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Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement

L’institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE) est un établissement public à caractère scientifique et technologique (EPST) français sous la tutelle conjointe du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR) et de celui chargé de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire (MASA).

Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement
La science pour la vie, l'humain, la terre
Cadre
Sigle
Inrae
Type
Forme juridique
Domaine d'activité
Recherche-développement en autres sciences physiques et naturelles
Siège
Antony (Hauts-de-Seine)
Paris 7e, 147 rue de l'Université
Pays
Coordonnées
48° 51′ 40″ N, 2° 18′ 25″ E
Organisation
Effectif
11 523 employĂ©s ()
Président-directeur général
Budget
1 000 000 000 € ()
Chiffre d'affaires
30 900 000 euros ()
Site web
Carte

Créé en 2020, il est issu de la fusion entre l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA)[1].

Selon son décret fondateur, INRAE a pour missions « de réaliser, d'organiser et de coordonner, sur son initiative ou à la demande de l'État, tous travaux de recherche scientifique et technologique dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation, de la forêt, de l'environnement, de l'eau, de la biodiversité, de la bioéconomie, de l'économie circulaire, de la gestion durable des territoires et des risques dans les champs de compétence précités. »[1].

INRAE compte parmi les premiers instituts au monde pour l'Ă©tude des relations entre l'agriculture, l'environnement et l'alimentation[2] - [3].

Historique

L’institut est créé le par fusion de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA)[1].

Missions

INRAE a pour missions « de réaliser, d'organiser et de coordonner, à son initiative ou à la demande de l'État, tous travaux de recherche scientifique et technologique dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation, de la forêt, de l'environnement, de l'eau, de la biodiversité, de la bioéconomie, de l'économie circulaire, de la gestion durable des territoires et des risques dans les champs de compétence précités. »[1]. Dans ce cadre, le décret fondateur distingue 8 types d'actions :

  1. produire, publier et diffuser les connaissances scientifiques résultant de ses travaux de recherche et d'expertise,
  2. organiser l'accès libre aux données scientifiques et aux publications (sauf dispositions ou clauses contraires),
  3. concourir à l'élaboration de la politique et de la stratégie nationale et européenne de recherche,
  4. apporter son concours à l'enseignement supérieur et à la formation à la recherche et par la recherche dans ses domaines de compétence
  5. établir et mettre en œuvre des partenariats avec les établissements d'enseignement supérieur et de recherche
  6. contribuer à la conception d'innovations technologiques et sociales via la valorisation de ses compétences, de ses savoir-faire et des résultats de la recherche,
  7. contribuer au développement de la capacité d'expertise scientifique et technologique, conduire des expertises et contribuer aux activités de normalisation pour répondre aux enjeux du développement durable en appui aux politiques publiques, aux fondations et associations reconnues d'utilité publique,
  8. participer aux débats qui portent sur la place de la science et de la technologie dans la société.

Thématiques de recherche

Agroécologie

Au sein de cette thématique, l'agroforesterie est un sujet important[4].

Organisation

Centre INRAE (ex-IRSTEA) de Clermont-Ferrand.

INRAE comporte 14 départements scientifiques dont les membres sont répartis dans 18 centres régionaux, en métropole et dans les territoires d'outre-mer, en plus d'un siège sur 2 sites en région parisienne. Au total, INRAE regroupe 268 unités de recherche, de service ou expérimentales[5].

Siège et centres de recherche

INRAE compte un centre-siège "bi-sites", à Paris et à Antony (Hauts-de-Seine) et 18 centre régionaux en métropole et dans les territoires d'outre-mer. Ces 18 centres, leurs implantations et leurs axes de recherche sont[6] :

