Langouet
Langouet[1] [lÉÌÉĄwÉt], localement orthographiĂ©e LangouĂ«t[2], est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 610 habitants[Note 1].
Langouet | |||||
L'Ă©glise Saint-Armel. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val d'Ille-Aubigné | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Dubois 2020-2026 |
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Code postal | 35630 | ||||
Code commune | 35146 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Langouëtiens | ||||
Population municipale |
610 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 87 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
18 579 hab. | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 14âČ 59âł nord, 1° 49âČ 23âł ouest | ||||
Altitude | Min. 71 m Max. 121 m |
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Superficie | 6,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Melesse | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.langouet.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Langouet est située à 20 kilomÚtres au nord de Rennes.
GĂ©ologie et relief
L'altitude de la commune varie entre 71 et 121 mĂštres. La superficie est de 699 hectares[3].
Langouet se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[4].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[11] et qui se trouve Ă 16 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 811,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă 22 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă 12,1 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 12,4 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Langouet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (94,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29,4 %), prairies (13,2 %), forĂȘts (5,7 %), zones urbanisĂ©es (0,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[24].
« La prairie Madame »
La premiÚre réalisation communale a été la réalisation de maisons basse consommation en bois. Le projet a démarré en 2005[25].
La commune était propriétaire du terrain, à cÎté du bourg. Elle a réalisé le lotissement en régie, pour optimiser les coûts et garantir la qualité architecturale et paysagÚre du projet. Le lotissement communal La Prairie Madame a été réservé aux primo-accédants avec des revenus bas et moyens.
Pour ce projet, parpaings et PVC Ă©taient interdits. Lâarchitecte chargĂ© du suivi du projet a proposĂ© deux types de maisons, bois ou bois et monomur, avec poĂȘle Ă granulĂ©s et Ă©nergie solaire. Les toitures devaient ĂȘtre en ardoise, et en acier gris pour les garages. Les eaux de toitures sont rĂ©cupĂ©rĂ©es et rĂ©utilisĂ©es.
Les terrains font en moyenne 350 m2. Il y a un ensemble de 6 maisons et 6 garages groupĂ©s, et un de 3 maisons et 3 garages groupĂ©s. Certaines maisons sont accolĂ©es, dâautre sont isolĂ©es. Toutes bĂ©nĂ©ficient de principes bioclimatiques.
Un amĂ©nagement paysager des jardins a Ă©tĂ© fait. Les clĂŽtures sont en piquets de chĂątaignier et fil Ă mouton, ou en tressage de saule, les portillons mĂ©talliques. Une liaison douce traverse le projet. Les plantations sont dâessences locales, un verger a Ă©tĂ© plantĂ©, des noues accompagnent la voirie, Ă©troite. On retrouve la couleur du bois au niveau des candĂ©labres. Une passerelle permet dâaccĂ©der Ă une zone humide, voisine du projet[26].
« La pelousiÚre »
L'opĂ©ration « La pelousiĂšre » est la deuxiĂšme opĂ©ration portĂ©e par la commune. Le projet est constituĂ© de 12 maisons (T5) et 6 appartements (4 T3 et 2 T2) au sein d'un petit collectif. Il a bĂ©nĂ©ficiĂ© dâune dĂ©marche « ADOU » (Ă©quivalent dâune approche environnementale de l'urbanisme dans le Pays de Rennes), et de lâaide du conseil local de lâĂ©nergie. Les objectifs Ă©taient la densitĂ©, une place de la voiture limitĂ©e, des stationnements sĂ©parĂ©s des maisons (pas de garage mais des carports vĂ©gĂ©talisĂ©s). La commune sâĂ©tait associĂ©e Ă un architecte avec comme objectif une approche globale, Ă la fois sur lâeau, lâĂ©nergie, la luminositĂ©, le confort et la santĂ© des habitantsâŠ
Chaque logement est Ă©quipĂ© de solaire thermique. Les toitures sont en zinc. Le collectif consomme entre 30 et 35 kWh/mÂČ/an ; le chauffage est fait par une pompe Ă chaleur. Les maisons et le collectifs sont au niveau BBC[27]. Des sĂ©choirs en poteaux bois ont Ă©tĂ© installĂ©s dans tous les jardins, pour inciter les mĂ©nages Ă ne pas utiliser de sĂšche-linge et diminuer la consommation Ă©nergĂ©tique.
