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Hibiscus tiliaceus

Hibiscus tiliaceus (ou Talipariti tiliaceum[2] - [3]) est un arbre de la famille des MalvacĂ©es, trĂšs commun sur les cĂŽtes des Ăźles d'OcĂ©anie et d'Asie du Sud-Est. Son Ă©corce interne forme un textile utilisĂ© dans de nombreuses traditions. Le genre de cette espĂšce a changĂ© pour « Talipariti »[4], mais dans la littĂ©rature on parle encore souvent d’Hibiscus.

DĂ©nominations

Hibiscus tiliaceus est connu sous les noms suivants :

Dans les langues malayo-polynésiennes :

  • Tahitien : PĆ«rau, autrefois fau, mot vieilli que l'on retrouve toujours comme radical dans les mots raufau (feuilles de l'Hibiscus tiliaceus), puāfau (fleurs Ă©closes de l'Hibiscus tiliaceus), puapuāfau (fleurs de l'Hibiscus tiliaceus qui ne sont pas encore Ă©closes).
  • Fidjien : Vau[5].

Dans les langues indo-européennes :

  • Allemand : LindenblĂ€ttriger Eibisch.
  • Anglais : Beach Hibiscus, Tewalpin, Sea Hibiscus, lagoon Hibiscus, Coastal Cottonwood, Mahoe, bladder ketmia[5].

En Polynésie française, les locuteurs francophones utilisent couramment le nom tahitien pƫrau.

En Nouvelle-CalĂ©donie, on l'appelle Bourao. À l'Ăźle de La RĂ©union, on l'appelle Mahot bord de mer. On le nomme aussi Bois de liĂšge ou Ketmie Ă  feuilles de tilleul[6].

Linné a choisi comme nom latin « tiliaceus » pour cette espÚce, car la forme des feuilles de cette plante est semblable à ceux du Tilleul, ayant comme nom latin « Tilia » [5].

Variétés principales

  • PĆ«rau ahue : variĂ©tĂ© qui pousse bien droit. Bois de charpente.
  • PĆ«rau hiva : espĂšce la plus commune.
  • PĆ«rau ’opi’opi : variĂ©tĂ© qui a des feuilles et des fleurs cannelĂ©es.
  • PĆ«rau mā’ohi : ses feuilles servent Ă  prĂ©parer la nourriture.
  • PĆ«rau papa : cette variĂ©tĂ© pousse sur les rochers et n'a pas de graines.
  • PĆ«rau tƍroire : variĂ©tĂ© Ă  petites feuilles.
  • PĆ«rau papa’ā : autre nom de l'ambrette, fauti’a (ty) ou fautĆ« (ty).

Caractéristiques

Port général

Hibiscus tiliaceus est considéré comme un arbuste ou un petit arbre, sa taille est trÚs variable, les branches les plus hautes peuvent atteindre entre 6 et 15 mÚtres[5] - [7] - [8] - [9] - [10].

Arbre Hibiscus tiliaceus, Jardin botanique de la reine Sirikit, ThaĂŻlande.

Appareil végétatif

Feuilles d'Hibiscus tiliaceus.
Tronc d'Hibiscus tiliaceus.

Hibiscus tiliaceus est un arbre assez robuste avec un tronc pouvant atteindre 40 Ă  50 cm de diamĂštre[11], de couleurs dans les tons gris-brun pouvant ĂȘtre couvert de lenticelles.

Ses branches sont ramifiées, flexibles, il y a présence de poils doux sur certaines parties de la plante dont les jeunes branches, les bourgeons, les feuilles ainsi que les fleurs[8].

Ses feuilles sont alternes, avec un pĂ©tiole allant de 6 Ă  17 cm et un limbe de forme ovale Ă  orbiculaire, rarement lobĂ© (3 lobes si c’est le cas). À la base des feuilles, les stipules de plus ou moins 3,5 cm de long sont de forme lancĂ©olĂ©e Ă  ovale[7]. Les feuilles font entre 3 et 20 cm de long et de 2 Ă  20 cm de large[12] avec un bord entier ou finement dentĂ©, et l’apex arrondi ou acuminĂ©. Il y a la prĂ©sence de 5 Ă  9 nervures Ă  partir de la base. Les faces infĂ©rieure et supĂ©rieure peuvent ĂȘtre couvertes ou non de poils ou de fin duvet[7]. Elles sont de couleur vert sombre, bien qu'il existe parfois des plantes Ă  feuillage violacĂ©[5].

