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Le Monteil-au-Vicomte

Le Monteil-au-Vicomte est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Le Monteil-au-Vicomte
Le Monteil-au-Vicomte
Château du Monteil-au-Vicomte
Blason de Le Monteil-au-Vicomte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire
Mandat
Christian Meyer
2020-2026
Code postal 23460
Code commune 23134
Démographie
Gentilé Monteillois
Population
municipale
213 hab. (2020 en augmentation de 3,9 % par rapport à 2014)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 52″ nord, 1° 56′ 16″ est
Altitude Min. 505 m
Max. 683 m
Superficie 14,4 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Felletin
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Le Monteil-au-Vicomte
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    Géographie

    Localisation

    La commune est à 4,8 km de Chavanat[1], 5,3 de Saint-Pierre-en-Bellevue et 13,2 de Saint-Hilaire-la-Plaine.

    Géologie et relief

    • Carte de l'occupation des sols de Le Monteil-au-Vicomte sur le Géoportail de l'ARB Nouvelle-Aquitaine : Entités paysagères:
    Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
    Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
    Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau traversant la commune :

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 208 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vallières », sur la commune de Vallière, mise en service en 1999[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 205,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 54 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Monteil-au-Vicomte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), prairies (21,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune du Monteil-au-Vicomte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Monteil-au-Vicomte.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 30,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 169 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 52 sont en en aléa moyen ou fort, soit 31 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité 2 faible[26].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Lavaud-Gelade, un ouvrage sur le Taurion de classe A[Note 6] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 17,4 millions de mètres cubes[28]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Monteil-au-Vicomte est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

    Voies routières

    • D3 vers Chavanat, Villemonteil, Charbonnier.
    • D10 vers Saint-Hilaire-le-Château, Banize.
    • D36 vers Vidaillat.

    Transports en commun

    SNCF

    Histoire

    Au XIIe siècle, il y avait un château du Monteil, en 1767, le dernier châtelain est le maire d'Aubusson, il sera ensuite vendu par adjudication en germinal (période allant du au du calendrier grégorien) de l'an II (1794). Il n'en reste aujourd'hui que des ruines[31].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    Le Monteil-au-Vicomte appartient à la circonscription unique de la Creuse, au canton de Felletin et à la communauté de communes Creuse Sud-Ouest.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    septembre 1973 mars 2001 Robert Naucodie
    mars 2001 mars 2014 Christian Meyer
    mars 2014 2020 Didier Martinez PS Ingénieur
    2020 En cours Christian Meyer

    Budget et fiscalité 2021

    En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[32] :

    • total des produits de fonctionnement : 245 000 â‚¬, soit 995 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 192 000 â‚¬, soit 780 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 14 000 â‚¬, soit 59 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 35 000 â‚¬, soit 141 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 29 000 â‚¬, soit 119 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 12,9 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 37,51 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 51,47 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 680 â‚¬[33].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2020, la commune comptait 213 habitants[Note 7], en augmentation de 3,9 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    270247352584552526511501500
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    482507510518572607555570520
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    597522418417407421365299273
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    289281287248266225210202213
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[38] :

    • École maternelle et primaire.
    • Collèges à Bourganeuf, Aubusson, Felletin, Ahun.
    • Lycées à Bourganeuf, Aubusson, Felletin.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[39] :

    • Médecins à Saint-Georges-la-Pouge, Royère-De-Vassivière, Pontarion, Peyrat-le-Château, Saint-Dizier-Leyrenne, La Saunière ;
    • Pharmacies à Saint-Georges-la-Pouge, Royère-De-Vassivière, Pontarion, Sardent, Peyrat-le-Château ;
    • Hôpitaux à Saint-Vaury, Meymac, La Souterraine, Eygurande.

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • Élevage d'autres bovins et de buffles.
    • Sylviculture et autres activités forestières.
    • Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.

    Tourisme

    • Hébergements-Restauration à Le Monteil-au-Vicomte, Saint-Pierre-Bellevue, Vidaillat.

    Commerces

    • Commerces et services de proximité à Bourganeuf[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vestiges de la chapelle du château fort [43].
    Cloche Église paroissiale Saint-Pierre-de-Vérone[45].
    Cloche de 1788[47].
    Presbytère[48].
    • Carte postale de l'église vers 1925.
      Carte postale de l'église vers 1925.
    • L’église Saint-Pierre. Vue nord-ouest.
      L’église Saint-Pierre. Vue nord-ouest.
    • L’église Saint-Pierre. Portail ouest.
      L’église Saint-Pierre. Portail ouest.
    • L’église Saint-Pierre. Porte latérale.
      L’église Saint-Pierre. Porte latérale.
    • Carte postale du château vers 1920.
      Carte postale du château vers 1920.
    • Rocher du Diable.
      Rocher du Diable.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Le Monteil-au-Vicomte Blason
    Écartelé : au 1er de gueules à la croix d'argent, aux 2e et 3e d'or à une croix ancrée de gueules, au 4e de gueules à une tour d'argent ouverte et ajourée du champ et posée sur une terrasse de sinople[56].
    Détails
    Utilisé par la commune.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Deux autres communes portent le nom de Le Monteil :

    Liens externes

    Le patrimoine de la commune de Le Monteil-au-Vicomte, sur www.pop.culture.gouv.fr/

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Itinéraires
    2. Le Taurion
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Vallières - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Le Monteil-au-Vicomte et Vallière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Vallières - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Le Monteil-au-Vicomte et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune du Monteil-au-Vicomte », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Monteil-au-Vicomte », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. Information des acquéreurs et locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs de la commune
    27. Article R214-112 du code de l’environnement
    28. « barrage de Vassiviere », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    31. « Quelques anciennes cartes postales du village » (consulté le ).
    32. Les comptes de la commune
    33. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Établissements d'enseignements
    39. Professionnels et établissements de santé
    40. Paroisses de Limoges
    41. Commerces et services de proximité
    42. Notice no PA00100111, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Vestiges de la chapelle du château fort », notice no IA00030501, base Mérimée, ministère français de la Culture
    44. « Eglise Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    45. Notice no PM23001061, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche Église paroissiale Saint-Pierre-de-Vérone
    46. Vestiges de la chapelle du château fort, Observatoire du patrimoine religieux
    47. Notice no PM23001059, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle de la Nativité-de-la-Vierge
    48. « Presbytère », notice no IVR74_19812301973X, base Mémoire, ministère français de la Culture
    49. « Croix monumentale sur la R.D. 36 », notice no IVR74_19792300117X, base Mémoire, ministère français de la Culture
    50. « Croix monumentale Monteil-au-Vicomte, Chatain », notice no IVR74_19792300097X, base Mémoire, ministère français de la Culture
    51. « Croix monumentale Monteil-au-Vicomte, Haute-Besse », notice no IVR74_19792300094X, base Mémoire, ministère français de la Culture
    52. Monument aux morts
    53. « Monument aux morts », notice no IVR74_19792300102X, base Mémoire, ministère français de la Culture
    54. .Creuse... le mystère : Plusieurs légendes coulent dans les eaux de la rigole du Diable au Monteil-au-Vicomte
    55. Zénon Toumieux, « La vicomté du Monteil », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. 9,‎ , p. 65-273 (lire en ligne)
    56. « 23134 Le Monteil-au-Vicomte (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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