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La Richardais

La Richardais [la ʁiʃaʁdɛ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 2 476 habitants[Note 1].

La Richardais
La Richardais
La mairie.
Blason de La Richardais
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes CĂŽte d'Émeraude
Maire
Mandat
Pierre Contin
2020-2026
Code postal 35780
Code commune 35241
DĂ©mographie
Gentilé Richardaisien
Population
municipale
2 476 hab. (2020 en augmentation de 8,79 % par rapport Ă  2014en augmentation de 8,79 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 789 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 36â€Č 23″ nord, 2° 02â€Č 06″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 55 m
Superficie 3,14 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Dinard
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Malo-2
LĂ©gislatives SeptiĂšme circonscription
Localisation
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La Richardais
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La Richardais
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La Richardais
Liens
Site web www.ville-larichardais.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    Le port de La Richardais.

    La commune est situĂ©e sur la rive gauche de l'estuaire de la Rance, immĂ©diatement en amont de son embouchure. Elle est fortement urbanisĂ©e et elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Dinard qui comptait 25 006 habitants en 1999[1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Richardais
    Dinard
    La Richardais Estuaire de la Rance
    Pleurtuit

    Cadre géologique

    Carte gĂ©ologique du Massif armoricain, avec au nord-est le batholite mancellien et ses nombreux plutons de granite cadomien (TrĂ©gor, LanhĂ©lin, LouvignĂ©, Vire, Avranches
). Ce batholite dessine une ellipse de 150 km (d'Alençon Ă  la Rance) sur 90 km (de VitrĂ© Ă  Vire)[2].

    La Richardais est localisée dans la partie médiane du domaine nord armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaßnes de montagne successives. Le site géologique de La Richardais se situe plus précisément dans un bassin sédimentaire essentiellement briovérien limité au sud par un important massif granitique cadomien, le pluton de Lanhélin qui fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[3] - [4].

    L'histoire gĂ©ologique de la rĂ©gion est marquĂ©e par le cycle cadomien (entre 750 et 540 Ma) qui se traduit par la surrection de la chaĂźne cadomienne qui devait culminer Ă  environ 4 000 m[5]. À la fin du PrĂ©cambrien supĂ©rieur, les sĂ©diments briovĂ©riens environnants sont fortement dĂ©formĂ©s, plissĂ©s et mĂ©tamorphisĂ©s par l'orogenĂšse cadomienne qui implique un fort Ă©paississement crustal, formant essentiellement des schistes et des gneiss[6] matĂ©rialisĂ©s dans la rĂ©gion par la bande de « schistes et gneiss de Langrolay » d'orientation axiale N60°[7]. Cette dĂ©formation dĂ©veloppe une succession d'antiformes (Saint-Jacut-Rotheneuf, le Minihic et Plouer) correspondant Ă  des chevauchements Ă  vergence sud-est, sĂ©parĂ©s par des synformes (la Richardais et Saint-Suliac) d'orientation N60°, plis d'autant plus dĂ©versĂ©s vers le Sud que l'on se rapproche du noyau migmatitique[8]. Ce noyau de forme elliptique (25 km x 6 km), ceinturĂ© d'une enveloppe gneissique et micaschisteuse, correspond Ă  la rĂ©gion de Dinard-Saint-Malo[9]. L'Ă©paississement, consĂ©cutif Ă  l'Ă©caillage tectonique du domaine orogĂ©nique, provoque la fusion crustale Ă  l'origine de la mise en place des dĂŽmes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo, dĂ©veloppĂ©es aux dĂ©pens des sĂ©diments briovĂ©riens) qui est datĂ©e entre 560 et 540 Ma[10]. Les massifs granitiques du Mancellien[11] scellent la fin de la dĂ©formation ductile de l'orogenĂšse cadomienne[12].

