Méteren
Méteren [metʁɛn] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.
Méteren | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Flandre Intérieure | ||||
Maire Mandat |
Elizabeth Boulet 2020-2026 |
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Code postal | 59270 | ||||
Code commune | 59401 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Méterennois | ||||
Population municipale |
2 281 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 124 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 44′ 29″ nord, 2° 41′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 150 m |
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Superficie | 18,44 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Armentières (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bailleul | ||||
Législatives | Quinzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Méteren est située dans le département du Nord, jouxtant la ville de Bailleul et le Mont des Cats. Son territoire s'étend sur 1 844 hectares. Elle est traversée par la RD 933, la RD 42, la RD 18 et la RD 318. Deux échangeurs de l'autoroute A25 desservent le village.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Méteren est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 10 communes[17] et 78 804 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisées (4,2 %), forêts (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Méteren est un hydronyme et viendrait de Matrona (divinité des sources et des cours d'eau). En 1158, le village est cité sous le nom de Matrenes (bulle du pape Alexandre III)[24].
Histoire
Époque médiévale
Restes du château des seigneurs de Méteren. D’après Behague, il en est resté des vestiges jusque vers le milieu du XIXe s., sur la propriété dénommée dans le terrier “Hoog-Wal”; l'endroit s'appelait le fort (t’foort)[25].
Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bailleul[26].
XIXe siècle
- 1851 : création du corps de sapeurs pompiers[27]
Première Guerre Mondiale
- jeudi , les Allemands pillent la perception et emportent les 1252,97 F qui s'y trouvaient[28]. Arrestation du maire César Herreman
- mardi , les Anglais délogent les Allemands du village. Mort du Lieutenant Artwood Morris.
Stationnement des troupes anglaises jusqu'en 1918.
- 1916 : la foudre tombe sur le clocher.
- : évacuation du village.
- 12- 11 000 obus tombent sur le village qui est alors rasé.
La commune reçoit donc la croix de guerre 1914-1918 le 1, .
Entre-deux guerres
- 1919 : premiers ensemencements des champs[29]
- : premier conseil municipal, avec présents. Constatation de la perte des documents cadastraux de 1856. Décision de construire une maison provisoire sur la place.
- : demande de baraquements pour loger les évacués
- fin : 850 habitants logeant des baraquements en demi lune couverts de tôles ou en bois.
- : demande à Alger de parrainer la commune.
- : première élections municipales
- : création d'une commission foncière pour la recherche et le rétablissement des limites de propriétés disparues.
- : approbation des plans de l'église, du presbytère, de la mairie et de la poste, proposés par les architectes Quételart et Pawlowsky.
- : pose de la première pierre de l'église.
- : inauguration des écoles publiques
- : inauguration de la mairie, de l'hospice et de la poste.
- : création du syndicat intercommunal d'électrification.
- : une famille de Méteren fête le baptême de son vingtième enfant, le Préfet du Nord est son parrain[30].
- : inauguration et bénédiction de la nouvelle église par MgrGeorges Jansoone.
- : congrès diocésain eucharistique
Seconde Guerre mondiale
En , les bombes causent le bris des vitraux de l'église et quelques dégâts minimes sur la tour. Les réparations se firent dans les années 1950 car l'église était utilisable.
Héraldique
Blason | De gueules à deux clefs d'argent affrontées et passées en sautoir, et sur le tout un écusson d'or à trois cors de sable, liés de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].
En 2020, la commune comptait 2 281 habitants[Note 8], en augmentation de 3,78 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 149 hommes pour 1 165 femmes, soit un taux de 50,35 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
L'ancienne église
C'était une église-halle construite en 1550 et entourée de son cimetière. On ne dispose pas d’information sur l’édifice médiéval. Selon Béhague, “elle était belle et spacieuse, avec ses trois vastes nefs aux voûtes élevées et sa tour massive qui la flanquait à l’ouest ”[45].
Le mobilier (détruit en 1918)
- Maître-Autel en bois doré de style Louis XV, retable de style renaissance avec la transfiguration de De Coninck
- Tribune et buffet d'orgue en style Louis XVI.
