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Lanciers de la Garde impériale

Lanciers de la Garde impériale
Image illustrative de l’article Lanciers de la Garde impériale
Lanciers de la Garde impériale, 1857. Richard Knötel, Uniformenkunde, 1890, volume VI, planche 9.

Création 20 décembre 1855
Dissolution 28 octobre 1870
Pays Drapeau de la France France
Allégeance Second Empire
Branche Cavalerie
Type RĂ©giment
Fait partie de Garde impériale
Garnison Melun
Guerres Campagne d'Italie (1859)
Guerre franco-allemande de 1870
Batailles Solférino
Mars-la-Tour
Metz
Commandant Lichtlin (1855-1860)
Begougne de Juniac (1860-1865)
Yvelin de BĂ©ville (1865-1869)
Latheulade (1869-1870)

Le régiment des lanciers de la Garde impériale est une unité de cavalerie française du Second Empire faisant partie de la Garde impériale. Mise sur pied en 1855, elle est dissoute avec le reste de la Garde par décret du .

Organisée à Melun, la composition du régiment connaît divers soubresauts avant d'être définitivement arrêtée à six escadrons en 1867. Au cours de ces quinze années d'existence, les lanciers assurent l'escorte de Napoléon III lors de l'attentat d'Orsini à Paris ; en campagne, ils sont également à la suite de l'empereur mais ne participent que rarement au combat. Au cours de la guerre franco-prussienne de 1870, le corps sous les ordres du colonel Latheulade se distingue à la bataille de Mars-la-Tour, peu avant la défaite française finale qui entraîne sa disparition.

L'uniforme est caractérisé par le port du chapska polonais et de la lance. Le reste de la tenue comprend un habit blanc à plastron bleu et passementerie écarlate, ce qui amène le peintre militaire Lucien Rousselot à qualifier cet uniforme comme étant « l'un des plus brillants du Second Empire ».

Historique

Organisation

Lancier de la Garde impériale en grande tenue, par Édouard Detaille.

En 1854, deux ans après l'avènement du Second Empire, Napoléon III rétablit la Garde impériale, corps militaire d'élite attaché à sa personne. Cette dernière reprend ainsi les traditions de la première Garde impériale, formée en 1804 par Napoléon Ier et dissoute en 1815. La cavalerie de la Garde, forte à l'origine de deux régiments — cuirassiers et guides — s'étoffe au fur et à mesure d'unités nouvelles. Le , un décret impérial instaure la création de quatre régiments de cavalerie supplémentaires : parmi eux, celui des lanciers de la Garde impériale[1].

Le tout frais régiment prend ses quartiers à Melun pour y étoffer les six escadrons prévus par le décret. La dissolution du 2e régiment de cuirassiers de la Garde en 1865 porte à huit le nombre d'escadrons[2], qui retombe à cinq le de la même année par souci d'économie[3]. Le corps revient finalement à six escadrons au début du mois de . Entre-temps, les lanciers ont déjà vu se succéder deux colonels : Valentin Auguste Lichtlin, futur général de division, et, à partir de 1860, Jacques Louis Eugène Begougne de Juniac qui devient par la suite général de brigade. Suit Charles Alphonse Aimé Yvelin de Béville, un ancien du 6e cuirassiers qui conserve son poste jusqu'en 1869, date à laquelle il est remplacé par Henri Jean Baptiste de Latheulade qui commande le régiment lors de sa dernière campagne[2].

En 1862, les lanciers de la Garde quittent leurs casernes de Melun pour celles de Fontainebleau où ils passent cinq années, jusqu'en 1867. Ils prennent alors leurs quartiers à Paris pour y être employés à la sécurité des monarques étrangers venus visiter l'Exposition universelle, avant de faire leur retour à Melun à la fin de l'année 1869[4]. Le corps est dissout le avec le reste de la Garde impériale et ses éléments incorporés dans les régiments de marche de la cavalerie française. Le dernier escadron fusionne le à Lyon avec le 9e régiment de chevau-légers lanciers[5].

