebkhas

Ă€ moins de 10 km Ă  l'ouest des marais de la Macta, les salines d'Arzew reprĂ©sentent une grande sebkha, c'est-Ă -dire "une dĂ©pression occupĂ©e par de l'eau salĂ©e qui ne reçoit aucun cours d'eau important" [4]

Au milieu de la basse plaine de la Macta, on trouve aussi une sebkha : le lac Bou-Nefer, un petit lac salĂ© d'environ 3 ha, qui occupe une dĂ©pression partiellement entourĂ©e de buttes argileuses (la station no 8 sur la carte des marais de la Macta) [7]. Pendant les hivers pluvieux, quand la plaine de la Macta est submergĂ©e, il peut recevoir des eaux peu chargĂ©es en chlorures provenant de l'oued Sig. Mais, « malgrĂ© ces apports, le titre des eaux du lac ne s'abaisse jamais en dessous de 12 g de NaCl par litre et, en fin d'Ă©tĂ©, quand elles sont les plus basses, elles renferment 60,54 g de NaCl par litre Â» [4].

En bordure de l'oued Tinn, près de la route W42 et à l'Est de Fornaka, on trouve aussi d'autres petits lacs salés comme celui de Toumiette, de Bou Hamida, de Bou Chentous [4].

Végétation et microrelief
Végétation et microrelief
Végétation et microrelief
Végétation et microrelief

La Faune des marais de la Macta

À l'exception des oiseaux [8], les premières observations de la faune de la Macta proviennent de l'étude de Krissat et Horr réalisée en 1976 [9]. Dans la mesure du possible, les noms normalisés, qui forment une nomenclature scientifique francisée, seront utilisés.

Les Insectes

Les Odonates

Les Odonates comportent deux groupes distincts : le sous-Ordre des Anisoptères (Libellules vraies, Æschnes...) et le sous-Ordre des Zygoptères (Demoiselles, Agrions...). Parmi les Anisoptères, Krissat et Horr [9] ont trouvé deux familles :

  • LibellulidĂ©s

- Libellula flaveola ; Libellula vulgata ; Libellula coerulescens ; Libellula striolata

  • ÆschnidĂ©s

- Anax imperator : l'Anax empereur

Parmi les Zygoptères, ces biologistes ont également trouvé deux familles :

  • CoenagrionidĂ©s

- Ceriagrion tenellum (Synonyme ancien : Pyrrhosoma tenellum) : le CĂ©riagrion dĂ©licat ou l'Agrion dĂ©licat ; - Coenagrion mercuriale (Synonyme ancien : Agrion mercuriale) : l’Agrion de Mercure ; Enallagma cyathigerum (Synonyme ancien : Agrion cyathigerum) : l’Agrion Porte-coupe ; Erythromma lindenii (Synonyme ancien : Agrion lindenii) : la NaĂŻade aux yeux bleus ou l'Agrion de Vander Linden ou l'Agrion Ă  longs cercoĂŻdes ; Erythromma najas : la NaĂŻade aux yeux rouges

  • LestidĂ©s

- Lestes virens : le Leste verdoyant ; Sympecma fusca (Synonyme ancien : Lestes fusca) : le Leste brun ou Brunette hivernale

Les Hémiptères

  • GerridĂ©s

- Aquarius najas (Synonyme ancien : Gerris najas) ; Gerris lacustris

  • NĂ©pidĂ©s

- Nepa cinerea: la Nèpe

- Notonecta glauca : la Notonecte

  • NaucoridĂ©s

- Naucoris maculatus

  • CorixidĂ©s

- Sigara nigrolineata (en) ; Hesperocorixa sahlbergi (en)

Les Coléoptères

  • DistycidĂ©s

- Agabus maculatus; Haliplus amoenus; Colymbetes fuscus; Cybister lateralimarginalis : le dytique à côtés bordés.

  • GyrinidĂ©s

- Gyrinus natator : le gyrin nageur.

  • HydrophyllidĂ©s

- Berosus spinosus; Berosus signaticollis; Berosus luridus

Les Diptères

- Chironomus viridulus; Chironomus prasinus

- Culex pipiens : le moustique commun; Aedes sp

- Dixa sp

Les Acariens

  • HydrachnidĂ©s (en)

- Eulais extendens ; Thyas venustus

Les Mollusques

Aucune espèce de mollusque, qu'elle soit enfouie ou limnique, n'a été trouvée en 1976 [9]. Cette absence mérite d'être soulignée.

