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Plappeville

Plappeville est une commune française située dans le département de la Moselle.

Plappeville
Plappeville
La mairie (château d'Arros).
Blason de Plappeville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Metz Métropole
Maire
Mandat
Daniel Defaux
2020-2026
Code postal 57050
Code commune 57545
DĂ©mographie
Gentilé Plappevillois[1]
Population
municipale
2 032 hab. (2020 en diminution de 0,78 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 800 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 07′ 53″ nord, 6° 07′ 25″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 350 m
Superficie 2,54 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Metz
(banlieue)
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montigny-lès-Metz
Législatives Première circonscription
Localisation
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Plappeville
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Plappeville
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Plappeville
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Plappeville
Liens
Site web http://www.communedeplappeville.fr

    GĂ©ographie

    La commune se situe Ă  l'ouest de la ville de Metz. Elle est implantĂ©e sur le plateau au-dessus des coteaux de Metz et du Ban-Saint-Martin entre 250 et 300 m d’altitude. SituĂ©e Ă  la ceinture de Metz elle bĂ©nĂ©ficie de la proximitĂ© de la ville de Metz et de ses atouts tout comme de ses « promenades vertes ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Plappeville.

    Urbanisme

    Typologie

    Plappeville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Metz, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 42 communes[5] et 285 918 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (49,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (49,2 %), forêts (21,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), prairies (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Anciennes mentions : Plaplivilla, 1130. Pappivilla, 1143. Plapevilla, 1171. Pleppeville, 1196. Blabivuille, 1218. Pleipville, XVe siècle. Plaippeville, 1404. Peleppeville, 1425. Plepeville, 1437. Plepteville, 1482. Pletteville, 1491. Plaitteville, 1514. Platteville, 1606. Plateville, 1610. Pleppeville, 1636[12]. En patois : Piaitvelle[12].

    NP germain. Barbila, Bavilo. Le nom de la ville vient de iaca + villa[13].

    Histoire

    D'après les travaux menés par l'historien Louis Viansson, les environs immédiats de la ville de Divodorum, rebaptisée plus tard Metz, sont déjà habités au début de l'occupation romaine. Un certain nombre de villas furent érigées sur les pentes du mont Saint-Quentin, non loin de la route reliant Reims à Trèves. Le quartier de Tignomont, actuellement situé sur les hauteurs du village, tire sans doute son nom des bûcherons qui exploitaient alors les forêts avoisinantes.
    Au VIIe siècle, saint Pappole, 28e évêque de Metz, fait construire sa résidence d’été à l’emplacement actuel du village. Il baptise sa résidence Pappoli Villa, qui deviendra un toponyme, d’où la commune tire son nom. Par la suite, il lèguera la villa à l’abbaye de Saint-Symphorien qu’il avait lui-même fondée. Vers 835, Drogon, 40e évêque de Metz, rapporte de Saint-Quentin-en-Vermandois des reliques de saint Quentin. Il fait construire un oratoire au sommet de la mont Saint-Quentin où sont déposées les reliques. Cet oratoire fut par la suite remplacé par un sanctuaire qui servit de paroisse, plusieurs siècles durant, aux habitants de Plappeville, Scy-Chazelles, Lessy et Longeville. En 923, le village est rasé par les troupes d’Henri l’Oiseleur. Les moines de Saint-Symphorien s’attellent à sa reconstruction. Ils érigent une grande chapelle où seront entreposées les reliques de sainte Brigitte, abbesse de Kildare près de Dublin, morte en 523. Sainte Brigide est toujours la patronne du village, comme en témoigne la présence des langues de feu sur le blason de la commune.

    En 1143, l'église de Plappeville, ainsi que ses dépendances, passent sous l’autorité de l’abbaye de Gorze. En 1212, l’abbaye de Saint-Symphorien récupère la possession de l’église de Plappeville. De 1346 à 1443, les armées de Robert de Commercy ravagent à trois reprises le pays messin, en particulier Tignomont. Puis la cité de Metz entre en guerre contre le duc de Lorraine. Le siège de Metz dure sept mois et oblige les habitants du Val de Metz à trouver refuge derrière les remparts de la cité. Les villages alentour, dont Plappeville, sont rayés de la carte. Une fois de plus, le village est reconstruit, en particulier l’église, dont les travaux s’achèvent en 1493. L’église actuelle date de cette époque. Du bâtiment originel ne subsistent que la tour et quelques piliers.

