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La Cerlangue

La Cerlangue est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

La Cerlangue
La Cerlangue
L'Ă©glise Saint-LĂ©onard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
Michel Rats
2020-2026
Code postal 76430
Code commune 76169
DĂ©mographie
Gentilé Cerlanguais, Cerlanguaises
Population
municipale
1 287 hab. (2020 en diminution de 1,45 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 46 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 30â€Č 27″ nord, 0° 24â€Č 53″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 127 m
Superficie 27,93 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Romain-de-Colbosc
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web lacerlangue.fr

    GĂ©ographie

    Elle fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 907 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  59 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Cerlangue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par l'estuaire de la Seine, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (75,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (37,2 %), prairies (32,7 %), forĂȘts (14,7 %), zones humides cĂŽtiĂšres (3,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,3 %), zones urbanisĂ©es (3 %), eaux maritimes (2,2 %), eaux continentales[Note 8] (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Cellengue vers 1240, sous la forme latinisée Cervi lingua en 1248 et sous les formes dialectales normandes la Cherlengue ou la Chellengue[24] (avec assimilation de /r/) du XIIIe siÚcle au XVe siÚcle.

    La transposition latine du XIIIe siĂšcle Cervi lingua « langue de cerf » parait correcte pour François de Beaurepaire[24]. Par contre, le toponyme roman devrait ĂȘtre non point cerf-langue mais plutĂŽt langue-cerf comme HĂŽtel-Dieu avec omission de la prĂ©position de. Le groupe dĂ©terminĂ© + appellatif (formule A)[24] cerf-langue est plutĂŽt l'indice d'une influence du mode de composition germanique ou anglo-scandinave, voire un calque roman du germanique (ou du vieux norrois / vieil anglais) cf. danois, norvĂ©gien hjortetunge; allemand Hirschzunge « langue de cerf, scolopendre » avec hjort / Hirsch « cerf » et tunge / Zunge « langue ». À noter que l'on trouve parfois dans la toponymie normande ce type d'association de deux substantifs selon le mĂȘme mode de composition : Esteinvei (v. 1320 Ă  Fresville, Cotentin) signifiant « le guĂ© (des) de la pierre(s) », vei ou vey Ă©tant la forme normande correspondant au français guĂ© et steinn, le terme norrois signifiant « pierre », ainsi que les diffĂ©rents Pierrepont, calques du germanique *steinaz-*brugjÇ­, ce dernier ayant donnĂ© par exemple SteinbrĂŒcken, nom de nombreuses localitĂ©s en Allemagne.

    Le nom est peut-ĂȘtre liĂ© Ă  la prĂ©sence, dans le bois proche, de la fougĂšre scolopendre (asplenium scolopendrium) appelĂ©e Ă©galement langue de cerf (« cerf-langue »).

    La paroisse Saint-Jean-d'Abbetot a Ă©tĂ© rĂ©unie Ă  La Cerlangue, Abbetot Ă©tant mentionnĂ© sous la forme Abetot vers 1060[24]. Il s'agit d’une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en -tot, appellatif remontant Ă  l'ancien scandinave topt, toft « Ă©tablissement rural, ferme », prĂ©cĂ©dĂ© d’un nom de personne, soit Abbo issu du germanique occidental (dont le cas rĂ©gime Abon, Abbon est employĂ© dans les textes), soit Abbi issu du germanique septentrional, vieux norois ou vieux danois, et hypocoristique d’ÁbiÇ«rn, dont le second Ă©lĂ©ment -biÇ«rn reprĂ©sente le vieux norois biÇ«rn « ours » (suĂ©dois björn, danois / norvĂ©gien bjĂžrn)[25]. Le baron normand Ours d'Abbetot est par ailleurs probablement originaire de ce hameau.

    Histoire

    La commune de Saint-Jean-d'Abbetot a été réunie à La Cerlangue en 1824.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 Michel Guicheteau
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Nadine Cote
    2008 En cours
    (au 10 août 2020)
    Michel Rats Vice-prĂ©sident de la CU Le Havre Seine MĂ©tropole (2020 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[26]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[28].

    En 2020, la commune comptait 1 287 habitants[Note 9], en diminution de 1,45 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    741900831721992949912911925
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    927908936943879887990987996
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    969949911806829810790841763
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7407548908959831 1061 1771 1901 251
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 3061 2761 287------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Compte tenu de l'unification des deux communes en 1824, La Cerlangue possĂšde deux Ă©glises : l'Ă©glise Saint-LĂ©onard et l'Ă©glise Saint-Jean d'Abbetot.

    L'église Saint-Jean-Baptiste de La Cerlangue, quant à elle, fut détruite vers 1822.

    Sur la route de Tancarville, au lieu-dit Le Clap, se trouve le manoir du Clap .

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alphonse-Adolphe Martin, Étude historique et descriptive sur La Cerlangue et Saint-Jean-d'Abetot, FĂ©camp,
    • Le Livre d'images de Saint Jean d'Abbetot, La Hetraie
    • Patrick Lebourgeois, La Cerlangue sur les falaises de l'estuaire, Ă©ditions des Falaises,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Cerlangue et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Cerlangue et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard, 1979, p. 58 - 137.
    25. Site de Nordic Names : Ă©tymologie d’ÁbiÇ«rn
    26. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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