La Richardais
La Richardais [la ÊiÊaÊdÉ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 2 476 habitants[Note 1].
La Richardais | |||||
La mairie. | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Saint-Malo | ||||
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes CĂŽte d'Ămeraude | ||||
Maire Mandat |
Pierre Contin 2020-2026 |
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Code postal | 35780 | ||||
Code commune | 35241 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Richardaisien | ||||
Population municipale |
2 476 hab. (2020 en augmentation de 8,79 % par rapport Ă 2014) | ||||
Densité | 789 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 36âČ 23âł nord, 2° 02âČ 06âł ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 55 m |
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Superficie | 3,14 km2 | ||||
Type | Commune urbaine et littorale | ||||
Unité urbaine | Dinard (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Malo (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Malo-2 | ||||
LĂ©gislatives | SeptiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.ville-larichardais.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
La commune est située sur la rive gauche de l'estuaire de la Rance, immédiatement en amont de son embouchure. Elle est fortement urbanisée et elle appartient à l'unité urbaine de Dinard qui comptait 25 006 habitants en 1999[1].
Communes limitrophes
Cadre géologique
La Richardais est localisée dans la partie médiane du domaine nord armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaßnes de montagne successives. Le site géologique de La Richardais se situe plus précisément dans un bassin sédimentaire essentiellement briovérien limité au sud par un important massif granitique cadomien, le pluton de Lanhélin qui fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[3] - [4].
L'histoire géologique de la région est marquée par le cycle cadomien (entre 750 et 540 Ma) qui se traduit par la surrection de la chaßne cadomienne qui devait culminer à environ 4 000 m[5]. à la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par l'orogenÚse cadomienne qui implique un fort épaississement crustal, formant essentiellement des schistes et des gneiss[6] matérialisés dans la région par la bande de « schistes et gneiss de Langrolay » d'orientation axiale N60°[7]. Cette déformation développe une succession d'antiformes (Saint-Jacut-Rotheneuf, le Minihic et Plouer) correspondant à des chevauchements à vergence sud-est, séparés par des synformes (la Richardais et Saint-Suliac) d'orientation N60°, plis d'autant plus déversés vers le Sud que l'on se rapproche du noyau migmatitique[8]. Ce noyau de forme elliptique (25 km x 6 km), ceinturé d'une enveloppe gneissique et micaschisteuse, correspond à la région de Dinard-Saint-Malo[9]. L'épaississement, consécutif à l'écaillage tectonique du domaine orogénique, provoque la fusion crustale à l'origine de la mise en place des dÎmes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo, développées aux dépens des sédiments briovériens) qui est datée entre 560 et 540 Ma[10]. Les massifs granitiques du Mancellien[11] scellent la fin de la déformation ductile de l'orogenÚse cadomienne[12].
Les paragneiss Ă grain fin, en bancs dĂ©cimĂ©triques et finement foliĂ©s, affleurent dans l'anse de la Richardais, au niveau du club nautique. De nombreuses veinules quartzo-feldspathique traduisent les effets d'un dĂ©but de migmatisation. « On distingue facilement Ă l'Ćil nu la sillimanite et la cordiĂ©rite, minĂ©raux symptomatiques d'un mĂ©tamorphisme de basse pression et haute tempĂ©rature. Le plissement est Ă cet endroit trĂšs intense, et les plis sont trĂšs serrĂ©s[13] ».
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950[20] et qui se trouve Ă 3 km Ă vol d'oiseau[21] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă 11,6 °C pour 1981-2010[23], puis Ă 11,9 °C pour 1991-2020[24].
Urbanisme
Typologie
La Richardais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dinard, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[28] et 32 991 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[29] - [30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[31] - [32].
La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[33]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[34] - [35].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (77,2 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (62,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (64,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (12,6 %), terres arables (11,7 %), forĂȘts (9,1 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,5 %)[36].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[37].
Toponymie
La Richardais vient de l'anthroponyme Richard et du suffixe féminin -ais, « la (maison) de Richard »[38].
Histoire
Sous l'Ancien Régime, La Richardais était une trÚve de Pleurtuit ; trÚve érigée en paroisse en 1848 puis en commune par la loi du .
