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FlĂȘtre

FlĂȘtre (en nĂ©erlandais : Vleteren[1], en flamand occidental : Vleter) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Nord, en rĂ©gion Hauts-de-France.

FlĂȘtre
FlĂȘtre
FlĂȘtre.
Blason de FlĂȘtre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre Intérieure
Maire
Mandat
Philippe Masquelier
2020-2026
Code postal 59270
Code commune 59237
DĂ©mographie
GentilĂ© FlĂȘtrois
Population
municipale
992 hab. (2020 en augmentation de 1,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 110 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 45â€Č 14″ nord, 2° 38â€Č 51″ est
Altitude Min. 26 m
Max. 88 m
Superficie 8,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bailleul
LĂ©gislatives QuinziĂšme circonscription
Localisation
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FlĂȘtre
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FlĂȘtre
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FlĂȘtre
Liens
Site web http://www.fletre.fr/

    GĂ©ographie

    FlĂȘtre dans son canton et son arrondissement

    Situation

    Située dans le Nord, elle s'étale sur 897 hectares.

    Traversée par l'autoroute A25 et la route départementale 933.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de FlĂȘtre
    Eecke Godewaersvelde
    CaĂ«stre FlĂȘtre MĂ©teren
    Pradelles Strazeele Merris

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 746 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[8] et qui se trouve Ă  20 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 762,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et Ă  37 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    FlĂȘtre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (97,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (96,5 %), zones urbanisĂ©es (3,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Histoire

    Les fouilles archéologiques réalisées lors de la construction de la ligne TGV[22] ont révélé l'existence de fosses, d'un réseau de fossés, de sépultures à incinérations et de céramiques de l'époque gallo-romaine, au lieu-dit Pissmeerschen[23] - [24]

    Dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer (804), FlĂȘtre est appelĂ© Flitrinium, et Fleternes dans une charte de 1085[25].

    Au XVe siĂšcle est retrouvĂ©e comme propriĂ©taire d'une seigneurie (le Peenhof) sur Craywick dans la chĂątellenie de Bourbourg : Ysabeau de FlĂȘtre Ă©pouse de François de le Haye, Ă©cuyer[26].

    En 1662, Maure de Vignacourt de la noble maison de FlĂȘtre devient abbĂ© de l'abbaye Saint-Winoc de Bergues.

    Le 25 septembre 1656, est Ă©rigĂ©e en comtĂ© la terre et seigneurie de FlĂȘtre, situĂ©e en Flandre, au profit de Jacques de Wignacourt, issu d'une trĂšs ancienne famille noble de Flandre qui compte parmi ses membres, Jean de Wignacourt, seigneur de FlĂȘtre, prĂ©vĂŽt de Mons sous Charles-Quint; Ă©galement Jean de Wignacourt, gentilhomme de la bouche du roi Philippe II[27].

    En 1670, Michel François de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, Ă©poux de GeneviĂšve Adornes, dame de Marcquillies, Marcq, Nieuwliet, (sans doute Nieurlet), Nieuwenhove, Peenhof, et ensuite son fils, Denis François Jacques de Wignacourt sont retrouvĂ©s comme possĂ©dant la seigneurie sur Craywick, Ă©voquĂ©e ci-dessus. La famille de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, la gardera ensuite : en 1727, Balthazar Pierre FĂ©lix de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, fils de Denis, et en 1778, et dernier possesseur, Balthazar Philippe Emmanuel Charles de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, fils du prĂ©cĂ©dent[28].

    Avant la Révolution française, du point de vue religieux, la commune était située dans le diocÚse de Thérouanne puis dans le diocÚse d'Ypres, doyenné de Bailleul[29].

    La commune a été détruite pendant 1914-1918 et a reçu la Croix de guerre 1914-1918[30].

    HĂ©raldique

    Blason de FlĂȘtre

    Les armes de FlĂȘtre se blasonnent ainsi :"D'argent Ă  trois fleurs de lys au pied nourri de gueules."

    Politique et administration

    Maire de 1802 Ă  1807 : Couterez[31] - [32].

    La mairie de FlĂȘtre Nord.- France.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1951 1971[40] L. Delanghe
    1971 1978[41] Maurice Houvenaghel
    1997 mai 2020 Marie-ThérÚse Ricour
    mai 2020 En cours Philippe Masquelier [42] Professeur d'EPS
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[44].