« BaptĂŞme du feu Â» de l'attentat d'Orsini

Le , Napoléon III et sa cour se rendent à une soirée de gala organisée à l'Opéra Le Peletier. Le moment est choisi par le conspirateur italien Felice Orsini pour attenter à la vie du souverain. L'un de ses complices jette une bombe sous les chevaux de l'escorte, constituée ce jour-là d'un escadron de lanciers de la Garde impériale aux ordres du lieutenant Noguet. L'explosion épargne l'empereur, mais les lanciers à sa suite payent un lourd tribut : 12 d'entre eux sont blessés — dont 7 grièvement — ainsi qu'une vingtaine de chevaux[6]. Un maréchal des logis placé à hauteur de la portière gauche de l'attelage impérial reçoit trois blessures ; « pas un des hommes de l’escorte dont les effets ne portent les traces de l’explosion »[7]. Fleury et Sonolet, dans le no 134 de la revue Historia, rapportent l'anecdote suivante :

« Un moment après, l’un des mĂ©decins de service vint prĂ©venir l’Empereur qu’un lancier de l’escorte, mortellement atteint et dĂ©posĂ© dans une pharmacie voisine, venait d’entrer en agonie. Il se leva, mais Ă  la porte du corridor, il fut arrĂŞtĂ© par l’officier de paix HĂ©bert. « Sire, objecta respectueusement celui-ci, les auteurs de l’attentat ne sont pas encore arrĂŞtĂ©s. Votre MajestĂ© agirait prudemment en ne quittant pas sa loge ». « N’importe ! rĂ©pondit l’Empereur d’un ton qui n’admettait pas de rĂ©plique, je veux voir ce lancier Â». Il descendit, accompagnĂ© par quelques personnes de sa suite, et se rendit Ă  la pharmacie. Le malheureux soldat qu’il venait voir Ă©tait couchĂ© sur un matelas et venait de reprendre une suprĂŞme connaissance. Sans mot dire, NapolĂ©on III prit la petite croix en brillants qu’il portait au revers de son habit noir et l’attacha sur l’uniforme du mourant[7]. »

Campagnes et batailles

Lancier de la Garde impériale, par François Hippolyte Lalaisse.
Officier de lanciers de la Garde impériale en grande tenue, par François Hippolyte Lalaisse.

Au mois d'avril 1859 dĂ©bute la campagne d'Italie, oĂą la France est engagĂ©e aux cĂ´tĂ©s du royaume de PiĂ©mont-Sardaigne contre l'empire d'Autriche. Les lanciers de la Garde quittent Compiègne le avec 45 officiers et 684 hommes Ă  l'effectif, et arrivent Ă  GĂŞnes le 28 pour y intĂ©grer la division de cavalerie de la Garde commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Louis-Michel Morris[8]. Avec les dragons de l'ImpĂ©ratrice, ils forment la 2e brigade. Le rĂ´le du rĂ©giment est toutefois des plus modestes. Il est prĂ©sent lors de la bataille de SolfĂ©rino le , mais il n'est pas engagĂ© et doit se contenter d'assurer la liaison entre les 2e et 4e corps d'armĂ©e français[5]. La manĹ“uvre s'effectue cependant sous le feu de l'artillerie autrichienne qui blesse deux lanciers[8]. Le rĂ©giment se voit dĂ©cerner deux croix de la LĂ©gion d'honneur et deux mĂ©dailles militaires Ă  l'issue de la campagne[5].

Onze ans plus tard, les lanciers de la Garde participent de manière plus active à la guerre franco-prussienne de 1870, embrigadés une nouvelle fois avec les dragons de l'Impératrice. Quelques jours après le début des hostilités, le régiment est acheminé en train jusqu'à Nancy. La première partie de la campagne n'est qu'une suite de marches et de contre-marches pour la cavalerie de la Garde, dont Metz, Boucheporn, Longeville-lès-Saint-Avold, Maizery et Borny sont les étapes successives[4]. Les défaites françaises à Forbach-Spicheren et Frœschwiller amènent la formation d'un régiment de marche de la cavalerie de la Garde auquel est affecté le 4e escadron de lanciers[6]. Le , de violents combats ont lieu autour de Metz, mais les lanciers de la Garde n'interviennent pas et doivent suivre le mouvement de retraite sur Verdun. Le 16, après avoir escorté l'empereur jusqu'au-delà de Conflans, le régiment prend position dans une zone boisée près du village de Rezonville, au milieu des tumultes de la bataille qui vient de s'engager[4].

