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Lorry-lès-Metz

Lorry-lès-Metz est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Lorry-lès-Metz
Lorry-lès-Metz
La mairie.
Blason de Lorry-lès-Metz
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Metz Métropole
Maire
Mandat
Philippe Gleser
2020-2026
Code postal 57050
Code commune 57415
DĂ©mographie
Gentilé Lorriots
Population
municipale
1 737 hab. (2020 en augmentation de 0,4 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 285 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 08′ 33″ nord, 6° 07′ 20″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 357 m
Superficie 6,09 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Metz
(banlieue)
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Coteaux de Moselle
Législatives Première circonscription
Localisation
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Lorry-lès-Metz
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Lorry-lès-Metz
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Lorry-lès-Metz
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Lorry-lès-Metz
Liens
Site web www.lorrylesmetz.fr

    Ses habitants s'appellent les Lorriots.

    Ce village du Pays Messin situé à neuf kilomètres de Metz est souvent confondu avec Lorry-Mardigny, dit anciennement Lorry devant le Pont, d’où la confusion avec Lorry-lès-Metz, dit anciennement Lorry devant Metz.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Saulny[Carte 1].

    Le ruisseau de Saulny, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune de Saulny et se jette dans la Moselle en limite de Metz et de La Maxe, face Ă  Saint-Julien-lès-Metz, après avoir traversĂ© six communes[1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Lorry-lès-Metz.

    La qualité du ruisseau de Saulny peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Lorry-lès-Metz est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Metz, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 42 communes[5] et 285 918 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,9 %), terres arables (21,5 %), zones urbanisées (15,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), prairies (13,5 %), cultures permanentes (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    • Anciennes mentions : Lauriacum (945), Lorez devant Metz (1130), Lorei (1320), Lorey devant Mes (1404), Lorrey (1440), Lorey devent Mets (1490), Lory (1491), Lori (1544), Lorri (1756), Lorry-lès-Metz (1801), Lorringen (1915–1918), Loringen (1940–1944).

    Histoire

    Village du Pays Messin, on y trouve au VIe siècle une villa royale nommée Lauriac (voir Brunehilde reine d'Austrasie).

    Val de Metz dépendant du comté épiscopal de Metz puis de la République messine.

    Lorry-lès-Metz est mentionné pour la première fois, en 945, dans une charte d’Adalbéron Ier, évêque de Metz (929-962), à l’abbatiale Sainte-Glossinde, sous le nom de Lauriacum. Comme Woippy – paroisse – et Lorry-lès-Metz – annexe – avaient une église commune, elle était sous le patronage du trésorier de la cathédrale de Metz qui avait droit de nomination à la cure et jouissait des avantages matériels attachés à ce titre. Ces avantages se réduiront au cours des siècles à la possession de moulins et de vignes.

    Vers 1250, la seigneurie de l'Église glisse à des seigneuries laïques.

    La première famille influente, les de Laitre, corĂ©gentera pendant un peu plus d'un siècle le village avec trois autres familles dont les Baudoche. Cette famille Baudoche prendra la suite des de Laitre de 1404 Ă  la fin du XVIe siècle. C’est Ă  elle que Lorry-lès-Metz doit, au dĂ©but du XVe siècle, la construction de son Ă©glise propre dĂ©diĂ©e Ă  sainte Barbe oĂą s’affichent les armes des seigneurs de Lorry Ă  la clef de voĂ»te du chĹ“ur. Une magnifique cuve baptismale octogonale en pierre de la mĂŞme Ă©poque offerte par Jean Gerais (GĂ©rard), père de Philippe de Vigneulles, est aujourd’hui installĂ©e dans la travĂ©e ouest. Cultuellement, Lorry-lès-Metz est donc dĂ©tachĂ© de Woippy.

    À partir de 1605, les Couët du Vivier administreront majoritairement jusqu’à la Révolution française les terres de Lorry-lès-Metz.

    Ă€ la fin du XVIe siècle, le calvinisme est introduit par les seigneurs de Lorry, successeurs des Baudoche : les Busselot, de Goullon, Inguenheim, CouĂ«t du Vivier et il y perdurera au long du XVIIe siècle. Mais après la rĂ©vocation de l’Édit de Nantes en 1685, les Lorriots rentrèrent sagement dans le giron de l’Église catholique  (première abjuration le , Juliette Toussaint).

    Durant ces siècles, le Pays messin passa du statut de rĂ©publique gouvernĂ©e par les Paraiges (patriciens messins) sous protectorat du Saint-Empire, Ă  celui de place forte française sous Louis XIV après le traitĂ© de MĂĽnster (1648) rattachant le Pays messin Ă  la France. Lorry-lès-Metz devient donc français.

