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La Remuée

La Remuée est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

La Remuée
La Remuée
La mairie.
Blason de La Remuée
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CU Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
NadÚge Courché
2020-2026
Code postal 76430
Code commune 76522
DĂ©mographie
Gentilé Remotais, Remotaises
Population
municipale
1 274 hab. (2020 en diminution de 2,15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 181 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 31â€Č 43″ nord, 0° 24â€Č 15″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 135 m
Superficie 7,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Romain-de-Colbosc
LĂ©gislatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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La Remuée
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La Remuée
Liens
Site web http://www.laremuee.com

    GĂ©ographie

    Description

    La commune est située à 8 km du pont de Tancarville, 18 km du pont de Normandie et 20 km du Havre. Elle est donc assez proche de l'autoroute A29.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 965 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  60 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Remuée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (87 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (80,2 %), zones urbanisĂ©es (14,9 %), prairies (4,6 %), forĂȘts (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes « Ab hominibus de la RemuĂ©e in Normannia Â» en 1268; La RemuĂ©e Sancta Maria en 1319[21]; Remota en 1337; La RemuĂ©e Nostre Dame en 1431 (Longnon, 21, 86) et en 1433[22]; Curato de Remota en 1445[23]; Remota en 1529[24]; Fief de la RemuĂ©e en 1534; Notre Dame de la RemuĂ©e en 1673[25]; Notre Dame de la RemuĂ©e en 1692[26]; La RemuĂ©e en 1738 (PouillĂ©); La RemuĂ©e en 1715 (FrĂ©mont); La RemuĂ©e et Moulin de la RemuĂ©e en 1757 (Cassini); La RemuĂ©e en 1953[27].

    Histoire

    La RemuĂ©e est une paroisse fondĂ©e au dĂ©but du XIIIe siĂšcle, vers 1240, dans les essarts de la forĂȘt de Lillebonne par Renaud comte de Boulogne[27].

    L'entre deux guerres à La Remuée. Période 1925-1936

    Michel Auvray et AndrĂ© Dubuc Ă©crivent[28] : « Alexandre Morin avait seize ans lorsqu'il entra en musique. Je ne peux me rĂ©soudre Ă  utiliser une autre formulation tant la Musique fut pour lui un vĂ©ritable sacerdoce. Je crois qu'il ne pouvait concevoir la vie sans la musique; elle faisait partie de son ĂȘtre.

    DĂšs 1907, il entra Ă  la SociĂ©tĂ© Musicale d'Harfleur alors dirigĂ©e par M.Duminy. Pendant quatre ans, il va acquĂ©rir une base musicale sĂ©rieuse et en 1911, lorsqu'il sera appelĂ© sous les drapeaux au 74e R.I., c'est bien entendu dans la musique du rĂ©giment qu'il fera son service. Pendant trois ans — c'Ă©tait la durĂ©e du service militaire Ă  cette Ă©poque — ses connaissances musicales et sa maĂźtrise instrumentale au cornet Ă  pistons vont s'affirmer, lui faisant espĂ©rer un rĂŽle de premier plan dans la fanfare de son pays. Mais son retour Ă  Harfleur va se trouver quelque peu diffĂ©rĂ© : ses trois ans de service auraient dĂ» se terminer... en 1914! Il ne rentrera dans ses foyers qu'en 1918, aprĂšs quatre ans de guerre passĂ©s dans diffĂ©rentes unitĂ©s.
    Il retrouvera trÚs vite sa société de musique aprÚs sept années d'absence. Sur une photographie de la Société Musicale d'Harfleur datée de , on le voit tout en haut à gauche.

    En 1922, Alexandre Morin s'installe Ă  La RemuĂ©e. Coup dur pour un musicien. Pendant plusieurs annĂ©es, le temps de se faire de nouvelles connaissances, il va ronger son frein.(Ceux qui ont bien connu le magasin de La RemuĂ©e oĂč Alexandre vendait et rĂ©parait des vĂ©los vont sĂ»rement penser - mais ils ont tort - que j'ai voulu faire un bien vilain jeu de mots). C'est sans doute vers 1926 que n'y tenant plus, il entreprend de faire Ă©tudier le solfĂšge Ă  certains RĂ©motais. AprĂšs le solfĂšge, l'instrument. Les musiciens devaient se le procurer, car aucune trace de subvention exceptionnelle n'apparaĂźt dans les registres municipaux de La RemuĂ©e. Toutefois, il n'est pas impossible que certains mĂ©cĂšnes aient aidĂ© les jeunes musiciens.