  • Antilles-Guyane (Guadeloupe, Guyane), axĂ© sur les problĂ©matiques agri-environnementales insulaires et continentales tropicales[7] ;
  • Bourgogne-Franche-ComtĂ© (Dijon, Époisses, Poligny), axĂ© sur l’agroĂ©cologie, le goĂ»t et l’alimentation, les territoires ruraux et pĂ©riurbains[8] ;
  • Bretagne-Normandie (Rennes, Caen, Quimper, Ploudaniel), axĂ© sur la durabilitĂ© des systèmes et des filières agricoles sur les territoires Ă  forte densitĂ© de production et urbanisĂ©s[9] ;
  • Clermont - Auvergne-RhĂ´ne-Alpes (Clermont-Ferrand, Aurillac, Laqueuille, Saint-Genès-Champanelle, Marcenat (Cantal), Montoldre), axĂ© sur la nutrition humaine prĂ©ventive, les cĂ©rĂ©ales, la qualitĂ© des produits, les territoires, l’élevage Ă  l’herbe, la robotique appliquĂ©e Ă  l’agriculture, le fonctionnement de l’arbre[10] - [11];
  • Corse (San Giuliano, Corte), axĂ© sur le changement climatique, la diffĂ©renciation sur les marchĂ©s, la gestion durable des ressources, la gĂ©nĂ©tique, les enjeux de santĂ©, les recherches partenariales et participatives[12] ;
  • Grand Est-Colmar (Colmar), axĂ© sur les innovations pour une viticulture durable[13] ;
  • Grand Est-Nancy (Champenoux, Mirecourt), axĂ© sur l’adaptation des Ă©cosystèmes et des sols forestiers, agricoles et urbains aux changements globaux, et la gestion durable de ces territoires[14] ;
  • Hauts-de-France (EstrĂ©es-Monts, Laon, Arras, Villeneuve d'Ascq), axĂ© sur la multi-performance de systèmes de grandes cultures pour une bioĂ©conomie durable, et l’hygiène des procĂ©dĂ©s agro-alimentaires[15] ;
  • ĂŽle-de-France - Jouy-en-Josas-Antony (Jouy-en-Josas, Antony, Saclay-Palaiseau), axĂ© sur la biologie animale, la microbiologie, les sciences de l'aliment et de la chaĂ®ne du froid, la gestion des dĂ©chets, l'hydrologie, les eaux continentales et les eaux usĂ©es[16] ;
  • ĂŽle-de-France - Versailles-Grignon (Versailles, Thiverval-Grignon), axĂ© sur la biologie des plantes, de l’agriculture et de l’écologie, de l’alimentation et des aliments[17] ;
  • Lyon-Grenoble - Auvergne-RhĂ´ne-Alpes (Lyon, Grenoble, Thonon-les-Bains), axĂ© sur l'eau, les risques naturels, l'amĂ©nagement du territoire, la nutrition humaine et la biologie des plantes[18] ;
  • Nouvelle-Aquitaine-Bordeaux (Villenave d'Ornon, Cestas, Saint-PĂ©e-sur-Nivelle), axĂ© sur les sciences du vĂ©gĂ©tal, l'Ă©cologie et l'environnement, les sciences humaines et sociales, les neurosciences et la nutrition[19] ;
  • Nouvelle-Aquitaine-Poitiers (Lusignan, Surgères), axĂ© sur les prairies, les productions animales et les territoires, pour une agriculture performante et durable[20] ;
  • Occitanie-Montpellier (Montpellier, Marseillan-Plage, Gruissan, Narbonne), qui se caractĂ©rise par son ouverture vers les pays du sud et sa spĂ©cificitĂ© mĂ©diterranĂ©enne[21] ;
  • Occitanie-Toulouse (Toulouse, Roquefort-sur-Soulzon), axĂ© sur la biologie, les biotechnologies et l'agronomie, les sciences vĂ©gĂ©tales, animales et la gestion de la santĂ©, les sciences Ă©conomiques et sociales et de l’information[22] ;
  • Pays de la Loire (Nantes, Angers), axĂ© sur la santĂ© des productions agricoles (vĂ©gĂ©tales et animales), la transformation durable des agro-bioressources (aliments et matĂ©riaux) et la qualitĂ© sanitaire et nutritionnelle des aliments[23] ;
  • Provence-Alpes-CĂ´te d’azur (Avignon, Antibes-Juan-les-Pins), axĂ© sur les enjeux spĂ©cifiques aux objets et territoires mĂ©diterranĂ©ens : agroĂ©cologie et adaptation de l’agriculture et des forĂŞts au changement climatique, ressources hydriques, risques naturels, nutrition humaine[24] ;
  • Val de Loire (Nouzilly, OrlĂ©ans, Bourges), axĂ© sur la dynamique des sols et la gestion de l’environnement, la biologie intĂ©grative des arbres et de la biodiversitĂ© associĂ©e pour la gestion durable des Ă©cosystèmes forestiers, la biologie animale intĂ©grative et la durabilitĂ© des systèmes d’élevage et l'Infectiologie et le « One Health »[25].

DĂ©partements scientifiques

INRAE comporte 14 départements scientifiques au sein desquels s'insèrent les équipes présentes dans les centres de recherche, une équipe pouvant être sous la tutelles de plusieurs départements[26] :