Les Crustacés

Les Cladocères

  • DaphniidĂ©s

- Daphnia pulex

Les Amphipodes

  • GammaridĂ©s

- Gammarus pulex

Les Branchiopodes

  • BranchiopodidĂ©s

- Artemia sp

Les DĂ©capodes macroures

- Palaemonetes varians (en) (synonyme Periclimenes migratorius)

Les Poissons

Dans ces marais, les populations de poissons sont faibles. En 1976, sur les cinq espèces observées par Krissat et Horr [9], seule la population d'anguille paraissait importante. Ces cinq espèces appartenaient à quatre familles :

  • AnguillidĂ©s

- Anguille d'Europe ou anguille commune (Anguilla anguilla)

  • CyprinidĂ©s

- Carpe commune (Cyprinus carpio); Barbeau "callensis" (Barbus callensis)

  • PoeciliidĂ©s

- Gambusie ou « guppy sauvage Â» (Gambusia affinis)

  • AtherinidĂ©s

- AthĂ©rine de Boyer (Atherina boyeri)

Les Batraciens

Ranidés (grenouilles)

- Grenouille rieuse (Pelophylax ridibundus) (synonyme Rana ridibunda). Cette grenouille verte est la plus grande grenouille indigène d'Europe. Dans les marais de la Macta, elle est commune et a été trouvée dans toutes les stations prospectées, sauf dans le petit lac Bounefer, trop salé sans doute.

Les Reptiles

Geoemydidés (tortues)

-Émyde lépreuse (Mauremys leprosa) (synonyme Emys leprosa). Cette tortue, qui se rencontre dans le nord du Maghreb, dans la péninsule ibérique et dans le sud de la France, n'a été trouvée que dans quelques secteurs des marais où la salinité était la plus faible.

Les Oiseaux

Les informations ornithologiques proviennent de la publication de Metzmacher (1979 et obs. pers.)[8] - [10]

Chant de la Rousserolle turdoĂŻde. Sonagramme.

Les Oiseaux et la végétation des dunes de la Macta

Dunes littorales de la Macta en 1975

« La zone des dunes littorales est limitée : 1) au Nord, par la mer; 2) à l'Est, par la falaise et la colline du Marabout de Sidi Mansour; 3) au Sud, par la route Nationale d'Oran à Mostaganem jusqu'au pont de la Macta, puis par la rivière La Macta » [11]

« La superficie de cette zone est d'environ 180 ha. La végétation est caractérisée essentiellement par l'importance des peuplements de Genévriers oxycèdres sur les dunes littorales et par l'extrême variété de la flore sur la rive droite de la rivière La Macta. Les espèces halophiles et hélophiles y croissent avec les espèces littorales (...). Les plus beaux arbres se rencontrent sur la rive droite de l'oued, à l'abri du cordon dunaire. C'est par sa situation peu accessible aux hommes et aux animaux, que ce boisement a pu se conserver en relativement bon état » (ibidem).

À la fin des années 1940, l'horizon forestier était déjà fort dégradé : arbres clairsemés, mutilés, enfouis dans le sable (ibidem). En 1983, des scientifiques belges, français, hollandais ont alerté le Wali d'Oran sur l'importance internationale des marais de la Macta et sur l'intérêt écologique de la forêt des dunes littorales [12]. Mais, en ce qui concerne ce peuplement forestier, les images de Google Earth n'indiquent pas que sa dégradation soit stoppée...

DĂ©gradation d'une partie des dunes littorales de la Macta en 1983. Secteur ouest.

La biodiversité de ces dunes reste néanmoins importante. Ainsi, sur une surface d'environ km2 et à partir de 5 transects, Zohra et al. (2015) ont observé 90 espèces de plantes appartenant à 16 familles [13]. Parmi celles-ci, 3 dominaient nettement la flore littorale : les Astéracées (22 espèces), les Amarantacées (19 espèces) et les Poacées (15 espèces). La majorité de ces espèces (plus de 65%) étaient d'origine méditerranéenne. Ces dunes hébergeaient aussi plusieurs espèces rares méritant une protection particulière comme la Roquette de mer (Cakile maritima) et le Raisin de mer (Ephedra distachya).