    Durant ces différentes périodes d’hostilités entre les Messins et différentes grandes maisons, le village est plusieurs fois pillé – 1442, 1493 et 1518 – puis s’ensuivirent la guerre de Trente Ans et ses dévastations en 1635 et 1642.

    Le village fait partie du département de la Moselle en 1790 (Révolution française).

    La Révolution française passée, le Premier Empire, dans le cadre de la réorganisation de la France, voit la commune de Vigneulles rattachée à Lorry-lès-Metz en 1809 à laquelle s’ajoutera peu de temps après la Ferme du Chêne. À cette époque, Lorry comptait 733 habitants répartis dans 125 maisons et Vigneulles, 66 habitants répartis dans 19 maisons.

    Le 21 septembre 1870, durant la guerre franco-allemande, eut lieu le combat du bois de Vigneulles ou fut engagé le 15e régiment d'infanterie. Le , une escarmouche eut lieu où fut engagé le 2e bataillon de chasseurs à pied.

    Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Lorry-lès-Metz est annexée à l'Empire allemand de 1871 à 1918. Au début du XXe siècle, le territoire de la commune était recouvert de 80 ha de vigne et donnait du vin de Moselle mais les ravages du phylloxéra obligèrent le village, à l'instar de son voisin Woippy, à se reconvertir dans la culture de la fraise.

    Lorry-lès-Metz est de nouveau annexée de 1940 à 1944 au Troisième Reich allemand. Malgré la combativité des troupes allemandes de la 462e Volks-Grenadier-Division de l'armée de Knobelsdorff, Lorry-lès-Metz est libérée par la 5e DI de l'armée de Patton le [12], à la fin de la bataille de Metz, mettant ainsi fin à plus de quatre années de souffrance. Le village est décoré de la Croix de guerre avec étoile de bronze à la suite de la destruction d’une partie du village.

    En 2007, le village est classé 2e au revenu total par habitant en Moselle juste derrière la commune voisine de Plappeville. En 2009 le village a célébré le bicentenaire du rattachement de Vigneulles à Lorry-lès-Metz. Un pèlerinage marial a lieu à l'écart du village à la chapelle dédiée à Notre-Dame du Gros Chêne.

    Blasonnement

    Blason Blasonnement :
    D’argent au laurier de sinople, mouvant de la pointe, fruité de gueules, au chef du même chargé de trois besants d’or, le premier chargé d’une croix pattée de même.
    Commentaires : Le laurier est à l’origine du nom latin de Lorry-lès-Metz – Lauriacum. Ce sont des armes parlantes. Lorry-lès-Metz dépendait du Pays messin du Val de Metz, plus exactement, il était sous la domination du paraige de Saint-Martin qui portait : de gueules, à trois besants d’or, celui de dextre chargé d’une croix de gueules

    Politique et administration

    Liste des maires successifs de Lorry-lès-Metz[13]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1965 Raymond François sans maire
    1965 1971 Gabriel Dardenne sans maire
    1971 1983 Marcel Ulrich sans maire
    1983 mars 1989 Jacques Marchal sans maire
    mars 1989 mars 2014 Marie-Hélène Mathieu sans maire
    mars 2014 juin 2020 Jean-Yves Le Ber sans maire
    juin 2020 Philippe Gleser sans maire
    Les données manquantes sont à compléter.

    La commune a rejoint le la communauté d'agglomération de Metz-Métropole.

    Au , la communauté d’agglomération devient une Métropole : Metz-Métropole. Lorry-lès-Metz y est représentée par un membre titulaire et un membre suppléant. Le titulaire est Philippe Gleser, maire, et la suppléante Marie-Andrée Brulé, adjointe.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[15].

    En 2020, la commune comptait 1 737 habitants[Note 3], en augmentation de 0,4 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    564557676740813825730718660
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    698679658672626670677665587
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    6116196415556247999521 2241 369
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020 - -
    1 3651 4331 4051 4011 5831 7861 737--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie religieuse

    Avant la Révolution française
    DĂ©but Fin Nom
    Nommé le 1689 Antoine Darda
    Nommé le 1692 Jean-Mathieu Passel
    Nommé le 1695 Nicolas Marchand
    Nommé le Décède le Nicolas Malherbe
    Nommé administrateur le Anselme Agnus
    1744 Jacques d'Aymard
    Administrateur le Guillaume Boulenger
    Administrateur le François Husson
    Administrateur le Louis Mayot
    Nommé le 1752 François Arthaud
    Administrateur le