Appareil reproducteur

Fleurs d'Hibiscus tiliaceus.

L'inflorescence est en cyme terminale composĂ©e gĂ©nĂ©ralement de 3 Ă  6 fleurs qui sont bisexuĂ©es, attachĂ©es par un pĂ©dicelle de 0,5 Ă  2 cm articulĂ© Ă  sa base. Une fleur a 5 mĂšres, des pĂ©tales libres de forme ovale allant de 4 Ă  7 cm[7]. Elle possĂšde un calicule et un calice, le premier Ă©tant formĂ© de 8 Ă  13 segments de 7 Ă  11 mm de longueur et de forme triangulaire, alors que le deuxiĂšme a des segments de 19 Ă  28 mm de long avec des lobes de forme lancĂ©olĂ©e[10]. Il y a de nombreuses Ă©tamines, mais celles-ci sont soudĂ©es ensembles, formant une structure de 2,5 cm de haut. Il y a prĂ©sence d’un ovaire supĂšre, 5 locules ainsi qu'un style Ă  5 branches. Des poils gris se situent sur la capsule ovoĂŻde (parfois ellipsoĂŻde) de 3 cm que constitue le fruit. Celui-ci contient de nombreuses graines (environ 4x2 mm) de couleur brunes, rĂ©niformes[7]. La fleur de l'Hibiscus tiliaceus ne vit qu'un seul jour[8] : ses fleurs naissent blanches le matin, mais leur couleur varie au cours de la journĂ©e jusqu'Ă  leur chute de l'arbre le soir. Elles passent du blanc au jaune pĂąle, puis rose, fuchsia, pourpre et enfin violine. Si une ou plusieurs fleurs demeurent plus d'un jour, cela peut donner des situations oĂč l'on peut observer des fleurs orange et d'autres dans les tons rouge sur un mĂȘme arbre[5].

Taxonomie et classification

Un taxonomiste expert en Malvaceae, Paul Fryxell, a rĂ©cemment reclassĂ© H.tiliaceus ainsi que 21 espĂšces proches du mĂȘme genre dans le nouveau genre « Talipariti »[4]. Des Ă©tudes phylogĂ©nĂ©tiques ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es sur le genre Hibiscus, prouvant la monophylie de H. tiliaceus [13].

Ecologie

RĂ©gions d’origine et rĂ©gions oĂč la plante s’est naturalisĂ©e

L’origine d’Hibiscus tiliaceus est assez incertaine, mais il est sĂ»r qu’il s'Ă©tend surtout dans les rĂ©gions tropicales d'Afrique, d’AmĂ©rique, d’Asie, d’Australie et des Ăźles du Pacifique[7]. Il s'est naturalisĂ© dans quelques rĂ©gions comme la Floride, Porto Rico et les Ăźles Vierges[14].

Impacts de la plante en dehors de sa rĂ©gion d’origine

En Floride, Hibiscus tiliaceus est rĂ©pertoriĂ© comme nuisible de catĂ©gorie II par le « Florida Exotic Pest Plant Council » et a donc le potentiel d'ĂȘtre envahissant et de perturber les espĂšces indigĂšnes[5] - [15] - [16].

Habitat

Hibiscus tiliaceus se trouve sur les zones cĂŽtiĂšres, oĂč la pluviomĂ©trie annuelle moyenne est assez Ă©levĂ©e : jusqu'Ă  900-2500 mm[7]. Il peut toutefois ĂȘtre trouvĂ© Ă  des altitudes allant jusqu'Ă  800 m[17]. Il est assez tolĂ©rant Ă  la sĂ©cheresse et s'adapte Ă  de nombreux sols diffĂ©rents : sols Ă  texture lĂ©gĂšre, lourde, sols acides ou basiques (pH 5–8,5), 
 De plus, il est halophyte, c’est-Ă -dire qu'il s'adapte assez bien aux milieux avec une salinitĂ© Ă©levĂ©e. Ses prĂ©fĂ©rences sont toutefois axĂ©es sur les sols retenant l'humiditĂ©, les sols sablonneux riches en matiĂšres organiques. Il se dĂ©veloppe bien sur la vase, la marne, le sable et le calcaire[17] . On le retrouve aussi parfois en bord de lacs et de riviĂšres, dans les zones perturbĂ©es de la forĂȘt, les terres cultivĂ©es dĂ©gradĂ©es, en pĂ©riphĂ©rie des villages, dans les jachĂšres ou les pĂąturages[7] .