Des noues ont été intégrées au sein de l'opération pour la gestion des eaux pluviales. Elles débouchent sur une zone de jeu et de tampon naturel.
Dans le cahier de cession de terrain, il Ă©tait demandĂ© 3 jours de travaux Ă chaque adulte futur habitant pour les murets et les appentis, soit un total de 30 jours de participation. Une clause de solidaritĂ© Ă©tait incluse pour ceux qui ne pouvaient participer aux travaux. Lâaccompagnement de ce projet a Ă©tĂ© menĂ© par des compagnons bĂątisseurs[26].
« Les Marivoles »
Sur un terrain de 4 000 m2, en face du hameau de La PelousiĂšre, la municipalitĂ© souhaite rĂ©aliser 7 maisons individuelles construites dans une dĂ©marche biosourcĂ©e et circulaire, avec production photovoltaĂŻque et rĂ©cupĂ©ration dâeau de pluie[28].
Toponymie
Les formes anciennes sont : Langoait (1407), Langoet (XVe siĂšcle), Langouet (XVIe siĂšcle)[29].
L'expression "lan" en breton ancien signifie "lieu consacré"[30]. Les noms en Lan- se rattachent à des fondations monastiques ou à des saints qui y vécurent en ermites, et ici, comme tant d'autres exemples Bretons, la similitude avec le pays de Galles est évidente (comme à Langolen [29] et son homonyme gallois Llangollen, avec un Saint Gollen dont on ne sait quasiment rien)[31].
L'expression "coat" relĂšve du moyen breton, sa source est "coet" (vieux breton, plus connu Ă l'Ă©poque moderne sous la forme koad), signifiant "le bois".
De sa traduction littérale, fusion des deux expressions bretonnes "lan" et "coet", il en résulte "le lieu honoré au bois" [32].
Il est plausible que la traduction de cette notion révÚle une résurgence forte de la notion de "bois sacré" ou encore une réminiscence ancestrale signifiant « L'ermitage, le monastÚre du bois »[33] ou à tout le moins : « Le bois du monastÚre / de l'ermitage ».
En outre, un lieu-dit trÚs ancien, vient appuyer l'hypothÚse de l'emploi du breton sur ce territoire et l'installation d'un ermitage : Penabat, de Penn et Abad, soit littéralement le "Chef / Sommet ou Pointe des Abbés ».
Langoed est la forme bretonne proposée par l'OPLB[29]. Le nom de la commune en gallo est Lan.wÚt[34].
Histoire
Pendant la Seconde Guerre mondiale, cette petite commune était trÚs active : elle possédait un vendeur de tissus, un maréchal-ferrant, un boulanger et autres petits commerces aujourd'hui disparus.
Le , un référendum est organisé pour un rattachement de Langouet à Vignoc ou à Gévezé. Les Langouëtiens votent contre le rattachement de Langouet à l'une ou l'autre des deux communes[35].
Politique et administration
Liste des maires
Aux élections municipales du 15 mars 2020 avec une participation de plus de 80%, la liste soutenue par Daniel Cueff, le maire anti pesticides (qui ne se représentait pas) est battue[40].
Politique environnementale
La commune a décidé en 2003 de se passer des énergies fossiles. En 2014, les panneaux photovoltaïques produisaient plus d'électricité que celle consommée par la ville. La cantine scolaire est bio depuis 2003[41] - [42].
En 2017, Langouet a lancĂ© un programme dâhabitat social 100 % circulaire pour un coĂ»t de 25 000 Euros financĂ© par un prĂȘt souscrit par 42 investisseurs. Ce projet a dĂ©bouchĂ© sur :
- un centre de ressources et de formation Ă la permaculture ;
- un lieu dâexpĂ©rimentation et de crĂ©ation de jardins en permaculture ;
- une station météorologique[43].
