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Miniac-sous-BĂ©cherel

Miniac-sous-BĂ©cherel est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine et de la rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 795 habitants[Note 1].

Miniac-sous-BĂ©cherel
Miniac-sous-BĂ©cherel
La mairie
Image illustrative de l’article Miniac-sous-BĂ©cherel
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Daniel Monnier (DVG)
2020-2026
Code postal 35190
Code commune 35180
DĂ©mographie
Gentilé Miniacois
Population
municipale
795 hab. (2020 en augmentation de 6,71 % par rapport Ă  2014en augmentation de 6,71 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 59 hab./km2
Population
agglomération
654 478 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 17â€Č 07″ nord, 1° 55â€Č 56″ ouest
Altitude 150 m
Min. 79 m
Max. 183 m
Superficie 13,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montauban-de-Bretagne
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Miniac-sous-BĂ©cherel
Liens
Site web www.mairie-miniac-sous-becherel.fr

    GĂ©ographie

    Sa surface est 13,55 km2 (soit 1 355 hectares).

    Son altitude minimum est de 79 m et son altitude maximum de 183 m. La mairie se trouve Ă  159 m.

    Les villes et villages proches de Miniac-sous-BĂ©cherel sont : BĂ©cherel Ă  1,48 km, Longaulnay Ă  2,77 km, Cardroc Ă  3,16 km, La Baussaine Ă  4,03 km, IrodouĂ«r Ă  4,24 km.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 813 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 714,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  29 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Miniac-sous-Bécherel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (98,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (64,2 %), terres arables (32,4 %), prairies (2 %), forĂȘts (1,3 %), zones urbanisĂ©es (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Miniaco en 1122, Miniac en 1187, Miniacum en 1230[21].

    Miniac-sous-BĂ©cherel est issu du latin Minius et du suffixe gallo-romain -(i)acum[22] - [21], d'origine gauloise. Cet anthroponyme est aussi donnĂ© comme gaulois et appartient Ă  toute une sĂ©rie de noms gaulois bien attestĂ©s dans des inscriptions Minius, Minnius, Minicus, Minuso, etc. basĂ©s sur le thĂšme gaulois minio-, meno- « doux Â»[23].

    En gallo, le nom de la commune est Meinyac et Minieg-Begerel en breton.

    Transport

    Depuis le , à la suite de son entrée dans Rennes Métropole, la commune est desservie par le réseau Service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) via la ligne 82.

    Histoire

    La prĂ©sence de deux menhirs dits « les Roches du Diable » atteste d’une prĂ©sence humaine au moins depuis le NĂ©olithique sur le territoire de Miniac.

    L’église Saint-Pierre de Miniac pourrait d’aprĂšs Erwan Vallerie, porter le nom d’un fundus gallo-romain. La commune de Miniac est traversĂ©e par la voie romaine Rennes-Dinan, au niveu du lieu-dit l’EchaussĂ©e. La parroise de Miniac apparaĂźt pour la premiĂšre fois en 1122 et relevait de l’abbaye Saint-Melaine de Rennes.

    Durant les guerres de succession de Bretagne, les environs de Bécherel étaient occupés par les Anglais dont la place forte de Bécherel. Cette occupation donna lieu à de nombreux affrontements.

    La pĂ©riode suivante placĂ©e sous la dynastie des Montforts amena la paix et des Ă©changes commerciaux qui favorisent la construction de nombreux manoirs par des familles roturiĂšres nouvellement enrichies et anoblies comme celle de Jehan Laevin en 1431, Georget Mysenz, et Jouban Nysenz en 1441. Il rĂ©side sur le territoire de Miniac de nombreux manoirs dans un paysage bocage : manoirs de Saint Baud, de la Croix-Courte, de Lessart et du FrĂȘne.

    Le manoir de Montifault de nos jours détruit, était le siÚge de la juridiction de Miniac et dépendait encore à la baronnie de Bécherel en 1770. En 1448, le manoir appartenait à Jean Pied-de-Vache, ensuite passe à la famille Urvoy en 1661 et plus tard aux Lanjamet.

    Du XVe au XVIIIe siĂšcle, le pays de BĂ©cherel Ă©tait renommĂ© grĂące Ă  sa prospĂ©ritĂ© liĂ©e Ă  l’industrie toiliĂšre comme le tĂ©moignent les nombreuses maisons de marchands toiliers et manoirs, qui furent ensuite dĂ©classĂ©s en fermes.

    Une lettre patente de Jean V de 1535, confirme la tenue de foires Ă  Miniac.

    En 1590, durant la Ligue, les troupes du duc de MercƓur assiĂšgent la ville. Plus tard durant la RĂ©volution, la chouannerie n’épargna pas la rĂ©gion.

    Le dĂ©clin de l’industrie toiliĂšre, Ă  la fin du XVIIIe siĂšcle, amena la population Ă  se tourner vers les activitĂ©s agricoles et artisanales.

    Politique et administration

    Circonscriptions de rattachement

    Miniac-sous-Bécherel appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Montauban-de-Bretagne depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle appartenait au canton de Bécherel.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisiÚme circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[24] (PS-NUPES). Sous le Second Empire, elle appartenait à la circonscription de Saint-Malo, sous la IIIe République à la circonscription de Montfort et de 1958 à 1986 à la 1re circonscription (Rennes-Nord).

    Intercommunalité

    Les dix communes du canton de Bécherel ont créé en 1990 le Syndicat intercommunal pour le Développement du Pays de Bécherel qui s'est transformé le en communauté de communes du Pays de Bécherel[25].

