Escource
Escource (Escorce, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Escource | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes CĆur Haute Lande | ||||
Maire Mandat |
Patrick Sabin 2020-2026 |
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Code postal | 40210 | ||||
Code commune | 40094 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
751 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 7,3 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 09âČ 55âł nord, 1° 01âČ 55âł ouest | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 84 m |
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Superficie | 102,74 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Mimizan (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Haute Lande Armagnac | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.escource.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
SituĂ©e dans la forĂȘt des Landes, la commune d'Escource se trouve dans la partie la plus occidentale de la Haute Lande, en bordure du Pays de Born, Ă environ 12 km au sud-ouest de Labouheyre et environ 17 km Ă l'est de Mimizan.
Elle est proche d'un lieu touristique connu, Ă 25 km vers l'est : l'Ă©comusĂ©e de MarquĂšze, qui se trouve au cĆur du parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne, sur le territoire de la commune de Sabres. Le territoire d'Escource est bordĂ© Ă l'est par l'autoroute A63 (ancienne RN 10).
Traversée par le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, elle comporte plusieurs points de repos qui accueillent les pÚlerins.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont LĂŒe, MĂ©zos, Onesse-Laharie, Pontenx-les-Forges, Saint-Paul-en-Born et SolfĂ©rino.
Hydrographie
Le ruisseau d'Escource, alimentant l'Ă©tang d'Aureilhan, passe par la commune, oĂč il porte le nom de ruisseau de Belloc sur une partie de son cours.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sabres Lepa », sur la commune de Sabres, mise en service en 1971[9] et qui se trouve Ă 23 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 082,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă 51 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 14,5 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Escource est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mimizan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (86,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (90,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (51,4 %), forĂȘts (34,7 %), terres arables (7,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %), zones urbanisĂ©es (1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Escource est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Escource est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 451 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999
Toponymie
Il s'agit peut-ĂȘtre d'un transfert Ă la localitĂ© du nom du ruisseau dâEscource[28], selon un processus frĂ©quent en toponymie. Ce qui n'explique pas pour autant l'origine du nom lui-mĂȘme. A ce stade plusieurs hypothĂšses cohabitent.
LâĂ©tymologie dâEscource n'est pas Ă©tablie, peut-ĂȘtre d'un terme signifiant « source »[29]. Le nom du village pourrait en effet dĂ©river du mot gascon escorra[30] (prononcer "escourre" en français) qui signifie "canal d'Ă©coulement", "dĂ©versoir" ou encore "rigole".
Selon le Pr Jean-Baptiste Orpustan, le nom du village pouvait venir du mot basque ezkurra (prononcer « escourra »), qui signifie « le gland » ou par extension dĂ©signe l'arbre (le chĂȘne) - dâune part parce quâon sait que la langue basque (ou proto-basque) sâĂ©tendait au nord il y a plusieurs siĂšcles bien au-delĂ de ses limites actuelles, et dâautre part parce quâil nâest pas difficile dâimaginer quâil y avait beaucoup de chĂȘnes, et donc de glands, sur le territoire de cette commune.
Une autre hypothÚse rattache le toponyme Escource au verbe occitan escourchar[31] (prononcer "escourtcha" en français), qui signifie "accourcir", c'est-à -dire "rendre plus court", par exemple un trajet entre deux autres communes voisines plus importantes (Labouheyre et Mimizan ?).
Encore plus proche phonétiquement, le verbe occitan escorçar[32] (prononcer "escourça" en français) - qui signifie "écorcer" - pourrait témoigner d'une activité ancienne (et bien antérieure à celle, industrielle, de la sylviculture à partir du XIXe siÚcle) pratiquée sur les arbres dans le territoire de la commune.
Histoire
Le 9 mars 1857, la commune d'Escource cĂšde 100 hectares au profit du domaine impĂ©rial de NapolĂ©on III Ă SolfĂ©rino. La mĂȘme annĂ©e, 2500 hectares de terrains communaux sont vendus Ă des propriĂ©taires privĂ©s locaux conformĂ©ment Ă la loi du 19 juin 1857 relative Ă l'assainissement et la mise en culture des Landes de Gascogne. Le village passe ainsi peu Ă peu d'une Ă©conomie pastorale Ă une Ă©conomie forestiĂšre.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].