- Confessionnaux de style renaissance.
- Chaire d'époque Louis XV en chêne.
- Fonts en marbre, style Louis XVI.
- Christ en bronze des missions de 1891 : unique objet retrouvé dans les décombres.
- Vitraux de 1772, 1865 et 1879.
Vicissitudes
- : Mise à sac par les protestants.
- 1793 : célébrations des fêtes républicaines
- : mise en vente de l'église à Douai et adjugée à un citoyen Lillois.
- : le contenu de l'église est brûlé dans le cimetière.
- 1914 : sert d'infirmerie aux allemands
- 1916 : destruction du clocher par la foudre
- : destruction totale de l'église (et du village)
Les églises provisoires
- La cuisine de la ferme de M. Vaneufville. La messe y fut célébrée le au . Ce fut la première paroisse du décanat de Bailleul à reprendre sa vie religieuse[46]. On y célébra 3 mariages et 6 funérailles. Une plaque commémore cette utilisation.
- Baraquement provisoire en tôles, du jusqu'en . Une cloche y est installée le .
La nouvelle église
La première pierre en est posée . Elle est construite sous la direction des architectes Louis Quételart et André Pavlovsky. Bénie le , elle est de style néo-byzantin.
: baptême de la première cloche Omérine Léon qui sonne lesol, d'un poids de 660 kg : baptême de Marie Renée qui sonne le fa et pèse 900 kg et de Hélène André qui tire le ré et pèse 1 270 kg.
- Aménagement de l'église
- Maître-autel de Maurice Ringot, 1928
- La chaire représentant les quatre évangélistes a été démontée. la cuve est devenue le nouvel autel alors que l'abat-voix est devenu l'ambon. De même que le banc de communion, le chemin de croix et les fonts baptismaux, ils sont de M. Ringot.
- Le crucifix de la nef est le seul vestige de l'ancienne église
- L'orgue de la tribune est factice. Le décor d'anges et de sainte Cécile est en sgraffite. L'orgue a été réalisé par les frères Coupleux, facteurs à Lille, en 1929 ; le décor de faïence a été réalisé par la S. A. Fourmaintraux et Delassus de Desvres (62)[47].
- Le décor peint
Le chœur est décoré d'une fresque sur toile marouflée représentant de gauche à droite :
sainte Marguerite-Marie Alacoque, saint François d'Assise, un saint évêque, saint Pierre, la vierge en pleurs, le christ crucifié, saint Jean, saint Paul, saint Louis, saint ? et sainte Thérèse. Le tout est surmonté de l'inscription Redemisti nos domine Deus in sanguine tuo". L'anecdote raconte qu'un vicaire de l'époque monta sur une échelle pour retoucher le regard du Christ, trop sévère à son goût. - Les vitraux
Ils sont exécutés en 1960-61 par la maison Delannoy de Lille d'après les cartons originaux de la Maison Turpin. On y rajouta cependant une légende. Les douze paires mettent en parallèle des scènes de l'ancien et du nouveau testament. On trouve entre autres :- la guérison/la rédemption
- Isaac chargé/Jésus surchargé
- Joseph vendu/Jésus trahi
- Jonas vaincu/Jésus vainqueur
- Alléluia/Hosanna
- Division/Unité
- Église éternelle/Pierre premier pape
- Terre promise/Sauveur donné
- La création/La nativité
- Révélation aux Juifs/Révélation aux nations
- Pain et Vin/ Corps et Sang
- Cette église est l'un des six clochers de la paroisse Saint-Benoît-des-Monts.