Ces dunes boisées [11] représentent également un habitat apprécié par toute une série d'oiseaux nicheurs, en particulier par : la Fauvette mélanocéphale, le Rougequeue (Rubiette) de Moussier, la Pie-grièche grise, la Perdrix gambra, le Tchagra à tête noire, la Tourterelle des bois et, parmi les rapaces, le Circaète Jean-le-blanc. En automne de nombreux migrateurs y font halte juste après avoir franchi la Méditerranée .

Ces dunes boisées présentent des traits communs avec le bois des Rièges en Camargue (France).

Ressources scientifiques pour développer l'étude écologique de la Macta

  • Les rĂ©seaux naturalistes :
  1. En botanique : Tela Botanica
  2. En entomologie : Tela Insecta et la base de données sur les Acridiens de l'Afrique du Nord-Ouest
  3. En ornithologie : Ornithomedia

Préservation

La zone connait une pression anthropique qui menace son équilibre naturel. En effet, les gueblis, population nomade originaires des Hauts Plateaux de l'Oranie s’installent pour pratiquer l’élevage ovin[14].

Le surpâturage, qui prend de l’ampleur et le pacage illicite dans le périmètre de la réserve naturelle est à l’origine de plusieurs conflits entre les berges nomades et la direction des forêts qui se charge de la protection d’une part, et avec les agriculteurs locaux autour de l’exploitation des terres naturelles domaniales d’autre part[14].

Histoire

Dans les marais de la Macta, des troupes françaises, dont le 1er bataillon d'infanterie légère d'Afrique, du Général Trézel furent défaites en par l'Emir Abdelkader.

Bibliographie

  • Amadou, B. (1988). Contribution Ă  la cartographie de la vĂ©gĂ©tation psammophile du littoral Est de Mostaganem. Thèse d’ingĂ©niorat. ITA, Mostaganem.
  • Bahi, K..(2012). Contribution Ă  l’étude phytoĂ©cologique des zones humides de la rĂ©gion d’Oran. MĂ©m. Magister, Univ. Oran, 153 p.
  • Blondel, J. (1963). Situation de la sauvagine dans le Maghreb. In : Proceedings of the first european meeting on waterfowl conservation : 65-67. The Nature Conservancy, London.
  • Boucheker, A. (2012). Dynamique de la mĂ©tapopulation de flamants roses en MĂ©diterranĂ©e : rĂ´le des zones humides d'Afrique du nord et implications pour la conservation. Thèse de doctorat, École pratique des Hautes Études (171 pages).
  • Ghodbani, T. et Amokrane, K. (2103). La zone humide de la Macta : un espace Ă  protĂ©ger sur le littoral ouest de l'AlgĂ©rie. Physio-GĂ©o, 7 : 139-155.
  • Hovette, C. & Kowalski, H. (1972). DĂ©nombrements de la sauvagine dans le Maghreb, janvier / . Rapport polycopiĂ© au B.I.R.S. Bull. B.I.R.S. 34 : 42-58.
  • Isenmann, P. & Moali, A. (2000). Les Oiseaux d'AlgĂ©rie - Birds of Algeria. SociĂ©tĂ© d'Études Ornithologiques de France, Paris, 336p.
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  • Krissat, K. & Horr, K. (1976). Les marais de la Macta : biocĂ©noses. DES, UniversitĂ© d'Oran.
  • Lakhdari, M. (2006). PhytoĂ©cologie de l’estuaire de la Macta (Oran – Mostaganem) . MĂ©m. Magister, Univ. Oran, 116 p.
  • Ledant, J.P. & Van Dijck, G. (1977). Situation des zones humides algĂ©riennes et de leur avifaune. Aves, 14 : 217-232.
  • Ledant, J.P.; Jacob, J.P.; Jacobs, P.; Malher, F.; Ochando, B. & RochĂ©, J. (1981). Mise Ă  jour de l'avifaune algĂ©rienne. Gerfaut, 71: 295-398.
  • Masson, R. (1976). La vĂ©gĂ©tation des marais de la Macta (RĂ©gion de Bou-Nefer). Bull. Soc. GĂ©o. et ArchĂ©ol. d'Oran : 60-65.
  • Megharbi, A.; Abdoun, F. & Belgherbi, B. (2016). DiversitĂ© floristique en relation avec les gradients abiotiques dans la zone humide de la Macta (Ouest d'AlgĂ©rie). Revue d’Ecologie (Terre et Vie), Vol. 71 (2), 2016: 142-155.
  • Metzmacher, M. (1979a). Les oiseaux de la Macta et de sa rĂ©gion (AlgĂ©rie) : Non passereaux. Aves, 3-4 : 89–123.
  • Metzmacher, M. (1979 b). Note sur l'avifaune estivale de l'Est oranais (AlgĂ©rie), de la Camargue (France) et du Guadalquivir (Espagne). INA, SĂ©minaire international sur l'avifaune algĂ©rienne 5-.
  • Morgan, N. C. (1982). An ecological survey of standing waters in North-west Africa: II. Site descriptions for Tunisia and Algeria. Biological Conservation, 24 : 83-113.
  • Morgan, N. C. & Boy, V. (1982). An ecological survey of standing waters in North-west Africa: I. Rapid survey and classification. Biological Conservation, 24 : 5-44.
  • Simmoneau, P. (1952). La vĂ©gĂ©tation halophile de la plaine de PerrĂ©gaux. Thèse de Doctorat ès-sciences, Alger.
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  • Sitayeb, T. & Benabdeli, K. (2008). Contribution Ă  l’étude de la dynamique de l’occupation des sols de la plaine de la Macta (AlgĂ©rie) Ă  l’aide de la tĂ©lĂ©dĂ©tection et systèmes d’information gĂ©ographique. C.R. Biologie, 331 : 446-474.
  • Tafer, B. (1993). Étude phyto-Ă©cologique et syndynamique des complexes de vĂ©gĂ©tation halophile de la plaine de Mohammadia (Macta Oranie). Thèse doct. , Univ. Aix Marseille III, 129 p.
  • van Wijk, R.J. (1983). "La Macta" een bedreigd watervogelgebied in Algerije. Het Vogeljaar, 31 : 11-17.

