AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

La Chapelle-Chaussée

La Chapelle-ChaussĂ©e est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 1 302 habitants[Note 1].

La Chapelle-Chaussée
La Chapelle-Chaussée
La mairie.
Image illustrative de l’article La Chapelle-ChaussĂ©e
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Pascal Pinault (DVG)
2020-2026
Code postal 35630
Code commune 35058
DĂ©mographie
Gentilé Chapellois
Population
municipale
1 302 hab. (2020 en augmentation de 3,91 % par rapport Ă  2014en augmentation de 3,91 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 88 hab./km2
Population
agglomération
654 478 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16â€Č 18″ nord, 1° 51â€Č 17″ ouest
Altitude Min. 84 m
Max. 148 m
Superficie 14,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montauban-de-Bretagne
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Chapelle-Chaussée
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Chapelle-Chaussée
GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Voir sur la carte topographique d'Ille-et-Vilaine
La Chapelle-Chaussée
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
La Chapelle-Chaussée
Liens
Site web www.lachapellechaussee.com

    GĂ©ographie

    Transport

    Depuis le , à la suite de son entrée dans Rennes Métropole, la commune est desservie par le réseau STAR via la ligne 82.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 786 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[7] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 714,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  25 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Chaussée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (97,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (98 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (44,8 %), terres arables (30,6 %), prairies (22 %), zones urbanisĂ©es (2,5 %), forĂȘts (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de localité est attesté sous les formes Capella de Calceia en 1202[21], Capella Calciata en 1220 et 1442[22].

    Contrairement Ă  certaines hypothĂšses, Calceia, Calciata n’évoquent pas la chaux, absente dans cette zone argileuse, mais trĂšs certainement la « chaussĂ©e » qui dĂ©signe la voie gallo-romaine reliant Rennes Ă  Dinan et Corseul.

    Politique et administration

    Circonscriptions de rattachement

    La Chapelle-Chaussée appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Montauban-de-Bretagne depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle appartenait au canton de Bécherel.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisiÚme circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[23] (PS-NUPES). Sous la IIIe République, elle appartenait à la circonscription de Montfort et de 1958 à 1986 à la 1re circonscription (Rennes-Nord).

    Intercommunalité

    Les dix communes du canton de Bécherel ont créé en 1990 le Syndicat intercommunal pour le Développement du Pays de Bécherel qui s'est transformé le en communauté de communes du Pays de Bécherel[24].

    Celle-ci a été dissoute au et La Chapelle-Chaussée, ainsi que Bécherel, Langan, Romillé, Miniac-sous-Bécherel ont intégré Rennes Métropole[25] - [26].

    Institutions judiciaires

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relĂšve du tribunal judiciaire (qui a remplacĂ© le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    ca. 1919 ? Julien Busnel RG Conseiller d'arrondissement (1931 → 1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1958 juin 1970
    (décÚs)
    Pierre Daucé Ancien combattant
    juillet 1970[27] mars 1983 Yves Busnel Commerçant en grains, maire honoraire (1983)
    mars 1983 juin 1995 Roland Thébault Retraité, maire honoraire
    juin 1995 mars 2014 LoĂŻc Morin[28] Responsable logistique, maire honoraire (2014)
    mars 2014 En cours
    (au 25 mai 2020)
    Pascal Pinault[29] DVG Enseignant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 1 302 habitants[Note 8], en augmentation de 3,91 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2851 1111 1531 4021 2041 1811 1941 1351 095
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0561 1031 1921 1831 1831 1921 2161 2151 154
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0891 1071 033914877818848761771
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6925915465976247631 0101 0471 201
    2017 2020 - - - - - - -
    1 2711 302-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Pierre.
      L'Ă©glise Saint-Pierre.
    • Le chĂąteau.
      Le chĂąteau.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Quiou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Chapelle-Chaussée et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Quiou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Chapelle-Chaussée et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Le Moing, Jean-Yves (1950-....). Auteur du texte, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spézed, Coop Breizh, , 480 p. (OCLC 963221846, lire en ligne), p. 339.
    22. AmĂ©dĂ©e Guillotin de Corson, PouillĂ© historique de l'archevĂȘchĂ© de Rennes, Rennes-Paris, Fougeray-Haton, 1880-1886 (lire en ligne), Vol. 4, p. 328.
    23. Elle remplace François André décédé en cours de mandat
    24. « La CommunautĂ© de Communes du Pays de BĂ©cherel en quelques mots 
 » [archive du ], sur http://www.cc-paysdebecherel.fr (consultĂ© le ).
    25. « De la communauté de communes du pays de Bécherel à Rennes Métropole », Mairie et démarches, Mairie de Romillé (consulté le ).
    26. « Cinq nouvelles communes intĂšgrent la MĂ©tropole », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    27. « M. Busnel, maire de la Chapelle-Chaussée », Ouest-France, 25-26 juillet 1970 (archives du journal)
    28. « Loïc Morin remercie son équipe aprÚs le dernier conseil », Ouest-France, 19 mars 2014.
    29. « Pascal Pinault, nouveau maire sur la commune », Ouest-France, 1er avril 2014.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Notice no PA00090521, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    35. Notice no IA00007912, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.