Le Chalard
Le Chalard est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Le Chalard | |||||
La mairie du Chalard. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Saint-Yrieix | ||||
Maire Mandat |
Annick Huchet 2020-2026 |
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Code postal | 87500 | ||||
Code commune | 87031 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
307 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 32′ 57″ nord, 1° 07′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 237 m Max. 369 m |
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Superficie | 12,42 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Yrieix-la-Perche (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Yrieix-la-Perche | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.lechalard.fr | ||||
Ses habitants s'appellent les Peyrouliers[1], nom du métier qui consistait à former des ébauches en cuivre à la forge du village, ces formes étaient ensuite destinées à devenir divers ustensiles dont des casseroles[2].
Géographie
Généralités
À l'extrême sud du département de la Haute-Vienne, la commune du Chalard est limitée par l'Isle, principal affluent de la Dordogne, qui la sépare à l'est de Saint-Yrieix-la-Perche et au sud de Jumilhac-le-Grand, dans le département de la Dordogne. La commune est également arrosée à l'est par un petit affluent de l'Isle, le ruisseau Noir (ou ruisseau du Moulin de Busseix).
L'altitude minimale, 237 mètres, se trouve au sud-ouest, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Jumilhac-le-Grand. L'altitude maximale avec 369 mètres est localisée au nord, en forêt du Chalard[3], à quelques dizaines de mètres du territoire communal de Ladignac-le-Long.
Le village du Chalard s'est développé sur un éperon rocheux au-dessus des gorges de l'Isle. À l'intersection des routes départementales 59a2 et 901, il se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest de Saint-Yrieix-la-Perche et seize kilomètres au sud-sud-ouest de Nexon.
Communes limitrophes
Le Chalard est limitrophe de trois autres communes, dont une dans le département de la Dordogne.
Environnement
En bordure nord du parc naturel régional Périgord-Limousin, la commune présente sur 240 hectares une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, la « vallée de l'Isle au Chalard »[5].
Dans une vallée resserrée et boisée s'épanouissent des plantes rares dans la région : la Jacinthe des bois (Hyancinthoides non-scripta), la Balsamine des bois (Impatiens noli-tangere) et la Scille printanière (Scilla verna).
Au niveau de la faune, la qualité du site autorise la présence de deux espèces, un insecte, le Galéruque à 4 taches (Phyllobrotica quadrimaculata), peu fréquent sur le territoire français du fait de la raréfaction des zones humides et un oiseau, le Cincle plongeur (Cinclus cinclus), dont la technique de pêche, immergé dans les cours d'eau, est unique.
À la frontière avec la commune de Jumilhac-le-Grand se trouve l'ancienne mine aurifère du Bourneix, exploitée jusqu'en 2002 par Areva, aujourd'hui sous surveillance environnementale[6] pour le traitement de eaux. Cette ancienne mine inquiète les associations environnementales locales qui redoutent des pollutions diffuses des eaux de l'Isle par des métaux lourds (résidus de l'exploitation de la mine)[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[14] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[15] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 35 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[18] à 11,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[20].
Urbanisme
Typologie
Le Chalard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [22] - [23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24] - [25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,4 %), prairies (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), terres arables (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du Chalard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 12,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune du Chalard est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Lu Chaslar.
Histoire
Au Ve siècle av. J.-C., les Gaulois commencèrent à exploiter plusieurs mines d'or au Chalard. On peut encore aujourd'hui observer des creux et les haldes dans certaines forêts de la commune. La société des mines du Bourneix exploita de 1982 à 2002 une des dernières mines d'or de France, sur le site d'une de ces mines antiques[32] - [33].
Une tradition veut que Roger, vicomte de Limoges, ait fondé en 801 un premier monastère en ce lieu et que celui-ci ait été détruit par les Vikings lors de leur incursion en Limousin, en 846. Vers l’an mil, ses descendants dressent sur cet épaulement naturel une tour appelée en langue romane « castellare » qui se transforma en Chalard.
En 1088, un prêtre avec ses deux compagnons vint s’installer sur les ruines de l’ancien monastère. Du nom de Geoffroy, il serait né près du village de Noth, à l'est de La Souterraine. Il fit des études assez poussées à Tours, et vint ensuite enseigner à Limoges. Sur les conseils d'un riche marchand chez qui il logeait, Pierre Brun, il se fit ordonner prêtre à Périgueux vers 1087. Lors de son voyage d'ordination, il avait remarqué la forêt de Courbefy qu'il traversait ; c’est à son retour qu’il prit la décision d'y vivre en ermite. En 1100, Geoffroy construisit une petite église dédiée à la Vierge grâce aux subsides d’un archidiacre de Limoges, Pierre Bruchard. C’est l’évêque de Périgueux, Renaud de Thiviers, qui consacra l’édifice. Le prélat conseilla à l’ermite de créer une communauté de chanoines obéissant à la règle de saint Augustin et le vicomte de Limoges et sa mère lui firent cadeau du site. Geoffroy mourut en 1125 et fut inhumé dans l’abbatiale près de son ancien oratoire ; quelques années plus tard, son grand ami, Gouffier de Lastours, héros de la première croisade, fut enterré dans une tombe aux armes des Lastours, dans l'église, contre son tombeau. Le Gouffier de Lastours enterré avec son épouse, Agnès d'Aubusson dans la salle capitulaire est celui qui vivait environ cent ans plus tard.
Le prieuré subit des ravages lors de la guerre de Cent Ans. En 1419, un certain Beauchamp à la tête d'une bande armée se retranche dans le prieuré. Une armée menée par les seigneurs du voisinage les en déloge le ; mais le prieuré est en piteux état, la nef de l’abbatiale ayant été totalement détruite. À la fin du XVIIe siècle, les derniers chanoines quittent l’abbaye qui est vendue comme bien national à la Révolution.