L'après-midi se passe sans Ă©vĂ©nement majeur, mais une reconnaissance menĂ©e par les chasseurs d'Afrique du gĂ©nĂ©ral du Barail confirme la prĂ©sence d'importantes masses de cavalerie prussienne. Le soir, aux alentours de 6 heures, cette cavalerie se met en mouvement pour tourner l'aile droite française[4]. Elle se compose de uhlans hanovriens, de cuirassiers westphaliens et du 2e rĂ©giment de dragons de la Garde prussienne[9]. InformĂ©, le gĂ©nĂ©ral Defrance, commandant la 2e brigade de cavalerie de la Garde, fait parvenir au rĂ©giment de lanciers l'ordre de charger. Le colonel de Latheulade Ă©branle ses escadrons qui viennent se ranger en bataille sur le plateau de Ville-sur-Yron. Face aux cavaliers prussiens qui approchent aux cris de « Hurrah ! Â», leurs homologues français croisent les lances[4]. Le choc « d'une extrĂŞme violence Â»[10] met hors de combat le premier rang allemand, puis la mĂŞlĂ©e devient confuse : « ce n'est plus que coups de sabre et de lance, dĂ©tonations d'armes Ă  feu, chevaux et cavaliers tombant les uns sur les autres, cris de rage et de dĂ©sespoir… »[4]. Dans le dĂ©sordre, le 3e rĂ©giment de dragons prend Ă  partie les lanciers de la Garde qu'il a confondu avec des uhlans[10]. Après un combat intense, l'affrontement tourne finalement au dĂ©savantage des lanciers qui sont contraints de se replier sur leur base de dĂ©part, oĂą Latheulade les rallient[4].

Ă€ la fin de la bataille, le rĂ©giment a enregistrĂ© des pertes sĂ©vères : 17 officiers et 170 cavaliers sont tuĂ©s, blessĂ©s ou disparus. Plusieurs d'entre eux rejoignent leur unitĂ© les jours suivants, portant la perte totale Ă  27 tuĂ©s, 75 blessĂ©s et 48 disparus. Le 2e escadron qui ne compte plus que 35 hommes est le plus Ă©prouvĂ©. Quant au colonel de Latheulade, touchĂ© Ă  de nombreuses reprises, il a Ă©chappĂ© de justesse Ă  la capture. Le lendemain, suivant l'ordre de repli sur Metz, les lanciers de la Garde arrivent le au Ban-Saint-Martin d'oĂą ils ne repartent que le 25 pour entrer dans Metz le mĂŞme jour. Le rĂ©giment installe son bivouac sur l'Ă®le de Chambière, puis au fort de Saint-Julien Ă  partir du . Entre-temps, les Prussiens ont entamĂ© le siège de la ville et la cavalerie de la Garde assiste Ă  quelques escarmouches près de la localitĂ© de Servigny-lès-Sainte-Barbe. « Ă€ partir de ce jour, le rĂ©giment ne prend aucune part aux sorties qui sont tentĂ©es. Les vivres deviennent de plus en plus rares. Le nombre de chevaux diminue chaque jour. Les uns meurent Ă  la corde, faute de nourriture, les autres sont abattus pour servir Ă  l'alimentation des troupes ». De fait, toute la cavalerie est bientĂ´t dĂ©montĂ©e, et les lanciers de Latheulade troquent alors la lance contre le fusil Chassepot. Le , la capitulation de Metz est signĂ©e, livrant la garnison tout entière aux mains de l'armĂ©e prussienne. Le rĂ©giment des lanciers de la Garde prend alors le chemin de la captivitĂ© vers la SilĂ©sie[4]. Seul subsiste le 4e escadron qui participe au siège de Paris, intĂ©grĂ© au rĂ©giment de marche de la cavalerie de la Garde qui devient plus tard le 20e rĂ©giment de dragons[2].

Uniformes

« L'uniforme du régiment fut parmi les plus brillants du Second Empire. »

— Lucien Rousselot, Garde impĂ©riale : Lanciers 1855-1870, planche no 18 de la sĂ©rie « L'ArmĂ©e française Â», 1965[3].

Troupe

Lanciers de la Garde impériale en grande tenue, 1857, par Charles Édouard Armand-Dumaresq.

