FlĂȘtre
FlĂȘtre (en nĂ©erlandais : Vleteren[1], en flamand occidental : Vleter) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Nord, en rĂ©gion Hauts-de-France.
FlĂȘtre | |||||
FlĂȘtre. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Flandre Intérieure | ||||
Maire Mandat |
Philippe Masquelier 2020-2026 |
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Code postal | 59270 | ||||
Code commune | 59237 | ||||
DĂ©mographie | |||||
GentilĂ© | FlĂȘtrois | ||||
Population municipale |
992 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 110 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 45âČ 14âł nord, 2° 38âČ 51âł est | ||||
Altitude | Min. 26 m Max. 88 m |
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Superficie | 8,98 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Bailleul | ||||
LĂ©gislatives | QuinziĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.fletre.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Situation
Située dans le Nord, elle s'étale sur 897 hectares.
Traversée par l'autoroute A25 et la route départementale 933.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[8] et qui se trouve Ă 20 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 762,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et Ă 37 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
FlĂȘtre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (97,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (96,5 %), zones urbanisĂ©es (3,5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[21].
Histoire
Les fouilles archéologiques réalisées lors de la construction de la ligne TGV[22] ont révélé l'existence de fosses, d'un réseau de fossés, de sépultures à incinérations et de céramiques de l'époque gallo-romaine, au lieu-dit Pissmeerschen[23] - [24]
Dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer (804), FlĂȘtre est appelĂ© Flitrinium, et Fleternes dans une charte de 1085[25].
Au XVe siĂšcle est retrouvĂ©e comme propriĂ©taire d'une seigneurie (le Peenhof) sur Craywick dans la chĂątellenie de Bourbourg : Ysabeau de FlĂȘtre Ă©pouse de François de le Haye, Ă©cuyer[26].
En 1662, Maure de Vignacourt de la noble maison de FlĂȘtre devient abbĂ© de l'abbaye Saint-Winoc de Bergues.
Le 25 septembre 1656, est Ă©rigĂ©e en comtĂ© la terre et seigneurie de FlĂȘtre, situĂ©e en Flandre, au profit de Jacques de Wignacourt, issu d'une trĂšs ancienne famille noble de Flandre qui compte parmi ses membres, Jean de Wignacourt, seigneur de FlĂȘtre, prĂ©vĂŽt de Mons sous Charles-Quint; Ă©galement Jean de Wignacourt, gentilhomme de la bouche du roi Philippe II[27].
En 1670, Michel François de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, Ă©poux de GeneviĂšve Adornes, dame de Marcquillies, Marcq, Nieuwliet, (sans doute Nieurlet), Nieuwenhove, Peenhof, et ensuite son fils, Denis François Jacques de Wignacourt sont retrouvĂ©s comme possĂ©dant la seigneurie sur Craywick, Ă©voquĂ©e ci-dessus. La famille de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, la gardera ensuite : en 1727, Balthazar Pierre FĂ©lix de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, fils de Denis, et en 1778, et dernier possesseur, Balthazar Philippe Emmanuel Charles de Wignacourt, comte de FlĂȘtre, fils du prĂ©cĂ©dent[28].
Avant la Révolution française, du point de vue religieux, la commune était située dans le diocÚse de Thérouanne puis dans le diocÚse d'Ypres, doyenné de Bailleul[29].
La commune a été détruite pendant 1914-1918 et a reçu la Croix de guerre 1914-1918[30].
HĂ©raldique
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Les armes de FlĂȘtre se blasonnent ainsi :"D'argent Ă trois fleurs de lys au pied nourri de gueules." |
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Politique et administration
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[44].
En 2020, la commune comptait 992 habitants[Note 8], en augmentation de 1,33 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 39,7 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 16,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 496 hommes pour 487 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
Histoire
Date probablement du XIVe siÚcle. Les nefs latérales datent du milieu du XVIIIe siÚcle alors que le clocher est inauguré en 1901. L'église fut le théùtre d'affrontements lors de sa vente en 1799. Elle fut rachetée par les paroissiens.