    En 1552, les troupes d'Albert de Brandebourg établissent leur quartier dans le village, lors du siège de Metz par Charles Quint. Après le siège, le village de Plappeville, comme les autres villages du pays messin, est annexé au royaume de France. De 1588 à 1593, pas moins de 30 habitants sont reconnus coupables d’actes de sorcellerie et exécutés en place publique. En 1603, sur les terres communales, Nicolas Houillon aménage une source ferrugineuse, dite de la Bonne Fontaine.

    Au début du XVIIe siècle, le greffier de justice de l’abbaye Saint-Symphorien, Jean Bauchez, entreprend la rédaction d’un journal relatant les évènements importants survenus au sein du village. À l’époque, le village compte près de 300 âmes et une dizaine de notables messins y font construire leurs résidences d’été. La viticulture fait alors vivre 65 foyers sur 71. En 1635, pendant la guerre de Trente Ans, les armées de Bernard de Saxe-Weimar prennent d’assaut le village. Peu après, en 1636, le village est pillé par les soldats croates de l’Empereur et échappe de peu aux flammes. En 1643, Plappeville est de nouveau mis à sac par une bande de Bourguignons. Ce pillage met fin à une série de dommages causés par les guerres de Trente Ans, notamment la peste et le typhus, transmis par les soldats, qui frappèrent durement le village à cette époque.

    Au XVIIIe siècle, malgré les famines et les maladies, la tradition viticole subsiste et reste l’activité dominante de la population. En 1701, les premiers registres d’état civil apparaissent dans la paroisse. Ils sont d’abord tenus par les prêtres, puis par la mairie à partir de 1790. En 1728, le ban communal compte 49 ha de vignobles. En 1789, lors des États Généraux, les habitants adressent leur cahier de doléances au roi. Ils y dénoncent les impôts et autres redevances seigneuriales qui les privent des trois cinquièmes de leurs revenus. Le village sera épargné par les tourments de la Révolution. De nombreux émigrés y trouvent refuge, fuyant les troubles et la Terreur.

    Au XIXe siècle, la commune perpétue sa tradition viticole. En 1814, lors du siège de Metz, une division russe occupe temporairement le village. En 1870, le maréchal Bazaine, fils d'un Scygéocastellois, établit son quartier général dans le village. Il y organise la défense de Metz. Le , la ville de Metz tombe aux mains des Prussiens, après un siège de deux mois. Le , le dépôt de munitions du fort de Plappeville, occupé par les Allemands, explose. De nombreux prisonniers de guerre français périssent dans l'accident. De par le traité de Francfort, Plappeville, tout comme l’Alsace et la Moselle, est annexé par l’Allemagne. Les Allemands reconstruisent le fort et l’intègrent à une nouvelle ceinture fortifiée. Les familles plappevilloises sont peu à peu remplacées par des familles allemandes. Les grandes maisons, souvent entourées de hauts murs, sont rachetées par des bourgeois ou des aristocrates allemands, notamment le Generalfeldmarschall Gottlieb von Haeseler. Celui-ci, amoureux du pays, reviendra finir sa vie au village et y sera inhumé en 1920[14]. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent naturellement pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes gens tombent au champ d'honneur sous l’uniforme allemand. Le , la commune prend le nom de Papolsheim par décret impérial. Les restrictions alimentaires amènent bientôt les habitants à ruser avec les autorités militaires pour cacher le bétail[14]. Les Plappevillois accueillent avec joie la fin des hostilités et la paix, enfin retrouvée[14]. La commune redevient française en .