La coiffure est le chapska d'origine polonaise, propre aux rĂ©giments de lanciers. Pour la troupe, il est recouvert d'un drap bleu de ciel et surmontĂ© d'un plumet Ă©carlate en plumes de coq. Le devant est ornĂ© d'une plaque en cuivre frappĂ©e du « N Â» impĂ©rial sur fond de rayons de soleil. L'habit en toile blanche est complĂ©tĂ© par un plastron bleu de ciel. Les parements, collet et retroussis taillĂ©s en pointe sont de mĂŞme couleur que le plastron. L'ensemble est rehaussĂ© par la prĂ©sence des aiguillettes et des Ă©paulettes Ă©carlates, ces dernières Ă©tant du modèle gĂ©nĂ©ral affectĂ© Ă  la Garde. Le reste de l'uniforme comprend un pantalon garance Ă  fausses bottes, dĂ©corĂ© sur le cĂ´tĂ© d'un passepoil et de deux bandes bleu de ciel. En tenue de route, les lanciers revĂŞtent un uniforme bleu en lieu et place du blanc, ce qui entraĂ®ne une mĂ©prise de la part des dragons français Ă  la bataille de Mars-la-Tour qui prennent Ă  partie les lanciers de la Garde en les confondant avec des uhlans prussiens[10]. En petite tenue, le chapska est portĂ© sans plumet mais avec une cocarde tricolore, tandis que le plastron est retournĂ© du cĂ´tĂ© blanc, laissant apparaĂ®tre sur les contours un passepoil bleu ciel. La tenue d'Ă©curie se compose d'un bonnet de police bleu Ă  distinctives blanches, d'une veste bleue Ă  une rangĂ©e centrale de boutons et d'un pantalon blanc dit « de treillis Â»[3].

Plaque de chapska des lanciers de la Garde impériale.

Trompettes

Trompette en grande tenue et soldat en manteau des lanciers de la Garde impériale, 1857, par Charles Édouard Armand-Dumaresq.

Les trompettes disposent quant Ă  eux d'une tenue aux couleurs inversĂ©es, soit un habit bleu Ă  plastron blanc. Le chapska est en drap blanc et le plumet Ă©carlate disparaĂ®t au profit d'un plumet blanc sur la partie supĂ©rieure et bleu ciel sur la partie infĂ©rieure. Les Ă©paulettes et aiguillettes sont en laine blanche, de mĂŞme que la passementerie. La flamme de la trompette est dĂ©corĂ© d'un fond blanc sur lequel est brodĂ© au centre un « N Â» couronnĂ© bleu ciel, avec galons et franges de mĂŞme couleur. Le corps des trompettes monte des chevaux de robe grise[11].

Officiers

La grande tenue des officiers se distingue essentiellement de celle de la troupe par ses passementeries. Ainsi, si le chapska est identique, l'habit est caractérisé par la distinctive dorée des épaulettes, aiguillettes, coulants, raquettes et glands. En outre, un passepoil blanc orne le pourtour du collet, et le passepoil bleu du pantalon est encadré par deux bandes dorées. De dos, deux passepoils bleus naissant aux niveaux des basques remontent jusqu'aux parements de manche. L'uniforme de petite tenue comprend un couvre-chapska enfilé par-dessus la coiffe, et sur lequel est fixé un pompon de laine dorée. L'habit se réduit à une veste bleue pourvue d'une rangée de boutons unique, aiguillette et épaulette à franges dorées, la première sur le côté droit et la seconde sur le côté gauche[12].