Mobilier
Le remarquable mobilier comprend, entre autres:
- Le Gisant (relevĂ©s) des seigneurs et dames de FlĂȘtre. Il se trouve sous la tour et date du XVe siĂšcle (fabriquĂ© aux Pays-Bas). Une tradition sans fondement le dĂ©finit comme tombeau d'Antoine du Bois-Van Houte et de Barbe Van Belle. La sculpture des vĂȘtements est d'une extrĂȘme finesse et d'un grand rĂ©alisme.
- Tour eucharistique en bois polychrome faisant office maßtre-autel. Elle date de la fin du XVIe ou du début du XVIIe. Elle surmonte le tabernacle et se compose de cinq étages en retrait les uns par rapport aux autres. Malheureusement les niches sont vides. On trouvait les statues des quatre évangélistes et des vertus. Le pélican surmonte l'ensemble.[49]
- Banc de communion datant de 1759. Sa forme Ă©pouse les marches qui ondulent devant le chĆur. Il est unique au sens oĂč les scĂšnes bibliques sont directement sur les branchages et non dans des mĂ©daillons. C'est aussi l'unique exemple en Flandre de scĂšnes se dĂ©roulant sur deux panneaux [50]
- de nombreuses statues en bois XVIIIe
- banc de chanoines, boiseries, chaire et orgue de style néogothique.
- Mobilier disparus:
- Vitraux du XVIe siÚcle. C'était probablement des verriÚres peintes. Ils sont représentés dans les albums Flahaut (fin XIXe). Ces vitraux ont été démontés avant la premiÚre guerre mondiale, mais leur trace s'est perdue ensuite.
- Le retable du Maßtre autel était en bois polychrome de style régence. Endommagé pendant la premiÚre guerre mondiale, il fut démonté. c'est la tour eucharistique qui le remplaça.
- Monument commĂ©moratif de la famille de Wignacourt. Il reprĂ©sentait le pĂšre, la mĂšre, leurs saint patrons Barbe et Jean-Baptiste et leur quatorze enfants. Le tout surmontĂ© d'une crucifixion: JĂ©sus entre les deux larrons. Mesurant 2,15m par 1,30 m ce panneau sculptĂ© en albĂątre date de 1543[51]. Le monument estait intĂ©grĂ© dans le chĆur. Il disparut lors de la premiĂšre guerre mondiale: le jour de l'Ă©vacuation, deux gĂ©nĂ©raux anglais visitant l'Ă©glise se sont longuement arrĂȘtĂ©s Ă contempler ce chef-d'Ćuvre de l'art français au Moyen Ăge (sic). Au retour des Ă©vacuĂ©s, le bas relief avait disparu. Nul ne sut jamais ce qu'il Ă©tait devenu[52].
Le chĂąteau de Wignacourt
La reconstruction du chĂąteau est souvent attribuĂ©e Ă Jean Van Houtte entre 1364 et 1380. Le donjon a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© au XVe siĂšcle. En 1532, la seigneurie de FlĂȘtre est passĂ©e par mariage dans la famille de Wignacourt. En 1799, le chĂąteau a Ă©tĂ© dĂ©truit, mais le donjon a Ă©tĂ© conservĂ©, sa destruction s'Ă©tant rĂ©vĂ©lĂ©e trop difficile. Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, un industriel a rachetĂ© la propriĂ©tĂ©, construit une demeure Ă l'emplacement du chĂąteau dĂ©truit, et converti le donjon en salle de rĂ©ception, dĂ©corĂ© de lambris de style Louis XV. De 1869 Ă 1872, un manoir nĂ©ogothique a Ă©tĂ© construit vers le sud du donjon, qui conserve encore les dispositions gĂ©nĂ©rales et le dĂ©cor original[53]. Le donjon (cad. A 1088) et les parcelles A 851 Ă 853, 855, 1054 Ă titre de rĂ©serve archĂ©ologique : inscription par arrĂȘtĂ© du 3 dĂ©cembre 2002.