Interactions avec d’autres organismes

En Afrique de l'Est et en Asie tropicale, Hibiscus tiliaceus est souvent associé à Barringtonia spp. dans les mangroves en bordure de rives sablonneuses[7].

La pollinisation d’H. tiliaceus se fait par les oiseaux et les insectes[7].

Cycle de vie

Le taux de germination est d'environ 50%. C'est une plante de jours courts, c’est-Ă -dire qu'elle dĂ©veloppe ses fleurs quand les nuits sont longues[7].

Propriétés

Les graines sont constituĂ©es de 2,2% d'huile, qui contient des acides gras cyclopropĂ©niques (l’acide malvalique ainsi que l’acide sterculique). Chez les animaux, ces composĂ©s provoquent des troubles physiologiques. Cette plante contient Ă©galement des quinones sesquiterpĂ©noĂŻdes et du lapachol[18].

Utilisation

Horticulture et ornement

Hibiscus tiliaceus est planté comme tuteur de plantes grimpantes, pour reboiser des terres, ou comme arbre d'ombrage. Certaines variétés d'H. tiliaceus, à fleurs roses et blanches et à feuilles violettes, sont utilisées comme plantes ornementales[5].

MĂ©decine

Les propriétés sont diverses et changent quelque peu selon la région :

  • Madagascar : l'infusion des fleurs est utilisĂ©e pour soigner les troubles respiratoires.
  • Gabon : les feuilles sont reconnues pour avoir des propriĂ©tĂ©s relaxantes et adoucissantes.
  • Tanzanie : boire la dĂ©coction des racines permet d'ĂȘtre plus dynamique ainsi que de traiter la dysmĂ©norrhĂ©e, la drĂ©panocytose et l’hypertension.
  • Nouvelle-CalĂ©donie : dans la pharmacopĂ©e kanak, la sĂšve des feuilles est utilisĂ©e pour cicatriser les plaies. En dĂ©coction, les feuilles sont utilisĂ©es pour soigner le foie ou se relaxer.

Les anthĂšres des fleurs ont une activitĂ© antibactĂ©rienne due Ă  la gossypitrine et la gossytrine, des glucosides de gossypĂ©tine. Ces fleurs peuvent ĂȘtre utilisĂ©es comme cataplasme afin de guĂ©rir les plaies[18].

De plus, lorsqu'on extrait les feuilles à l'acétone, on constate une activité antibactérienne contre Staphylococcus aureus[7]. Des extraits à l'éthanol de fleurs et feuilles montrent des activités anti-oxydantes ainsi qu'une activité contre trois souches de bactéries : Staphylococcus aureus, Escherichia coli et Salmonella paratyphi[19]. Cette technique a aussi permis de démontrer que les feuilles et l'écorce ont des propriétés phytochimiques, antibactériennes, analgésiques, neuropharmacologiques, et des activités cytotoxiques[20]. Hibiscus tiliaceus a également une activité biologique contre certains insectes et microbes nuisibles[19].

L'écorce peut également servir de laxatif[4]. Les feuilles sont aussi utilisées pour refroidir les fiÚvres et apaiser la toux[5], et les fleurs bouillies dans du lait pour les infections des oreilles (otites)[21], les abcÚs ou comme laxatif[5].

Artisanat et construction

Le more (mot tahitien) est l'Ă©corce interne de cet Hibiscus et est utilisĂ© pour fabriquer des cordes, des nattes, des costumes de danse tahitienne (tamure, otea, aparima), des sandales, des filets de pĂȘche et des lignes. L'utilisation de l'Ă©corce dĂ©pend aussi beaucoup de la rĂ©gion :

  • Asie du Sud-Est : les feuilles sont utilisĂ©es pour emballer la nourriture, et les fibres permettent de fabriquer des cordages pour le calfatage des bateaux[5].
  • Madagascar : des tissus sont faits Ă  base de son Ă©corce et les textiles grĂące Ă  sa fibre[5].
  • Congo : les nattes sont faites par le tissage des tiges fines[4].
  • Nouvelle-CalĂ©donie : l'Ă©corce est mise Ă  tremper plusieurs jours dans de l'eau de mer, avant de permettre de fabriquer des jupes de femmes et de solides cordages.

Le bois est utilisé pour la construction légÚre et l'ébénisterie, la construction navale et nautique, la fabrication de panneaux, de contreplaqué, de flotteurs (Gabon), de papier ou de manches à outils. Il sert aussi de bois de feu[5].