    En 2020, la commune comptait 992 habitants[Note 8], en augmentation de 1,33 % par rapport Ă  2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1461 1831 2361 1311 1841 2051 1821 1731 127
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0701 0781 1271 1081 1011 0741 023967942
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    947951952755743736724700646
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    650660623662709742764767976
    2017 2020 - - - - - - -
    972992-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  39,7 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 16,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 496 hommes pour 487 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,4
    3,9
    75-89 ans
    6,0
    12,5
    60-74 ans
    10,8
    21,0
    45-59 ans
    20,1
    21,8
    30-44 ans
    24,1
    16,3
    15-29 ans
    14,7
    24,5
    0-14 ans
    23,8
    Pyramide des ùges du département du Nord en 2018 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Lieux et monuments

    Église Saint-Matthieu

    FlĂȘtre (Nord, Fr) Ă©glise (02)

    C'est une Hallekerque ou Ă©glise-halle.

    Histoire

    Date probablement du XIVe siÚcle. Les nefs latérales datent du milieu du XVIIIe siÚcle alors que le clocher est inauguré en 1901. L'église fut le théùtre d'affrontements lors de sa vente en 1799. Elle fut rachetée par les paroissiens.

    Mobilier

    Le remarquable mobilier comprend, entre autres:

    • Le Gisant (relevĂ©s) des seigneurs et dames de FlĂȘtre. Il se trouve sous la tour et date du XVe siĂšcle (fabriquĂ© aux Pays-Bas). Une tradition sans fondement le dĂ©finit comme tombeau d'Antoine du Bois-Van Houte et de Barbe Van Belle. La sculpture des vĂȘtements est d'une extrĂȘme finesse et d'un grand rĂ©alisme.
    • Tour eucharistique en bois polychrome faisant office maĂźtre-autel. Elle date de la fin du XVIe ou du dĂ©but du XVIIe. Elle surmonte le tabernacle et se compose de cinq Ă©tages en retrait les uns par rapport aux autres. Malheureusement les niches sont vides. On trouvait les statues des quatre Ă©vangĂ©listes et des vertus. Le pĂ©lican surmonte l'ensemble.[49]
    • Banc de communion datant de 1759. Sa forme Ă©pouse les marches qui ondulent devant le chƓur. Il est unique au sens oĂč les scĂšnes bibliques sont directement sur les branchages et non dans des mĂ©daillons. C'est aussi l'unique exemple en Flandre de scĂšnes se dĂ©roulant sur deux panneaux [50]
    • de nombreuses statues en bois XVIIIe
    • banc de chanoines, boiseries, chaire et orgue de style nĂ©ogothique.
    • Mobilier disparus:
      • Vitraux du XVIe siĂšcle. C'Ă©tait probablement des verriĂšres peintes. Ils sont reprĂ©sentĂ©s dans les albums Flahaut (fin XIXe). Ces vitraux ont Ă©tĂ© dĂ©montĂ©s avant la premiĂšre guerre mondiale, mais leur trace s'est perdue ensuite.
      • Le retable du MaĂźtre autel Ă©tait en bois polychrome de style rĂ©gence. EndommagĂ© pendant la premiĂšre guerre mondiale, il fut dĂ©montĂ©. c'est la tour eucharistique qui le remplaça.
      • Monument commĂ©moratif de la famille de Wignacourt. Il reprĂ©sentait le pĂšre, la mĂšre, leurs saint patrons Barbe et Jean-Baptiste et leur quatorze enfants. Le tout surmontĂ© d'une crucifixion: JĂ©sus entre les deux larrons. Mesurant 2,15m par 1,30 m ce panneau sculptĂ© en albĂątre date de 1543[51]. Le monument estait intĂ©grĂ© dans le chƓur. Il disparut lors de la premiĂšre guerre mondiale: le jour de l'Ă©vacuation, deux gĂ©nĂ©raux anglais visitant l'Ă©glise se sont longuement arrĂȘtĂ©s Ă  contempler ce chef-d'Ɠuvre de l'art français au Moyen Âge (sic). Au retour des Ă©vacuĂ©s, le bas relief avait disparu. Nul ne sut jamais ce qu'il Ă©tait devenu[52].