Liens externes

Notes et références

  1. (en) « Marais de la Macta », sur Service d’information sur les Sites Ramsar (consulté le )
  2. Anonyme (1999-2004). Atlas des zones humides Algériennes d’importance internationale. Ministère Agriculture Développement Rural, Direction Générale des Forêts, 75 p.
  3. « Actualité : Visite de M. Sellal à Oran : Inauguration et lancement de plusieurs projets », sur http://www.dknews-dz.com/ (consulté le )
  4. Simmoneau, P. (1952). La végétation halophile de la plaine de Perrégaux. Thèse de Doctorat ès-sciences, Alger.
  5. Évolution récente des conditions climatiques et des écoulements sur le bassin versant de la Macta (Nord-Ouest de l'Algérie)
  6. Belgherbi, B. et Benabdeli, K. (2010). Contribution Ă  l’étude des causes de la dĂ©gradation de la forĂŞt de Tamarix de la zone humide de la Macta (AlgĂ©rie occidentale). ForĂŞt mĂ©diterranĂ©enne, 31 : 55-62.
  7. RĂ©sultats d'analyses chimiques d'eaux de la Macta, du lac Bounefer et des salines d'Arzew
  8. Metzmacher, M. (1979a). Les oiseaux de la Macta et de sa région (Algérie) : Non passereaux. Aves, 3-4 : 89–123
  9. Krissat, K. & Horr, K. (1976). Les marais de la Macta : biocénoses. DES, Université d'Oran.
  10. Metzmacher, M. (1979 b). Note sur l'avifaune estivale de l'Est oranais (Algérie), de la Camargue (France) et du Guadalquivir (Espagne). INA, Séminaire international sur l'avifaune algérienne 5-11 juin 1979.
  11. Simmoneau, P. & Santa, S. (1951). Végétation et flore de la forêt de la Macta (Oran). Annexe de la carte de la végétation de l'Algérie. Feuille d'Oran : 1-24.
  12. Macta : lettre de scientifiques au Wali d'Oran (1983)
  13. Zohra, H.F. ; Faiza, F. ; Benaissa, N. ; Boutiba, Z. & Dobrin , I. (2015). Contribution to the study of coastal floristry biodiversity in Oran . J. Bio. & Env. Sci., 6 : 75-79 http://www.innspub.net
  14. Tarik Ghodbani et Fatiha Berrahi-Midoun, « La littoralisation dans l’Ouest algérien : analyse multiscalaire des interactions hommes-espaces-écosystèmes », Espace populations sociétés En ligne, 2013/1-2 | 2013, mis en ligne le 31 octobre 2015, consulté le 30 août 2019. DOI : 10.4000/eps.5488
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