Les tiges et les branches sont longues et flexibles et servent de poteaux de clĂŽture vivants et de kraals de poissons[8].

Alimentation

En Nouvelle-Calédonie, les fibres blanches collées à l'écorce sur la face interne constituait autrefois une nourriture de disette ; elles étaient cuites, longuement mùchées et recrachées[22].

La fermentation du « tempeh », produit fabriquĂ© Ă  base de soja, peut ĂȘtre dĂ©clenchĂ©e par l'accrochage du mycĂ©lium fongique Ă  la face intĂ©rieur des feuilles, car celle-ci est rugueuse[7].

Elevage

Les feuilles et les fleurs de petites variĂ©tĂ©s peuvent ĂȘtre utilisĂ©es comme additif alimentaire pour les ruminants afin d’amĂ©liorer l'efficacitĂ© alimentaire et rĂ©duire les Ă©missions de mĂ©thane[19].

Agriculture et horticulture

Hibiscus tiliaceus est une espÚce de culture facile et à la croissance rapide[23]. Cette plante s'acclimate aux positions exposées mais pas au gel. Elle a besoin de beaucoup d'eau et de soleil, c'est pour cela qu'elle est davantage cultivée dans les régions subtropicales humides.

MĂ©thode de culture

Les espĂšces du genre peuvent ĂȘtre cultivĂ©es Ă  partir de graines, mais aussi de boutures[5] - [8]. Il est prĂ©fĂ©rable de les semer en septembre car c'est Ă  ce moment-lĂ  que la chaleur arrive en Afrique du Sud. Le temps de germination est d'environ 15 jours. Il n'a pas besoin d'un sol trĂšs particulier, il pousse dans un jardin ordinaire, de prĂ©fĂ©rence exposĂ© au soleil[8]. Il est cultivable Ă©galement en pot[23].

Les fruits sont rĂ©coltĂ©s juste avant qu’ils ne brunissent. Ils sont sĂ©chĂ©s dans des sacs en papier pour ne pas perdre de graines lors de l'ouverture des fruits. AprĂšs quelques jours, les graines sont retirĂ©es en secouant les fruits, il faut ensuite les scarifier et puis les semer[7]. Le mieux est d'effectuer un trempage dans de l'eau chaude pendant au moins 24 heures avant la plantation. AprĂšs ça, la graine peut ĂȘtre plantĂ©e dans un milieu sableux. Un avantage des plantes issues de boutures est qu'elles fleuriront beaucoup plus tĂŽt que les semis (durant la 1Ăšre annĂ©e pour celles de boutures tandis que le temps de floraison est de 2 Ă  3 ans pour les semis)[7] - [23].

- Pour les semis : repiquĂ©s dans des pots lorsqu’ils ont atteint 5 cm de haut, ensuite au champ aprĂšs 5–6 mois lorsqu’ils mesurent environ 25 cm de haut et 1 cm de diamĂštre. Ceci doit se passer pendant la saison des pluies[7].

- Pour planter les boutures au champ : elles doivent mesurer 20–45 cm de long et 1–3 cm de diamĂštre. Pour favoriser l’enracinement latĂ©ral, consolider les racines et renforcer la rĂ©sistance des futurs arbres aux vents, il faut “blesser” la partie infĂ©rieure de la bouture avec un couteau[7].

Pour crĂ©er des haies, il faut planter des boutures de branches d'environ 2–3 m de long en enterrant 1/3 de leur longueur dans le sol[7].

Il est possible de favoriser l'apport de phosphore en introduisant des mycorhizes dans le matériel de plantation[7], ainsi qu'utiliser des hormones d'enracinement, mais les boutures de bout ou les boutures de bois dur (longueur entre 20 et 40 cm ; épaisseur de 0,5 à 1 cm) s'enracinent en général assez bien. Si les conditions météorologiques sont favorables, l'enracinement peut avoir lieu en moins d'un mois[5].

Aspect Ă©conomique

Comme dit prĂ©cĂ©demment, cette plante est utile pour divers usages en mĂ©decines (grĂące Ă  ses racines, feuilles, Ă©corces et fleurs). La fibre provenant de son Ă©corce est de trĂšs bonne qualitĂ©[7]. Cet arbre est Ă©galement plantĂ© dans les rues, dans les parkings, utile pour faire de l’ombre grĂące Ă  son dense feuillage. Il nĂ©cessite cependant un entretien.

Il faut ĂȘtre attentif lors de l’introduction de H. tiliaceus dans certaines zones pour Ă©viter qu’il ne devienne invasif comme en Floride[5].

