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Escource

Escource (Escorce, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Escource
Escource
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes CƓur Haute Lande
Maire
Mandat
Patrick Sabin
2020-2026
Code postal 40210
Code commune 40094
DĂ©mographie
Population
municipale
751 hab. (2020 en augmentation de 14,48 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 7,3 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 09â€Č 55″ nord, 1° 01â€Č 55″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 84 m
Superficie 102,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mimizan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Haute Lande Armagnac
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Escource
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Escource
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Escource
Liens
Site web www.escource.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ©e dans la forĂȘt des Landes, la commune d'Escource se trouve dans la partie la plus occidentale de la Haute Lande, en bordure du Pays de Born, Ă  environ 12 km au sud-ouest de Labouheyre et environ 17 km Ă  l'est de Mimizan.

    Elle est proche d'un lieu touristique connu, Ă  25 km vers l'est : l'Ă©comusĂ©e de MarquĂšze, qui se trouve au cƓur du parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne, sur le territoire de la commune de Sabres. Le territoire d'Escource est bordĂ© Ă  l'est par l'autoroute A63 (ancienne RN 10).

    Traversée par le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, elle comporte plusieurs points de repos qui accueillent les pÚlerins.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont LĂŒe, MĂ©zos, Onesse-Laharie, Pontenx-les-Forges, Saint-Paul-en-Born et SolfĂ©rino.

    Hydrographie

    Le ruisseau d'Escource, alimentant l'Ă©tang d'Aureilhan, passe par la commune, oĂč il porte le nom de ruisseau de Belloc sur une partie de son cours.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 122 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sabres Lepa », sur la commune de Sabres, mise en service en 1971[9] et qui se trouve Ă  23 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 082,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă  51 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Escource est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mimizan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (86,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (90,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (51,4 %), forĂȘts (34,7 %), terres arables (7,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %), zones urbanisĂ©es (1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Escource est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Escource est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escource.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 451 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999

    Toponymie

    Il s'agit peut-ĂȘtre d'un transfert Ă  la localitĂ© du nom du ruisseau d’Escource[28], selon un processus frĂ©quent en toponymie. Ce qui n'explique pas pour autant l'origine du nom lui-mĂȘme. A ce stade plusieurs hypothĂšses cohabitent.

    L’étymologie d’Escource n'est pas Ă©tablie, peut-ĂȘtre d'un terme signifiant « source »[29]. Le nom du village pourrait en effet dĂ©river du mot gascon escorra[30] (prononcer "escourre" en français) qui signifie "canal d'Ă©coulement", "dĂ©versoir" ou encore "rigole".

    Selon le Pr Jean-Baptiste Orpustan, le nom du village pouvait venir du mot basque ezkurra (prononcer « escourra »), qui signifie « le gland » ou par extension dĂ©signe l'arbre (le chĂȘne) - d’une part parce qu’on sait que la langue basque (ou proto-basque) s’étendait au nord il y a plusieurs siĂšcles bien au-delĂ  de ses limites actuelles, et d’autre part parce qu’il n’est pas difficile d’imaginer qu’il y avait beaucoup de chĂȘnes, et donc de glands, sur le territoire de cette commune.

    Une autre hypothÚse rattache le toponyme Escource au verbe occitan escourchar[31] (prononcer "escourtcha" en français), qui signifie "accourcir", c'est-à-dire "rendre plus court", par exemple un trajet entre deux autres communes voisines plus importantes (Labouheyre et Mimizan ?).

    Encore plus proche phonétiquement, le verbe occitan escorçar[32] (prononcer "escourça" en français) - qui signifie "écorcer" - pourrait témoigner d'une activité ancienne (et bien antérieure à celle, industrielle, de la sylviculture à partir du XIXe siÚcle) pratiquée sur les arbres dans le territoire de la commune.

    Histoire

    Le 9 mars 1857, la commune d'Escource cĂšde 100 hectares au profit du domaine impĂ©rial de NapolĂ©on III Ă  SolfĂ©rino. La mĂȘme annĂ©e, 2500 hectares de terrains communaux sont vendus Ă  des propriĂ©taires privĂ©s locaux conformĂ©ment Ă  la loi du 19 juin 1857 relative Ă  l'assainissement et la mise en culture des Landes de Gascogne. Le village passe ainsi peu Ă  peu d'une Ă©conomie pastorale Ă  une Ă©conomie forestiĂšre.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1821 1824 Bertrand Bonnat
    1824 1865 Jean Lagofun
    1865 1871 Jean Lagofun
    1871 1878 Justin Lagofun
    1878 1880 Pierre MĂ©aule
    1880 1892 Justin Lagofun
    1892 1908 Jean Duport
    1908 1912 Pierre Villenave
    1912 1913 Jean-Albert Bezaudun
    1913 1919 Jules Duport
    1919 1929 Dominique Duport
    1929 1945 Jules Duport
    1945 1947 Jean Roquebert
    1947 1959 Jean-Marcel Tité
    1959 1989 Antonin Dagrau (dit Pierre)
    1989 2004 Marc Lauga directeur de société retraité
    2004 2008 Robert Labeyrie
    2008 En cours Patrick Sabin chef d'entreprise