    Celle-ci a été dissoute au et Miniac-sous-Bécherel, ainsi que Bécherel, Langan, La Chapelle-Chaussée, Romillé ont intégré Rennes Métropole[26] - [27].

    Institutions judiciaires

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relĂšve du tribunal judiciaire (qui a remplacĂ© le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1836 Jean Collet
    1837 1843 Gabriel Boullier
    1844 1852 Mathieu André
    1853 1872 Joseph Guillot
    1873 1891 François Grosset
    1892 1919 Joseph Pestel
    1919 1941 Constant Gendrot RG Agriculteur
    Conseiller général (1919-1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1953 juin 1970[29]
    (décÚs)
    Jean RĂ©hault Agriculteur
    1970 (?) mars 1989 LĂ©on Coudray Agriculteur, maire honoraire
    RĂ©Ă©lu en 1977 et 1983
    mars 1989 mars 2001 Marcel Renais Agriculteur
    mars 2001 mars 2014 Claude Pestel[30] Chirurgien-dentiste
    mars 2014[31] En cours
    (au 5 avril 2014)
    Daniel Monnier DVG Retraité de la Gendarmerie

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 795 habitants[Note 8], en augmentation de 6,71 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0701 0751 1801 1021 1741 0961 0501 0651 165
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0951 0811 0851 0471 0521 0021 0061 013981
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    935923884789812811771720635
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    623612587527516560648673744
    2018 2020 - - - - - - -
    784795-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La commune compte un monument historique :

    • Les mĂ©galithes des Roches du Diables : situĂ©s dans un bois Ă  quelque 300 mĂštres du bourg, deux menhirs (un debout et un couchĂ©) attestent d'une occupation humaine depuis le NĂ©olithique. Ils ont Ă©tĂ© classĂ©s par arrĂȘtĂ© du [36].

    Autre monument :

    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Pierre [37] : construite aux XIIe et XVIIIe siĂšcles
    • Fontaine Saint-Lunaire
    • De nombreux manoirs ont Ă©tĂ© construits entre le XVIe et le XVIIIe siĂšcle : manoir de Saint Baud dit Lostel de Saimbaut – le manoir du Verger – le manoir de Lessart.
    • Statue polychrome de saint Lunaire (seconde moitiĂ© du XVIIe siĂšcle)
    Place Constant-Gendrot
    • L’église Saint-Pierre.
      L’église Saint-Pierre.
    • Le manoir du Verger.
      Le manoir du Verger.
    • La fontaine Saint-Lunaire.
      La fontaine Saint-Lunaire.
    • Les deux menhirs des roches du Diable.
      Les deux menhirs des roches du Diable.
    • La statue de saint Lunaire.
      La statue de saint Lunaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Prud'homme : À la fin du XVIIe siĂšcle, un certain Jean Prud'homme, nĂ© en 1680 Ă  Miniac-sous-BĂ©chĂ©rel en Bretagne, se marie Ă  Marie-Anne Morin Ă  La Pointe-aux-Trembles, QuĂ©bec (Canada) en Nouvelle France en 1706 et dĂ©cĂšde le Ă  L'Assomption dans la rĂ©gion de LanaudiĂšre, QuĂ©bec. Il Ă©tait le fils de Julien Prud'homme et de PĂ©rinne GuĂ©rin, tous deux habitaient Miniac-sous-BĂ©cherel. Un grand nombre de Prud'homme du Canada et des États-Unis les ont comme ancĂȘtres. Parmi eux figure Gabriel Prudhomme (1791-1831) sur la concession duquel fut fondĂ©e la ville de Kansas City dans l’état du Missouri aux États-Unis d'AmĂ©rique.
    • CĂ©lestin Frin : prĂȘtre missionnaire (Miniac-sous-BĂ©cherel - au village des Billettes, - La Nouvelle-OrlĂ©ans, ). Fils de Charles Frin -Laboureur et d'Anne Guillemer. AprĂšs deux annĂ©es de thĂ©ologie au grand sĂ©minaire de Rennes, il commença son noviciat le Ă  Notre-Dame-de-l'Osier, oĂč il fit son oblation le . Il passa une annĂ©e au scolasticat de Montolivet et fut ordonnĂ© prĂȘtre par Mgr de Mazenod le .

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Quiou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Miniac-sous-Bécherel et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Quiou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Miniac-sous-Bécherel et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. « Etymologie et Histoire de Miniac-sous-Bécherel », infobretagne (consulté le ).
    22. Ernest NÚgre -Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 485.
    23. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Ă©ditions Errance, Paris, 2003, p. 226 - 227.
    24. Elle remplace François André décédé en cours de mandat
    25. « La CommunautĂ© de Communes du Pays de BĂ©cherel en quelques mots 
 » [archive du ], sur http://www.cc-paysdebecherel.fr (consultĂ© le ).
    26. « De la communauté de communes du pays de Bécherel à Rennes Métropole », Mairie et démarches, Mairie de Romillé (consulté le ).
    27. « Cinq nouvelles communes intĂšgrent la MĂ©tropole », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    28. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « M. Jean Réhault maire de Miniac-sous-Bécherel est décédé », Ouest-France, 17 juin 1970 (archives du journal)
    30. « Les maires Ă©lu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
    31. « Daniel Monnier est le nouveau maire de la commune », Ouest-France, 5 avril 2014.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Notice no PA00090631, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    37. Notice no IA00007963, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.

    Voir aussi

    Liens externes

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