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Le Thillay

Le Thillay [lə tijɛ] est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Le Thillay
Le Thillay
Ancienne mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CA Roissy Pays de France
Maire
Mandat
Patrice Gebauer
2020-2026
Code postal 95500
Code commune 95612
DĂ©mographie
Gentilé Thillaysiens
Population
municipale
4 597 hab. (2020 en augmentation de 10,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 167 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 00′ 00″ nord, 2° 28′ 00″ est
Altitude 67 m
Min. 52 m
Max. 104 m
Superficie 3,94 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Villiers-le-Bel
LĂ©gislatives 9e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Liens
Site web mairie-le-thillay.fr

    Ses habitants se nomment les Thillaysien(ne)s.

    GĂ©ographie

    Description

    Le Thillay se situe sur les rives du Croult au cœur de la plaine de France, nord-nord-est de Paris.

    À vol d'oiseau la ville se situe à 12 kilomètres de Paris. Du centre bourg à Notre-Dame 18,5 kilomètres. 13 km par la porte de la Villette et la route nationale N2 ou 19 km par la porte de la Chapelle et l'autoroute A1.

    Vue d'avion.

    À son extrémité ouest, le territoire communal est traversé par deux voies ferrées, la ligne D du RER entre les gares de Villiers-le-Bel (à 2,8 km) et Goussainville (à 2 km), ainsi que plus près du village, la LGV Nord juste après sa séparation d'avec la ligne de Paris-Nord à Lille.

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe, par ordre de longueur des limites communes, de : Gonesse, Goussainville, Roissy-en-France et Vaudherland.

    Communes limitrophes du Thillay[1]
    Goussainville Roissy-en-France
    du Thillay Vaudherland
    Gonesse

    Urbanisme

    Typologie

    Le Thillay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6] - [7].

    Toponymie

    Tilleium au XIIe siècle, Tilliacum au XIIIe siècle, Tilley en 1251, Tellai en 1273, Tilloy en 1587[8].

    Le nom provient du latin tilia, tilleul, avec le suffixe [9] - [10].

    Histoire

    Francois-Joseph Belanger : La chasse du duc d'Orléans au Thillay 23 janvier 1786, Collection du Musée Condé.

    Le village a longtemps gardé un caractère profondément rural, jusqu'après la Seconde Guerre mondiale, d'autant qu'il ne bénéficiait pas, contrairement aux communes voisines (Gonesse ou Goussainville) d'une gare de la ligne de chemin de fer Paris Nord-Creil (aujourd'hui la ligne D du RER).

    Ce caractère rural se retrouve d'ailleurs dans la présence ancienne de moulins, tandis qu'une activité agricole a continué d'être exercée sur la commune.

    Son développement économique date donc essentiellement de la Libération de la France et s'est accompagné du lotissement progressif des terrains agricoles, notamment dans les quartiers dits des Grands Champs, de l'Avenir et du Château. Au début des années soixante, un ensemble immobilier en copropriété a été réalisé, participant de l'accroissement sensible de la population locale.

    Dans les annĂ©es 1980 et 1990, la rĂ©alisation d'une zone d'amĂ©nagement concertĂ© (ZAC), au lieu-dit des CourbĂ©antes, s'ajoutant Ă  un processus de construction neuve sur des surfaces plus rĂ©duites qu'auparavant, a contribuĂ© Ă  accroĂ®tre un peu plus encore la population du village qui est devenu aujourd'hui une petite ville d'un peu plus de 4 000 habitants, selon les dernières estimations du recensement gĂ©nĂ©ral de la population.

    Si un certain nombre d'habitants continuent de travailler sur place, une grande part des actifs de la commune travaillent sur la zone aéroportuaire ou dans d'autres localités et départements de la région.

    Politique et administration

    Mairie.

    Le Thillay fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[11] - [12].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1793 Pierre Eschard
    1822 M. Samson
    1822 1828 François Destors
    1851 Marie René Nolleau
    1854 François Paillard
    1865 1881 Charles Dehaynin
    1881 Auguste Chalot
    1883 1890 Louis Lebert
    1890 1908 Charles Sainte Beuve
    1908 1919 Joachim Jolivet
    1919 1935 Auguste Lesage
    1935 1965 Clément Desmaret
    1965 1982 Alfred Lecomte DVG
    1982 1995 Jean Lafitte
    juin 1995 mars 2001 Marie-Thérèse Loncle
    mars 2001 juillet 2020[13] Georges Delhalt DVG Retraité

    .

    juillet 2020[14] En cours
    (au 1er avril 2021)
    Patrice Gebauer DVD Retraité RATP

