AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

LĂŒe

LĂŒe[1] ou LuĂ«[2] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelĂ©s les Luots et les Luottes. Son nom occitan est Lua[3].

LĂŒe
LĂŒe
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Michel de Luë.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes des Grands Lacs
Maire
Mandat
Patricia Cassagne
2020-2026
Code postal 40210
Code commune 40163
DĂ©mographie
Gentilé Luots
Population
municipale
581 hab. (2020 en augmentation de 10,04 % par rapport Ă  2014)
Densité hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 13â€Č 55″ nord, 0° 58â€Č 59″ ouest
Altitude Min. 33 m
Max. 82 m
Superficie 96,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Biscarrosse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Grands Lacs
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
LĂŒe
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
LĂŒe
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
Voir sur la carte topographique des Landes
LĂŒe
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
LĂŒe
Liens
Site web www.lue.fr

    LĂŒe fait partie de la communautĂ© de communes des Grands Lacs.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune situĂ©e dans la forĂȘt des Landes en pays de Born. Carrefour entre les routes D626 et D140 reliant Mimizan, Parentis-en-Born, Labouheyre et Escource, la commune se situe Ă  vol d'oiseau Ă  24 km sud-ouest de Biscarrosse, Ă  24 km de la cĂŽte landaise, Ă  54 km nord-ouest de Mont-de-Marsan et Ă  57 km nord de Dax. Le Canteloup traverse la commune.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Escource, Labouheyre, Parentis-en-Born, Pontenx-les-Forges, Solférino et Ychoux.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 093 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pissos », sur la commune de Pissos, mise en service en 1951[11] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 023,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  54 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    LĂŒe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biscarrosse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de LĂŒe est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    LĂŒe est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[25] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des sols argileux de LĂŒe.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 351 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [29].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[30].

    Histoire

    Au Moyen Âge, une sauvetĂ© Ă©tait une zone de refuge dĂ©limitĂ©e autour d'une Ă©glise par plusieurs bornes. À l'intĂ©rieur de ce pĂ©rimĂštre, il Ă©tait interdit de poursuivre les fugitifs. LĂŒe Ă©tait, au mĂȘme titre que Mimizan ou Saint-Girons, une des rares sauvetĂ©s landaises.

    Politique et administration

    Depuis 2014, Patricia Cassagne (sans étiquette) est maire de la commune, poste auquel elle a été réélue en 2020.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32]. En 2020, la commune comptait 581 habitants[Note 7], en augmentation de 10,04 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    539493503635696775790865860
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    861893906922884895888895922
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    898891891770702670646568503
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    453426347371415464493510562
    2020 - - - - - - - -
    581--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Michel de LĂŒe.
    • ChĂȘne de Cantaure : labellisĂ© « Arbre remarquable de France » le . Il date au moins du XIVe siĂšcle, son tronc mesure plus de 8 mĂštres de circonfĂ©rence, 11 mĂštres au niveau du sol. Le folkloriste FĂ©lix Arnaudin l'Ă©voquait en ces termes :
    « Au quartier de Cantaure tout au bord du chemin, s'Ă©lĂšve un magnifique chĂȘne qu'on a plaisir Ă  voir pour le charme des choses d'autrefois qu'il rĂ©pand sur ce petit coin de terre ».
    Le propriĂ©taire de la parcelle, Michel Harribey, fait don du chĂȘne et du lopin qui l'entoure Ă  la commune par acte du [35].
    • ChĂȘne de Cantaure.
      ChĂȘne de Cantaure.
    • La source, qui se jette dans le ruisseau de Canteloup.
      La source, qui se jette dans le ruisseau de Canteloup.
    • Panneau de signalisation.
      Panneau de signalisation.
    • Panneau de bois reprĂ©sentant l'archange.
      Panneau de bois représentant l'archange.
    • Linges ayant servi aux soins.
      Linges ayant servi aux soins.

    Vie pratique

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. INSEE, « Fiche commune LĂŒe », sur www.insee.fr (consultĂ© le )
    2. « Site municipal de LĂŒe », sur www.insee.fr (consultĂ© le )
    3. « Diccionari toponimic occitan de las Lanas e deu Baish Ador », sur locongres.org (consulté le ).
    4. Carte IGN sous GĂ©oportail
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Pissos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre LĂŒe et Pissos », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    13. « Station Météo-France Pissos - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre LĂŒe et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    15. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « Les risques prĂšs de chez moi - commune de LĂŒe », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    26. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    30. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Journal Sud Ouest du 7/05/2011
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.