    En 1927, une sociĂ©tĂ© Ă©tait constituĂ©e, qui prit le nom de Fanfare de La RemuĂ©e; du moins, c'est Ă  cette date qu'une banniĂšre fut offerte par Madame Aline Paris (nĂ©e Baillobay et dont la fille Aline avait Ă©pousĂ© Emile DĂ©genĂ©tais devenu Ă  cette Ă©poque maire de Rogerville). Aucune nouvelle association n'ayant Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e Ă  la sous-prĂ©fecture, on peut raisonnablement penser que cette musique Ă©tait l'une des activitĂ©s de "L'Amicale de La RemuĂ©e, association dĂ©clarĂ©e le et dont l'objet mentionnĂ© Ă©tait "Relations amicales; tir et sports; distractions honnĂȘtes".

    La musique n'est-elle pas une honnĂȘte distraction ? En 1922, le bureau de cette Amicale Ă©tait constituĂ© des membres suivants : -LĂ©on Houllemare, entrepreneur de maçonnerie, prĂ©sident ;
    -Ernest Périer, cultivateur, vice-président ;
    -Marcel Boivin, boulanger, trésorier ;
    -André Roussel, cultivateur, trésorier-adjoint ;
    -Henri Roussel, commerçant, secrétaire ;
    -Joseph Avenel, commerçant, conservateur ;
    -Jean Delage, instituteur, directeur général.

    Nos deux anciens se souviennent avoir fait le déplacement à Rogerville (M.le maire obéissait-il aux injonctions de sa belle-mer ?), Gommerville, Saint-Gilles, Saint-Vincent, Les Trois-Pierres, La Cerlangue, et La Remuée bien évidemment. La fanfare est aussi mentionnée à Saint-Romain le pour le festival des journées agricoles et commerciales, et à Criquetot-l'Esneval le pour le festival organisé à l'occasion du 50e anniversaire de la Société Musicale de Criquetot.

    La fanfare de La Remuée s'éteignit en 1935, et c'est Saint-Romain qui accueillit les musiciens orphelins : Alexandre Morin, Christian Devaux, et Albert Durel allÚrent grossir les rangs de la Société Musicale avec laquelle on les verra, dÚs 1936, participer au concours de Poissy. Les frÚres Parmentier, eux, n'y firent qu'un court séjour, rejoignant bientÎt la Renaissance. Enfin, plus tardivement, Roger Heute viendra à la Société Musicale vers 1950, trois ans avant de recevoir sa médaille de la Fédération Musicale de Normandie »

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[29]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Julien Bruguet
    mai 1967 Henri Courseaux
    mai 1967 mars 1983 Paul Leclaire
    mars 1983 mars 2008 GĂ©rard Duval
    mars 2008 mai 2020 Olivier Haas
    mai 2020[30] En cours
    (au 10 août 2020)
    NadÚge Courché

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 1 274 habitants[Note 8], en diminution de 2,15 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    699760732766712760725690733
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    677648677645686652662657607
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    612610555508503484514514453
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    4494846407118611 1761 2811 3011 326
    2015 2020 - - - - - - -
    1 2981 274-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Notre-Dame.
    • Temple bouddhiste.
    • Église Notre-Dame du XVIIIe siĂšcle et du XIXe siĂšcle.
    • ChĂąteau de MarĂ©fosse du XVIIe siĂšcle, propriĂ©tĂ© au XVIIIe siĂšcle de Jean-Jacques Duval d'EprĂ©mesnil.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Pierre Lartisien, sculpteur.

    HĂ©raldique

    Armes de La Remuée

    Les armes de la commune de La Remuée se blasonnent ainsi :
    De gueules aux deux Ă©pĂ©es hautes d’argent passĂ©es en sautoir, cantonnĂ©es de quatre merlettes d’or.[35]

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michel Auvray et AndrĂ© Dubuc, Deux siĂšcles de musique populaire dans le canton de Saint-Romain-de-Colbosc, Association intercommunale du canton de Saint-Romain-de-Colbosc / Bertout, , 270 p. (BNF 35590931).

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Remuée et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Remuée et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Archives de Seine-Maritime G 3267.
    22. Archives de Seine-Maritime G 3268.
    23. Archives de Seine-Maritime G 2130.
    24. Archives de Seine-Maritime G.
    25. Archives de Seine-Maritime E fds de Tancarville.
    26. Archives de Seine-Maritime G 1595.
    27. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 838.
    28. Michel Auvray et André Dubuc, ouvrage mentionné en bibliographie.
    29. « Les maires de Remuée (La) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    30. « La RemuĂ©e. NadĂšge CourchĂ© dĂ©bute son mandatde maire : Ancienne quatriĂšme adjointe, NadĂšge CourchĂ© est devenue maire de La RemuĂ©e. Elle tient Ă  faire de son conseil municipal un lieu serein oĂč tous les membres pourront s'exprimer », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f76522 « Copie archivée » (version du 18 février 2015 sur Internet Archive).
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