    Curé le

    Quitte Lorry-lès-Metz en 1791 Jean Chandellier
    Les prĂŞtres jureurs
    DĂ©but Fin Nom
    PrĂŞte serment le Renonce le Claude Coinze
    1792 1802 Dominique Jenot
    Administrateurs provisoires
    DĂ©but Fin Nom
    Nommé le François Humbert
    Charles-Dominique Rutan
    Nommé le Hippolyte Millet
    Prêtres résidents
    DĂ©but Fin Nom
    Nommé le 1807 Georges-Antoine Le Begue
    Nommé le 1813 Nicolas Caillous
    Administration par l'abbé Stephani, curé de Woippy
    1818 Claude-Charles Thibiat
    1831 Étienne Friclot
    Décède le Christophe-Nicolas Remy
    Vicaire le

    Curé le

    Remy-Jean-Nicolas Iseler
    Nommé le Décède le Jean-Dominique Étienne
    Administrateur le Abbé Bigerel, curé de Woippy - pendant l'exil de l'abbé Étienne
    Administrateur le Nicolas Bentz - pendant l'exil de l'abbé Étienne
    Nommé le 1951 François-Léon Huguet
    Nommé le Décède le Émile Jacquemin
    Victor Leitner
    Étienne Nicolas
    Alain Welsh
    Paul Grostefan

    Fin 1998, création de la communauté des Ponts, regroupant les églises suivantes :

    • Très-Saint-Sacrement (Metz Devant-les-Ponts) ;
    • Notre-Dame-de-Lourdes (Metz Devant-les-Ponts) ;
    • Sainte-Famille (Metz Patrotte) ;
    • Saint-ClĂ©ment (Lorry-lès-Metz) ;
    • Sainte-Bernadette (Metz Devant-les-Ponts « Quatre-Bornes ») en paroisse annexe du Très-Saint-Sacrement.
    DĂ©but Fin Nom
    Richard Amégnimon - vicaire
    Roland Dietrich
    Francis Shiefer
    Michel Billon
    2002 2003 Prêtres remplaçants
    Alain Welsh
    Gilles Fund
    Daniel Piovesan

    En , fusion des communautés des Ponts et du mont Saint-Quentin appelée Les Monts-Les Ponts.

    On ajoute les paroisses :

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Vestiges prĂ©historiques et antiques.
    • DĂ©couverte d'un petit monument religieux de l'Ă©poque gallo-romaine.
    • Maison des Plaids annaux : maison du XVIe siècle oĂą l’on rendait la justice, bâtiment modifiĂ© vers 1860. Sise au 60 Grand’Rue.
    • Maison forte ou Forte maison : imposante maison du dĂ©but XVe siècle qui logeait une garnison (La tour de Lory devant Mets). On connaĂ®t son aspect grâce Ă  une carte postale de 1906. Elle fut dĂ©molie en 1946 Ă  cause de son dĂ©labrement. Anciennement sise dans la descente de Vigneulles.
    • Maison CarrĂ© de Malberg : maison de famille de Caroline Colchen Ă©pouse CarrĂ© de Malberg, fondatrice de la SociĂ©tĂ© des filles de saint François de Sales. Sise au 108 Grand’Rue.
    • Maison de maĂ®tre : surnommĂ©e Le château par les Lorriots, cette maison de maĂ®tre construite au XIXe siècle possède une dĂ©coration intĂ©rieure nĂ©o-roman. Elle abrite un institut thĂ©rapeutique, Ă©ducatif et pĂ©dagogique (ITEP) dĂ©nommĂ© Le Château.
    • Forts de la première ceinture fortifiĂ©e de Metz : 16 ouvrages militaires ont Ă©tĂ© construits sur le territoire de la commune.
    • Lavoir de Vigneulles : sis sur la place de l’Âtre près de l’emplacement oĂą se trouvait, vers 1500, la maison de Philippe de Vigneulles.