En 2020, la commune comptait 751 habitants[Note 7], en augmentation de 14,48 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Martin-et-Saint-Roch d'Escource[37].
- Ancien lavoir du bourg.
- Ancienne minoterie.
- Ancien bureau de poste.
Ăglise Saint-Martin-et-Saint-Roch. Ancien lavoir du bourg. Ancienne minoterie. Ancien bureau de poste.
Sources de Saint-Antoine : trois sources regroupées sur le site de Cap de Pin attirent les visiteurs pour leurs vertus thérapeutiques :
- source Saint-Antoine de la Traverse : a la réputation de soigner les maladies de peau, notamment le zona et les ulcÚres variqueux ;
- source Sainte-Luce : a la réputation de guérir les maladies des yeux ;
- source Saint-CĂŽ : a la rĂ©putation de guĂ©rir, ou du moins de soulager, les maladies du cĆur (CĂŽ signifie cĆur en Gascon).
Autrefois, il fallait passer devant une « recommandaïre » qui, comme son nom l'indique, recommandait l'une des trois fontaines selon la maladie à traiter. Les vertus des saints restaient sinon sans effet. La façon d'opérer consiste à imprégner un linge de l'eau de la source désirée et de le passer sur la partie du corps à soigner, puis de l'accrocher aux arbustes prÚs de la source comme un ex-voto. Il est fort déconseillé aux autres personnes de toucher ces linges, car elles risquent d'attraper les infections que les malades sont venus soigner[38].
Saint-Antoine de la Traverse. Saint-CĂŽ. Sainte-Luce.
Escource possÚde deux autres sources guérisseuses :
- source Saint-Martin : prÚs du ruisseau de Capcos, dans une propriété privée ;
- source Saint-Roch : réputée guérir les plaies variqueuses et les entorses.
Personnalités liées à la commune
Pierre MĂ©aule (1894-1992), auteur d'un dictionnaire de gascon maritime (ou de "parler noir")[39] contenant environ 12 500 entrĂ©es, oĂč nombre de spĂ©cificitĂ©s et de tournures idiomatiques locales ont Ă©tĂ© fixĂ©es[40]. Les travaux de Pierre MĂ©aule le placent dans le sillage de ceux de FĂ©lix Arnaudin et de ceux, plus contemporains de lui, de Bernard Manciet, pour ce qui est du sous-ensemble linguistique appelĂ© "gascon maritime".
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- CommunautĂ© de communes CĆur Haute Lande
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Benoit, « Dictionnaire toponymique occitan des Landes et du Bas-Adour », sur locongres.org, Lo CongrÚs, (consulté le ).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sabres Lepa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Escource et Sabres », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sabres Lepa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Escource et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
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- « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Escource », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
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- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 270b
- , Robert Drouhault, Histoire illustrée d'un village de la Haute-Lande : Escource (2016), éditions Cairn
- https://locongres.org/fr/applications/dicodoc-fr/dicodoc-recherche?option=com_dicodoc&view=search&Itemid=683&type=fr-oc&dic%5B%5D=BASIC&dic%5B%5D=RBVD&dic%5B%5D=ATAU&dic%5B%5D=PNST&q=&q2=escorra&submit=Rechercher
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58159975/texteBrut
- https://locongres.org/fr/applications/dicodoc-fr/dicodoc-recherche?option=com_dicodoc&view=search&Itemid=683&type=fr-oc&dic%5B%5D=BASIC&dic%5B%5D=RBVD&dic%5B%5D=ATAU&dic%5B%5D=PNST&q=%C3%A9corcer&q2=&submit=Rechercher
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Travaux dans des Ă©glises landaises subventionnĂ©s par l'A.E.A.L. », Bulletin d'Informations de l'A.E.A.L., Les amis des Ă©glises anciennes des Landes (A.E.A.L.), no 22,â , p. 15-16 (lire en ligne [PDF] sur eglises-landes.cef.fr, consultĂ© en ).
- Panneau Les sources de Saint-Antoine, consulté sur site
- https://www.perlogascon.com/medias/files/dico-meaule-v.1.3.pdf
- https://oc.wikipedia.org/wiki/P%C3%A8ir_M%C3%A8ule