Politique et administration
En 1881 ont lieu les premiĂšres Ă©lections municipales avec 220 personnes inscrites pour 157 votants. Cette Ă©lection a eu lieu hors pĂ©riode de pĂȘche morutiĂšre, contrairement Ă toutes les autres Ă©lections, rĂ©duisant ainsi le nombre de votants. Le 1er conseil municipal prend place le . Pierre Coudert (constructeur de bateaux) est dĂ©signĂ© maire, il sera rĂ©guliĂšrement rĂ©Ă©lu jusqu'Ă sa mort en 1896. Il cumulait cette fonction avec celle de secrĂ©taire de mairie. Jules Tranchemer (constructeur de bateaux) a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© comme adjoint.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1881. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[48].
En 2020, la commune comptait 2 476 habitants[Note 8], en augmentation de 8,79 % par rapport Ă 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- L'usine marĂ©motrice de la Rance est le monument le plus connu de la commune, mĂȘme si le barrage en lui-mĂȘme est partagĂ© avec la commune de Saint-Malo. Les installations de production d'Ă©lectricitĂ© sont situĂ©es sur la rive gauche du fleuve, sur la commune de La Richardais.
- Musée Manoli.
Personnalités liées à la commune
- Jo Attia[51], malfaiteur français des années 1940 à 1970, né le 10 juin 1916 à La Richardais et mort le 22 juillet 1972 dans le 15e arrondissement de Paris. Il fit notamment partie du « gang des Tractions Avant ».
- La plaque de la rue Jean-Langlais.
- Le musée Pierre-Manoli.
- Jean Langlais (1907-1991), compositeur et organiste, possédait une maison de vacances à La Richardais. Une rue de la commune lui est dédiée.
- Pierre Manoli (1927-2001), sculpteur ayant habitĂ© Ă La Richardais Ă partir de 1975 et jusqu'Ă sa mort. Un musĂ©e, Manoli musĂ©e et jardin de sculptures, expose prĂšs de 300 de ses Ćuvres dans son ancien lieu de vie et de crĂ©ation.
- Francis Ruellan (né le à Rennes, décédé le à La Richardais), géographe, dirigea les expéditions à l'intérieur du Brésil destinées à choisir le site d'implantation de la future capitale, Brasilia.
- La plaque de la rue Jean-Langlais.
- Le musée Pierre-Manoli.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[17].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Source : « INSEE »(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?).
- Carte géologique de la France au 1/50000 FougÚres 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5
- De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépÎt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
- GĂ©ologie de la France, Ă©ditions du BRGM, , p. 11.
- « Une promenade, à la découverte des pierres⊠», sur ouest-france.fr, .
- François de Beaulieu, La Bretagne. La géologie, les milieux, la faune, la flore, les hommes, Delachaux et Niestlé, , p. 15.
- [PDF] E. Le Goff (coord) et al, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Saint-Malo N° 207., éditions du BRGM, 2009, p. 39
- E. Le Goff, op. cit., p. 93
- BRUN J.-P., MARTIN H. (1978) â Relations mĂ©tamorphisme-dĂ©formation au cours de lâĂ©volution gĂ©odynamique dâun dĂŽme migmatitique : le massif de Saint-Malo (France). Bull. Soc. GĂ©ol. France, 7, XX, p. 91-101.
- [PDF] J. Chantraine (coordinateur) et al., Carte géologique France (1/50 000), feuille Lannion (203), éditions du BRGM, 1999, p. 89
- (en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, , p. 128.
- Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 30.
- Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 34.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Station météofrance Dinard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Dinard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
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- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1689.
- « Liste des maires de La Richardais », sur le site de la commune.
- « La Richardais : Maire depuis 21 ans, Antoine Launay passe la main », Ouest-France,â (archives du journal)
- « La Richardais : Alain Caresmel, nouveau maire », Ouest-France,â (archives du journal)
- Maire sortant - LeMonde.fr
- « La Richardais. Le maire Serge Brindejonc dĂ©missionne », Ouest-France,â (lire en ligne).
- Portail internet des services de l'Ătat
- « Jean-Luc Ohier, le 13e maire de la commune », Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Jean-Claude Vimont et Jean-Claude Vimont, « Jo Attia », sur https://criminocorpus.org, (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- GrĂ©gory Moricel, Ărection et dĂ©veloppement d'une commune en Ille-et-Vilaine, l'exemple de La Richardais, 1830-1881, Rennes, 2004, (Archives d'I&V - MĂ©moire 2 J 1011).
- Maurice Aubrée, Histoire d'une commune en pays malouin, livre édité en 1996 par Les Mouettes à Dinard. Ce livre parle des origines de La Richardais jusqu'à l'évacuation de ses habitants avant sa destruction partielle en .