Armement et Ă©quipement

La giberne de la troupe est en cuir noir bordĂ© de cuivre jaune, avec en son centre les armoiries de l'Empire sur fond rayonnant. Le tout est maintenu en travers du corps par une buffleterie blanche complĂ©tĂ©e par des attaches en mĂ©tal. Le ceinturon Ă©galement blanc est fermĂ© par une boucle en mĂ©tal dorĂ©e sur laquelle sont reprĂ©sentĂ©es des lances en faisceau. Pour les officiers, la bordure en mĂ©tal de la giberne est dĂ©corĂ©e de motifs vĂ©gĂ©taux et la buffleterie est Ă  alternance bleu et or. Ces remarques sont Ă©galement valables pour le ceinturon et sa boucle, cette dernière Ă©tant estampillĂ©e d'une aigle rayonnante[13]. En ce qui concerne le harnachement de la troupe, la selle en cuir est posĂ©e sur une chabraque en drap bleu de ciel Ă  galons blancs et passepoils bleus. La partie supĂ©rieure est ornĂ©e de chaque cĂ´tĂ© d'une couronne impĂ©riale blanche ; sur la partie infĂ©rieure, c'est un « N Â» couronnĂ© en fil blanc. Devant le cavalier, la chabraque est partiellement doublĂ©e d'une peau en poils noirs Ă  dentelures blanches. Le portemanteau, situĂ© derrière le troussequin, est bleu Ă  galons blancs, une couronne brodĂ©e sur chaque face. Chez les officiers, les galons blancs prennent la distinctive dorĂ©e[14].

L'armement réglementaire de la troupe, également en usage chez les brigadiers et les maréchaux des logis, comprend un pistolet modèle 1822 T — qui est remplacé à partir de 1860 par le 1822 T bis —, un sabre de cavalerie de ligne modèle 1822 et la lance pouvant être du modèle 1816 ou 1823[15]. Cette dernière est surmontée d'une flamme blanche et écarlate en étoffe de laine, rapidement substituée à la soie donnée lors de la création du régiment. Le sabre de cavalerie légère modèle 1822 est très en faveur chez les officiers, moins chez la troupe bien qu'il soit autorisé à titre non réglementaire. Louis Delpérier note « que l'arme réglementairement attribuée aux lanciers de la Ligne est le sabre de cavalerie légère et non celui de cavalerie de ligne, différence dont nous ne nous expliquons pas la raison ». Les trompettes, musiciens, chefs de musique, adjudants et maréchaux des logis-chef sont armés de la même manière, la lance en moins[16].

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Nonce Baronne (ill. Maurice Toussaint), « Le rĂ©giment des Lanciers de la Garde ImpĂ©riale », Gazette des Uniformes, Regi'Arm, no 210,‎ , p. 29-32. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Lucien Rousselot, Garde impĂ©riale : Lanciers 1855-1870, Paris, P. Spadem, coll. « L'ArmĂ©e française, ses uniformes, son armement, son Ă©quipement » (no 18), . Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Louis DelpĂ©rier, « Les armes de la cavalerie de la Garde 1854-1870 », Tradition Magazine, Histoire et Collections, no 5,‎ , p. 23-28. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Louis DelpĂ©rier, Bertrand Malvaux et AndrĂ© Jouineau, La Garde ImpĂ©riale de NapolĂ©on III, Éditions du Canonnier, , 399 p. (ISBN 978-2-912430-06-9).

Notes et références

  1. Henri Ortholan, L'armée du Second Empire, Soteca Napoléon III, , 367 p. (lire en ligne), p. 164.
  2. Baronne 2003, p. 29.
  3. Rousselot 1965, p. fiche explicative.
  4. « Les Lanciers de la Garde : la guerre de 1870 - La bataille de Rezonville », sur Le 20e Régiment de Dragons, 2000-2008 (consulté le ).
  5. Baronne 2003, p. 29-30.
  6. Baronne 2003, p. 30.
  7. « L'attentat d'Orsini », sur Napoléon III, (consulté le ).
  8. « Les Lanciers de la Garde : la bataille de Solferino - La campagne d'Italie », sur Le 20e Régiment de Dragons, 2000-2008 (consulté le ).
  9. Helmuth Karl Bernhard von Moltke (trad. Ernest Jaeglé), « Bataille de Vionville - Mars-la Tour », dans Mémoires du maréchal H. de Moltke : la guerre de 1870, Paris, Librairie H. Le Soudier, (lire en ligne), p. 57.
  10. Baronne 2003, p. 31.
  11. Baronne 2003, p. 30-31.
  12. Rousselot 1965, p. figures 5, 21 et 22.
  13. Rousselot 1965, p. figures 14, 20, 21 et 22.
  14. Rousselot 1965, p. figures 8 et 23.
  15. Delpérier 1987, p. 23, 24 et 28.
  16. Delpérier 1987, p. 26-27.

Voir aussi

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