En 2014, la commune reçoit le 1er prix des communes bio et sans pesticides dans sa catégorie, prix national organisé par un collectif d'associations citoyennes[44].
Le , un arrĂȘtĂ© municipal interdit lâusage de produits phytosanitaires Ă une distance infĂ©rieure Ă 150 mĂštres de toute parcelle cadastrale comprenant un bĂątiment Ă usage dâhabitation ou professionnel[45]. LâĂ©lu de Langouet est convoquĂ© au tribunal administratif de Rennes Ă la demande de la prĂ©fecture, qui souhaite lâannulation de son arrĂȘtĂ©. Un rassemblement de soutien a Ă©tĂ© organisĂ©, et des jeunes bretons ont organisĂ© un voyage Ă vĂ©lo pour rejoindre Langouet. plusieurs personnalitĂ©s politiques ont rĂ©agi (Corinne Lepage, Yannick Jadot...) et l'affaire est relayĂ©e dans les mĂ©dias locaux et nationaux[46].
Le , le tribunal administratif de Rouen a annulĂ© l'arrĂȘtĂ© limitant l'usage des pesticides au motif que seul le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation a autoritĂ© pour encadrer l'utilisation des pesticides[47].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[49].
En 2020, la commune comptait 610 habitants[Note 8], en augmentation de 2,69 % par rapport Ă 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
L'école du village a été rénovée et agrandie au début des années 2000, et équipée d'énergies renouvelables.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Il nây a pas de monuments historiques Ă Langouet. On trouve cependant plusieurs Ă©difices prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial[51], notamment l'Ă©glise Saint-Armel dont certaines parties remonteraient au XVe siĂšcle[52].
- Le clocher de lâĂ©glise.
- Le portail sud murĂ© de lâĂ©glise.
- LâĂ©co-lotissement de la PelousiĂšre : un exemple dâopĂ©ration HQE en milieu rural.
LangouĂ«t possĂšde plusieurs chĂȘnes pluri-centenaires situĂ©s dans les champs, ils sont classĂ©s au patrimoine des arbres remarquables d'Ille-et-Vilaine[53].
Ăquipements culturels
Langouet est pourvu d'une bibliothĂšque et d'un bar associatif La Cambuse[54].
Personnalités liées à la commune
- Adolphe Julien FouĂ©rĂ©, aussi appelĂ© « l'Ermite de RothĂ©neuf » sĂ©journa Ă Langouet, en qualitĂ© de curĂ©, de 1889 Ă 1893 avant de dĂ©missionner des ordres et de rejoindre la ville de RothĂ©neuf oĂč il sculpta des rochers durant 16 ans[55].
- Commandant Dieudonné de Laubier, aviateur mort à Sedan le 14 mai 1940 en héros lors de la Seconde Guerre mondiale à l'ùge de 42 ans. Né le 17 juin 1897 à Saint Méloir des Ondes[56], il a vécu ses jeunes années sur la commune, domicilié alors au lieu-dit Le Coudray acheté par son pÚre en 1886[57]. Des anciens combattants de l'aviation souhaitent rappeler le souvenir de cet enfant de Langouet, commandant en 1940 du Groupe de bombardement de nuit GB 34/II qui a pris la place d'un de ses subordonnés pour accompagner son groupe lors de la mission de sacrifice du ayant pour objectif de détruire le pont de bateaux sur lequel passait la 1re Panzer du général Guderian (commandant le XIXe corps d'armée)[58].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site municipal
- Résumé statistique de Langouet sur le site de l'Insee
- Langouët petit village gaulois 100% écolo [en ligne]. Le Figaro, [consulté le 17/12/2018]. Disponible sur Le Figaro
- "On nous écrit de l'étranger !" : comment le "village écolo" de Langouët est devenu un exemple de développement durable [en ligne]. Franceinfo, 2018 [consulté le 17/12/2018]. Disponible sur France TV Info
- Benjamin Rieth avec AFP, « Bretagne : le maire d'une commune interdit les pesticides prÚs des habitations », sur bfmtv.com, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Langouet, dans le code officiel géographique
- Site officiel de la commune
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Plan séisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Langouet et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Langouet et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Lotissement La Prairie Madame à Langouët (35) », sur Bruded, (consulté le ).