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 751 habitants[Note 7], en augmentation de 14,48 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9006686738811 0611 1031 1801 2081 304
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4191 6171 3301 2981 2721 2191 2231 2701 174
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2001 1921 1251 041953951816704729
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    686585522523612606596595633
    2017 2020 - - - - - - -
    721751-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin-et-Saint-Roch d'Escource[37].
    • Ancien lavoir du bourg.
    • Ancienne minoterie.
    • Ancien bureau de poste.
    • Église Saint-Martin-et-Saint-Roch.
      Église Saint-Martin-et-Saint-Roch.
    • Ancien lavoir du bourg.
      Ancien lavoir du bourg.
    • Ancienne minoterie.
      Ancienne minoterie.
    • Ancien bureau de poste.
      Ancien bureau de poste.

    Sources de Saint-Antoine : trois sources regroupées sur le site de Cap de Pin attirent les visiteurs pour leurs vertus thérapeutiques :

    • source Saint-Antoine de la Traverse : a la rĂ©putation de soigner les maladies de peau, notamment le zona et les ulcĂšres variqueux ;
    • source Sainte-Luce : a la rĂ©putation de guĂ©rir les maladies des yeux ;
    • source Saint-CĂŽ : a la rĂ©putation de guĂ©rir, ou du moins de soulager, les maladies du cƓur (CĂŽ signifie cƓur en Gascon).

    Autrefois, il fallait passer devant une « recommandaïre » qui, comme son nom l'indique, recommandait l'une des trois fontaines selon la maladie à traiter. Les vertus des saints restaient sinon sans effet. La façon d'opérer consiste à imprégner un linge de l'eau de la source désirée et de le passer sur la partie du corps à soigner, puis de l'accrocher aux arbustes prÚs de la source comme un ex-voto. Il est fort déconseillé aux autres personnes de toucher ces linges, car elles risquent d'attraper les infections que les malades sont venus soigner[38].

    • Saint-Antoine de la Traverse.
      Saint-Antoine de la Traverse.
    • Saint-CĂŽ.
      Saint-CĂŽ.
    • Sainte-Luce.
      Sainte-Luce.

    Escource possÚde deux autres sources guérisseuses :

    • source Saint-Martin : prĂšs du ruisseau de Capcos, dans une propriĂ©tĂ© privĂ©e ;
    • source Saint-Roch : rĂ©putĂ©e guĂ©rir les plaies variqueuses et les entorses.

    Personnalités liées à la commune

    Pierre MĂ©aule (1894-1992), auteur d'un dictionnaire de gascon maritime (ou de "parler noir")[39] contenant environ 12 500 entrĂ©es, oĂč nombre de spĂ©cificitĂ©s et de tournures idiomatiques locales ont Ă©tĂ© fixĂ©es[40]. Les travaux de Pierre MĂ©aule le placent dans le sillage de ceux de FĂ©lix Arnaudin et de ceux, plus contemporains de lui, de Bernard Manciet, pour ce qui est du sous-ensemble linguistique appelĂ© "gascon maritime".

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Benoit, « Dictionnaire toponymique occitan des Landes et du Bas-Adour », sur locongres.org, Lo CongrÚs, (consulté le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sabres Lepa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Escource et Sabres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sabres Lepa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Escource et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Escource », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 270b
    29. , Robert Drouhault, Histoire illustrée d'un village de la Haute-Lande : Escource (2016), éditions Cairn
    30. https://locongres.org/fr/applications/dicodoc-fr/dicodoc-recherche?option=com_dicodoc&view=search&Itemid=683&type=fr-oc&dic%5B%5D=BASIC&dic%5B%5D=RBVD&dic%5B%5D=ATAU&dic%5B%5D=PNST&q=&q2=escorra&submit=Rechercher
    31. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58159975/texteBrut
    32. https://locongres.org/fr/applications/dicodoc-fr/dicodoc-recherche?option=com_dicodoc&view=search&Itemid=683&type=fr-oc&dic%5B%5D=BASIC&dic%5B%5D=RBVD&dic%5B%5D=ATAU&dic%5B%5D=PNST&q=%C3%A9corcer&q2=&submit=Rechercher
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Travaux dans des Ă©glises landaises subventionnĂ©s par l'A.E.A.L. », Bulletin d'Informations de l'A.E.A.L., Les amis des Ă©glises anciennes des Landes (A.E.A.L.), no 22,‎ , p. 15-16 (lire en ligne [PDF] sur eglises-landes.cef.fr, consultĂ© en ).
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