Accueil🇫🇷Chercher

Marais-Vernier (Eure)

Marais-Vernier est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Marais-Vernier
Marais-Vernier (Eure)
Une chaumière dans le marais.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes de Pont-Audemer / Val de Risle
Maire
Mandat
William Calmesnil
2020-2026
Code postal 27680
Code commune 27388
Démographie
Gentilé Maraiquais
Population
municipale
475 hab. (2020 en diminution de 5,75 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 26″ nord, 0° 27′ 16″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 113 m
Superficie 24,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Achard
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Marais-Vernier
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Marais-Vernier
Géolocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Marais-Vernier
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Marais-Vernier

    Géographie

    Localisation

    Marais-Vernier est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure située au sein du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande. Elle appartient à la région naturelle du Marais-Vernier.

    Hydrographie

    La commune est riveraine de la Seine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 842 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gatien des B », sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois, mise en service en 1949[9] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 916,4 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 28 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Marais-Vernier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    La commune, bordée par l'estuaire de la Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,9 %), terres arables (24 %), forêts (5,1 %), eaux maritimes (4,4 %), zones urbanisées (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), eaux continentales[Note 8] (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité du Marais-Vernier est attesté sous la forme Marescus Warnerii au XIIe siècle (cartulaire de Jumièges)[26] - [27]; S. Laurentius de Marisco, sans date (Gallia Christiana); La Mare-Vernier en 1505; La Mare-au-Vernier en 1631 (Tassin, Plans et profilz); Mares-à-Vernier en 1648 (La Roque); Marais-Varnier en 1738 (Saas)[27].

    Les formes de 1505, 1631 et 1648 ne se rapportent peut-être pas à ce toponyme mais à un lieu nommé la Mare-Vernier dont on dénombre au moins une occurrence : la Mare-Vernier à Pacy-sur-Eure.

    La dénomination de la paroisse a été empruntée à celle du marais[26]. L'élément Warner- représente le nom de personne germanique Warnhari[26] qui a régulièrement évolué en Varnier / Vernier dans cette partie de la Normandie. Ce sont aujourd'hui des patronymes assez communs. On le retrouve également sous la forme Vernier dans le nom de lieu Val-Vernier à Brachy.

    L'évolution de la graphie Warnier > Varnier est liée à l'évolution de la prononciation en normand septentrional [w] > [v] au XIIe siècle. Ensuite, l'évolution Var- > Ver- est attendue, et due à l'action fermante de [r] en syllabe initiale au Moyen Âge. Cette évolution se manifeste par exemple dans les parlers de la Seine-Maritime et de l'Eure dans les mots lerme < larme; ergent < argent; etc.

    L'explication par le nom Verne Ce lien renvoie vers une page d'homonymie que l'on rencontre parfois dans des publications non spécialisées en onomastique[28] n’a pas de fondement. En effet, elle est contredite par les formes anciennes. En outre, l'élément verne aurait été combiné de manière exceptionnelle avec le suffixe -ier, s'il s'agit bien de ce suffixe. Enfin, si le mot verne est commun dans la toponymie occitane et au sud et à l'est du domaine d'oïl, comme il l'est dans les langues de ces régions[29], il est en revanche absent de la toponymie médiévale de la Normandie, où l'on ne recense aucune occurrence de cet appellatif dans l'Eure. Ce mot d'origine celtique (gaulois) n'a pas survécu à la romanisation de cette province.

    Histoire

    Faisait partie de l'exemption de Saint-Samson relevant de l'évêché de Dol.

    Asséché par des ingénieurs hollandais appelés par Henri IV en 1607.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours William Calmesnil DVD Contremaître
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelage

    Au , Marais-Vernier est jumelée avec[30] Drapeau de la Belgique Oudenburg (Belgique) depuis 1979.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32]. En 2020, la commune comptait 475 habitants[Note 9], en diminution de 5,75 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    617594619593614623646582583
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    601544586560560571590613598
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    589600588570564513560522544
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    508495502464480455492492494
    2015 2020 - - - - - - -
    506475-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune de Marais-Vernier compte un édifice classé au titre des monuments historiques :

    Par ailleurs, de nombreux autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    • la mairie (XIXe)[37] ;
    • un château du XVIIe siècle[38] ;
    • une croix de cimetière du XVIe siècle[39] ;
    • deux manoirs : le premier du XVIe siècle au lieu-dit la Côte[40] ; le deuxième du XVIIe siècle au lieu-dit le Bout d'Aval[41] ;
    • deux maisons : l'une du XIXe siècle[42], l'autre du XVIIIe siècle[43] ;
    • de nombreuses fermes : une des XVIIIe et XIXe siècles[44], une des XVIe et XVIIIe siècles[45], une du XVIIIe siècle[46], une des XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit Quartier du Château[47], une du XVIIIe siècle au lieu-dit le Bout d'Amont[48] et une dernière du XVIIIe siècle au lieu-dit la Côte[49].

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Marais-Vernier et Saint-Gatien-des-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Marais-Vernier et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    15. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154).
    27. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l'Eure, Paris, 1877, p. 133 (lire en ligne)
    28. « La « co-construction » par la Nature et l’Homme, du paysage du Marais Vernier. Résumé de l’intervention, à partir du panorama de Marais Vernier, de Dr Thierry LECOMTE, Ingénieur en Chef au Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande, Conservateur de la Réserve Naturelle Nationale du Marais Vernier », sur Les courtils de Bouquelon (consulté le ).
    29. Lexicographie et étymologie de Vergne, verne, C.N.R.T.L.
    30. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Église », notice no PA00099479, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « La « co-construction » par la Nature et l’Homme, du paysage du Marais Vernier. Résumé de l’intervention, à partir du panorama de Marais Vernier, de Dr Thierry LECOMTE, Ingénieur en Chef au Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande, Conservateur de la Réserve Naturelle Nationale du Marais Vernier », sur courtilsdebouquelon.files.wordpress.com (consulté le ).
    37. « Mairie », notice no IA00018936, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Château », notice no IA00018937, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Croix de cimetière », notice no IA00018935, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Manoir », notice no IA00018939, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Manoir », notice no IA00018938, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Maison », notice no IA00018942, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Maison », notice no IA00018943, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Ferme », notice no IA00018944, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Ferme », notice no IA00018945, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Ferme », notice no IA00018946, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Ferme », notice no IA27000305, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Ferme », notice no IA00018941, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Ferme », notice no IA00018940, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.