    Les paragneiss Ă  grain fin, en bancs dĂ©cimĂ©triques et finement foliĂ©s, affleurent dans l'anse de la Richardais, au niveau du club nautique. De nombreuses veinules quartzo-feldspathique traduisent les effets d'un dĂ©but de migmatisation. « On distingue facilement Ă  l'Ɠil nu la sillimanite et la cordiĂ©rite, minĂ©raux symptomatiques d'un mĂ©tamorphisme de basse pression et haute tempĂ©rature. Le plissement est Ă  cet endroit trĂšs intense, et les plis sont trĂšs serrĂ©s[13] ».

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 679 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950[20] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[21] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă  11,6 °C pour 1981-2010[23], puis Ă  11,9 °C pour 1991-2020[24].

    Urbanisme

    Typologie

    La Richardais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Dinard, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 9 communes[28] et 32 991 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[29] - [30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[31] - [32].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[33]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[34] - [35].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (77,2 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (62,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (64,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (12,6 %), terres arables (11,7 %), forĂȘts (9,1 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,5 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[37].

    Toponymie

    La Richardais vient de l'anthroponyme Richard et du suffixe féminin -ais, « la (maison) de Richard »[38].

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, La Richardais était une trÚve de Pleurtuit ; trÚve érigée en paroisse en 1848 puis en commune par la loi du .

    Politique et administration

    Liste des maires[39]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    janvier 1881 janvier 1897 Pierre Coudert Constructeur de bateaux
    janvier 1897 mai 1908 Louis Tranchemer
    mai 1908 mai 1925 Charles Durand
    mai 1925 mai 1929 Louis Faucillon
    mai 1929 mai 1935 Charles Durand
    mai 1935 mai 1953 Jules Duhoux
    mai 1953 mars 1965 Pierre de BĂ©nouville Gaulliste DĂ©putĂ© d'Ille-et-Vilaine (1958 → 1962)
    mars 1965 novembre 1967
    (démission)
    Pierre Langlais Avocat
    novembre 1967 mars 1977 Joseph Tahier
    mars 1977 avril 1998[40]
    (démission)
    Antoine Launay PS Directeur d'Ă©cole honoraire
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Dinard (1988 → 1994)
    avril 1998[41] mars 2008 Alain Caresmel[42] PS Secrétaire comptable Banque de France, ancien premier adjoint
    mars 2008 mars 2013[43]
    (démission)
    Serge Brindejonc[44] Professeur de biologie et de physique-chimie
    avril 2013[45] mars 2014 Jean-Luc Ohier Directeur de la RĂ©gie Malouine de l'Eau
    avril 2014 En cours Pierre Contin[46] DVD Cadre bancaire retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    En 1881 ont lieu les premiĂšres Ă©lections municipales avec 220 personnes inscrites pour 157 votants. Cette Ă©lection a eu lieu hors pĂ©riode de pĂȘche morutiĂšre, contrairement Ă  toutes les autres Ă©lections, rĂ©duisant ainsi le nombre de votants. Le 1er conseil municipal prend place le . Pierre Coudert (constructeur de bateaux) est dĂ©signĂ© maire, il sera rĂ©guliĂšrement rĂ©Ă©lu jusqu'Ă  sa mort en 1896. Il cumulait cette fonction avec celle de secrĂ©taire de mairie. Jules Tranchemer (constructeur de bateaux) a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© comme adjoint.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1881. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[48].

    En 2020, la commune comptait 2 476 habitants[Note 8], en augmentation de 8,79 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    946959908895865879882792819
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    8598297887759949721 2221 3811 801
    1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020 - -
    2 1202 1892 2472 3672 2762 4032 476--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le barrage de la Rance vu du ciel.
    • L'usine marĂ©motrice de la Rance est le monument le plus connu de la commune, mĂȘme si le barrage en lui-mĂȘme est partagĂ© avec la commune de Saint-Malo. Les installations de production d'Ă©lectricitĂ© sont situĂ©es sur la rive gauche du fleuve, sur la commune de La Richardais.
    • MusĂ©e Manoli.

