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Le Ban-Saint-Martin

Le Ban-Saint-Martin est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Le Ban-Saint-Martin
Le Ban-Saint-Martin
Vue sur Le Ban-Saint-Martin
et le mont Saint-Quentin.
Blason de Le Ban-Saint-Martin
HĂ©raldique
Le Ban-Saint-Martin
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Metz Métropole
Maire
Mandat
Henri Hasser
2020-2026
Code postal 57050
Code commune 57049
DĂ©mographie
Gentilé Ban-Saint-Martinois
Population
municipale
4 604 hab. (2020 en augmentation de 10,01 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2 896 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 07′ 21″ nord, 6° 09′ 04″ est
Altitude Min. 165 m
Max. 325 m
Superficie 1,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Metz
(banlieue)
Aire d'attraction Metz
(commune du pĂ´le principal)
Élections
Départementales Canton de Montigny-lès-Metz
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Ban-Saint-Martin
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Le Ban-Saint-Martin
Liens
Site web ban-saint-martin.fr

    Ses habitants sont appelés les Ban-Saint-Martinois.

    GĂ©ographie

    À l'ouest de Metz, la Moselle borde le sud-est de la ville, tandis que le mont Saint-Quentin culmine à l'ouest. Les principales rues sont :

    • la route de Plappeville coupĂ©e en deux entre le ban de la commune et celui de Metz ;
    • la rue Saint-Sigisbert ;
    • l'avenue du GĂ©nĂ©ral-de-Gaulle ;
    • la rue de la CĂ´te.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle et la Moselle canalisée[Carte 1].

    La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin Ă  Coblence en Allemagne[1].

    La Moselle canalisĂ©e, d'une longueur totale de 135,2 km, prend sa source dans la commune de Pont-Saint-Vincent et se jette dans la Moselle Ă  KĹ“nigsmacker, après avoir traversĂ© 61 communes[2].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier du Ban-Saint-Martin.

    La qualité de la Moselle et de la Moselle canalisée peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Ban-Saint-Martin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Metz, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 42 communes[6] et 285 918 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (72,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (72,7 %), forêts (25,4 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Le ban désigne le territoire où s'exerce la juridiction d'un suzerain. Le ban permettait en outre au seigneur d'exiger un droit de passage sur ses terres, un péage.

    Histoire

    L'appellation Ban-Saint-Martin vient de l'abbaye Saint-Martin, dont la fondation, attribuée au roi d'Austrasie Sigebert III, remonte au VIIe siècle. Le ban de la commune correspond pour partie aux terres de cette abbaye qui est plusieurs fois détruite au cours des guerres qui ensanglantent le Pays Messin.

    En 1429, l'abbaye et le village sont détruits. Les pierres de cette démolition serviront à reconstruire la digue de Wadrinau.

    L'abbaye est détruite définitivement en 1552 lors du siège de Metz par Charles Quint.

    Lors de la Révolution, en 1792, le village est érigé en commune autonome[13].

    Le Ban sur la planche de l'Atlas de Trudaine consacrée à Metz, XVIIIe siècle (Archives nationales).

    Commune de l'agglomĂ©ration messine, Le Ban-Saint-Martin est, en 1840, un petit village de vignerons, dont la population ne dĂ©passe guère 480 habitants[13].


    Sous le Second Empire, sa vocation militaire s’affirme avec la création de champ de manœuvres. En 1854, la commune s'agrandit de 43,72 ha (au détriment de Devant-les-Ponts) en incluant le hameau du SAUVAGE ainsi que le champ de manœuvres. Durant le Siège de Metz, une partie de l'armée de Bazaine établit ses quartiers sur les terrains militaires vacants. Pour échapper à la pression des civils messins, le maréchal Bazaine lui-même y établit son quartier général[14].

    Comme les autres communes de Moselle, la commune du Ban-Saint-Martin est annexĂ©e Ă  l’Empire allemand de 1871 Ă  1918. De par sa situation privilĂ©giĂ©e, entre les fortifications de Metz et les nouveaux forts du Saint-Quentin et de Plappeville, elle devient vite un quartier important pour la garnison allemande. La population dĂ©passe très vite les 2 000 habitants, atteignant 2 500 habitants en 1900[13]. En 1902, la Tour Bismarck, dĂ©diĂ©e Ă  la mĂ©moire du chancelier Otto von Bismarck, est inaugurĂ©e sur la butte dite de Charles-Quint. Reprenant le type architectural « CrĂ©puscule des dieux », sa silhouette altière dominait, Ă  l'Ă©poque, la vallĂ©e de la Moselle. Deux ans plus tard, le premier club de football mosellan est fondĂ© sur la commune[13]. Vers 1905, une nouvelle caserne d’infanterie, la caserne Dupuis, est construite sur les terrains militaires de la commune. Un pont, le pont du Sauvage, est inaugurĂ© en 1906[15]. En 1913, la municipalitĂ© cĂ©lèbre le 1 300e anniversaire de la fondation du Ban-Saint-Martin, fixĂ©e arbitrairement Ă  l’an 613[13].

    Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Ban-Saint-Martinois, comme les Mosellans, se battent pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes gens tomberont au champ d'honneur sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, en Prusse-Orientale, mais aussi à l’Ouest, en particulier en France et dans les Flandres. Sujets loyaux de l'Empereur, les Mosellans accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix retrouvée. Fin 1918, l'armée française occupe les casernes et les infrastructures militaires laissées par l'armée impériale allemande. La Moselle est réintégrée à la France, en , conformément au traité de Versailles.

    Dès 1925, les principales rues du Ban-Saint-Martin sont goudronnées et pourvues d’éclairage électrique[13]. En 1932, une nouvelle mairie-école est inauguré, dans un bel édifice militaire. Pendant la drôle de guerre, des soldats anglais et hindous sont cantonnés dans la caserne de la commune, qui reçoit la visite du roi George V du Royaume-Uni[16]. Le , Metz est déclarée « ville ouverte ». Huit jours plus tard, l'Armistice est signé dans la clairière de Rethondes. La commune du Ban-Saint-Martin est de nouveau annexée à l'Allemagne.

    Lors de la seconde annexion, elle est rebaptisĂ©e « Martinsbann Â», avant d'intĂ©grer l'arrondissement de Metz-Ville, le . Ă€ partir d', des MalgrĂ©-nous sont incorporĂ©s de force dans l'armĂ©e allemande. MalgrĂ© la combativitĂ© de la 462e Volks-Grenadier-Division de l'armĂ©e de Knobelsdorff, le Ban-Saint-Martin est libĂ©rĂ©e par la 5e DI de l'armĂ©e Patton le [17], Ă  la fin de la bataille de Metz, mettant ainsi fin Ă  quatre annĂ©es de souffrance.

    En 1947, un incendie dĂ©truit l’usine LoevenbrĂĽck du Sauvage et des inondations entraĂ®nent, fin dĂ©cembre, d’importants dĂ©gâts dans la commune[13]. Un an plus tard, l’église paroissiale Sainte-Croix est inaugurĂ©e. Dans les annĂ©es qui suivent, le village connaĂ®t une croissance continue. En 1951, une Ă©cole d’enseignement mĂ©nager est crĂ©Ă©e dans le château Lasalle. En 1960, un centre socioculturel et le groupe scolaire Verlaine sont ouverts. Cinq ans plus tard, le collège Jean-Bauchez est inaugurĂ©. En 1976, les Ă©coles Pagnol et La PĂ©pinière ouvrent aussi[13]. Le Ban-Saint-Martin est aujourd'hui une commune rĂ©sidentielle, d’environ 4 300 habitants, intĂ©grĂ©e Ă  l'agglomĂ©ration messine. Les infrastructures militaires ont, pour la plupart, Ă©tĂ© dĂ©truites ou rĂ©novĂ©es et tĂ©moignent du riche passĂ© militaire de la commune.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1818 1830 Jean Baptiste Joseph de Lardemelle Monarchiste
    1945 1947 Marcel Loevenbruck
    1947 1954 Lucien Poinsignon
    1954 1963 Marcel Maujean
    1963 1988 Pierre Herment UDR puis app. UDF
    1988 mars 1995 GĂ©rard Schnitzler
    mars 1995 En cours Henri Hasser DVD

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2020, la commune comptait 4 604 habitants[Note 4], en augmentation de 10,01 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    210204247248306286385445380
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    8211 5941 6951 7932 3822 4442 7501 2641 715
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    1 8492 2992 5132 5342 8492 9543 6243 8153 733
    1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 - -
    4 0664 2934 4724 4534 2524 1644 604--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L’économie est principalement composée de cultures maraîchères, de pisciculture, ainsi que de vignes.

    Maison du XVIIIe siècle.