  • Action, transitions et territoires (ACT), qui Ă©tudie les transformations de l’agriculture, des systèmes socio-Ă©cologiques et des systèmes alimentaires[26] ;
  • AgroĂ©cosystèmes (AGROECOSYSTEM) qui cherche Ă  comprendre le fonctionnement et l'Ă©volution des agroĂ©cosystèmes[26] ;
  • Alimentation humaine (ALIM-H) qui Ă©tudie les comportements alimentaires et leurs relations avec la santĂ©, le bien-ĂŞtre et l'environnement[27] ;
  • Écosystèmes aquatiques, ressources en eau et risques (AQUA) qui Ă©tudie le fonctionnement et l'Ă©volution des Ă©cosystèmes aquatiques, du cycle de l’eau et des cycles biogĂ©ochimiques[26] ;
  • Biologie et amĂ©lioration des plantes (BAP) qui vise Ă  produire des connaissances fondamentales et opĂ©rationnelles sur le fonctionnement des plantes en interaction avec leur environnement, pour comprendre et optimiser le fonctionnement des agrosystèmes[28] ;
  • Écologie et biodiversitĂ© (ECODIV) qui des Ă©tudie la structure, le fonctionnement et l’évolution des Ă©cosystèmes forestiers, prairiaux et aquatiques[29] ;
  • Économie et sciences sociales (ECOSOCIO) qui cherche Ă  comprendre le fonctionnement et les Ă©volutions Ă©conomiques et sociales de l’agriculture, des industries agroalimentaires et agro-industries, et de l’alimentation en lien avec les enjeux environnementaux et Ă  Ă©clairer les dĂ©bats publics et les dĂ©cisions publiques et privĂ©es. Le dĂ©partement ECOSOCIO est le collectif francophone de recherche le plus important en sciences sociales appliquĂ©es Ă  l’agriculture, l’alimentation et l’environnement[30] ;
  • GĂ©nĂ©tique animale (GA) qui vise Ă  aider Ă  concevoir des systèmes d’élevage agroĂ©cologiques, en contribuant Ă  leurs performances Ă©conomiques, environnementales et sociales grâce Ă  une meilleure comprĂ©hension de la diversitĂ© gĂ©nĂ©tique des populations animales domestiques[31] ;
  • MathĂ©matiques et numĂ©rique (MATHNUM) qui est consacrĂ© aux recherches en mathĂ©matiques, informatique, sciences de la donnĂ©e et technologies du numĂ©rique[32] ;
  • Microbiologie et chaĂ®ne alimentaire (MICA) qui dĂ©veloppe des recherches en microbiologie fondamentale et appliquĂ©e focalisĂ©es sur l'alimentation, la santĂ© animale et humaine et les biotechnologies[33];
  • Physiologie animale et systèmes d’élevage (PHASE) qui vise Ă  la conception de systèmes d'Ă©levage durables[34];
  • SantĂ© animale (SA) qui Ă©tudie la santĂ© des animaux d’élevage en lien avec la santĂ© humaine pour prĂ©venir, dĂ©tecter et lutter contre les maladies dues aux agents infectieux et chimiques[26] ;
  • SantĂ© des plantes et environnement (SPE) qui a pour finalitĂ© la protection et la santĂ© des cultures dans le respect de l’environnement, de la plante au paysage[35] ;
  • Aliments, produits biosourcĂ©s et dĂ©chets (TRANSFORM) qui Ă©tudie les processus de transformation de matières organiques en aliments et produits bio-sourcĂ©s pour valoriser des rĂ©sidus de l’activitĂ© humaine[26].

Direction

Présidents
IdentitéPériodeDurée
DĂ©butFin
Philippe Mauguin[36]
(né en )

Prix

INRAE décerne des prix annuels dont le Laurier Espoir scientifique INRAE

Collaborations

Publications

Sciences participatives et relations avec le grand public

Applications mobiles

INRAE participe ou a participé au développement d'applications mobiles, avec notamment pour objectif de favoriser la science participative chez les professionnels ou les citoyens[37].

Ces applications sont tournées vers :

  • les plantes :
    • Pl@ntNet[38], application lancĂ©e en 2013, dans le cadre d'un projet dĂ©butĂ© en 2009 et qui permet l'identification des plantes Ă  partir de photographies, grâce Ă  des mĂ©thodes d'apprentissage automatique. En 2019, l'application revendiquait 20 000 espèces de plantes identifiĂ©es, et plus de 10 millions de tĂ©lĂ©chargements dans 180 pays ;
    • Vigil’encre[39], une application permettant documenter la prĂ©sence de l'encre du châtaignier, une maladie causĂ©e par des agents pathogènes racinaires ;
    • les Di@gnoplant[40], une suite de 9 applications qui aident Ă  diagnostiquer les maladies des plantes, proposent des mĂ©thodes de lutte alternatives, permettent de dĂ©clarer un dĂ©but d’épidĂ©mie ou signaler un pathogène Ă©mergent. Les applications concernent les tomates, les salades, le melon, la courgette, la vigne, le tabac, les pommes et les prunes. La neuvième application, « Di@gnoplant BiocontrĂ´le » permet d’identifier, de mieux connaĂ®tre et de gĂ©rer les principaux ravageurs des cultures, ainsi que les acteurs de la lutte biologique ;
    • VigiJardin[41], qui synthĂ©tise les connaissances sur les principaux ravageurs et maladies que peuvent observer les jardiniers sur diffĂ©rentes espèces vĂ©gĂ©tales et aide Ă  les diagnostiquer ;
    • Vigi-Horti, qui permet d'accĂ©der Ă  des fiches qui dĂ©crivent et permettent d'identifier les nuisibles de huit catĂ©gories de plantes d’ornement.
  • les insectes, en particulier les tiques et les espèces invasives :
    • Signalement Tique[42], pour cartographier le risque de piqĂ»re de tique en France ;
    • Agiir[43], pour Ă©tudier Ă  grande Ă©chelle la rĂ©partition en France de plusieurs insectes envahissant.
  • les rivières :
    • CrowdWater[44], qui permet de collecter des donnĂ©es sur les rivières intermittentes Ă  l'Ă©chelle europĂ©enne.