    Le chĂąteau de Wignacourt

    La reconstruction du chĂąteau est souvent attribuĂ©e Ă  Jean Van Houtte entre 1364 et 1380. Le donjon a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© au XVe siĂšcle. En 1532, la seigneurie de FlĂȘtre est passĂ©e par mariage dans la famille de Wignacourt. En 1799, le chĂąteau a Ă©tĂ© dĂ©truit, mais le donjon a Ă©tĂ© conservĂ©, sa destruction s'Ă©tant rĂ©vĂ©lĂ©e trop difficile. Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, un industriel a rachetĂ© la propriĂ©tĂ©, construit une demeure Ă  l'emplacement du chĂąteau dĂ©truit, et converti le donjon en salle de rĂ©ception, dĂ©corĂ© de lambris de style Louis XV. De 1869 Ă  1872, un manoir nĂ©ogothique a Ă©tĂ© construit vers le sud du donjon, qui conserve encore les dispositions gĂ©nĂ©rales et le dĂ©cor original[53]. Le donjon (cad. A 1088) et les parcelles A 851 Ă  853, 855, 1054 Ă  titre de rĂ©serve archĂ©ologique : inscription par arrĂȘtĂ© du 3 dĂ©cembre 2002.

    La chapelle Notre-Dame-de-la-consolation au Thieushouck

    • Chapelle Notre-Dame-de-Consolation, 1991. Vierge en Bois (XVIIIe) DĂ©robĂ©e en 1996[54].
    • La chapelle Notre-Dame-de-la-consolation au Thieushouck. Construite en 1833 elle est dĂ©truite en 1971 par un camion. La dĂ©cision de la reconstruire est prise en 2006 et elle est bĂ©nie par l'abbĂ© Dupuit en septembre 2009. À l'intĂ©rieur, le triptyque reprĂ©sente une vierge habillĂ©e en rouge sur fond de paysage des monts de Flandre. De gauche Ă  droite, l'Ă©tĂ© avec Cassel, Eecke et Steenvoorde, puis au centre la campagne de FlĂȘtre et enfin, Ă  droite, l'hiver avec FlĂȘtre sous la neige[55].
    • Notre Dame de Consolation Hameau du Thieushouck
      Notre Dame de Consolation Hameau du Thieushouck
    • Notre Dame de Consolation Hameau du Thieushouck
      Notre Dame de Consolation Hameau du Thieushouck
    • Chapelle notre Dame de la Consolation
      Chapelle notre Dame de la Consolation

    Autres Ă©difices religieux

    • Le grand calvaire, sur la route de MĂ©teren, inaugurĂ© en 1949 est en attente de restauration...
    • Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, chemin de Furnes
    • Chapelle Notre-Dame-des-Victoires, route de Godewaersvelde (1855?)
    • Chapelle Sainte-ThĂ©rĂšse, rue au Beurre, dĂ©truite en 1914-1918 et reconstruite en 1946 (ou 1947). La famille propriĂ©taire avait fait vƓu de la reconstruire si les quatre garçons revenaient vivants du second conflit mondial[56].

    Autres Ă©difices

    • Le monument aux morts
    • Accessible de la route de Godewaersvelde Ă  Eecke par un chemin de terre: Bertenacre Military Cemetery, situĂ© dans la commune de FlĂȘtre.
    • FlĂȘtre vu de la RD 69
      FlĂȘtre vu de la RD 69
    • Panneau de FlĂȘtre city limit sur la RD69
      Panneau de FlĂȘtre city limit sur la RD69
    • Bois de la Garenne.
      Bois de la Garenne.
    • Le Monument aux morts.
      Le Monument aux morts.
    • Bertenacre Military Cemetery.
      Bertenacre Military Cemetery.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques De Meyer ou De Meyere (1491-1552), poĂšte latin, historien et humaniste flamand, nĂ© Ă  FlĂštre.
    • L'abbĂ© François Vancostenoble (1821-1901) curĂ© de FlĂȘtre et vice-prĂ©sident du ComitĂ© flamand de France
    • La costumiĂšre de cinĂ©ma Yvonne Sassinot de Nesle habite FlĂȘtre (La Voix du Nord, 22 octobre 2009).

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. roepstem.net - vlaanderen
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre FlĂȘtre et Richebourg », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    10. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre FlĂȘtre et Lesquin », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
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