Caëstre
Caëstre (prononcé [kastʁ] ; en néerlandais : Kaaster, en flamand occidental : Kaester) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Caëstre | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Flandre Intérieure | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Schricke 2020-2026 |
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Code postal | 59190 | ||||
Code commune | 59120 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Caestrois (es) | ||||
Population municipale |
2 034 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 199 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 45′ 32″ nord, 2° 36′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 24 m Max. 62 m |
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Superficie | 10,2 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bailleul | ||||
Législatives | Quinzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.caestre.fr/ | ||||
Caëstre fut un castrum, un camp romain, le long de la Steenstraete, la voie romaine qui allait de Dunkerque à Lille.
Géographie
Localisation
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Caëstre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
![Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.](https://img.franco.wiki/i/59120-Ca%C3%ABstre-Sols.png.webp)
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), zones urbanisées (5,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
- 1174 : Castris
- 1328 : Le Caestere
- 1335 : Castres (cartulaire de la dame de Cassel).
Histoire
Une voie romaine menant de Cassel au pont d'Estaires, par Strazeele, Vieux-Berquin et Neuf-Berquin, passait par Caëstre. Des fers à cheval et des armes romaines ont été retrouvés à proximité[21].
Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bailleul[22].
Entre 1420 et 1477, Robert de Thiennes, seigneur de Castre (Caëstre) et Berthen, est conseiller et chambellan des ducs de Bourgogne Philippe le Bon, et Charles le Guerrier (Charles le Téméraire fils de Philippe le Bon), ayant eu commandement de leurs armées contre la France; Jacques de Thiennes, son fils, aussi chambellan des empereurs Maximilien Ier et Charles Quint, puis bailli de Gand, commissaire ordinaire au renouvellement des magistrats du comté de Flandre, lieutenant et capitaine du pays et comté de Hollande, a été ambassadeur vers le roi d'Angleterre et envoyé aussi en qualité d'ambassadeur au roi du Danemark pour lui porter la Toison d'or[23].
Le , la terre de Rumbeke en Flandre, est érigé en comté, (titre de comte), en faveur de René de Thiennes, seigneur de Rumbeke, Caestre, Claerhoudt, Oudenen et de la cour d'Ideghem, dont la famille a rendu les plus grands services, depuis 1340, époque où Jean de Thiennes, seigneur de Lombize (Lombise) et de Beaurepaire, accompagna avec huit écuyers à sa solde, le duc de Bourgogne Eudes IV de Bourgogne allant au secours de Saint-Omer, assiégée par Robert III d'Artois (bataille de Saint-Omer (1340)[24].
Le village a été détruit pendant la guerre 1914-1918 et a reçu la croix de guerre 1914-1918[25]. Pendant cette première guerre mondiale, Caëstre est une des communes avec Hondschoote, Abeele, Oost-Cappel, Godewaersvelde, Winnezeele, Hardifort, à faire partie du commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée, installé à Steenvoorde puis transféré à Rexpoëde, organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front[26].
Légende
![](https://img.franco.wiki/i/Caestre_la_chapelle_des_3_vierges_(4).jpg.webp)
En 817[27] trois jeunes filles pieuses, dénommées Edith, Elfrièda et Sabine, filles dit-on du roi Kewulf[28] qui régnait sur le Wessex, avaient fait le vœu de se rendre en pèlerinage sur le tombeau des apôtres saint Pierre et saint Paul. Ayant mis leur projet à exécution, elles quittèrent leur royaume et traversèrent la Manche. Elles accostèrent au pont de Mardyck, puis empruntèrent la voie romaine, déjà appelée Steenstraete (la route de pierre) qui allait à Arras en passant par Cassel et le Pont d'Estrales.