    Jumelage

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

    En 2020, la commune comptait 4 597 habitants[Note 3], en augmentation de 10,66 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    650556545503634579624606594
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    584610593535514497470451480
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5406045446568871 0471 0471 0521 570
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 1862 8362 7622 8043 4193 6653 9694 0114 130
    2017 2020 - - - - - - -
    4 5574 597-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune prĂ©sente la caractĂ©ristique d'avoir une activitĂ© Ă©conomique relativement importante, mĂŞme si celle-ci a connu de profondes Ă©volutions durant les annĂ©es 1970 et 1980. Dans les annĂ©es 1960, la localitĂ© comptait en effet plusieurs entreprises industrielles importantes : une usine du groupe l'OrĂ©al (Chimex, Soprocos), une usine de peinture (La sociĂ©tĂ© Villemer), chacune comptant plusieurs centaines de salariĂ©s ainsi que de nombreuses entreprises de transports routiers ou encore une entreprise spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication de produits abrasifs (VSM Impavide). Aujourd'hui, plus de 2 200 emplois sont rĂ©pertoriĂ©s Ă  Le Thillay, dont encore 120 Ă  130 sur le site de l'OrĂ©al, tandis que les locaux de l'Usine Villemer sont devenus un parc d'activitĂ©s diverses, complĂ©tĂ© par de nouveaux locaux d'activitĂ© le long de la route nationale 17. Le principal employeur de la ville est une entreprise de nettoyage industriel intervenant notamment sur la zone de l'aĂ©roport Charles de Gaulle voisin.

    La présence de la grande plate forme aéroportuaire a toutefois un certain nombre d'inconvénients, liés notamment à la gêne acoustique occasionnée par la rotation régulière des avions sur les pistes de Roissy. Le haut de la commune (quartier des Grands Champs) est ainsi très nettement exposé au bruit, ce qui limite de fait les possibilités de développement sur cette partie de la commune. Pour autant, l'action des habitants a fini par aboutir, à la fin des années 1990, comme dans d'autres communes du secteur, à la prise en charge de travaux d'isolation phonique de l'habitat par Aéroports de Paris.

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Denys.
    L'Ă©glise Saint-Denis.

    Lieux et monuments

    Le Thillay possède un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Denis, rue de Paris (inscrite monument historique par arrĂŞtĂ© du [20]) : La paroisse est mentionnĂ©e pour la première fois en 1273, ce qui sous-entend l'existence d'une Ă©glise Ă  cette date. Elle est reconstruite entre 1530 et 1580 environ. Entièrement voĂ»tĂ©e d'ogives, l'Ă©glise de plan irrĂ©gulier se compose d'une nef de cinq travĂ©es ; d'un bas-cĂ´tĂ© de mĂŞme longueur ; d'un chĹ“ur de deux travĂ©es dont une abside Ă  pans coupĂ©s ; d'un clocher de deux Ă©tages au sud de la première travĂ©e de la nef ; ainsi que d'une chapelle devant la quatrième et cinquième travĂ©e de la nef. Cette chapelle ne reprend pas la physionomie du bas-cĂ´tĂ©. Elle est plus basse encore et couverte d'un toit Ă  deux croupes, au-dessus duquel deux grandes demi-lunes Ă©clairent la nef. Le bas-cĂ´tĂ© possède par contre une toiture commune avec la nef, qui de cette façon ne comporte aucune fenĂŞtre au nord. La plupart des baies de l'Ă©glise sont en plein cintre ; seulement celles du chĹ“ur et de la chapelle sud Ă©tant pourvues d'un remplage simple de deux lancettes surmontĂ©es d'un cercle. Les contreforts de l'Ă©lĂ©vation nord, très homogène, sont couronnĂ©s par des boules, reflet de l'architecture Renaissance, qui se manifeste plus clairement sur le clocher carrĂ©, dont les huit contreforts d'angle se terminent par de grosses toupies. Le rez-de-chaussĂ©e sert de porche Ă  l'Ă©glise, le premier Ă©tage est aveugle, et le second Ă©tage est ajourĂ© d'une baie abat-son par face. La flèche couverte d'ardoise est particulière ; carrĂ©e Ă  sa base, il devient octogonal en aboutissant sur le lanterneau Ă  deux Ă©gouts, qui pour sa part est coiffĂ© d'une haute flèche octogonale de petit diamètre. Comme autre particularitĂ©, l'Ă©glise possède un caveau entre la nef et la deuxième travĂ©e de la chapelle sud. Les sept clĂ©s de voĂ»te pendantes sculptĂ©es de motifs de la Renaissance sont particulièrement remarquables[21] - [22].

    On peut Ă©galement signaler :

    • Le lac du Thillay, promenade du Lac : Le Thillay est de longue date, le rendez-vous des pĂŞcheurs Ă  la ligne. En effet, le Croult, qui prend sa source au Trou du Diable Ă  Goussainville, passe au Thillay oĂą son cours forme Ă©tang, plan d'eau destinĂ© Ă  la promenade mais aussi Ă  la pratique de la pĂŞche, notamment du fait du rĂ©-empoissonnement rĂ©gulier des eaux en espèces d'eau douce (truites notamment) par l'association locale des pĂŞcheurs Ă  la ligne. Le lac du Thillay est de fait frĂ©quentĂ© par de nombreux amateurs de ce sport venant parfois de communes d'autres dĂ©partements de la rĂ©gion parisienne.
    • Moulin Ă  Drap, sur le Croult, Ă  la limite sud de la commune : AppelĂ© Ă©galement moulin Jumeau, ce moulin Ă  eau est transformĂ© dans une importante minoterie après son rachat par Louis Destors. Elle est victime d'un incendie en 1902 et agrandie pour une dernière fois en 1920. La famille des propriĂ©taires s'est fait construire une vaste demeure de style nĂ©oclassique Ă  cĂ´tĂ©[23].
    • Le lac et ses occupants.
      Le lac et ses occupants.
    • Monument aux morts et maison, rue de Paris
      Monument aux morts et maison, rue de Paris
    • Le clocher de l'Ă©glise
      Le clocher de l'Ă©glise

