LĂ©vignac-de-Guyenne
Lévignac-de-Guyenne est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.
LĂ©vignac-de-Guyenne | |||||
La mairie (juillet 2015) | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Duras | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Berry 2020-2026 |
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Code postal | 47120 | ||||
Code commune | 47147 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Lévignacais | ||||
Population municipale |
685 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 27 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 37âČ 50âł nord, 0° 12âČ 00âł est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 122 m |
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Superficie | 25,02 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Marmande (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton des Coteaux de Guyenne | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.levignac-de-guyenne.com/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe du département de la Gironde.
Communes limitrophes
LĂ©vignac-de-Guyenne est limitrophe de six autres communes dont l'une en Gironde et l'autre en un seul point. Les communes limitrophes sont Saint-Pierre-sur-Dropt, Caubon-Saint-Sauveur, Taillecavat, Monteton, Saint-Avit et Saint-GĂ©raud.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Duras », sur la commune de Duras, mise en service en 1962[8] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 803,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă 60 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Lévignac-de-Guyenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (87,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (84,6 %), forĂȘts (11 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,7 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de LĂ©vignac-de-Guyenne est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le Caubon. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1994, 1999 et 2009[23] - [21].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[25]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 7] - [26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Levinhaco (forme occitane latinisée) en 1284, 1326, 1513, 1520; Levygnak en 1305; Lybynhon en 1307-1317; Lévignac au XVIIe siÚcle (forme française)[27].
Le nom s'est fixé sous la forme officielle avec un déterminant complémentaire : Lévignac-de-Seyches, puis Lévignac-de-Guyenne en 1929[27].
Il s'agit dâune formation toponymique gallo-romaine en -(i)acum[28] - [27], suffixe d'origine gauloise (*-Äcon < proto-celtique *-Äko-) qui marque le lieu ou la propriĂ©tĂ©. La plupart des toponymistes s'accordent pour voir dans le premier Ă©lĂ©ment LĂ©vign- (occ. Levinh-), l'anthroponyme latin Levinius dĂ©rivĂ© de Levius[28] ou Levinus d'aprĂšs Ernest NĂšgre[27].
Le nom s'est fixé sous la forme officielle avec un déterminant complémentaire : Lévignac-de-Seyches, puis Lévignac-de-Guyenne en 1929[27].
La Guyenne est une ancienne province. Ses limites ont fluctué au cours de l'histoire sur une partie des territoires des régions françaises Nouvelle-Aquitaine et Occitanie. Portant le titre de duché, la Guyenne avait pour capitale Bordeaux.
Le nom gascon de la commune est Levinhac de Guiana.
Histoire
Bastide anglaise fondée en 1305 par Edouard Ier.
Avant 1806, la commune absorbe celle voisine de Sainte-Croix-et-Civert â oĂč se situe l'Ă©glise Sainte-Croix â puis, de 1839 Ă 1868, celle de Saint-GĂ©raud peuplĂ©e, Ă l'Ă©poque, de 200 Ă 250 habitants[29].
Politique et administration
DĂ©mographie
Les habitants sont appelés les Lévignacais[31]
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].
En 2020, la commune comptait 685 habitants[Note 8], en augmentation de 8,21 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La commune est spécialisée dans la production de pruneaux d'Agen[35].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame, dans le centre du village, a été reconstruite au XIXe siÚcle en style néo-gothique[36] et son clocher surmonté d'une flÚche impressionnante[37].
- L'église Sainte-Croix, dans le sud du territoire communal, a été construite au XIIIe siÚcle en appareil de pierres et de briques[38] ; il n'en subsiste aujourd'hui que les murs de ceinture, un autel et une cuve baptismale ; l'ensemble a été dégagé d'une végétation envahissante et les vestiges réhabilités entre 1984 et 1988 par les soins des associations culturelles « Les Quatre Saisons » de Lévignac et le « CAMESIRA 47 ».
- Une halle du XVIIIe siĂšcle trĂŽne au milieu de la place centrale de la bastide[35].
- Une croix de mission, datée de 1819, est installée le long du mur de l'école communale, face à l'église Saint-Pierre[39].
- L'Ă©glise Notre-Dame (juillet 2015)
- L'Ă©glise Sainte-Croix (juillet 2015)
- Nef de l'Ă©glise Sainte-Croix (juillet 2015)
- La halle (juillet 2015)
- La croix de mission (juillet 2015)
- Le monument aux morts (juillet 2015)
Personnalités liées à la commune
- Léo Melliet, né à Lévignac en 1843, membre du conseil de la Commune de Paris, député de Lot-et-Garonne (1898-1902).
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Duras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lévignac-de-Guyenne et Duras », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Duras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lévignac-de-Guyenne et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lévignac-de-Guyenne », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes Lot et Garonne, ed. CAIRN, Pau, 2012, p. 158
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, réédition Librairie Guénégaud, 1984, p. 399.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- LĂ©vignac-de-Guyenne sur le site de l'amicale des maires de Lot-et-Garonne.
- Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 21 juillet 2015.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Halle et place centrale sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 juillet 2015.
- Ăglise Saint-Pierre sur le site « Visites en Aquitaine - RĂ©gion Aquitaine » (CC-BY-SA), consultĂ© le 21 juillet 2015.
- Clocher de lâĂ©glise Saint-Pierre sur le site « Visites en Aquitaine - RĂ©gion Aquitaine » (CC-BY-SA), consultĂ© le 21 juillet 2015.
- Ăglise Sainte-Croix sur le site « Visites en Aquitaine - RĂ©gion Aquitaine » (CC-BY-SA), consultĂ© le 21 juillet 2015.
- Croix de mission sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 juillet 2015.