    Personnalités liées à la commune

    • La plaque de la rue Jean-Langlais.
      La plaque de la rue Jean-Langlais.
    • Le musĂ©e Pierre-Manoli.
      Le musée Pierre-Manoli.
    • Jean Langlais (1907-1991), compositeur et organiste, possĂ©dait une maison de vacances Ă  La Richardais. Une rue de la commune lui est dĂ©diĂ©e.
    • Pierre Manoli (1927-2001), sculpteur ayant habitĂ© Ă  La Richardais Ă  partir de 1975 et jusqu'Ă  sa mort. Un musĂ©e, Manoli musĂ©e et jardin de sculptures, expose prĂšs de 300 de ses Ɠuvres dans son ancien lieu de vie et de crĂ©ation.
    • Francis Ruellan (nĂ© le Ă  Rennes, dĂ©cĂ©dĂ© le Ă  La Richardais), gĂ©ographe, dirigea les expĂ©ditions Ă  l'intĂ©rieur du BrĂ©sil destinĂ©es Ă  choisir le site d'implantation de la future capitale, Brasilia.
    • La plaque de la rue Jean-Langlais.
      La plaque de la rue Jean-Langlais.
    • Le musĂ©e Pierre-Manoli.
      Le musée Pierre-Manoli.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[16].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[17].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Source : « INSEE »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    2. Carte géologique de la France au 1/50000 FougÚres 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5
    3. De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépÎt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
    4. GĂ©ologie de la France, Ă©ditions du BRGM, , p. 11.
    5. « Une promenade, Ă  la dĂ©couverte des pierres
 », sur ouest-france.fr, .
    6. François de Beaulieu, La Bretagne. La géologie, les milieux, la faune, la flore, les hommes, Delachaux et Niestlé, , p. 15.
    7. [PDF] E. Le Goff (coord) et al, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Saint-Malo N° 207., éditions du BRGM, 2009, p. 39
    8. E. Le Goff, op. cit., p. 93
    9. BRUN J.-P., MARTIN H. (1978) – Relations mĂ©tamorphisme-dĂ©formation au cours de l’évolution gĂ©odynamique d’un dĂŽme migmatitique : le massif de Saint-Malo (France). Bull. Soc. GĂ©ol. France, 7, XX, p. 91-101.
    10. [PDF] J. Chantraine (coordinateur) et al., Carte géologique France (1/50 000), feuille Lannion (203), éditions du BRGM, 1999, p. 89
    11. (en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, , p. 128.
    12. Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 30.
    13. Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 34.
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    17. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    18. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    19. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    20. « Station météofrance Dinard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    21. « Orthodromie entre La Richardais et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Unité urbaine 2020 de Dinard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    29. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    30. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    31. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    32. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    33. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    34. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    37. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    38. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1689.
    39. « Liste des maires de La Richardais », sur le site de la commune.
    40. « La Richardais : Maire depuis 21 ans, Antoine Launay passe la main », Ouest-France,‎ (archives du journal)
    41. « La Richardais : Alain Caresmel, nouveau maire », Ouest-France,‎ (archives du journal)
    42. Maire sortant - LeMonde.fr
    43. « La Richardais. Le maire Serge Brindejonc dĂ©missionne », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    44. Portail internet des services de l'État
    45. « Jean-Luc Ohier, le 13e maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    46. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. Jean-Claude Vimont et Jean-Claude Vimont, « Jo Attia », sur https://criminocorpus.org, (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • GrĂ©gory Moricel, Érection et dĂ©veloppement d'une commune en Ille-et-Vilaine, l'exemple de La Richardais, 1830-1881, Rennes, 2004, (Archives d'I&V - MĂ©moire 2 J 1011).
    • Maurice AubrĂ©e, Histoire d'une commune en pays malouin, livre Ă©ditĂ© en 1996 par Les Mouettes Ă  Dinard. Ce livre parle des origines de La Richardais jusqu'Ă  l'Ă©vacuation de ses habitants avant sa destruction partielle en .

    Liens externes

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