La chapelle Notre-Dame-de-la-consolation au Thieushouck
- Chapelle Notre-Dame-de-Consolation, 1991. Vierge en Bois (XVIIIe) Dérobée en 1996[54].
- La chapelle Notre-Dame-de-la-consolation au Thieushouck. Construite en 1833 elle est dĂ©truite en 1971 par un camion. La dĂ©cision de la reconstruire est prise en 2006 et elle est bĂ©nie par l'abbĂ© Dupuit en septembre 2009. Ă l'intĂ©rieur, le triptyque reprĂ©sente une vierge habillĂ©e en rouge sur fond de paysage des monts de Flandre. De gauche Ă droite, l'Ă©tĂ© avec Cassel, Eecke et Steenvoorde, puis au centre la campagne de FlĂȘtre et enfin, Ă droite, l'hiver avec FlĂȘtre sous la neige[55].
- Notre Dame de Consolation Hameau du Thieushouck
- Notre Dame de Consolation Hameau du Thieushouck
- Chapelle notre Dame de la Consolation
Autres Ă©difices religieux
- Le grand calvaire, sur la route de Méteren, inauguré en 1949 est en attente de restauration...
- Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, chemin de Furnes
- Chapelle Notre-Dame-des-Victoires, route de Godewaersvelde (1855?)
- Chapelle Sainte-ThĂ©rĂšse, rue au Beurre, dĂ©truite en 1914-1918 et reconstruite en 1946 (ou 1947). La famille propriĂ©taire avait fait vĆu de la reconstruire si les quatre garçons revenaient vivants du second conflit mondial[56].
Autres Ă©difices
- Le monument aux morts
- Accessible de la route de Godewaersvelde Ă Eecke par un chemin de terre: Bertenacre Military Cemetery, situĂ© dans la commune de FlĂȘtre.
- FlĂȘtre vu de la RD 69
- Panneau de FlĂȘtre city limit sur la RD69
- Bois de la Garenne.
- Le Monument aux morts.
- Bertenacre Military Cemetery.
Personnalités liées à la commune
- Jacques De Meyer ou De Meyere (1491-1552), poÚte latin, historien et humaniste flamand, né à FlÚtre.
- L'abbĂ© François Vancostenoble (1821-1901) curĂ© de FlĂȘtre et vice-prĂ©sident du ComitĂ© flamand de France
- La costumiĂšre de cinĂ©ma Yvonne Sassinot de Nesle habite FlĂȘtre (La Voix du Nord, 22 octobre 2009).
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes du Nord
- CimetiĂšres Militaires du Commonwealth :
- Bertenacre Military Cemetery
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- roepstem.net - vlaanderen
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- DESFOSSĂS (Y.), BLANQUAERT (G.), âLâĂge du Fer dans le Nord-Pas-de-Calais. Lâapport des fouilles du T.G.V.â, Bull. Com. dĂ©p. hist. archĂ©ol. Pas-de-Calais, 1992
- Inventaire archéologique du département du Nord, canton de Bailleul, conseil général du Nord, avril 2000.
- .Archéologie de la France - Informations, revue en ligne destinée à publier l'actualité des opérations archéologiques menées en France .
- Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages Nord, Ăditions Bordessoules
- Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la chĂątellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 101.
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- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1922
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- Almanach du commerce du Nord Année 1854
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1883
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1887 à 1907
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1908
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1909 à 1914
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1930
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1931 à 1939
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1971
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1972 à 1979
- « Cafeyn - reader », sur cafeyn.co (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de FlĂȘtre (59237) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).
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- DUPREZ (GeneviÚve) Architectures et trésors des églises de Flandre, Association Retables de Flandre, 1997, p. 83.
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- Le grand hebdomadaire illustré, 11 avril 1920
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