    Édifices religieux

    • Église Saint-ClĂ©ment : ancienne Ă©glise fortifiĂ©e construite au dĂ©but du XVe siècle par les Baudoche. Annexe de l’église de Woippy et dĂ©diĂ©e Ă  sainte Barbe, elle devint Ă©glise paroissiale et prit pour patron saint ClĂ©ment en 1673. Elle prĂ©sente des particularitĂ©s architecturales intĂ©ressantes. Elle fut agrandie en 1852 et remaniĂ©e en 1903. Elle comporte un baptistère du dĂ©but du XVe siècle, octogonal en pierre sculptĂ©e, et des vitraux de Schouler (1927-1984). En , un second saint patron est adjoint Ă  saint ClĂ©ment : saint Roch. L’orgue issu de la manufacture Dalstein-Haerpfer possède 15 jeux. RestaurĂ© en 1994, il est toujours en fonction. Dans le clocher, on peut admirer le mĂ©canisme de l’horloge du clocher fabriquĂ© par Jean-Baptiste SchwilguĂ© datant de 1847. Il est dĂ©sormais relayĂ© par une horloge Ă©lectronique.
    • Chapelle Notre-Dame-du-Gros-ChĂŞne : sise sur la route d'Amanvillers, cette chapelle construite en 1960 est un lieu de pèlerinage marial. Les vitraux sont de Camille Hilaire.
    • Chapelle de l'ancienne Ă©cole mĂ©nagère : cette ancienne propriĂ©tĂ© de madame de Thury est devenue une institution religieuse dispensant un enseignement mĂ©nager après l’Annexion. Depuis 1968, elle fait partie d'un collectif d’appartements privĂ©s. Elle ne se visite pas.
    • Chapelle sĂ©pulcrale Saint-François-de-Sales de Caroline Colchen CarrĂ© de Malberg : cette chapelle est sise dans la cour de la maison de Madame CarrĂ© de Malberg. Ouverte au public
    • Calvaires : sept calvaires de diffĂ©rentes Ă©poques situĂ©s en haut du village, au mur du Château, ruelle des Écoliers, Grand’Rue, au cimetière, Croix-de-Lorry et Ă  Vigneulles.
    • Maison de maĂ®tre dite Le Château.
      Maison de maître dite Le Château.
    • Église Saint-ClĂ©ment.
      Église Saint-Clément.
    • Chapelle Notre-Dame-du-Gros-ChĂŞne.
      Chapelle Notre-Dame-du-Gros-ChĂŞne.
    • Chapelle Thury de Chanteau et Simon Valette de l'ancienne institution religieuse de Vigneulles.
      Chapelle Thury de Chanteau et Simon Valette de l'ancienne institution religieuse de Vigneulles.
    • Chapelle sĂ©pulcrale Saint-François-de-Sales de Caroline Colchen CarrĂ© de Malberg.
      Chapelle sépulcrale Saint-François-de-Sales de Caroline Colchen Carré de Malberg.

    Personnalités liées à la commune

    • Philippe de Vigneulles ( - 1528 [entre le et le 12 avril] Ă  Metz) : nĂ© Ă  Vigneulles, Ă©crivain, chroniqueur et commerçant messin. Il a su dĂ©crire la vie de ses contemporains dans La chronique de Metz, qui constitue son Ĺ“uvre majeure.
    • Caroline Colchen Ă©pouse CarrĂ© de Malberg  (1829-1891) : fondatrice de l’Œuvre des Filles de Saint François de Sales.
    • Catherine-Jeanne Valette Ă©pouse de Henry-Jacques-Marie HĂ©ricart de Thury[18]. Elle est la quatrième prĂ©sidente des Dames de Metz, Ĺ“uvre qui perpĂ©tue la mĂ©moire des soldats français morts pour la Patrie. Elle est Ă  l’origine de la rĂ©alisation du monument du cimetière de Chambière. En 1921, elle lègue Ă  l’évĂŞchĂ© ses deux propriĂ©tĂ©s qui deviendront des institutions religieuses. Elle finance la grosse cloche, Jeanne-Suzanne qui sonne en rĂ© et pèse 1 395 kg. Elle sera la seule Ă  Ă©chapper aux rĂ©quisitions de 1917.
    • Ker-Xavier Roussel, nĂ© Ă  la ferme du ChĂŞne, il vĂ©cut Ă  Paris, ses parents ayant fui l’Annexion. Appartenant au mouvement des nabis, il peignit beaucoup la nature agrĂ©mentĂ©e de personnages mythologiques.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Lorry-lès-Metz » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".

    Références

    1. Sandre, « le ruisseau de Saulny »
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Metz », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. 1944-1945 : Les années liberté, Le Républicain lorrain, 1994 (p. 14: Recensement préfectoral sur les dates de libération
    13. Paul Pancré - Lorry-lès-Metz, village du pays lorrain - 1983
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    18. Fils de Louis-Étienne HĂ©ricart de Thury – 3 juin 1776 Ă  Paris, 15 janvier 1854 Ă  Rome et de Marie Louise de NOĂśE – 1801, 1884 Ă  Saint-Cloud.
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