À la Révolution française, la paroisse devient une commune mais fusionne presque aussitôt avec celle de Ladignac-le-Long. Ce n'est qu'en 1867 que Le Chalard redevient une commune indépendante[34].
Passé ferroviaire du village
De 1905 à 1954, le village a été desservi par la Ligne de Bussière-Galant à Saint-Yrieix, qui, venant de la gare de Ladignac se dirigeait ensuite vers la gare de Saint-Yrieix. La ligne passait à l'ouest de la commune.
À une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises. À partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1954. Les rails ont été retirés. L'ancienne gare et quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore au début du XXIe siècle, utilisés comme sentiers de randonnée ou chemins d'exploitation agricole.
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2020, la commune comptait 307 habitants[Note 10], en diminution de 2,85 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Remarque
Depuis la fin du XVIIIe siècle jusqu'en l'an 1867, la commune avait fusionné avec celle de Ladignac-le-Long.
Économie
De 1982 à 2002, l'or fut exploité dans les mines du Bourneix[40]. L'économie actuelle du village est surtout tournée vers l'agriculture : l'élevage de bovins ; il existe plusieurs dizaines d'hectares de pommeraies, la commune faisant partie de la zone d'AOC[41] et d'AOP[42] « Pomme du Limousin ».
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de l'Assomption, XIIe siècle : de l'église originelle ne subsistent que le transept et le chœur, la nef ayant été détruite au cours de la guerre de Cent Ans. D'architecture romane, elle conserve quelques chapiteaux sculptés ; l'église abrite le tombeau de saint Geoffroy recouvert par un buffet en bois de style gothique. Elle est classée monument historique depuis 1910[43].
- Les vestiges du prieuré Notre-Dame, XIe siècle : propriété privée, le prieuré est accessible lors des journées européennes du patrimoine et aussi lors du festival de musique et de théâtre musical, le festival 1001 notes fin juillet et début août. La salle capitulaire en est la plus belle partie, elle renferme plusieurs tombes dont celle de Gouffier de Lastours. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1997[44].
- Le cimetière des moines[45] : au pied du chevet de l'abbatiale, se pressent des pierres tombales romanes et gothiques qui recouvraient les tombes des moines.
- La maison des Anglais, XIIIe siècle : seule demeure ancienne du village n'ayant subi aucune transformation majeure, elle a conservé de magnifiques baies gothiques. Sa façade est inscrite depuis 1987[46].
- Le pont médiéval de la Tour, XIVe siècle : au pied de l'éperon rocheux sur lequel s'élève l'abbaye, un pont médiéval enjambe l'Isle à proximité des ruines du château des vicomtes de Limoges. Partagé avec les communes de Jumilhac-le-Grand en Dordogne et Saint-Yrieix-la-Perche en Haute-Vienne, il est classé depuis 1984[47].
- La forge de Bessous : sa porcherie date de 1850 et est classée par arrêté du [48].
L'église de l'Assomption
sous la neige.L'ancien prieuré Notre-Dame. Le cimetière des moines. La maison des Anglais. Le pont de la Tour. L'intérieur en ruines de l'ancienne forge de Bessous.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste Tenant de Latour (1779-1862), bibliographe.
- Philippe Tenant de la Tour, résistant, ancien de la brigade RAC.
- Jacques Boutard (1906-1982), homme politique français, maire de la commune de 1936 à 1945.
- Marcel Bonnaud, maire du Chalard de 2001 Ã 2010.
Héraldique
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Les armoiries de Le Chalard se blasonnent ainsi : |
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Vie locale
Enseignement
Le Chalard possédait une école, qui n'est plus utilisée à ce jour. Le village est relié à l'école de Ladignac-le-Long.
Équipements ou services
La commune possède une salle des fêtes, nommée du nom d'un maire. Elle est régie par le comité des fêtes du Chalard qui organise différentes manifestations tout au long de l'année.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Le Chalard sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Festival 1001 notes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Décédé en fonctions
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- Le Chalard sur le site de la communauté de communes du Pays de Saint-Yrieix, consulté le 10 novembre 2010.
- « Borne 369 (Forêt du Chalard) » sur Géoportail (consulté le 11 novembre 2010)..
- Carte IGN sur Géoportail
- ZNIEFF 40007680 - Vallée de l'Isle au Chalard sur le site de l'INPN, consulté le 11 novembre 2010.
- Le Bourneix : un site aurifère épuisé sur le site d'Areva, consulté le 10 août 2014.
- Rumeurs autour de l'ancienne mine d'or de Jumilhac-le-Grand (24) sur Sud Ouestdu 3 novembre 2010, consulté le 10 août 2014.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Le Bourneix : un site aurifère épuisé sur le site d'Areva, consulté le 23 novembre 2010.
- Décret relatif à l'AOC « Pomme du Limousin » (doc pdf), consulté le 11 novembre 2010.
- Cahier des charges de l'AOP « Pomme du Limousin » (doc pdf), consulté le 11 novembre 2010.
- « Église de l'Assomption », notice no PA00100265, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
- « Ancien prieuré Notre-Dame du Chalard », notice no PA87000007, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
- Marion Durier, Le prieuré du Chalard. Le cimetière médiéval, dans Congrès archéologique de France, 172e session, Haute-Vienne romane et gothique. L'âge d'or de son architecture. 2014, Société française d'archéologie, 2016, p. 369-374, (ISBN 978-2-901837-61-9) (lire en ligne)
- « Maison dite des Anglais », notice no PA00100266, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
- « Pont dit de la Tour », notice no PA00100267, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
- « Forge de Bessous », notice no PA87000026, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.