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Girard du Thillay (v. 1620-1666), chevalier, marquis du Thillay, prĂ©sident de la chambre des comptes de Paris. Il fait Ă©riger la seigneurie du Thillay en marquisat le 30 mars 1650 et est inhumĂ© avec son père Henry Girard, seigneur du Thillay, procureur gĂ©nĂ©ral en la chambre des comptes, et ses grands-parents Nicolas Girard, seigneur du Thillay, surintendant de la maison du connĂ©table de Montmorency, trĂ©sorier des Ligues et secrĂ©taire de la reine, et Lucrèce de Marle, dans la chapelle Saint-Nicolas en l'Ă©glise du Thillay[24].
    • Élisabeth Girard du Thillay (v. 1645-1720), marquise du Fresne. Fille de Charles Girard du Thillay et de son Ă©pouse Élisabeth de Bailleul, elle Ă©pouse Pierre Hennequin, marquis du Fresne. Elle est cĂ©lèbre pour son mariage peu commun et est l'autrice de MĂ©moires publiĂ©es en 1702[25].
    • La chanteuse Magalie VaĂ© (nĂ©e en 1987) a habitĂ© avec ses parents au Thillay de 14 Ă  18 ans.
    • Le peintre Georges Arnulf a vĂ©cu environ 15 ans dans la commune jusqu'Ă  sa mort en 1996.
    • Louis-NoĂ«l Montalant, Chevalier de la lĂ©gion d'honneur est nĂ© dans la commune le (Tillers près GonĂŞs). Sous-lieutenant il a participĂ© entre autres Ă  la bataille d'Austerlitz[26]
    • le MarĂ©chal Jean-Baptiste Bessières, sa femme Marie-Jeanne Lapeyrière et leur fils NapolĂ©on Bessières ont possĂ©dĂ© un château au Thillay, disparu aujourd'hui. Marie-Jeanne (morte Ă  Paris) et NapolĂ©on (mort Ă  Arnouville-les-Gonesse) ont toujours leur stèle au cimetière communale. Le cĹ“ur du MarĂ©chal Bessières se trouvait dans l'Église Saint-Denis du Thillay jusqu'en 1968, il a ensuite Ă©tait transfĂ©rĂ© dans sa ville natale de Prayssac pour le bicentaire de sa naissance. Il reste aujourd'hui la rue du MarĂ©chal Bessières et la rue du Château.

    Le Thillay au cinéma et à la télévision

    HĂ©raldique

    Blason de Le Thillay Blason
    Taillé au 1) d’azur au tilleul au naturel sur une terrasse de sinople herbée de sable adextré du château du lieu d’or, au 2) mi-taillé d’azur au pont d’une arche d’or maçonnée de sable, l’ouverture de l’arche remplie de même et adextrée de feuillage aussi de sinople, ledit pont mouvant de la partition et posé sur une rivière du champ d'où émergent à senestre, deux bouquets de roseaux aussi de sable brochant en partie sur le pont[27].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, (ISBN 2-84234-056-6), « Le Thillay », p. 324–329

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Le Tillay », Ministère de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Communes limitrophes du Thillay » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes du Thillay » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    9. Michel Roblin, Le terroir de Paris aux Ă©poques gallo-romaine et franque, page 68.
    10. Paul Marie Duval, Paris antique: des origines au troisième siècle - Page 235
    11. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    12. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    13. Anne Collin, « Le Thillay : à bientôt 90 ans, le maire passe la main : Trois candidats sont sur les rangs pour lui succéder dont deux issus de la majorité actuelle. Face à eux, une liste divers droite est également en lice », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire (DVG) Georges Delhalt quitte son fauteuil après dix-neuf ans passés à la tête de cette commune d'un peu moins de 5 000 habitants (...) qui avec ses mandats d'adjoint, comptabilise au total près de 40 années au conseiller municipal ».
    14. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    15. « Partnerschaften » Site web de la commune de Hünfelden, consulté le 3 avril 2017.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Notice no PA00080215, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. Charles Huet, « Le Thillay - Saint-Denys », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 275-277 (ISBN 9782953155402).
    22. « Inventaire général du patrimoine culturel - église paroissiale Saint-Denis », notice no IA95000065, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. François Doury et Dominique Foussard, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Le Thillay », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 324-329 (ISBN 2-84234-056-6).
    24. C.-R. d'Hozier, MĂ©moire sur la maison de Girard, vers 1680. [en ligne]
    25. G. Courtilz de Sandras, MĂ©moires de la marquise du Fresne, impr. Henri Schelte, Amsterdam, 1702. [en ligne]
    26. Culture.Gouv.Fr : Base LĂ©onore
    27. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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