L’histoire raconte que, parvenues dans un bois en un lieu où s’élève maintenant Caëstre, elles furent sauvagement assassinées par des brigands. Au même moment, non loin de là, un chevalier aveugle, le seigneur de Strazeele, vit la Vierge en apparition. Celle-ci lui conseilla de se rendre sur les lieux du crime et de se frotter les paupières avec le sang des martyres, afin de recouvrer la vue. Le chevalier suivit ses conseils, recouvra la vue et fit construire en remerciement une chapelle dite "la chapelle des 3 vierges" sur le lieu de leur mort. Ce lieu devint vénéré et dès le IXe siècle, un pèlerinage annuel fut organisé en l’honneur de « Notre Dame de Grâce ».
Politique et administration
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Équipements et services publics
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Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2020, la commune comptait 2 034 habitants[Note 8], en augmentation de 6,49 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 993 hommes pour 1 024 femmes, soit un taux de 50,77 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Omer. Elle héberge 18 éléments patrimoniaux classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques[47].
- La chapelle Notre-Dame-de-Grâce-et-des-Trois-Vierges. Elle héberge 10 éléments patrimoniaux classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques[47].
- La ferme du Hondenest est ancien un relais de poste, répertorié l en 1745 comme une des étapes de la "Ferme générale des Postes" réorganisée par Louis XIV. Son nom vient du mot chien (Hund) et du mot nid (Nest). Cette propriété a longtemps été la propriété des Massiet du Biest, une riche famille dont on disait qu'elle pouvait chasser sur ses terres entre Ypres et Dunkerque. Trois ans après la mort du général Jacques Massiet du Biest, en 1972, la ferme Baey a pu racheter le corps de ferme[48].
- Sur le territoire de la commune se trouvent trois cimetières de la Commonwealth War Graves Commission:
- Le Caestre Communal Cemetery.
- Le Caestre Military Cemetery.
- Le Peuplier Military Cemetery.
- Le monument aux morts.
- Le moulin Saint-Joseph.
- L’église Saint-Omer.
- La chapelle des trois vierges.
- Le Caestre Communal Cemetery.
- Le monument aux morts.
- Le moulin Saint-Joseph.
- L'oratoire et la croix du hameau "La Croix-Rouge"
Personnalités liées à la commune
- Charles Grimminck (1676-1725), mystique flamand, y fut curé de 1714 à 1723 avant de se retirer comme ermite au pied du Mont-des Cats. On se souvient de lui comme le "saint curé" (den heyligen pastoor)[49].
Héraldique, logotype et devise
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Blason | D'or à l'écusson d'argent chargé d'un lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'or et à la bordure d'azur; à la bordure d'azur[50].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Jacques. Malbrancq, La chapelle de Caestre et les trois vierges ; suivies de Cantiques en l’honneur de Notre-Dame-de-Grâce de Caestre, 1860, [En ligne : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65189505].
"Nos Belles Fermes, patrimoine rural du Nord-Pas de Calais" par Jean-Claude Grenier, SEAR, Lille, 2015.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- Caëstre sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Caëstre et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Caëstre et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1858, p. 77-78, lire en ligne
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 315, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 281, lire en ligne.
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1922
- « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- Jacques Malbrancq, La chapelle de Caestre et les trois vierges, .
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- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 1887 1888
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1889 à 1900
- Annuaire Ravet Anceau département du Nord Années 1901 à 1909
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1911 à 1914
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1927
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1928 à 1936
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1937 à 1939
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1971
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1972 à 1979
- Gildas Dubaele, « Portrait de Jean-Luc Schricke, le nouveau maire de Caëstre », La Voix du Nord, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Caëstre (59120) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Jean-Claude Grenier, Nos belles fermes, patrimoine rural du Nord-Pas de Calais, Société des éditions agricoles et rurales de Lille, 2015, p. 16-17.
- Cf. PERSIJN, Un mystique flamand, Charles Grimminck (1676-1728), Contribution à l’histoire religieuse de la Flandres, Lille/Lyon/Paris, Coll. « DDB et Cie – Edition du Comité Flamand de France », 1925.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).