Monuments
- Le monument aux morts, sculpté par Camille Debert, inauguré le . Il porte l'inscription À nos héros
- Mausolée du Lieutenant Atwood MORRIS décédé le . Après la guerre, sa famille demande que son corps ne soit pas transféré vers un cimetière militaire. Ils achètent le terrain en 1920. Ils y font construire un mausolée en forme de pagode sur lequel figure l'inscription In loving memory of Anthony George Atwood Morris lieutenant the King's Own Royal Lancaster Regiment born may 19th 1887, Killed in action oct 13th 1914 at Meteren in the Great War with Germany. Il faisait partie du King's Own Royal Regiment (Lancaster) (en)
- Le chartil de Méteren, datant du XVIIe siècle, il était la dernière partie d'une hosfède. Une imposante et exceptionnelle toiture de chaume à pans coupés à la frisonne compose le toit s'élevant 6,40 mètres. L'ossature est composée d'un mur en torchis, composé de chaque côté de quatre poteaux placés sur la sablière basse, reposant sur un mur gouttereau en briques.
Chapelles
- chapelle dédiée à Jean-Marie Vianney, curé d'Ars, première chapelle dédiée à ce vocable dans le diocèse de Lille, construite en 1932 à la demande de la famille Deman.
Située sur la RN42, route d'Hazebrouck à l'entrée de Strazeele (face au château d'eau), située à l'entrée de l'ancienne ferme Boddaert sur le territoire communal de Méteren. Architecture flamande remarquable. Entrepreneur-architecte Gaston Ringot de Malo-les-Bains[48]. Bénie par Mgr Georges Jansoone, en présence de l'abbé Joseph Woets Monument commémoratif de marbre blanc. Dernière messe "officielle" célébrée le pour le bicentenaire de la naissance du Curé d'Ars par l'abbé Jean Coquant.
- Chapelle Notre-Dame du Mont-Carmel
Hoog Weg. attestée en 1856, reconstruite à l'identique après 1918. Inscription en flamand Waxht te verzetten uwoen voet. Eer gy Maria Carmelia groet soit Attends de déplacer ton pied Honores-tu bien Marie du Carmel par un salut?[49]
- Chapelle Notre-Dame de Lourdes
- rue Neuve, reconstruite en 1918 Cœur immaculé de Marie PPN[50]
- Zandstraeye (appelée aussi chapelle Scheercousse), 1875. L'intérieur est une grotte en grès ferrugineux.
- rue Vyverput, 1880, restaurée en 1930.
- Chemin de Merris, 1968. Il remplace une ancienne chapelle (1880) qui possédait un dôme à quatre pans.
- Chapelle Notre-Dame-des-Victoires
Water Straete. Existait avant 1914 et détruite pendant le conflit. Mais une suite de malheur étant survenue, elle fut reconstruite en 1930, sur le conseil des père Carmes d'Ypres[51].
- Chapelle Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception
- Rue de la fontaine, après 1918
- chemin de Merris, 1925. Demandée pour que cesse une suite de malheurs (décès, accidents)[52]
- Chapelle Notre-Dame-de-Consolation
Saint Omaers straete, 1890
- Chapelle du Sacré-Cœur
Rue Neuve
- Chapelle Sainte-Thérèse
Chemin Goddeloozenhouck (coin des athées), restaurée en 1984. Anciennement dédiée à Notre-Dame-du-Bon-Secours[49].
Personnalités liées à la commune
- Mgr Casimir Alexis Joseph Wicart né à Méteren le et décédé à Laval le . Il est nommé premier évêque de Laval en 1855.
- Commandant Charles Louis Clemmer né à Méteren le . Il meurt le pendant la bataille de Frœschwiller (bataille de Frœschwiller-Wœrth).
- Pierre De Coninck, peintre né à Méteren et y décède le .
- Marie Delie, dentelière. (1865-1943) Elle devient, le , Meilleure ouvrière de France de "dentelle au fuseau".
- César Herreman, Maire de Méteren du au . Chevalier de la légion d'honneur, officier du mérite agricole. Né à Bailleul le .
- César Lauwerie, Maire Honoraire et historien local.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
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- Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages, Nord, 2009
- BEHAGUE (R.), “Méteren, essai d’histoire d’une commune flamande”, An. Com. flam. France, 1932, t. XXXVIII, p. 31.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
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- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
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- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1892
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1893 à 1896
- Annuaire Ravet-Anceau Département du Nord Années 1897 à 1900
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Méteren (59401) », (consulté le ).
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