    Si Plappeville n'a pas Ă©tĂ© directement touchĂ© par la Première Guerre mondiale, il n’en fut pas de mĂŞme pendant la Seconde Guerre mondiale. Une fois de plus, le village connut l'annexion, mais cette fois, la transition fut brutale. Le , l’armĂ©e allemande expulse 95 % de la population du village, qui doit se rĂ©fugier en zone libre, d'Albi Ă  Castres, en passant par Quillan ou Cordes. Le , la commune de Plappeville, rebaptisĂ©e Pleppweiler, intègre le Stadtkreis Metz, le district urbain du Grand Metz. Au cours de la bataille de Metz, après trois jours de combat acharnĂ©s, la commune de Plappeville est libĂ©rĂ©e le par la 5e division d’infanterie de l’armĂ©e Patton[15]. C'est au cours de ces combats, que la voĂ»te de l’église fut endommagĂ©e par un bombardement amĂ©ricain visant les forts du Saint-Quentin, le . Après la libĂ©ration de la commune, deux dĂ©tachements de la 462e Volks-Grenadier-Division de l'armĂ©e de Knobelsdorff rĂ©sistèrent encore deux semaines dans les forts du Saint-Quentin et de Plappeville, interdisant le retour de la population civile dans la commune.

    De 1950 Ă  1980, et pour renouer avec une tradition qui remonte Ă  1800, le village organise la fĂŞte de saint Vincent, patron des vignerons[14].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1929 Victor Zimmerman
    1945 Pierre Gontard
    1953 LĂ©on Larue-Dubost
    1955 Roger Berrier
    1960 mars 1989 Jean Lansac
    mars 1989 juin 1995 Robert Mirgain
    juin 1995 En cours Daniel Defaux DVD Professeur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

    En 2020, la commune comptait 2 032 habitants[Note 3], en diminution de 0,78 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    403386422413458423406415721
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    8259691 0141 0349151 2911 339741534
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    7717897498701 4591 5001 6151 5681 776
    1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 - -
    2 1302 3412 2952 2712 1352 0292 032--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19]. |recens-prem=2005 .)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Maison d'Arros, foyer Saint-Michel, mairie actuelle : on ne connaĂ®t pas l'Ă©poque de construction de cette maison appelĂ©e autrefois château. En 1743, Louis Charles de Rostaing en est le propriĂ©taire. En 1775, le comte d'Arros en est possesseur. Bazaine y installa son quartier gĂ©nĂ©ral en 1870, lors de la bataille de Saint-Privat. En 1896, les religieuses du Pauvre Enfant JĂ©sus achètent le domaine. Elles y crĂ©ent un orphelinat jusqu’en . Cette remarquable demeure est rachetĂ©e par la commune qui y amĂ©nage la mairie en 1993 ;
    • La maison du chapitre de la cathĂ©drale dite « château de Tignomont » (1336). Le chapitre de la cathĂ©drale de Metz possĂ©dait une maison forte Ă  Tignomont. Elle avait un rĂ´le dĂ©fensif. DĂ©truite par deux fois (1443 et 1636). RĂ©sidence et mĂ©tairie jusqu’en 1794. La maison actuelle fut Ă©difiĂ©e probablement Ă  la fin du XVIe siècle ou au dĂ©but du XVIIe siècle. RĂ©habilitĂ©e, elle est aujourd’hui habitĂ©e par des particuliers ; inscrite Ă  l’inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques en 1988.
    • Migomay, maison de Paul Ferry : cette ancienne maison probablement du XVIe siècle est le seul vestige des dĂ©buts du protestantisme Ă  Metz. Elle est la « campagne » dans laquelle le cĂ©lèbre pasteur Paul Ferry (1591-1668) venait s’installer de temps Ă  autre. Cette demeure est inscrite Ă  l’inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques depuis 2002[20] ;
    • Les lavoirs : de nombreuses sources alimentent fontaines et lavoirs. Ces derniers ont Ă©tĂ© utilisĂ©s par les lavandières jusqu’au milieu des annĂ©es 1980. Leur rĂ©habilitation en font des joyaux du patrimoine communal ;
    • Maisons vigneronnes : dans le Pays messin, la tradition viticole est très ancienne et remonte Ă  l’époque gallo-romaine. La vigne se dĂ©veloppe et finit par recouvrir les pentes du mont Saint-Quentin. En 1848, elle couvre plus d’un tiers du territoire de la commune. Cette tradition explique la prĂ©sence de nombreuses maisons vigneronnes dans le village ;
    • Un arboretum situĂ© au col de Lessy a Ă©tĂ© inaugurĂ© en 1989. De nombreuses espèces de vĂ©gĂ©taux rĂ©gionaux y sont prĂ©sentĂ©es.
    • Le Centre de RĂ©Ă©ducation Professionnelle (CRP) pour personnes handicapĂ©s Alpha Plappeville est situĂ© depuis 1986 rue du GĂ©nĂ©ral de Gaulle.