Le microbiote français, Le French gut

Le projet Le French Gut[45] est une initiative de science participative majeure portée par l'unité MetaGenoPolis de INRAE en collaboration l'AP-HP et des partenaires publics (AgroParis Tech, Institut national de la santé et de la recherche médicale) ainsi que 11 partenaires privés. Le projet a pour objectif de cartographier le microbiote intestinal humain de 100 000 volontaires en France par analyse métagénomique d'échantillons de selles afin de mieux comprendre sa relation avec le régime alimentaire, les modes de vie et la santé. Cette étude à grande échelle commencée en 2022 dont le coût s'élève à 32 M€ sur 5 ans a déjà convaincu environ 3000 participants dans les 10 jours suivants son lancement[46]. Les chercheurs espèrent que le projet contribuera à l'élaboration de recommandations nutritionnelles préventives et à de nouvelles stratégies thérapeutiques.

Notes et références

  1. Décret n° 2019-1046 du 10 octobre 2019 relatif à l'organisation et au fonctionnement de l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement
  2. « L’Inrae, fruit de la fusion de deux organismes scientifiques », sur sciencesetavenir.fr, (consulté le )
  3. « Inrae : que change la fusion de l’Inra et l’Irstea pour l’agriculture ? », sur reussir.fr, (consulté le )
  4. « Chantier Agroforesterie - Rapport de synthèse », sur HAL.INRAE.fr
  5. « Nous connaître », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  6. « Liste des centres INRAE | INRAE INSTIT », sur www.inrae.fr (consulté le )
  7. « Antilles-Guyane », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  8. « Bourgogne-Franche-Comté », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  9. « Bretagne-Normandie », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  10. « Clermont-Auvergne-Rhône-Alpes », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  11. Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, « Rapport d'Activité Clermont-Auvergne-Rhône-Alpes 2021 » [PDF], sur www.inrae.fr
  12. « Corse », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  13. « Grand-Est - Colmar », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  14. « Grand-Est - Nancy », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  15. « Hauts-de-France », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  16. « Ile-de-France - Jouy-en-Josas - Antony », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  17. « Ile-de-France - Versailles-Grignon », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  18. « Lyon-Grenoble Auvergne-Rhône-Alpes », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  19. « Nouvelle-Aquitaine Bordeaux », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  20. « Nouvelle-Aquitaine Poitiers », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  21. « Occitanie-Montpellier », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  22. « Occitanie-Toulouse », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  23. « Pays de la Loire », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  24. « Provence-Alpes-Côte d’Azur », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  25. « Val de Loire », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  26. « Organisation », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  27. « ALIMH », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  28. « BAP », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  29. « ECODIV », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  30. « ECOSOCIO », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  31. « GA », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  32. « MATHNUM », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  33. « MICA », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  34. « PHASE », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  35. « SPE », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  36. « https://www.inrae.fr/actualites/nomination-philippe-mauguin-presidence-dinrae »
  37. « Les applis INRAE », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  38. « Pl@ntNet a 10 ans : la plateforme collaborative pérennisée en créant un consortium ouvert », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  39. « Mieux connaître la maladie de l’encre du châtaignier grâce aux sciences participatives : lancement de l’application Vigil'encre », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  40. « E-Phytia : le web et les smartphones au chevet des plantes malades », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  41. « Les applis INRAE », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  42. « "Signalement Tique" : nouvelle version de l’application pour signaler les piqûres de tiques », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  43. « AGIIR contre les insectes invasifs, une « appli » de science participative », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  44. « Lancement d'une campagne d'observation des rivières intermittentes à l'échelle européenne », sur INRAE Institutionnel (consulté le )
  45. « Bienvenue sur LeFrenchGut », sur LeFrenchGut (consulté le )
  46. « Lancement du projet Le French Gut : mieux connaître le microbiote français », sur INRAE Institutionnel (consulté le )

Liens externes

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