    Patrimoine local

    Édifices civils

    • Tour Bismarck, monument commĂ©moratif Ă©levĂ© Ă  la mĂ©moire du chancelier impĂ©rial Otto von Bismarck, situĂ© sur le mont Saint-Quentin. Unicum en France, la tour de Metz est du type CrĂ©puscule des dieux, comme celle de Stuttgart.
    • Passage d’une voie romaine ;
    • Vestiges romains (canalisation) ;
    • mont Saint-Quentin ;
    • Ancien château Lasalle, situĂ© 41 avenue de la LibertĂ©, Ă©levĂ© vers le milieu du XVIIIe siècle (la plupart des pièces ont conservĂ© leurs amĂ©nagements de l’époque) oĂą se situe dĂ©sormais l'IRTS de Lorraine ; inscrit au titre des monuments historiques par arrĂŞtĂ© du [22].
    • Villa Schock, 35 avenue de la LibertĂ©, conçue en 1934 par l’architecte suisse Otto Zollinger pour le minotier allemand Schock ; bĂ©ton brut peint en blanc, larges ouvertures et distributions des pièces autour d’un axe de symĂ©trie caractĂ©ristiques du style « paquebot » des annĂ©es 1930 ; c’est l’un des seuls exemples mosellans de l’avant-garde moderne qui privilĂ©gie les formes pures et l’harmonie des proportions[23]. La villa est inscrite au titre des monuments historiques par arrĂŞtĂ© du pour ses façades et toitures ainsi que le bassin du XVIIIe siècle adjacent[24].
    • Collège Jean-Bauchez. Établissement scolaire, baptisĂ© en l'honneur du chroniqueur Jean Bauchez, Ă©chevin de Plappeville et greffier du cardinal de Lavalette (XVIIe siècle).

    Édifices religieux

    Église Sainte-Croix.
    Couvent des sœurs de Sainte-Blandine.
    Chapelle des sœurs de Sainte-Blandine.
    • Église nouvelle Sainte-Croix, avenue de la LibertĂ©, architecte Jean-Baptiste Hourlier (prix de Rome 1926), grande fresque et vitraux de Nicolas Untersteller, sculpture de Nicolas Letourneur et chemin de Croix par Mme Untersteller, 1948.
    • Couvent avec chapelle des sĹ“urs de Sainte-Blandine.

    Édifices militaires

    • la caserne Dupuis, Ă©levĂ©e par les Allemands pendant l'annexion, cette caserne a Ă©tĂ© dĂ©truite en 2009[25].

    Personnalités nées au Ban-Saint-Martin

    • Theodor Berkelmann (1894-1943) homme politique, gĂ©nĂ©ral allemand SS, nĂ© au Ban-Saint-Martin ;
    • Hans Otto Glahn (1895 - ap.1933), homme politique (SPD) allemand, nĂ© au Ban-Saint-Martin ;
    • Georges Zvunka (nĂ© en 1937 au Ban-Saint-Martin, mort en 2022), footballeur professionnel dans les annĂ©es 1950-1960 ;
    • Yvette Pierpaoli (1938-1999), militante humanitaire, dont le film The Constant Gardener s'inspire librement, nĂ©e au Ban-Saint-Martin ;
    • Jules Zvunka (nĂ© en 1941 au Ban-Saint-Martin), footballeur professionnel dans les annĂ©es 1960-1970, entraineur ;
    • Victor Zvunka (nĂ© en 1951 au Ban-Saint-Martin), footballeur, international A en 1975 (1 sĂ©lection), entraineur ;

    Personnalités liées au Ban-Saint-Martin

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique duBan-Saint-Martin » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".

    Références

    1. Sandre, « la Moselle »
    2. Sandre, « la Moselle canalisée »
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Metz », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duMetz », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Site officiel du Ban-saint-Martin
    14. François Yves Le Moigne (sous la direction de), Histoire de Metz, Privat, 1986 (p.336).
    15. Le pont du Sauvage sera détruit le 18 novembre 1944, lors de la bataille de Metz.
    16. François Yves Le Moigne (sous la direction de), Histoire de Metz, Privat, 1986 (p.384).
    17. 1944-1945:Les années liberté, Le républicain Lorrain, 1994 (p.14: Recensement préfectoral sur les dates de libération)
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. « Ancien château Lasalle », notice no PA57000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. Brochure du programme Constellation, « En attendant l’ouverture du Centre Pompidou-Metz », 136 p., Villa Schock, Le Ban-Saint-Martin, p. 102.
    24. « Villa Schock », notice no PA57000019, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. Mise en Ĺ“uvre du Programme RĂ©gional d'Accompagnement des Restructurations de DĂ©fense 1998-2008 sur epfl.fr (p.15)
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