Aspects culturels et historiques

Une lĂ©gende tahitienne raconte que H. tiliaceus est le petit de la terre et du paradis. Une autre, hawaiienne, dit que cet arbre est la sƓur de la dĂ©esse Hina, qui a Ă©tĂ© transformĂ©e en cette plante. Certains font le rapprochement entre le bref moment de floraison avec le laps de temps d’une vie humaine[24].

Notes et références

  1. IPNI. International Plant Names Index. Published on the Internet http://www.ipni.org, The Royal Botanic Gardens, Kew, Harvard University Herbaria & Libraries and Australian National Botanic Gardens., consulté le 13 juillet 2020
  2. INPN Talipariti tiliaceum (L.) Fryxell, 2001
  3. Référentiel taxonomique V14.0 de décembre 2020
  4. (en) Fryxell, Paul A., « Talipariti (Malvaceae), a segregate from Hibiscus », Contributions from the University of Michigan Herbarium, vol. 23: 225–270,‎
  5. « hibiscus.org - Hibiscus tiliaceus », sur www.hibiscus.org (consulté le )
  6. Nathalie Vidal, Le grand livre des graines voyageuses sur les trois ocĂ©ans Atlantique, ocĂ©an Indien et Pacifique, Éditions Orphie, , 240 p. (ISBN 979-10-298-0444-1), Famille : Malvaceae : Hibiscus tiliaceus page 195
  7. « Hibiscus tiliaceus L », sur www.prota4u.org (consulté le )
  8. « Hibiscus tiliaceus | Plantz Africa », sur pza.sanbi.org (consulté le )
  9. « mangrove flora: sea hibiscus (hibiscus tiliaceus) », sur mangrove.nus.edu.sg (consulté le )
  10. « PlantNET - FloraOnline », sur plantnet.rbgsyd.nsw.gov.au (consulté le )
  11. (en) Irwansah, Sugiyarto et Mahajoeno, « "Mangrove diversity in the Serewe Gulf of Lombok Island West Nusa Tenggara », AIP Conference Proceedings,‎
  12. « Hibiscus tiliaceus in Flora of Pakistan @ efloras.org », sur www.efloras.org (consulté le )
  13. (en) Takayama Koji, Kajita Tadashi, Murata Jin et Tateishi Yoichi, « Phylogeography and genetic structure of Hibiscus tiliaceus— speciation of a pantropical plant with sea‐drifted seeds », Mol. Ecol., vol. 15, 2871–2881,‎
  14. L. L. Elbert, Jr. et R. G. Skolmen, « Common Forest Trees of Hawaii (Native and Introduced) », Washington DC, Department of Agriculture, Forest Service,‎
  15. « Floridata Plant Encyclopedia »
  16. (en) « FLEPPC - Florida Exotic Pest Plant Council », sur www.fleppc.org (consulté le )
  17. « Hibiscus tiliaceus (coast cottonwood) », sur www.cabi.org (consulté le )
  18. (en-US) « Forest Leaf Litter Nutrient Dynamics: Hibiscus tiliaceus », sur cnas-re.uog.edu (consulté le )
  19. (en) Bata M. et Rahayu S, « Evaluation of bioactive substances in Hibiscus tiliaceus and its potential as a ruminant feed additive. », Curr. Bioact. Compd., vol. 13, 157–164,‎
  20. S. M. Abdul-Awal, Sonia Nazmir, Sonia Nasrin et Tauhidur Rahman Nurunnabi, « Evaluation of pharmacological activity of Hibiscus tiliaceus », SpringerPlus, vol. 5,‎ , p. 1209 (ISSN 2193-1801, PMID 27516947, PMCID PMC4967069, DOI 10.1186/s40064-016-2891-0, lire en ligne, consultĂ© le )
  21. La Réunion Tourisme, « Hibiscus tiliaceus L. », sur www.mi-aime-a-ou.com (consulté le )
  22. Emmanuel Kasarhérou, Béalo Wedoye, Roger Boulay, Claire Merleau-Ponty, Guide des plantes du chemin kanak, Nouméa, Agence de développement de la culture kanak, , 77 p. (ISBN 9782909407760), p. 74-75
  23. « Dr. Giuseppe MAZZA Journalist - Scientific photographer > Hibiscus tiliaceus », sur www.photomazza.com (consulté le )
  24. « Canoe Plants of Ancient Hawai`i: HAU », sur www.canoeplants.com (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

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