- Compte-rendu de visite par le PNR des Caps et Marais d'Opale, 2012.
- « Lotissement La PelousiÚre à Langouët (35) », sur Bruded, (consulté le ).
- « Les Marivoles, le nouveau lotissement biosourcé, à énergie passive en économie circulaire à Langouët (35) », sur Bruded, (consulté le ).
- RĂ©sultats concernant « Langouet » dans la base KerOfis de lâoffice public de la langue bretonne.
- « Les noms de lieux Bretons et leur histoire - Office Public de la Langue Bretonne », sur www.fr.brezhoneg.bzh (consulté le ).
- « Aperçu des noms de lieux de Bretagne : l'impact de l'histoire sur la toponymie bretonne », sur Becedia, (consulté le ).
- « Savoir traduire le nom de votre village breton », sur Port d'Attache, (consulté le ).
- Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 77, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828, consulté le ).
- « ChubEndret â Dictionnaire de noms de lieux en gallo - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur www.chubri-galo.bzh (consultĂ© le )
- « Bretagne à cinq départements. Une votation à Langouët ce dimanche », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- Les Ă©lections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Ăclair du 11 dĂ©cembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
- Il fut suppléant du député Jacques Cressard.
- Lors des rĂ©gionales de 2010, Daniel Cueff a Ă©tĂ© Ă©lu conseiller rĂ©gional sous lâĂ©tiquette « Bretagne Ăcologie » sur la liste menĂ©e par le socialiste Jean-Yves Le Drian. Source : Philippe Boissonnat, « La nouvelle carte Ă©lectorale d'Ille-et-Vilaine », sur rennes.maville.com, Ouest-France, (consultĂ© le ).
- « Municipales Ă LangouĂ«t. Jean-Luc Dubois est le nouveau maire », Ouest-France,â (lire en ligne).
- Serge POIROT, « Municipales. Les électeurs de Langouët tournent la page Daniel Cueff, le maire antipesticides », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- Martin Cadoret, « Langouët, la commune bretonne qui a dit non aux énergies fossiles », sur https://reporterre.net, Reporterre, (consulté le ).
- ElĂ©a Pommiers, « Daniel Cueff, le maire breton qui invente le village de lâaprĂšs-pĂ©trole », Le Monde,â (lire en ligne).
- « Permaculture et autonomie alimentaire pour tous », sur https://app.collecticity.fr/projects/list, collecticity (consulté le ).
- « Prix national « zéro phyto 100 % bio! » pour Bouvron, Langouët et Guipel », sur Bruded, (consulté le ).
- Axel Leclercq, « Le maire de Langouët interdit les pesticides à proximité des habitations », sur https://reporterre.net, Reporterre, (consulté le ).
- Camille Michel pour Le Monde, « Un maire convoquĂ© devant le tribunal pour avoir interdit lâusage des pesticides prĂšs des habitations », Le Monde,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Laurent Radisson, « Pesticides : la justice administrative annule l'emblĂ©matique arrĂȘtĂ© de LangouĂ«t », sur Actu-Environnement.com, Environnement et Technique, (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- PrĂ©sentation de la commune de Langouet, sur Gertrude, base du service de lâInventaire du patrimoine de la rĂ©gion Bretagne..
- Notice no IA00130863, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Vélo Promenade no 1 : Entre bief et bocage », sur paysderennes.fr (consulté le ).
- La Cambuse
- FrĂ©dĂ©ric Altmann, L'ermite de RothĂ©neuf", Nice, Ăditions A.M., , 128 p., p. 27.
- (en) « Family tree of "Ămile" Marie Jean Joseph de LAUBIER », sur Geneanet (consultĂ© le ).
- « Chùteau du Coudray (Langouët) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
- Un site internet lui est dédié : http://commandantdelaubier.info/.