    Édifices religieux

    • L'Ă©glise Sainte-Brigide datant du XIe siècle, ruinĂ©e en 1445 lors du siège de Metz par le duc de Lorraine, l'Ă©glise fut rebâtie en 1493 Ă  l'emplacement d'un sanctuaire fortifiĂ© construit vers 1040. Celle-ci garde encore quelques Ă©lĂ©ments de l'Ă©glise romane qui s'intègrent harmonieusement au nouvel Ă©difice reconstruit Ă  l'initiative des abbĂ©s de Saint-Symphorien et avec l'aide des habitants du village. Entièrement restaurĂ©, l'Ă©difice a retrouvĂ© toute sa splendeur. La voĂ»te s’effondre lors du bombardement du . L'Ă©glise est inscrite Ă  l’inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques en 1980. Les vitraux sont de Camille Hilaire ;
    • La chapelle du Carmel ;
    • Les calvaires : de nombreux calvaires dissĂ©minĂ©s dans le village tĂ©moignent de la croyance de nos ancĂŞtres.

    Ouvrage militaire

    • Le fort de Plappeville, Ă©difiĂ© par la France entre 1867 et 1870, rebaptisĂ© fort Alvenslebenn et amĂ©nagĂ© par les Allemands de 1871 Ă  1891 ;
    • Façade de l’église Sainte-Brigide.
      Façade de l’église Sainte-Brigide.
    • Église Sainte-Brigide, façade sud-est.
      Église Sainte-Brigide, façade sud-est.
    • L'Ă©glise Sainte-Brigide sous la neige.
      L'Ă©glise Sainte-Brigide sous la neige.
    • La chapelle du Carmel.
      La chapelle du Carmel.
    • Migomay, maison de Paul Ferry.
      Migomay, maison de Paul Ferry.
    • Château de Tignomont.
      Château de Tignomont.

    Gastronomie

    Plappeville a sur son territoire la présence de vignoble d'appellation d’origine Moselle et est traversée par la route des vins de Moselle[21].

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Ernest Marie Joseph Caignart de Saulcy, nĂ© Ă  Grenoble en 1803, polytechnicien, officier de Marine, maire de Plappeville de 1857 Ă  1865. Entomologiste et spĂ©cialiste de la sĂ©riciculture, prĂ©sident de l’AcadĂ©mie de Metz.
    • Albert Thiam, nĂ© Ă  Plappeville en 1921, Ă©bĂ©niste lorrain, connu pour ses tableaux de marqueterie illustrant les traditions populaires de la rĂ©gion.
    • Gottlieb Ferdinand Albert Alexis, comte de Haeseler, nĂ© Ă  Potsdam, Generalfeldmarschall prussien ayant habitĂ© Ă  Plappeville et inhumĂ© dans la commune.

    HĂ©raldique

    Blason de Plappeville Blason
    De gueules à la crosse d'or, accostée de six langues de feu ordonnées 1 et 2 de chaque côté et brochant sur une septième du même en pointe, à l'oiseau d'argent brochant en pointe.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Plappeville » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).

    Références

    1. « genealogie-metz-moselle.fr/woi… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Metz », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. M. Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale (lire en ligne)
    13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Librairie Droz, , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne).
    14. Le Républicain lorrain, « Plappeville : le vin dans les veines », 13 novembre 2011, p. 16.
    15. « 1944-1945 : Les annĂ©es libertĂ© », dans Le RĂ©publicain Lorrain, 1994 (p. 14 recensement prĂ©fectoral sur les dates de libĂ©ration).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. « Ancienne maison du pasteur Paul Ferry, dite le Migomay », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Route des vins de Moselle : carte détaillée et bonnes adresses », sur TOUT METZ, (consulté le ).
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